La chasse aux chiens errants est ouverte à Conakry
Bruno Ricard (mes commentaires en rouge!)
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
"Le gavage est une véritable torture pour les oies et canards, qui doivent ingérer de force et en quelques secondes une telle quantité de nourriture que leur foie grossit jusqu'à atteindre dix fois sa taille normale", écrit B.B. au glacier, dans un courrier qu'a pu lire l'Associated Press.
L'ancienne actrice se dit indignée qu'une "maison aussi réputée et appréciée pour la qualité de ses glaces et sorbets associe son image à la maltraitance animale". Elle rappelle les conditions dans lesquelles sont élevés oies et canards, "maintenus dans de petites cages qui les empêchent de se retourner, de se lever, d'étendre leurs ailes", et comment "ils sont rendus malades et agonisent, le coeur et les poumons compressés par leur foie hypertrophié".
La militante de la cause animale demande au glacier de l'Ile-Saint-Louis de ne pas être "complice de cette industrie de la souffrance et de la mort" car, estime-t-elle, "le sang n'a pas à être versé pour la création de nouvelles glaces, ça n'a pas de sens".
Encourageant Berthillon à "retirer ce produit révoltant qui ne peut que nuire à son image", B.B. termine sa missive d'un lapidaire "sentiments écoeurés".
Source : http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hEWa1LS3PjlvF-NYtUpDSpvRKbUA
Bruno Ricard
Deux propositions de loi viennent d'être présentées aux députés. La Fondation Brigitte Bardot s'est associée à l'Alliance Anticorrida, à l'OABA et à la SPA de Marseille Provence pour solliciter
le soutien des députés (voir lettre ci-dessous adressée aux 577 députés).
Appel aux parlementaires :
Au cours de la dernière législature, les associations signataires de la présente ont apporté leur soutien à la Proposition de loi présentée par Mme Marland-Militello " visant à interdire tous les sévices graves envers les animaux domestiques ou apprivoisés, ou tenus en captivité, susceptibles d'être exercés lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée ".
Cette proposition répond à nos attentes et à celles d'une très large majorité de Français scandalisés par l'organisation de jeux cruels, mais aussi par l'incohérence de notre législation qui considère les courses de taureaux et combats de coqs comme sévices graves sans toutefois les condamner dans certaines régions dites de tradition.
Pourtant, l'évolution de l'homme et de notre société passent par l'abolition de " traditions " barbares… comme la corrida !
Le 27 septembre dernier, une proposition de loi " tendant à interdire l'accès aux courses de taureaux aux mineurs de quinze ans " a été enregistrée à la Présidence de l'Assemblée. Ce texte, présenté par MM. Jean-Pierre Brard, Jean-Jacques Candelier et Daniel Paul, est une réflexion qui doit être prise en compte car la protection de la jeunesse est une démarche légitime à laquelle nous souscrivons bien évidemment.
Toutefois, il nous paraît indispensable d'élargir la réflexion et arriver à une remise en cause de ces combats d'animaux. C'est pourquoi, nous renouvelons notre soutien à la proposition de loi
réactualisée de Mme Marland-Militello qui sera présentée, dans les prochains jours, à tous les députés (quel que soit leur groupe politique) susceptibles de s'y associer.
PETITION
Votre mobilisation est importante :
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Source : Fondation Brigitt Bardot
(...)
La présidente de la fondation de protection des animaux qui porte son nom évoque "de nouvelles images insoutenables (...) parvenues du Japon sur la tuerie 'traditionnelle' de milliers de dauphins", images entre autres diffusées dans le journal télévisé de France-2.
"Ces animaux, si proches des hommes qu'ils sauvent souvent, sont rabattus vers des criques où ils sont massacrés avec une violence, une cruauté qu'il est humainement impossible d'accepter", poursuit-elle, avant de demander l'aide du Prix Nobel, lui "dont la voix est entendue, reconnue et respectée".
Brigitte Bardot prie Al Gore d'être à ses côtés pour l'"aider dans ce combat difficile pour lequel elle a donné (sa) vie", et pour "dénoncer toute l'horreur des génocides animaliers", évoquant autant les dauphins que la chasse à la baleine, ou la chasse aux phoques au Canada.
En fin de semaine dernière, plusieurs médias avaient diffusé des images de scènes de chasse aux dauphins se déroulant sur les côtes japonaises. Quelque 14 000 dauphins sont ainsi tués chaque
année.
Source : Aujourd'hui le Japon
Le Salon du Cheval de Paris, qui est ouvert jusqu'au 9 décembre à Paris, se tient sans stand dédié à la Fondation Brigitte Bardot contrairement à trois autres éditions. Les organisateurs du salon estiment que l'action anti-"hippophagie", au nom de la défense des animaux, est susceptible de "déstabiliser" certains exposants. Atteinte à la liberté d'expression, répond la Fondation Bardot.
'hippophagie ou la consommation de viande de cheval : c'est un des combats de la Fondation Brigitte Bardot qui mène un campagne sur le sujet avec pour marraine la comédienne Mathilde Seigner. Cette association de défense des animaux avait prévu de tenir un stand d'information à l'occasion du Salon du Cheval qui a lieu jusqu'au 9 décembre porte de Versailles à Paris. Le 23 novembre dernier, les organisateurs de ce rendez-vous ont informé les dirigeants de la Fondation Bardot que leur autorisation de dresser un stand, déjà accordée en 1999, 2000 et 2002, n'était plus valable.
Motif de cette décision : "le Salon du Cheval ne doit pas être le théâtre d'affrontements, ni une tribune de revendications" affirment ses organisateurs qui craignent que les actions de la Fondation Bardot ne "déstabilisent" certains exposants. "Ce n'est pas un lieu pour développer un point de vue sur l'hippophagie", expliquent les organisateurs, affirmant avoir demandé par ailleurs aux éleveurs de ne pas mettre de leur côté "l'accent sur l'hippophagie".
La Fondation Bardot dénonce elle une atteinte à sa "liberté d'expression" et à son "devoir d'information". L'association a déposé en ce sens un recours en référé auprès du
tribunal de grande instance de Paris. Mais le juge n'a pas statué dans l'urgence, renvoyant l'examen sur le fond de l'affaire à une date ultérieure, après la fermeture des portes du Salon du
Cheval.
Source : http://www.europe1.fr/informations/articles/770124/.html
"Après trois participations sans heurts au Salon du cheval en 1999, 2000 et 2002, nous avons été très surpris de cette volonté de museler notre action", a déclaré vendredi soir à l'Associated Press Ghyslaine Calmels-Bock, directrice générale de la FBB. La "campagne contre l'hippophagie" est parrainée par la comédienne Mathilde Seigner.
En dépit d'un contrat de participation en bonne et due forme pour un stand de 40 mètres carrés, signé le 16 novembre avec Comexpo, l'exploitant du salon, la FBB a reçu dix jours plus tard un courrier du Centre national des expositions & concours agricoles (CENECA), propriétaire du même salon, dans lequel la fondation apprenait qu'elle n'était plus la bienvenue pour la manifestation, qui se déroule jusqu'au 9 décembre au parc des expositions de la porte de Versailles.
"Nous apprenons que la FBB à l'intention de mener des actions visant à déstabiliser certains de nos exposants", écrit Christian Patria, président du CENECA, dans un courrier daté du 23 novembre que l'AP a pu lire.
Le signataire estime qu'il incombe aux organisateurs "d'assurer la tranquillité de tous, et surtout de permettre à chacun de présenter ses produits sans faire de discours critiques ou polémiques, ni de propagande".
"De ce fait, le CENECA (...) se voit dans l'obligation de refuser votre participation au Salon 2007, celui-ci n'ayant pas pour finalité d'être un lieu de prosélytisme d'un exposant ou d'un autre", écrit M. Patria.
La Fondation a déposé un référé d'heure à heure (procédure très rapide), mardi, auprès du tribunal de Grande instance de Paris, mais dans l'ordonnance rendue vendredi soir, le juge des référés n'a pas statué et a renvoyé l'affaire sur le fond à une date ultérieure.
"Cela signifie en substance que je peux parler de mes combats contre l'hippophagie mais que je ne peux le faire au Salon du cheval", a déclaré à l'AP Me Kelidjian, avocat de la FBB. Il dénonce un
véritable "bâillonnement et une atteinte à la liberté d'expression" de la fondation.
Vous pouvez réagir et dire ce que vous pensez à la "CENECA" : cbernard@comexpo-paris.com
Source : http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5i8IRu4QENG94Sz70ETFe7P5RkLGg