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Une histoire vraie !

Publié le par Ricard Bruno

Joël est employé de banque, son bureau est situé au premier étage d’un immeuble du centre ville d’une agglomération située près d’un plan d’eau. Il y a quelques semaines, il aperçoit une cane colvert qui fait son nid sur le bord de la fenêtre de son bureau, à plus de 3 mètres au-dessus du trottoir. La cane a pondu 10 œufs dans la jardinière,  cette dernière lui sert de nid pour couver ses œufs pendant quelques semaines. Un jour, les 10 œufs font place à 10 canetons!...                   

Joël se demande alors comment la cane va se débrouiller pour amener ses petits à l'eau dans cet environnement urbain, car ceci se produit généralement pendant les premières 48 heures qui suivent l’éclosion. Le lendemain,  en arrivant au bureau, Joël remarque la cane qui est sur le bord de la fenêtre et qui encourage ses canetons à la rejoindre. Elle s'envole jusqu'au trottoir,  puis elle cancanne afin d'encourager ses petits à faire le saut.         

Joël ne peut imaginer ces petites créatures plongeant dans le vide !.. Et pourtant le premier caneton saute et tombe sur le trottoir de ciment. Joël sort alors du bureau et se place directement sous la fenêtre, observant le petit qui se remet d'une chute qui aurait pu lui être fatale.         

Joël regarde vers le haut car le 2ème caneton se prépare à sauter à son tour ; il se cache sous le porche pendant que la cane continue à appeler ses petits. Quand le caneton saute, Joël sort de son abri juste à temps pour l'attraper au vol. Il le dépose à côté de la cane et du premier encore un peu ''groggy".       

1 par 1 les canetons continuent de sauter et Joël les ratrappe les uns après les autres. Les passants s'arrettent sur le trottoir et  les regardent sauter jusqu'au dernier. La famille se retrouve de  nouveau réunie, au grand plaisir de la maman.         

Joël réalise alors que la petite famille n'a pas encore terminé son périple.  Il lui faut encore traverser 2 pâtés de maisons, quelques rues et ruelles et la foule du centre ville, avant d'arriver au premier plan d'eau.         

Les secrétaires qui observaient la scène depuis l'étage descendent rejoindre Joël et lui apportent une boîte en carton pour y placer les 10canetons sous l'œil vigilant de la cane. IL tient la boîte assez bas pour que la cane puissent voir ses petits. Il se dirige lentement vers la rivière à travers les rues du centre-ville, la mère le suivant à courte distance.        

Arrivés près de l’eau, la cane dépasse Joël pour s'y baigner et se met à cancanner de nouveau. Les employés penchent alors la boîte en la posant sur le sol afin d'aider les canetons à sortir pour rejoindre leur mère dans l'eau. Les 10 petits nagent maintenant en formation serrée autour de leur maman.            

Joël raconte que la cane a fait quelques cercles devant eux en cancannant comme pour les remercier de leur aide précieuse.

Source et photographies : Cliquez ici

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Brigitte Bardot dans Paris Match...

Publié le par Ricard Bruno

BB dans le Paris-Match de cette semaine...

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Brigitte Bardot : La fondation intervient dans l'Orne 40 chevaux...

Publié le par Ricard Bruno

 

Plus d’une quarantaine de chevaux a été sauvée de justesse mercredi. Maltraités, les animaux ont été recueillis par l’association "30 millions d’Amis" et la fondation Brigitte Bardot.

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Les regarder fouler la terre de leurs sabots fait froid dans le dos. Privés de nourriture et même d’abreuvement, 45 chevaux ont été retrouvés dans un état de santé déplorable. Leurs côtes et leurs colonnes vertébrale sont particulièrement visibles, signe d’une faiblesse extrême. Des bénévoles de l’association "30 millions d’Amis" et de la fondation Brigitte Bardot ont évacué les animaux maltraités en urgence mercredi à Mardilly, dans l’Orne.

Le propriétaire devra répondre de ses actes devant le tribunal

Les autorités sanitaires avaient déjà été saisies il y a près d’un an sur les conditions de vie de cette quarantaine d’équidés. Le propriétaire avait alors reçu plusieurs mises en demeure. Il n’en a cependant pas tenu compte et l’état des chevaux s’est dégradé. L'homme est convoqué ce vendredi devant le tribunal d’Argentan. Deux plaintes ont été déposées contre lui. L’une pour "abandon", l’autre pour "privation de nourriture ou d’abreuvement" et "absence de registre d’élevage". Il risque jusqu'à deux ans de prison et 30.000 euros d'amende.

Source : Cliquez ici

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URGENT ADOPTION...

Publié le par Ricard Bruno

URGENT

Chien Bouvier Bernois à adopter ! Avant le samedi 30 mars 2013 !

Nom : Axion il est né le 22 02 2005, il est tricolore

Pucé : N°2EJT 552

Vaccination à jour, mais rappel à faire le 09 05 2013.

Passeport Européen FRSN 01483475

Contact Mr Leblanc Bruno : 09 53 77 23 89 (il habite à Boulogne Billancourt)

Mr Leblanc est obligé de se séparer de son chien, de son compagnon pour des raisons de santé, il souhaite que son fidèle compagnon retrouve un maitre et qu’il retrouve la joie de vivre.

Merci à tous pour votre mobilisation

Bruno Ricard  

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ROMU / PORTRAITS DE BRIGITTE BARDOT, LENNY KRAVITZ ET LA PRINCESSE

Publié le par Ricard Bruno

 

Merci à Fabienne G...

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Brigitte Bardot de nouveau aux enchères...

Publié le par Ricard Bruno

3 lots seront proposés aux enchères publiques

le dimanche 31 mars 2013 à Cannes

 

n°188 : Alexandre BARTHET, né en 1962 & GRACER, né en 1956 BRIGITTE BARDOT

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Alexandre BARTHET, né en 1962 & GRACER, né en 1956 BRIGITTE BARDOT Diasec signé et numéroté 2/3 99,5 x 99,5

Estimation : 1500/2000 euros

 

n°234 : Francis APESTEGUY, né en 1952 BRIGITTE BARDOT A LA MADRAGUE Tirage

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Francis APESTEGUY, né en 1952 BRIGITTE BARDOT A LA MADRAGUE Tirage signé et numéroté 10/30 sous l'image 34,2 x 51,6

 

Estimation : 500/600 euros

 

n°115 : Jean BARTHET 1920-2000 BRIGITTE BARDOT Tirage signé à l'encre noire

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ean BARTHET 1920-2000 BRIGITTE BARDOT Tirage signé à l'encre noire sur l'image, au dos mention "Exposition Galerie Miromesnil, Paris Décembre 1998", épreuve d'artiste tampon photo Jean Barthet Estate Jean Barthet 127 x 118

 

Estimation : 2000/3000 euros

...

LIEU DE VENTE

Hôtel Martinez

73 Boulevard de la Croisette

06400 Cannes

RETROUVEZ L'ITINÉRAIRE SUR GOOGLE MAPS

BESCH CANNES AUCTION

 

Contact :

Tél. : 04 93 99 22 60

Fax : 04 93 99 30 03

besch@cannesauction.com

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Brigitte Bardot dans le journal "The Telegraph"...

Publié le par Ricard Bruno

How Brigitte Bardot got under our skin

A new film season and a new book explore the appeal of the upper-middle-class French girl Brigitte Bardot who 'couldn’t act’. Jane Shilling reports.

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French bred: Bardot’s sex-kitten grace was combined with a bourgeois sense of entitlement 

 

"I started out as a lousy actress,” Brigitte Bardot once remarked, “and I have remained one.” There is an opportunity to judge whether Bardot’s brutal self-assessment was fair as a season of her films begins at Ciné Lumière. “And Bardot Became BB” features half a dozen films from the 50 or so that Bardot made in her two-decade career.

Bardot retired from acting in 1973 when she was 39. Since then she has devoted herself to animal rights activism, emerging periodically from semi-retirement to utter controversial obiter dicta which have led to several prosecutions for inciting racial hatred.

Almost worse – by the standards of celebrity, rather than conventional morality — her attitude to her beauty in old age is as insouciant as it was when she was young. Instead of following the approved path for an ageing star of trying to preserve her looks with Botox and surgery, Bardot looks like the 78-year-old she is: a disturbing reminder that even the most glorious sex kitten must eventually wither and fade.

Yet the image of her in her prime remains impregnable. The initials BB are still redolent of a luscious eroticism, and her style of sexy simplicity — the loose blonde hair, ballet flats and gingham frocks that seemed so outrageous in the Fifties, when the regulation uniform for film stars involved mink coats, a permanent wave and diamonds – is perennially modern, still imitated by celebrities, such as Kate Moss and Vanessa Paradis, young enough to be Bardot’s granddaughters.

Ginette Vincendeau, professor of film studies at King’s College London, whose book on Bardot has just been published, argues that the durability of BB’s allure makes her a more interesting cultural phenomenon than better actresses such as Catherine Deneuve or Jeanne Moreau.

Bardot was born in 1934, the daughter of Louis Bardot, a wealthy industrialist, and his wife Anne-Marie. Brigitte and her younger sister, Marie-Jeanne had a conventional upper-middle-class upbringing in the affluent Paris suburb of Passy.

Brigitte studied ballet at the Paris Conservatoire and her mother encouraged her to pursue a modelling career. In 1949, aged 15, she appeared on the cover of Elle magazine. The film director Marc Allégret spotted her and dispatched his assistant, the journalist and photographer Roger Vadim, to invite her to audition for a role. She didn’t get the part, but Vadim noticed a quality far more potent than mere acting ability, and set about developing it.

Bardot remarked that the secret of her success was lucky timing, and the beginning of her career caught the swell of two waves of social change — the rise of mass media in France, and the emergence of a feminist critique of the conventional roles of women.

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Brigitte Bardot

In 1949, the year of Bardot’s first cover shoot, Simone de Beauvoir (who would later anatomise the Bardot phenomenon in her 1960 essay, Brigitte Bardot and the Lolita Syndrome) published The Second Sex, and the weekly photojournal Paris Match was launched.

Vadim saw to it that Brigitte, still an obscure starlet, appeared twice on the magazine’s cover, in 1951 and 1952, when she was billed as “the new Leslie Caron”. At the end of 1952 the magazine devoted two pages to her wedding to Vadim, under the headline “Brigitte Found Her Husband At Paris Match”.

Already she was becoming famous for being famous, her image adroitly positioned by Vadim, who took her to Cannes and contrived “spontaneous” photo-ops in which Bardot, barefoot with messy hair as though she’d just fallen out of bed, or dressed for the beach in a bikini, made a startling contrast to established stars.

By the time Vadim directed her in And God Created Woman (1956), the film that turned her into a global sensation, Bardot was already the focus of an explosive mixture of fascination and loathing.

Her acting skills had the critics straining for hostile superlatives: “Even when she says “hello” she manages to sound false,” moaned the satirical weekly, Le Canard Enchaîné, while Claude Mauriac (son of the ultra-Catholic novelist, François) attacked Vadim for “complacently exposing the body of his wife”, and Bardot for her “rampant narcissism”.

Not everyone minded so much about the exposing of the body: “Thank God there is Brigitte Bardot, the profile of a Renoir model, the walk of a dancer, an admirable mane,” wrote Jacques Doniol-Valcroze in France Observateur, concluding: “You cannot imagine a more charming and gracious young animal.” The essence of Bardot, however — and the secret, perhaps, of her allure — was that her sex-kitten grace was combined with a bourgeois sense of confidence and entitlement.

Unlike those other heroines of French culture, Edith Piaf and Coco Chanel (who, oddly for the designer who pioneered uncorseted fashion, loathed Bardot’s “make-shift” style), Bardot hadn’t clawed her way up from the streets.

Her provocatively “masculine” attitude towards her own sexuality, and her high-handed approach to her career, was at once subversive, and rooted in the sense of security that comes from a privileged background.

It was a combination that simultaneously attracted and repelled.

Intellectuals such as de Beauvoir and the novelists Marguerite Duras and Françoise Sagan, were fascinated by Bardot’s transgressive candour, while mass audiences couldn’t help being riveted by her extraordinary child-woman sexiness.

When she became the first celebrity model for Marianne, the emblem of the French republic, a provincial mayor refused to marry people beneath her bare-breasted image on the grounds that he couldn’t advocate fidelity under Brigitte Bardot’s gaze.

The highlights of Bardot’s film career are modest by comparison with her celebrity, but Prof Vincendeau argues that her best work — including Marc Allégret’s early comedy, En Effeuillant la Marguerite (1956), and her films with new-wave directors such as Louis Malle (Vie Privée, 1962) and Jean-Luc Godard (Le Mépris, 1963), are eloquent commentaries on celebrity.

The only sadness for British film fans is that Bardot’s magnificent contribution to British filmography, her first English-speaking film, Doctor at Sea (1955) in which she co-starred with Dirk Bogarde as Dr Sparrow, is unaccountably missing from Ciné Lumière’s season.

'And Bardot Became BB’ is at Ciné Lumière until March 21 (020 7871 3515)

'Brigitte Bardot’ by Ginette Vincendeau is published by Palgrave Macmillan, £12.99

Source : Cliquez ici

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Pensez à écouter France Inter dimanche 24 mars de 15 h à 16 h.

Publié le par Ricard Bruno

 

Un colloque qui fait réfléchir !

Il s'agit de l'émission "Vivre avec les bêtes" d'Elisabeth de Fontenay et d'Allain Bougrain-Dubourg (membre du Comité d'honneur de la FLAC).

Le Professeur Hubert Montagner -sur la photo en veste verte-, membre du Comité d'honneur de la FLAC, en est l'invité. Il commentera la Conférence/débat organisée par "Stop Violence France" qui s'est tenue le 15 mars dernier à Aix-en-Provence. Hubert Montagner en était l'un des intervenants. Voir lien ci-dessous.

http://www.flac-anticorrida.org/un-colloque-qui-fait-reflechir/

Lors de l'émission de France Inter, l'ancien Directeur de recherche de l'INSERM évoquera, entre autres, le scandale des enfants confrontés à la corridaCe qui est exceptionnel !

Brigitte Gothière
, cofondatrice de l'association L 214 -association membre de la FLAC- également invitée, évoquera l'aspect fondamental qui touche auxdroits des animaux.

http://www.franceinter.fr/emission-vivre-avec-les-betes-vivre-avec-les-betes-43



En cette période où les scandales se succèdent à propos de l'alimentation carnée, Néoplanète, à travers la FLAC, relance le scandale de la consommation de viande de taureau de corrida. Voir lien ci-dessous

http://www.neo-planete.com/2013/03/19/viande-de-taureaux-de-corrida-et-banque-alimentaire-un-debat-qui-fait-rage/

Bravo Néoplanète !

Amitiés et à très bientôt dans la lutte.

Thierry Hély
Pour le bureau de la FLAC
www.flac-anticorrida.org

 

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Les propositions destinées à préserver trois espèces de raies d'eau douce sont rejetées à la Cites.

Publié le par Ricard Bruno

CITES, 12 mars 2013

Les propositions destinées à préserver trois espèces de raies d'eau douce sont rejetées à la Cites.

Raies d'eau douce

  • La Colombie propose d'inscrire la raie paratrygon aiereba à l'annexe 2 (proposition 47).

Cet animal a une faible reproduction (2 petits tous les 2 ans).
La Colombie a exporté plus de 500.000 raies d'eau douce depuis 1995, elle en est le premier exportateur . Ces animaux sont condidérés comme des poissons ornementaux pour les aquariums.
Leur commerce international est non réglementé. La Colombie demande leur classement à l'annexe 2 pour doter son gouvernement de l'autorité nécessaire pour réglementer les exportations.
La majorité des pays soutiennent cette proposition, exceptée l'Union Européenne qui propose un classement a l'annexe 3.
La Présidente demande à l'Union Européenne si elle désire bloquer un éventuel consensus, La réponse est OUI.
Un vote est réalisé : OUI = 50%; NON = 50%, abstention = 19 pays.
La proposition n'obtient pas la majorité des 2/3 , elle n'est donc pas adoptée à cause de l'Union Européenne.

  • La Colombie et l'Equateur proposent d'inscrire à l'annexe 2 la raie à aiguillon commune et le pastenague de Schroder (proposition 48).

Ce sont des poissons ornementaux d'eau douce très recherchés pour les aquariums. Ils atteignent des prix allant de 250 à 780 dollars US.
La Colombie demande leur inscription a l'annexe 2 pour contrôler le commerce international.
L'Équateur s'inquiète de la vulnérabilité de ces poissons dont l'habitat est dégradé par la pollution (exploitation minière) et leur surexploitation pour le commerce d'animaux vivants.
Ces 2 espèces ont une fécondité faible, des périodes de gestation longues et une croissance lente.
La Colombie a exporté plus de 500.000 raies depuis 1995, le Brésil plus de 36.000 entre 2003 et 2005.
De nombreux sites internet internationaux proposent cette espèce a la vente. Les principaux importateurs sont, entres autres l'Allemagne, les USA, le Japon, la Malaisie, la Chine.
Sans inscription à l'annexe 2, le commerce illégal signalé peut continuer et menacer la survie des populations sauvages.
L'Union Européenne s'oppose à cette proposition et demande une inscription à l'annexe 3.
Un vote est mis en place : soutiennent cette proposition : 51,40% des suffrages , ne soutiennent pas : 48,60 %, abstention de 24 pays.
La majorité des 2/3 n'est pas obtenue la proposition est rejetée.

Source : Cliquez ici

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