Journée pour la cause animale le 18 mai à Lille
***ATTENTION *** les horaires ont changé (début à 10h30 au lieu de 11h30)
***ATTENTION *** les horaires ont changé (début à 10h30 au lieu de 11h30)
Pétition à signer contre le massacre
des kangourous pour le cuir des chaussures ADIDAS !! Merci !!
Environ 3.9 millions de kangourous
adultes (y compris des femelles gestantes dont les foetus sont assassinés) sont tués chaque année pour leur cuir. L'utilisation principale de ce cuir est vouée à la fabrication des chaussures de sport
des marques ADIDAS, NIKE, PUMA, UMBRO etc.
Mais le plus grand fabricant de chaussures utilisant le cuir de kangourous est de loin la marque ADIDAS !
Le gouvernement australien profitant de l’intérêt économique de l’exportation de cuir de kangourous ne protège plus ses trésors naturels. Au contraire, il justifie
ce massacre par la soit disante régulation de ses populations sauvages, malgré des études scientifiques démontrant que très bientôt, si le massacre continue, presque 90% des champs de blé
australiens ne verront jamais le saut d’un marsupial !
Merci de signer la pétition contre ce massacre !
Pétition
Merci d’éviter au maximum de porter du cuir à l’origine de grands massacres animaux ! Les apparences et les marques ne font pas une âme.
Merci à tous !
La Fondation Brigitte Bardot soutient l'initiative du CRAC Europe : Tous à Alès du samedi 11 mai à 14h jusqu’au dimanche 12 mai 20h !
Une manifestation unitaire sans précédent aura lieu lors de la feria d’Alès les 11 et 12 mai prochain. L’objectif : être plus de 5 000 manifestants dans une ville organisatrice de corridas, en pleine feria, et manifester trois fois en deux jours, pendant les corridas. Une action sans précédent pour dire non à la dictature tauromachique.
Pour en finir avec la torture tauromachique : l’endroit où il faut être en 2013, c'est Alès !
Trois manifestations pendant chaque corrida avec un cortège qui traversera la ville pour aller aux arènes. Les trois rendez-vous sont au parc du Bosquet , à côté de la mairie d’Alès. Le samedi 11 mai de 14h00 à 19h00; le dimanche 12 mai de 9h00 à 12h00 et de 15h00 à 19h30.
Visitez le site internet et rejoignez le forum de discussion ouverts pour cette occasion ! Toutes les réponses à vos questions s’y trouvent.
Grande manifestation anti-corrida les 11 et 12 mai à Alès (Gard)
ALIMENTATION - Une nouvelle fraude alimentaire frappe l'industrie agro-alimentaire chinoise...
Mélanger du mouton ou du bœuf avec du rat ou du renard, une recette qui n’a rien de traditionnel en Chine. Le ministère de la sécurité publique chinois a publié ce jeudi sur son site Internet une alerte informant la population que la police avait arrêté des trafiquants qui achetaient de la viande de rat, de renard ou de vison pour la revendre comme du mouton ou du bœuf. Au total, 63 suspects ont été arrêtés dans la région de Shanghai.
La viande, conservée dans de la gélatine et des pigments rouges, leur aurait permis de gagner plus de 1,2 million d’euros, rapporte le New York Times. Ces arrestations ont été faites dans le cadre d’une grande opération lancée par le gouvernement chinois contre les fraudes alimentaires, qui sont de plus en plus fréquentes dans le pays. Cette opération aurait permis, selon le site du ministère, de découvrir «382 cas de viande coupée avec de l'eau, de faux mouton ou bœuf, de viande avariée et de produits contenant de la viande toxique et dangereuse». Le ministère affirme également que «904 suspects ont été arrêtés» et «plus de 20.000 tonnes de produits carnés frauduleux ou de qualité inférieure» auraient été saisis.
Source : Cliquez ici
Stephane Pednò à beaucoup de talent pour celles et ceux qui ne le connaisse pas, regardez ces oeuvres sur Brigitte Bardot...c'est magnifique...
LA JOURNALISTE QUI A ECRIT CET ARTICLE (ci dessous), EST TOTALEMENT INSENSIBLE A L’HORRIBLE SOUFFRANCE ANIMALE. PAS UN MOT ! CE N’EST PAS CROYABLE !
POUR MA PART J’EN AI RIEN À FOUTRE DU ‘’PAUVRE BOURREAU‘’ ET DE SON ‘’POIGNET ‘’. CE N’EST QU’UN ASSASSIN A LA CHAÎNE....C’EST À VOMIR
Bruno Ricard
Article du "point" :
"Le premier jour, c'est un choc. C'est la cadence de tuerie qui fait que c'est violent. C'est pan, pan pan, ça s'arrête pas, c'est une bête qui meurt toutes les minutes", raconte Serge dans le film de Manuela Frésil "Entrée du personnel", tourné dans des grands abattoirs industriels de la côte ouest de la France.
Le film (en salle mercredi) a été réalisé à partir des récits de vie des salariés. En voix off, ils racontent l'intensification des tâches : trancher la viande, découper, désosser, ficeler, mettre en barquette ou étiqueter. Ils racontent la mort des bêtes et aussi la déshumanisation des usines.
Ce qui frappe d'abord le spectateur, qui suit les ouvriers du petit matin à la sortie d'usine, c'est le bruit, le son métallique des machines qui s'entrechoquent. Puis, les corps en action avec les mouvements rapides, saccadés des ouvriers de la chaîne qui se répètent à l'infini, des centaines de fois par heures.
Un travail qui fait souffrir. "Une fois qu'on a appris les gestes, on est comme des machines", assure une ouvrière, revêtue comme les autres d'une tenue blanche des pieds à la tête, de gants et d'un casque contre le bruit. Mais, ces machines se détraquent, "un poignet qui lâche, trois semaines d'arrêt maladie avec des infiltrations à faire". Au retour à l'usine, on refuse de la changer de poste, "un mois après, c'est l'autre poignet qui lâche".
Les cadences s'accélèrent avec l'arrivée récente de nouvelles machines. "Gagner des secondes, produire encore plus pour les rentabiliser et casser les prix", déplore un ouvrier qui assure qu'"à chaque fois, ça a durci le travail des gens".
Des cadences, ils disent: "la matière première qui baisse, les coûts d'emballage qui augmentent, sur quoi peut-on gagner ? On est arrivé à des cadences, où je ne vois pas comment on peut aller plus loin".
"On tient quand même, jusqu'au jour où l'on ne tient plus. Alors l'usine vous licencie. À moins qu'entre temps on ne soit passé chef, et que l'on impose maintenant aux autres ce que l'on ne supportait plus soi-même", ironise un ouvrier.
La chaîne marque de façon indélébile les salariés qui parlent aussi de leur souffrance morale. "Ça fait deux ans que j'ai quitté l'abattoir, je fais toujours des cauchemars. Il n'y a pas de nuit où je ne tue pas une vache", confie un retraité.
Le documentaire a remporté le Grand Prix de la Compétition Française au Festival international de cinéma de Marseille (2011) et le prix spécial du public au festival "Filmer le travail" à Poitiers (2012).
Source : Cliquez ici