Bagllerina : et Dieu… créa la ballerine

Publié le par Ricard Bruno

Qui ? Bagllerina

Quoi ? Une ballerine pliable, déclinable, indémodable et de qualité supérieure. Chic intemporel.

 

Initiales BB. L’acronyme aux majuscules doublées, un signe de chance, désigne évidemment la grande Brigitte Bardot. Mais il pourrait tout aussi bien convenir à Bagllerina et à son objet phare, la ballerine. Cette chaussure, véritable essentiel féminin, incarne un charme assez classique, symbole d’élégance naturelle. Aux origines : le monde de la danse et même de l’opéra  – elles sont alors d’un rose timide. Dans la vie d’une femme d’aujourd’hui, elles se parent le plus souvent de noir. Chez Bardot, dans Et Dieu… créa la femme, elles arborent un rouge vif, flambant. L’objet du scandale ? La ballerine, décidément, n’est pas qu’une chaussure pour jeunes filles rangées.

Chez Bagllerina, au cœur du XIVe arrondissement de Paris, on célèbre la ballerine et on l’exporte jusqu’aux plus lointaines contrées, de la Hongrie au Japon. Christine Natkin, fondatrice de cette entreprise à taille humaine et pourtant internationale, s’emploie depuis 2011 à faire vivre sa marque, aux côtés de son mari qui lui apporte un précieux soutien.

Plus qu’une simple paire de chaussures, ces ballerines deviennent un allié pour leur aimable détentrice. C’est tout l’intérêt de la ballerine, chaussure que l’on peut enfiler et retirer à l’envie, au gré des circonstances et des besoins. Toutes les femmes le savent bien. Cette chaussure plate et pourtant charmante est une fameuse alternative aux terribles talons hauts (rarement pratiques pour flâner dans la rue, descendre à la plage ou courir entre deux rendez-vous). Les porter, c’est aussi une manière de se faire du bien !

Du fait main, gage d’une exceptionnelle qualité

Bagllerina conjugue la prestance des beaux cuirs italiens, espagnols ou marocains, avec l’argument de la praticité.

Grâce à une semelle innovante, coupée au niveau de la voûte plantaire, on peut aisément la plier en deux dans un élégant petit sac (d’où le nom de la marque : Bag…llerina). Il n’y a plus qu’à les laisser à disposition dans la boîte à gants, ou tout simplement au bout du bras, à la manière d’une pochette. Elles vous accompagnent partout. Un savoir-faire qui fait l’objet d’un dépôt à l’international.

Un considérable travail a été réalisé pour améliorer la souplesse et l’agilité de la chaussure. Une aisance qui n’est pas au détriment du raffinement. Les deux valeurs sont conjuguées. Christine Natkin a su concevoir des dizaines de modèles et de coloris, variés à la manière d’un camaïeu. De la très classique ballerine vernie de noir à de très originales déclinaisons parées de bijoux indiens, c’est du fait main. Il existe même des ballerines surmontées de légers talons, pour les clientes qui désirent ne pas trop perdre en altitude.

Brigitte Bardot adore

Dernière novation : un partenariat de prestige avec Brigitte Bardot, éternelle ambassadrice de l’art de vivre à la française. Une collection spéciale a ainsi été conçue en partenariat avec le sex-symbol des années 1960. Cause animale oblige, nul cuir, mais du raphia. De quoi donner une superbe touche estivale, authentique et bohème… La ballerine « Madrague » évoque la tranquillité de la maison du pêcheur. Ambiance coquillage & crustacés. La sandale « Flamenco » rappelle la passion de « BB » pour la musique et la danse gitane. Un pompon, original et amusant, parsème la chaussure.

Christine Natkin tient, depuis le lancement de sa marque, à souligner l’aspect voyage, synonyme d’évasion, d’une chaussure qui est partout chez elle. De l’été à l’hiver, des plages de Syracuse aux restaurants de Courchevel, la ballerine se décline. Au Normandy, à Deauville, le grand hôtel propose les chaussures à ses clientes. Un étendard du luxe. Quelle belle idée aussi, en cette saison froide, que ces ballerines rembourrées d’une douce fourrure, élégante manière d’accueillir les invités avec confort et maintien.

Christine Natkin,  le choix de l’élégance

Après une carrière dans la communication, en lien avec les nouvelles technologies (Philips, notamment) Christine Natkin fait, à l’orée des années 2010, le choix d’une reconversion dans le monde de la chaussure. Avec pour seul bagage, alors, son concept de ballerine chic et choc. Au salon Who’s Next, c’est la folie ! Les ballerines, présentées pour la première fois au public, font carton plein. Un succès qui depuis va crescendo, jusqu’à impressionner certains grands noms de la chaussure transalpine. En moyenne, on déboursera, pour chaque paire, autour de 130 euros. Un prix compétitif au regard de la qualité du produit et surtout de sa longévité. Elles sont tout bonnement inusables. Belle idée cadeau à déposer sous le sapin. Mesdemoiselles et mesdames : à vos ballerines !

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