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Les corridas pourraient être interdites aux mineurs !

Publié le par Ricard Bruno

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Un courrier de l'Élysée annonçant la création d'un groupe de réflexion a mis le feu aux poudres.

À huit semaines de l'ouverture de la saison tauromachique française qui sonnera à Arles le 21 mars prochain, la polémique est vive entre les organisateurs de corridas et les associations abolitionnistes. Motif de la discorde : l'interdiction éventuelle de l'accès aux mineurs.

C'est un courrier de l'Élysée, reçu la semaine dernière, qui a suffi à relancer l'activité des anti-corridas (SPA, Fondation Brigitte-Bardot, Alliance anticorrida, Flac…). Dans cette correspondance, Cédric Goubert, chef de cabinet du président Nicolas Sarkozy, annonce la création d'un groupe de travail pour étudier l'éventualité de cette mesure. «Sans engagement de présenter un texte», précise tout de même la lettre.

Mais dans la nébuleuse associative des «anti», ce courrier a été reçu comme une avancée littéralement historique. «C'est la première fois qu'un gouvernement nous entend. Nous sommes désormais reçus dans les ministères. Notre cause avance incontestablement. En dessous de 15 ans, un enfant n'est pas apte à juger et à être confronté à un tel spectacle» explique Claire Starozinski, la responsable de l'Alliance anticorrida. «En France, il y a un réel effort à faire en matière de protection animale auprès des jeunes générations , ajoute Caroline Lanty la présidente de la SPA. Le paradoxe, c'est que des jeunes entre 5 et 12 ans puissent assister le plus légalement du monde à ces scènes de torture alors que la corrida est interdite dans 90 % du pays et que des faits analogues, hors des arènes, sont punissables. Il y a un manque de cohésion dans la législation.»

 

Pas de hooligans dans l'arène

 

Le rôle du président de la République est d'entendre tous les Français, y compris les anticorridas. L'ouverture de ce groupe de travail va permettre une analyse scientifique sur le sujet. «Pour l'instant, on ne connaît pas de mineur qui ait été psychologiquement déstabilisé après avoir assisté à une corrida», s'insurge Simon Casas, le directeur des arènes de Nîmes.

Une chose est sûre, p our lui  : «c'est bien moins dangereux pour les enfants que les films ultraviolents de la télévision. Dans les arènes, on ne rencontre pas de hooligans, de spectateurs qui font le salut nazi, ou qui se battent comme dans les stades de foot.» Dans la région, cette mesure, si elle était un jour adoptée, sonnerait en tout cas sans doute le glas des écoles taurines majoritairement fréquentées par des… moins de 15 ans. «C'est effectivement aussi dans notre stratégie d'abolition que de mettre un terme à l'enseignement tauromachique», reconnaît Claire Starozinski.

«Les anticorridas n'ont pas vocation à éduquer tous les enfants du monde. Chez nous, les enfants viennent par pure passion, parfois même malgré la réticence de leurs parents», plaide Gîlles Raoux, ancien torero et professeur au centre de la tauromachie de Nîmes. «Interdire les mineurs aux arènes, c'est faire le procès d'intention des parents considérés comme incapables de gérer la santé mentale de leurs propres enfants. Alors que la tauromachie véhicule des valeurs positives», surenchérit Simon Casas en défenseur de la corrida.

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Le maître du chien martyr évite les bracelets

Publié le par Ricard Bruno

Faits-Divers

"Le maître du chien martyr évite les bracelets"



Les faits

En septembre 2005, une lettre anonyme atterrit sur le bureau de la Société protectrice des animaux. Un chien serait victime de mauvais traitements à Sainte-Rose. Le 26, une plainte est déposée auprès des gendarmes. Les hommes en bleu se rendent alors à l’adresse indiquée. Ils pénètrent dans l’arrière-cour et découvrent un effroyable spectacle. Devant eux, une minuscule cage où se tient difficilement debout un animal. Extrêmement amaigrie, la créature ne ressemble même plus à un beauceron. Mais le pire est à venir. En s’approchant, ils aperçoivent avec horreur une plaie béante dans le cou de l’animal. Une chaîne cadenassée remplace son collier. Les mailles de celle-ci sont tellement serrées qu’elles pénètrent dans les chairs de l’animal. Le chien souffre. Cette vision d’horreur est insoutenable. Un vétérinaire réussit à le libérer, non sans peine. La blessure est telle qu’elle nécessite soixante points de suture. Reste à trouver le propriétaire. Après enquête, Pierre-Charlie A. est interrogé. L’animal lui appartiendrait. Le berger beauceron, qui répond au nom de Max, se retrouve sous la garde des services de protection. Il doit récupérer des sévices qu’il a endurés. Il est, plus tard, adopté par une autre famille de Sainte-Rose (lire par ailleurs).

L’audience

“C’est incroyable qu’il ait survécu”. Francis Oget, le président du tribunal, n’en revient pas lui-même. Pourtant, à la barre, Pierre-Charlie A. reste froid. Pendant toute l’audience, il campe sur ses positions. “Mon cœur est propre. Je n’ai rien fait de tout ça”, insiste-t-il. Il explique avoir laissé son chien pendant trois mois. Selon lui, lors de son départ, Max n’était pas enchaîné. Malgré tout, des doutes planent toujours sur son innocence. L’accusé déclare que son voisinage se plaignait de son chien, qui serait “un voleur”. Le maître décide donc de l’attacher avec un collier. “J’avais des problèmes de boisson et il faisait nuit. J’ai peut-être serré un peu trop fort, sans faire exprès”, admet-il. L’avocate de la partie civile, Me Audrey Bouvier, reste choquée devant “un tel délit de cruauté et pas seulement de maltraitance”. La représentante de la fondation Brigitte Bardot ne comprend pas qu’on puisse faire souffrir un animal de la sorte. Elle rappelle les conditions abominables de sa survie. “Il a dû manger ses propres excréments pour rester en vie”, déplore-t-elle. Lorsque Pierre-Charlie A. affirme ne pas s’être rendu compte de l’entaille causée par les chaînes, elle reste perplexe. “C’est impossible de ne pas voir une telle plaie.” Elle réclame une condamnation ainsi que 700 euros de dommages et intérêts, et 600 euros de frais juridiques. Jean Dobanton, procureur adjoint, s’associe “pleinement à la fondation Brigitte Bardot”. Il a dit “chercher en vain une lumière de bonté dans les yeux du prévenu”. Le représentant du ministère public fustige “ces actes qui inscrivent la Réunion en tête en matière de cruauté animale”. Il requiert une peine maximum de deux ans de prison, et 5000 euros de dommages et intérêts. “Sinon il reste la possibilité de vous munir d’un bracelet. On sait que vous aimez particulièrement les bracelets”, ironise-t-il.

J.R.

- Le jugement Pierre-Charlie A. est condamné à 5 mois de prison avec sursis. Il doit verser la somme de 600 euros de dommages et intérêts à la fondation Brigitte Bardot, et 500 euros de frais judiciaires. Enfin, il lui est, formellement et totalement, interdit de posséder un animal pendant 5 ans.

 

Max, sans menace

Pascal et Isabelle sont les nouveaux maîtres du chien martyr. Max se porte aujourd’hui comme un charme. Affectueux bien qu’un peu craintif, il a pris 18 kg depuis la fin de son calvaire.

Quand on entre dans la case des Reboulleau, à Sainte-Anne, Max vient vous faire la fête. Un solide gaillard d’une quarantaine de kilos, pas un aboiement plus haut que l’autre. Et quand son maître s’assoit, Max vient se reposer à ses pieds. Rien ne laisse deviner les terribles sévices qu’il a subis durant son enfance de chiot. Et les 60 points de suture qui enveloppent son cou musclé ne peuvent se repérer qu’en y prêtant une attention soutenue. Max vit depuis plus de trois ans chez Pascal et Isabelle Reboulleau. Ils l’ont recueilli après avoir vu un reportage télévisé sur le calvaire de ce beauceron. « Quand on a vu les blessures de ce chien, on s’est dit qu’on ne pouvait pas le laisser comme ça », se souvient Pascal. « J’ai appelé la SPA et ils nous ont amené le chien le lendemain, à midi. Il ne tenait pas debout. On n’était même pas sûrs qu’il puisse survivre. Ça ne nous intéresse pas de savoir qui et pourquoi on lui a fait ça. » “Ça”, c’est cette plaie béante provoquée par la négligence de maîtres n’imaginant pas que le collier d’un chiot puisse ne pas convenir à un chien adulte. Patiemment, les Reboulleau réapprennent à Max le goût d’une vie sans malveillances subies. « Il a mis du temps à se refaire la cerise. Il ne pesait que 20 kg, et ne tenait pas sur ses pattes quand on l’a récupéré », expliquent-ils. La cage dans laquelle il vivait ne lui permettait pas de se tenir debout. À grands coups de croquettes, de balades dans la nature et d’affection, Max est redevenu ce qu’il aurait dû être plus tôt : un animal plein de vie. « C’est un chien affectueux, très attaché à nous. Il dort chaque nuit devant notre porte. Il suffit que j’aille dans une pièce pour qu’il me suive », sourit Pascal. « Il n’est pas agressif pour un sou, juste un peu craintif quand il y a de l’orage. Ça doit lui rappeler la cage dans laquelle il vivait. » Aujourd’hui, Max, qui va fêter ses quatre ans, bénéficie de toutes les attentions. Il vit sa vie aux côtés des Reboulleau et de leurs autres chiens, Princesse et Milou. Il n’y a plus qu’une seule chose auquel il n’a plus droit : un collier. « Il a déjà donné », sourit gravement Isabelle.

Source : http://www.clicanoo.com/index.php?page=article&id_article=173520

 

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Brigitte Bardot, le casting?

Publié le par Ricard Bruno


brigitte-bardot-copie-4.jpgLa fiction qui doit retracer la vie de Brigitte Bardot a pris du retard. En effet, celle qui incarnera l'icône n'a pas encore été trouvée. Pourtant les candidatures ne manquent pas! «C'est amusant l'engouement que suscite cette adaptation auprès des jeunes femmes, explique la société de production. Nous recevons chaque jour des dizaines de lettres, d'actrices aussi bien connues qu'inconnues». Et d'ironiser: «Pourquoi pas un casting national, à la recherche de B.B., diffusé à la télé?»

Source : http://www.tvmag.com/article/Telefilm/35428/Brigitte_Bardot_le_casting.html

Publié dans le web en parle

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Protection animale

Publié le par Ricard Bruno

Evolution en matière de protection animale !

Le 27 septembre dernier, Brigitte Bardot avait rencontré le Président de la République, afin d’aborder plusieurs points en matière de protection animale, et d’apporter des solutions concrètes. En marge du Grenelle de l’Environnement, dont les groupes étaient déjà constitués, la Fondation Brigitte Bardot a demandé à Nicolas Sarkozy la création d’un Groupe de travail interministériel sur la condition animale, piloté par le Ministère de l’Agriculture, mais élargi à tous les ministères concernés (Ecologie, Justice, Intérieur…). A ce titre, la Fondation Brigitte Bardot présentera lundi 21 janvier son projet au Ministère de l’Agriculture, où seront également présentes d’autres associations de protection animale.

Parce que l’homme doit reconsidérer son rapport à l’animal et à la nature
Aujourd’hui, nous sommes face à une évidence : il est moralement inacceptable de traiter des êtres vivants, sensibles, comme de la marchandise, et d’exploiter les animaux à outrance comme ils le sont actuellement. Le combat mené par la Fondation Brigitte Bardot est vaste et concerne autant les animaux domestiques que les animaux sauvages. Dans un souci d’œcuménisme et d’efficacité, la FBB a donc souhaité que soient associés à cette réflexion l’ensemble des associations françaises de défense animale, ainsi que des parlementaires français.

 

Les projets prioritaires proposés par la Fondation
- Réforme du statut juridique de l’animal (encore considéré comme « meuble » par le code civil), et condamnation de tous les sévices graves sur animaux
- Création d’une taxe sur toutes les activités liées à l’exploitation des animaux (cirques, zoos, courses hippiques, animaleries…) pour financer des programmes de sauvegarde
- « Moralisation » du commerce des animaux de compagnie (interdiction d’ouvrir de nouvelles animaleries, suppression des importations en provenance de pays tiers,…)
- Révision de la réglementation sur le transport des animaux de ferme, respect de l’étourdissement préalable avant abattage sans exception, définition du statut du cheval
- Interdiction progressive des animaux sauvages dans les spectacles itinérants, interdiction des chasses cruelles « traditionnelles » (vénerie…)
- Développement de méthodes scientifiques substitutives à l’expérimentation animale, et reconnaissance d'un droit à l'objection de conscience

A l’initiative de cette démarche, la Fondation Brigitte Bardot se félicite de la tournure que semble prendre ce projet et assure son soutien et son engagement auprès du Ministère de l’Agriculture.

Source : Fondation Brigitte Bardot


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Chine : Une ignominie : Mobilisation Signez la pétition !

Publié le par Ricard Bruno

S'il vous plaît signez cette pétition c'est un scandale que l'on puisse faire ça.
(attention les images sont horribles)
 
Je ne vous conseille pas de regarder les images car c'est vraiment horrible (ne répondez pas en me disant que c'est immonde, c'est malheureusement réel et la curiosité n'est pas toujours utile) : en gros c'est les cris de petits animaux dépecés vivants.
Signer la pétition tout simplement, en ajoutant votre nom en bas de liste et le n°correspondant.
VIDÉO:
 
Site PETA France : http://www.petafrance.com
 
Avec mes meilleures salutations.
BRUNO RICARD
 Lorsque la liste contient 500 noms, merci de l'envoyer à l'adresse email suivante :
 
 
 
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EXPÉRIMENTATION ANIMALE : MOBILISATION !

Publié le par Ricard Bruno

EXPÉRIMENTATION ANIMALE : Pour le droit à l'objection de conscience!
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La Commission européenne vient de rendre public son dernier rapport sur les statistiques concernant le nombre d’animaux utilisés à des fins expérimentales dans les Etats membres de l’Union Européenne.

Une fois encore, la France détient le triste record avec…
2 325 398 animaux sacrifiés sur la seule année 2004
(qui sert de référence) pour un total de 12 117 583 animaux expérimentés dans les 25 Etats-membres (avant l’entrée de la Roumanie et la Bulgarie).

Ces chiffres sont, une nouvelle fois, en augmentation par rapport aux dernières statistiques rendues publiques alors que nos ministres successifs tentent de faire croire que l’expérimentation animale est, à terme, vouée à disparaître au profit de méthodes substitutives, plus fiables et éthiquement recevables.

La Fondation Brigitte Bardot travaille actuellement à un projet d’objection de conscience à l’expérimentation animale qui, à l’instar de la réglementation italienne (où, et à l’inverse de la France, les statistiques sont en baisse pour atteindre 896 966 animaux expérimentés), autoriserait les citoyens à ne plus être complices de cette « science » sans conscience.

Nous, soussignés, demandons au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche de défendre ce droit d’objection de conscience à l’expérimentation animale soutenu par la Fondation Brigitte Bardot.

signez notre pétition . . .
http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/petition.php?Id=351
>>POUR LE >>POUR LE DROIT A L’OBJECTION DE CONSCIENCE !DROIT A L’OBJECTION DE CONSCIENCE !

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Info journal fondation Brigitte Bardot 4ème trimestre 2007

Publié le par Ricard Bruno

N'hésitez pas  vous abonner à l'nfo journal de la fondation Brigitte Bardot, vous pouvez également soutenir la fondation par vos dons : 
http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/fondation.php?Id=272
info-journal-n--63-4--me-trimestre-2007.jpginfo-journal-junior-n--13-4--me-trimestre-2007.jpg

Bruno Ricard
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Courrier à Cauet pour sa nouvelle émission«La Cauetidienne ».

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Brigitte Bardot a envoyé un courrier à Mr Cauet pour sa nouvelle émission « La Cauetidienne », dénonçant l'utilisation qui est faite des animaux sur ce plateau télé (et la fondation a entièrement raison, il est scandaleux de continuer à exiber des animaux de la sorte, je suis moi même étonné que Mr Cauet puisse accepter ce genre de chose étant donné qu 'il (normalement) est sensible à la cause animale, attendons de voir sa position.)
BRUNO RICARD

cauet.jpg
La Fondation Brigitte Bardot a envoyé un courrier à Mr Cauet pour sa nouvelle émission « La Cauetidienne » sur TF1, ou « en une semaine on a déjà vu lions et mouton sur le plateau en guise d’amusement ! » Voici le courrier en intégralité ci-dessous.
 
« Monsieur Cauet, Nous avons eu connaissance de votre nouvelle émission « La Cauetidienne » dans laquelle ont été exhibés des lions en cage et un mouton badigeonné de peinture !

Vous le savez, notre fondation lutte contre ce genre de pratique, qui, hélas se multiplient sur TF1.
 
Nous comprenons que vous devez faire de l’audience. Cependant nous ne pouvons accepter de voir des animaux sur un plateau de télévision et encore le moins, le traitement que vous leur infligez.
 
Mettre en avant des lions détruits par le dressage et des années de captivité, montre aux téléspectateurs une image pitoyable et dangereuse de ce qu’est un animal sauvage et montre le peu de respect que vous avez pour lui.
 
Peindre un mouton pour rigoler, nous prouve une fois de plus que les animaux ne sont pour vous que des objets auxquels vous ne prêtez aucune estime.
 
Nous osons espérer que vos téléspectateurs ne vont pas maintenant peindre leurs propres animaux, maintenant que vous leur en avez donné l’idée.
 
Sachez que les peintures peuvent être hautement toxiques et que cela peut tuer en animal. Visiblement, cela ne vous-même pas effleuré !
 
Vous montrez aux téléspectateurs qu’un animal est un objet dont on fait ce qu’on veut, dont on se moque.
 
Les animaux sont des êtres sensibles, il est nécessaire d’éduquer le public au respect de ceux-ci.
 
Nous venons de récupérer une lionne sauvée d’un cirque. N’étant pas une bonne candidate au dressage le propriétaire projetait tout simplement de l’euthanasier !
 
Sachez que la vie d’un animal de cirque se réduit à rester enfermé 24h/24 dans une minuscule cage, hormis les représentations bien sûr ! Une vie terrible, misérable, sans issue…
 
Beaucoup de ces animaux adoptent un comportement stéréotypé – tout comme dans les zoos et dans les prisons ou asiles psychiatriques – qui est proche de la folie, signe évident qu’ils souffrent terriblement jusqu’à ne plus fonctionner sainement.
 
Concernant ce pauvre mouton, déjà que les animaux de ferme ne sont pas considérés dans nos société, le petit jeu auquel vous vous êtes amusés avec lui ne fera rire que les idiots.
 
Nous espérons que vos téléspectateurs feront preuve de jugement, et qu’ils auront un esprit assez critique pour ne pas vous encourager dans ce sens.
 
Au-delà de ce discours, nous pensons sincèrement qu’il est possible de faire de bonnes émissions, distrayantes et novatrices sans passer par la case « animaux ».
 
Pourquoi ne pas tenir compte de nos courriers ??
 
Pourquoi continuer à ignorer nos informations ??
 
Avec toutes nos salutations. »

Source : http://www.actualites-news-environnement.com/14134-Cauet-emission-La-Cauetidienne.html

Publié dans le web en parle

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Sauvetage d’un jeune rhinocéros en Afrique du Sud

Publié le par Ricard Bruno

Un jeune rhinocéros blessé, âgé de 5 mois, a été signalé à la fondaion Brigitte Bardot par Mme Louise Joubert, directrice du sanctuaire de Sanwild en Afrique du Sud.
Cet animal se trouvait seul sans sa mère au sein de la réserve de chasse de Madikwe ; il avait été attaqué au niveau du postérieur par un groupe de hyènes.
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Le rhinocéros a pu être amené au sanctuaire de Sanwild après 1000 km de route afin d’y être soigné grâce à l’aide financière de la Fondation Brigitte Bardot. La santé de l’animal reste fragile, une nouvelle opération est programmée afin d’enlever une partie de la queue arrachée lors de l’attaque.

Aux dernières nouvelles, le sanctauire a décidé de garder le jeune rhinocéros en semi-liberté.
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Source : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40142&IdCat=
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