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Brigitte Bardot : le livre pour tout savoir

Publié le par Ricard Bruno


Brigitte Bardot a eu 75 ans il y a quelques jours (voir article). L’occasion de se pencher sur la vie et la carrière de l’icône du cinéma français.

Sex-symbol, aimée, désirée, adulée, critiquée, vilipendée, Brigitte Bardot a durablement marqué son époque et est aujourd’hui un mythe de notre société et de son cinéma.

Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que Dominique Choulant a intitulé son livre, publié aux éditions Autres Temps : Brigitte Bardot Le mythe éternel. Avec minutie, avec passion aussi, l’auteur trace la biographie de la star. Il reprend les propres mots de l’actrice, mais aussi des extraits de presse, des critiques de films, des témoignages de proches. Petite mine d’informations, cet ouvrage se lit comme un portrait impressionniste, par petites touches. De l’enfance à aujourd’hui, des débuts presque par hasard au combat actuel pour les animaux, des succès insolents aux polémiques violentes, rien n’est oublié.

Et c’est la femme que l’on découvre derrière la légende du cinéma. Un caractère, que l’on suit des plateaux de cinéma à sa retraite chez elle, en passant par les glaces canadiennes pour protéger les bébés phoques. Indomptable jusqu’au bout, comme tout mythe qui se respecte…

Source : http://www.news-de-stars.com/brigitte-bardot/brigitte-bardot-le-livre-pour-tout-savoir_art22579.html

Publié dans le web en parle

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Géraldine Danon : La filleule d'Alain Delon rend hommage... à Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

Henri-Jean Servat, ami de toujours de Brigitte Bardot, a mis en oeuvre une exposition pour rendre hommage à la carrière de BB dans l'Espace Landowski, à Boulogne-Billancourt. Les vedettes françaises se sont alors rendues en ces lieux pour apprécier la rétrospective glamour de cette icône âgée de 75 ans, intitulée "Les années insouciance".

Nous avons pu croiser Alison Arngrim, héroïne de La Petite Maison dans la prairie ou encore Valérie Kaprisky, très rock'n'roll. Dimanche dernier, les visiteurs ont vu d'autres personnalités comme William Leymergie, l'homme du matin de France 2, le jet-setteur Massimo Gargia ou encore Robert Hossein. Ce dernier, homme de théâtre reconnu, a joué avec Brigitte Bardot dans Le Repos du guerrier de Roger Vadim. Il a pris la pose au côté de Judith Magre qui sera à l'affiche de La Folle histoire d'amour de Simon Eskenazy avec Antoine de Caunes et Elsa Zylberstein. Alexandra Kazan a arpenté l'exposition non loin de Marisa Berenson qui s'est récemment livrée sur ses épreuves du passé.

Parallèlement à ces personnalités, ce dimanche, Géraldine Danon a aussi eu le plaisir de se rendre à cette exposition. Grande admiratrice de BB, elle n'aurait pas voulu manquer cette manifestation artistique. Filleule d'Alain Delon, elle connaît bien le milieu du cinéma des années 60, âge d'or cinématographique pour son parrain et son idole !

Si le cinéma l'a révélée dans A mort l'arbitre de Jean-Pierre Mocky en 1983, elle n'hésite pas à prendre le large, loin du show-business, avec son mari le navigateur Philippe Poupon. Elle revient d'un voyage extraordinaire avec son époux mais aussi leurs enfants. La ravissante Géraldine est en effet maman de Loup, 9 ans, Laura, 2 ans et Marion, 9 mois. Cette fois, à Paris, c'est un voyage dans le Septième Art et dans le temps qu'elle a fait. Elle en semble enchantée.

Du côté de la star de l'expo, Brigitte Bardot, l'émotion est particulière, comme elle le confie dans le magazine Gala. Etonnée par cette exposition qui la fait sortir de l'ombre, elle ne ménage pas son franc-parler dans cette interview, notamment quand elle qualifie le cinéma d'aujourd'hui : "Les acteurs d'aujourd'hui ont bien du courage de tourner dans des productions aussi mauvaises." Les actrices qui lui plaisent sont Isabelle Adjani, Arielle Dombasle et Emmanuelle Béart, mais ajoute : "Marion Cotillard me paraît très mignonne".

L'actrice confirme son enthousiasme face au choix de Laetitia Casta pour l'incarner dans le biopic Gainsbourg, vie héroïque. Sa grande déception, elle qui a fait face à de grandes souffrances, est celle de son anniversaire : "Mais rien, peau de balle ! Je n'ai pas eu un petit mot pour mon anniversaire. Je représente quand même quelque chose dans mon pays." L'exposition en son honneur revient toutefois brillamment sur ce qu'elle représente.

Source : http://www.purepeople.com/article/geraldine-danon-la-filleule-d-alain-delon-rend-hommage-a-brigitte-bardot_a41871/1
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“ Brigitte Bardot à l'honneur avec une expo et du mobilier dédié ”

Publié le par Ricard Bruno


Les inconditionnels de Brigitte Bardot peuvent se réjouir ; non seulement une exposition est consacrée à l'égérie du cinéma à Boulogne Billancourt, mais en plus son joli minois s'expose en noir et blanc dans le mobilier. Brigitte Bardot sous toutes les coutures ? Oui, on assume notre côté fan !

Après Marilyne Monroe et Audrey Hepburn, c'est au tour de Brigitte Bardot de s'inviter au salon. L'icône du 7ème art apparaît sur les coussins en Harley Davidson et sur les dossiers des fauteuils en gros plan noir et blanc. Egérie du cinéma et des plus grands photographes, celle qui imposa le style Vichy et le chignon choucroute fascine autant en 2009 qu'en 1969. Star glamour, sa liberté de ton va aussi symboliser l'émancipation des femmes. Nous aussi, on a besoin de personne en Harley Davidson !

A voir : l'exposition Brigitte Bardot, Les années « insouciance », est la 1ère exposition consacré à Brigitte Bardot. Elle regroupe peintures, sculptures, photographies

Exposition Brigitte Bardot, Les années « insouciance »
Au MA30-espace Landowski Boulogne-Billancourt
Du 29 septembre 2009 au 31 janvier 2010
www.expobrigittebardot.com

Source : http://www.deco.fr/actualite-deco/304268-brigitte-bardot-mythe-expose-mobilier.html
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A Boulogne-Billancourt, les métamorphoses du mythe Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot a eu 75 ans le 28 septembre, la veille de l'ouverture de cette exposition à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) dont le commissaire, Henry-Jean Servat, justifie l'existence par le fait qu'elle est "un mythe absolu", qu'elle "donna des modèles de comportement". Servat est subjugué par cette femme "décapante". Que son idole ait pu écrire ou dire des choses qui ont choqué ne le choque pas. "Elle n'en finit pas d'apporter sur la terre la compassion, dit-il. Ses combats valent mieux que tous les discours du monde." Soit ! Truffée de photos d'animaux, la dernière salle est consacrée à la Fondation Brigitte Bardot.

Est-il nécessaire d'aduler à ce point BB pour apprécier le parcours proposé sur près de 1 000 m2, et auquel font honneur quelque 500 visiteurs quotidiens ? Non. Celle que le général de Gaulle considéra comme "une jeune personne de bon aloi" et Françoise Sagan comme un objet contribua, il est vrai, à changer des moeurs.

Le visiteur suit la stupéfiante métamorphose d'une gamine qui, élevée dans une "bonne famille" de droite, symbolisa l'émancipation féminine, un nouvel érotisme, une révolution sexuelle, "seins au vent, fesses à l'air", avant de rétrograder de la modernité flamboyante aux humeurs réactionnaires.

Titrée "Les années insouciance", l'exposition est gorgée de photographies signées Sam Levin, Richard Avedon, Robert Doisneau, Harcourt... Il y a aussi des couvertures de magazines (Le Jardin des modes, Elle, Paris Match, etc.), des tableaux (Carzou, Aslan, Kiffer, Leonor Fini ou, rarement vue, la toile de Van Dongen). Des objets divers et fétiches sont là : robes, Harley-Davidson, porte-jarretelles de Viva Maria ! (1965, Louis Malle), guitare, partition de La Madrague, de Claude Bolling. Des écrans diffusent des extraits de films, montages de baisers, documentaires, émissions télévisées, clips.

L'exposition impose d'emblée l'image d'une star qui provoque folies, polémiques, censure. La voilà drapée nue dans le drapeau français, puis suscitant l'hystérie lors de son arrivée au Festival de Cannes en 1967, qu'elle avait snobé dix ans plut tôt. Un mur évoque ses apparitions dans La Bride sur le cou (1961, Roger Vadim), où elle est revêtue d'une combinaison chair moulante, et dans Les Novices (1970, Guy Casaril), où elle interprète une religieuse qui se dévêt entièrement sur une plage. Un mur rappelle que, en 1958, à l'Exposition universelle de Bruxelles où il tient pavillon, le Vatican la choisit pour incarner le péché absolu, à cause de son strip-tease (bien inoffensif) dans En effeuillant la marguerite (1956, Marc Allégret).

Deux sérigraphies d'Andy Warhol illustrent la "bardolâtrie". Un panneau rappelle que, en 1967, reçue à l'Elysée, elle arrive en costume pantalon à brandebourgs militaires, chevelure dénouée. Cette énergumène sort de la France de René Coty, ses couples louis-philippards, ses femmes à corset. Brigitte Bardot ? Des tutus et chaussons de danse Repetto, un missel de première communion, des lunettes, un appareil dentaire.

Elle veut faire du cinéma à 18 ans, en dépit des réticences de son père, et avec l'appui du grand-père : "Toutes les actrices ne deviennent pas nécessairement des femmes de mauvaise vie." Voilà Vadim, Et Dieu... créa la femme (1956), la sentence du pygmalion : "Tu seras le fantasme inaccessible de tous les hommes mariés."

De salle en salle, BB change de visage. Elle est pin-up en robe vichy rose et blanc et choucroute. Elle fait de la publicité pour un Solex, une boisson pétillante, une robe, une bière, un pantalon, une auto, un parfum, un savon. Elle chante (Coquillages et crustacés). Bardot c'est une liberté, une voix, un rire, dont l'exposition fait entendre les échos sonores. Un corps, bien sûr, que Godard transforme en blason : "Elle a fait un bon film, Et Dieu créa la femme ; Le Mépris sera son deuxième."

Il y eut une BB attitude, et l'exposition montre comment s'incarne ce culte dans la création populaire. L'ensemble est un bazar très kitsch, qui souligne combien la mode change, et comment se dégrade une notoriété.

Cinquante ans plus tard, face au panneau publicitaire du film de Michel Boisrond Voulez-vous danser avec moi ? (1959), on s'interroge.


 

Brigitte Bardot. "Les Années insouciance". Espace Landowski, 26, avenue André-Morizet, Boulogne-Billancourt. Mo Marcel-Sembat, Boulogne-Jean-Jaurès. Jusqu'au 31 janvier 2010. Du lundi au dimanche, de 11 heures à 19 h 30 (fermeture des caisses à 18h00). 11 €. Rétrospective de films au cinéma Landowski, même adresse. www.cinemaboulogne.com

Source : http://www.lemonde.fr/cinema/article/2009/10/13/a-boulogne-billancourt-les-metamorphoses-du-mythe-brigitte-bardot-dans-un-bazar-tres-kitsch_1253379_3476.html

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Info journal fondation Brigitte Bardot 3ème trimestre 2009

Publié le par Ricard Bruno

Abonnez vous à l'info journal, aidez la fondation Brigitte Bardot :
 Site de la fondation Brigitte Bardot
http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/fondation.php?Id=285

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Serge Gainsbourg...vie héroïque

Publié le par Ricard Bruno

Publié dans le web en parle

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Bravo brigitte Bardot (article en Allemand)

Publié le par Ricard Bruno

50 Jahre BRAVO: Die Story zum Jubiläum!

 BRAVO.de - 50 Jahre BRAVO - BRAVO Storys - 50 Jahre BRAVO - Geschichte kann so spannend sein: 50 Jahre BRAVO sind 50 Jahre Musikgeschichte. Stars kommen und gehen - und BRAVO ist immer hautnah dabei! - -

Geschichte kann so spannend sein: 50 Jahre BRAVO sind 50 Jahre Musikgeschichte. Stars kommen und gehen - und BRAVO ist immer hautnah dabei!

 

26. August 1956: Die erste Ausgabe von BRAVO liegt als "Magazin für Film und Fernsehen" an den deutschen Kiosken, herausgegeben vom 2005 verstorbenen Chefredakteur Peter Boenisch. Die Jugend hat erstmals ein eigenes Blatt - der Beginn einer bis heute einzigartigen Erfolgsgeschichte! Denn: Nie zuvor war eine Zeitschrift so lange Marktführer und hat die Jugend über Generationen geprägt. Mit dem Leserpreis OTTO, der Foto-Love-Story, den Starschnitten und Dr.-Sommer schreibt BRAVO bis heute Mediengeschichte.

Kein anderes Magazin bedient die Sehnsüchte und Wünsche der jungen Leute in Deutschland so genau und treffsicher wie BRAVO. Los ging es Mitte der Fünfziger, als das Bedürfnis nach Spaß, Lässigkeit und Glamour die autoritären Werte des Nachkriegs-Establishments zu bedrohen schien: 1959 eröffnete der erste Starschnitt den Kampf um die Wand im Kinderzimmer: Brigitte Bardot in Lebensgröße. Im selben Jahr wurde Peter Kraus von BRAVO als hüftwackelndes Pendant zu Elvis entdeckt.

 

In den Sechzigern gelang der ganz große Coup. In den "Lärmschlägern" der aufkommenden Beat-Ära erkannte BRAVO die großen Pop-Künstler von morgen. 1966 holte BRAVO die Beatles zur Blitztournee nach Deutschland. "Deutschlands größte Zeitschrift für junge Leute sorgt für die Beatsensation des Jahres", so kündigten Plakate die "BRAVO-Beatles-Blitztournee" an. Drei Konzerte in München, Hamburg und Essen hielten ganz Deutschland in Atem. Die Sonderzüge, mit denen die Fans zu den Konzerten reisten, hießen "Rasender John", "Schneller George", "Rollender Ringo" und "Fliegender Paul".

 

Mit dem "Knigge für Verliebte" hebt BRAVO 1962 erstmals in Deutschland eine Aufklärungsreihe für Jugendliche in eine Zeitschrift.

 
BRAVO ist 50 Jahre Musikgeschichte, 50 Jahre gelebte Starnähe. Mehr noch: BRAVO macht Stars, weil BRAVO immer die besten Kontakte hat - national wie international!

Source : http://www.bravo.de/online/render.php?render=19728

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Les belles et l'écrivain...

Publié le par Ricard Bruno

Jeanne Moreau et Brigitte Bardot dans « Viva Maria ! ». Les deux stars étaient-elles aussi proches que voulait bien le montrer cette photo ? (photo dR)

Voici un exotique cocktail. Prenez un grand écrivain, aristocrate, autrichien et exilé - ses admirateurs n'hésitent pas à comparer Gregor von Rezzori à Musil ou à Zweig -, ajoutez un cinéaste français, issu de la grande bourgeoisie et de la nouvelle vague, Louis Malle, qui, depuis « Les Amants », « Vie privée », « Le Feu follet », aimerait passer de la musique de chambre à la symphonie, complétez par deux actrices dont l'une est un « mythe » (que c'est agaçant ! Qu'est-ce que cela veut dire exactement ?) et l'autre une excellente comédienne. Et puis le Mexique revu par des décorateurs que n'effraient pas les stéréotypes, un scénario infirme (signé Louis Malle et Jean-Claude Carrière), un énorme budget, évidemment américain : vous obtenez « Viva Maria ! », film médiocre. En revanche, vous aurez un livre infiniment savoureux, « Les Morts à leur place ». Où donc les éditions Le Serpent à plumes ont-elles déniché ce manuscrit ? Sans doute dans la luxueuse propriété de Toscane que Beatrice Monti della Corte Rezzori, veuve et « baronessa », met, deux mois par an, à la disposition de jeunes écrivains, pour qu'ils y fassent oeuvre et, à l'occasion, lui servent de chauffeur.

Distance complice

Le sous-titre, « Les Morts à leur place », parle de « journal de tournage ». Le livre est cela, et beaucoup mieux que cela. Nous sommes en 1965 et Gregor von Rezzori n'a pas la réputation littéraire qu'il mérite. Il ne l'a toujours pas si l'on considère que « Neiges d'antan » ou « OEdipe à Stalingrad » sont des chefs-d'oeuvre. Qui n'a pas rencontré Rezzori ne saura jamais tout à fait ce qu'est la classe, la courtoisie, l'élégance absolues. L'élégance peut avoir besoin d'argent. L'écrivain a déjà tourné avec Louis Malle dans « Vie privée ». Il garde un souvenir lumineux du séjour à Spoleto, il aime le petit groupe d'amis qu'il s'y est fait. Il accepte donc le rôle du vieux magicien dans « Viva Maria ! ». Les scènes où, avant de lui rendre ses cheveux blancs, on tente le bleu, le rouge, l'orange, sont hilarantes : Rezzori observe les péripéties d'un tournage agité et chaotique avec une distance souriante mais complice. Il s'amuse, il s'ennuie, il joue le jeu.

On ne peut imaginer aujourd'hui le tapage médiatique qui entoura, en France, aux États-Unis, cette réalisation. Le vacarme reposait pour beaucoup sur une rivalité supposée entre les deux têtes d'affiche, deux stars, dont aucune n'en était à ses débuts. Quand, dans la somptueuse villa louée par Louis Malle à Cuernavaca (Luis Buñuel est là, désespérément sourd), Rezzori fait la connaissance de Jeanne Moreau, vêtue d'une robe jaune de Pierre Cardin, son mentor de l'époque, il remarque, sans complaisance ni goujaterie, de beaux cheveux sur un « visage prématurément vieilli ». Quand se tient, à Mexico, la première conférence de presse, « on ne voit que Brigitte Bardot ». Mais le lendemain, les journaux mexicains évoquent « le charme défraîchi du sex-symbol français ». Et Brigitte pleure.

Rumeur de conflit ?

Rezzori a-t-il, comme le prétend Pierre Billard dans sa biographie de Louis Malle, par les articles qu'il vendait à la presse américaine, accrédité une rumeur de conflit entre deux monstres sacrés, déjà un peu (1965 !) sur le retour ? Qu'importe ? Il est d'une irréprochable pertinence quand il note que la question n'est pas de savoir si Bardot est bonne ou mauvaise comédienne : « Avant toute chose, elle est. Elle n'est pas seulement elle-même, elle l'est si fortement qu'elle en devient la démonstration d'un être et d'une forme d'être. » Jeanne Moreau fait figure de « grande actrice ». Mais « davantage par des moyens d'actrice - ce qui, sur le plan personnel et, partant, pour le film, représente une limitation ». Parfois le chroniqueur prophétise : « Les gens qui sont d'avis que Brigitte Bardot a depuis longtemps son apogée derrière elle ne manquent pas, tandis que Jeanne Moreau, grâce à ses dons inusables pour camper la nature humaine, pourrait gravir les sommets jusqu'à un âge avancé. »

Les aléas, les incohérences, les ridicules, les combats claniques d'une pareille aventure, Rezzori les décrit en ethnologue, en sémiologue subtil. Les plus fortes pages demeurant celles où les paysages mexicains le ramènent à sa Bucovine natale, où l'espace et le temps d'un tournage lui inspirent de superbes méditations sur l'espace et le temps d'une vie.

A lire « Les Morts à leur place », de Gregor von Rezzori, traduit de l'allemand par Jacques Lajarrige éd. Le Serpent à plumes, 295 p., 19 euros.

Source : http://www.sudouest.com/accueil/loisirs-culture/livres/article/733586/mil/5204418.html

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Carla Bruni vient de répondre à la lettre élogieuse de... Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

Carla Bruni
Comme nous vous l'annoncions, Brigitte Bardot, qui vient de célébrer ses 75 ans, a écrit une lettre ouverte à Carla Bruni à la fin du mois de juillet dernier.

Dans ses écrits, elle félicitait la First lady d'avoir toujours refusé de porter de la fourrure et lui demandait également de convaincre son époux, le président Nicolas Sarkozy, d'interdir les corridas en France.

Aujourd'hui, la Première dame - que nous avons récemment adorée en gravure de mode tout droit sortie d'un manga - a répondu par lettre à la star du cinéma, qui milite activement pour la protection animale.

L'ex-mannequin devenue épouse du chef de l'Etat a confié qu'elle serait ravie que l'on prenne exemple sur elle quant à sa position sur la fourrure.

Elle a déclaré : "Je n'ai dit que la vérité en indiquant que je ne porte pas de fourrure. J'aurais pu ajouter que ce n'est pas un hasard, mais un choix de ma part (...) Je n'ai pas le tempérament d'une femme politique. Mon comportement parle pour moi. Si je suis imitée, j'en serais heureuse."

Elle a ajouté : "Chacun mène sa vie et ses combats à sa propre manière, pourvu que ce soit honnête", tout en soulignant l'admiration qu'elle a pour Brigitte Bardot concernant son combat pour la cause animale, connu de tous depuis des années et dans lequel elle aimerait embarquer Laure Manaudou (enceinte).

Pour ceux qui souhaiteraient se mobiliser, une marche unitaire contre la fourrure se tiendra à Paris le 24 octobre prochain, en présence de nombreuses associations, dont la Fondation Bardot, la PeTA et la Ligue Française des Droits de l'Animal. Le départ sera donné à 14h30, place de l'Opéra.

Source : http://www.purepeople.com/article/carla-bruni-vient-de-repondre-a-la-lettre-elogieuse-de-brigitte-bardot_a41656/1

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