Manifestation anti corrida à Mimizan !
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Lorsque Jonathan Palmer a photographié les funérailles d’un policier, il ne s’attendait pas à ce que l’une de ses photos fasse le tour du web. Et pour cause : cette image montre le chien du policier décédé en train se « jeter » sur le cercueil de son maître avec émotion.
Pour Jonathan Palmer, un photojournaliste, c’était une journée de travail comme les autres. Ce jour-là, il devait capturer les images des funérailles de Jason Ellis, un policier du Kentucky (Etats-Unis) de 33 ans abattu le 25 mai dernier, après une embuscade qui avait mal tourné. « Dans le monde de la presse, vous couvrez la meilleure partie de la vie et la pire partie de la vie » avait déclaré ce professionnel en toute objectivité.
Ayant décidé, par respect, de ne pas photographier la famille de Jason Ellis en deuil, Jonathan Palmer s’est éloigné du cimetière afin de capturer d’autres instants du service funéraire. C’est alors qu’il a vu une cinquantaine de chiens alignés le long du chemin que le cercueil allait traverser pour se rendre à sa dernière demeure. « J’avais les larmes aux yeux. Je ne pouvais pas voir clair à ce moment-là » a confié le photojournaliste envahi par la compassion .
Jonathan Palmer a donc photographié ce cortège canin ainsi que des officiers se penchant sur le cercueil pour l’embrasser. Mais parmi toutes ces images, une seule se démarque des autres :
celle deFigo, le Berger allemand du défunt qui, s’étant
jusque-là tenu à l’écart de ses congénères, s’est précipité sur le cercueil comme s’il avait senti que son maître était à l’intérieur.
« On aurait dit que le chien était au courant de ce qui se passait » se souvient Jonathan Palmer. « Ses manières, sa posture… Il est allé vers le cercueil et a posé
ses pattes avant dessus. C’était comme s’il l’inspectait. » Ou comme s'il souhaitait adresser un dernier au revoir à son partenaire.
Malgré la présence d’un poteau devant lui, Jonathan Palmer a réussi à faire de cette photo une image emblématique. Pour lui, la force de l’instant compensait le défit technique.
Et alors que la plupart des gens voient en cette photo l’image d’un chien grattant un cercueil sachant que son maître est dedans, Jonathan Palmer, lui, pense que cette image résonne en nous pour une raison instinctive bien différente. Selon lui, le fait de voir la photo d’un chien dans un espace ordinairement réservé à la douleur humaine nous aide à affronter la peur universelle de la mort.
« Il y a quelque chose entre les animaux et les humains qu’on ne peut pas expliquer. Peut-être que le fait de voir un chien rappelle tout l’amour et toute l’attention que vous portez à vos proches, et que cela se manifeste dans un moment de tendresse avec un chien » soumet Jonathan Palmer.
Avec une popularité croissante, la photo de Jonathan Palmer peut rapporter gros. Tous les organes de presse qui voudront l’utiliser lui verseront en effet des frais de licence. Le photographe, lui, souhaite reverser ses gains – estimés à 1 000 dollars - à des associations caritatives locales de protection animale.
Enfin, il espère que sa photo aidera la famille Ellis à faire son deuil, et plus généralement, qu’elle permettra à d’autres personnes de faciliter la traversée de leurs tragédies.
Figo, lui, est désormais un chien de police à la retraite. Il continuera à vivre auprès de la veuve de Jason Ellis, entouré de sa famille et d'autres chiens.
Les émouvantes obsèques de Jason Ellis
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Saint-Étienne. Âgé de 20 ans, récidiviste, le tortionnaire vient d’être une nouvelle fois hospitalisé d’office en psychiatrie. Son jeune chien, de race akita inu, est actuellement soigné dans une clinique vétérinaire à Villars.
Hayko est un jeune chien de race akita inu. Comment est-il arrivé chez son futur tortionnaire, à Saint-Étienne ? Nul ne le sait encore.
Toujours est-il que lundi après-midi, les services de police ont été alertés par des riverains de la rue Borie, pour les hurlements de douleur d’un chien et des traces de sang retrouvées dans les escaliers de l’immeuble.
Un jeune homme de 20 ans a ouvert la porte de son appartement sans résistance et les policiers ont découvert le chien, grièvement blessé aux pattes, à l’arrière-train et à l’œil. Dans la salle de bains, un rasoir, une paire de ciseaux et un couteau portant des traces de sang, ont été saisis.
Le maître, placé en garde à vue, a ensuite été hospitalisé d’office en psychiatrie.
Quant à Hayko, il a été transporté par les pompiers dans une clinique à Villars. Si ses jours ne sont pas en danger, il pourrait être énucléé avant d’être recueilli dans le refuge de la fondation Brigitte Bardot, en Normandie.
Une plainte a d’ailleurs été déposée, au nom de la fondation, par Christine Crépinge, enquêtrice pour les départements de la Loire et la Haute-Loire, pour actes de cruauté.
Le pire, c’est que le jeune maître tortionnaire, est récidiviste.
Le 27 mars dernier, sa compagne avait prévenu les services de police. C’est elle qui avait reçu les policiers, un bébé dans les bras. Dans le salon, gisait un jeune coupé labrador, sur un canapé, sous un sac-poubelle. Assommé avec une clé à pipe, le pauvre animal avait été égorgé avec un couteau. À l’issue de sa garde à vue, là encore, le jeune homme avait été hospitalisé d’office. Mais comment a-t-il pu se retrouver à nouveau en possession d’un animal, quelques mois après ces précédents faits ?
D’autant plus que le voisinage, qui a d’ailleurs alerté lundi les services de police et la fondation Brigitte Bardot, évoque des sévices habituels de la part de ce jeune maître.
Une enquête permettra sans doute aussi de découvrir comment Hayko, chien de pure race, né le 6 avril 2012 dans l’Ondaine et acquis pour 1 000 euros par une jeune femme de Saône-et-Loire a pu atterrir chez son tortionnaire, à Saint-Étienne.
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Le chien qui avait mordu au visage un petit garçon dans un camping de Ramatuelle dans le Var vient d'être placé dans un refuge de Saint-Laurent-du-Var, près de Nice.
"Jules", un golden retriever, devrait ainsi échapper à l'euthanasie, comme l'avait notamment réclamé Brigitte Bardot.
Le président de la Société de défense des animaux Patrick Villardry, pompier professionnel et éducateur canin reconnu, a obtenu du propriétaire de l'animal le droit de le prendre en charge. L'animal sera castré puis éduqué.
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Pas de doute, les consommateurs adorent la viande. L'Europe en produit plus de 45 millions de tonnes par an et la consommation mondiale a été multipliée par cinq en cinquante ans. Le steak est symbole de force, de gastronomie, de nature. En France, il n'est pas de bonne table sans pièce de boeuf. Et, de part et d'autre du Rhin, les publicités font rimer vaches et pâturages. Mais si tout cela n'était que tromperie ? C'est ce que montre le documentaire de Jutta Pinzler, qui décrit l'envers du décor, voix off de Nathalie Baye à l'appui.
Premier mensonge : le plein air. En réalité, les 70 kilos de viande qu'un Français mange chaque année sont issus pour une grande part d'élevages industriels, dans lesquels les animaux ne voient quasiment pas le jour. Exemple : ces 38 000 poulets d'une exploitation allemande, gavés d'antibiotiques dès la naissance. Par pure prévention. Avec pour conséquence l'apparition de germes résistants, qui seraient responsables de plus de 15 000 morts par an.
Deuxième mensonge : la viande est bonne pour la santé. Alors même qu'on la sait responsable de surpoids, de maladies cardiovasculaires, de cancers. En Chine, ces maladies ont connu une forte augmentation depuis que la viande rouge s'est imposée à table. "Dans les vingt prochaines années, 21 millions de Chinois seront atteints de maladies cardiovasculaires, prévient un médecin. Elles pourraient être fatales pour un tiers d'entre eux."
Troisième mensonge : le bien-être des animaux. Il suffit de visiter, au Danemark, une ferme d'engraissement de Danish Crown, deuxième producteur de porcs au monde. Des cochons serrés sous les néons, des truies en cage huit mois par an, dopées aux hormones...
Le quatrième mensonge, enfin, concerne les populations rurales latino-américainesconfrontées à l'explosion des cultures de fourrage à destination des exploitations européennes. Et aux pesticides, responsables de maladies et de malformations. Pourquoi ces situations dramatiques ?"C'est le marché qui décide", tranche Roger Waite au sein de la Commission européenne. Des propos qui sonnent comme des insultes à la dignité humaine.
Morgane Bertrand
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Thomas Menant, l'un des candidats de l'émission de M6
"l'Amour est dans le Pré", est poursuivi
pour "sévices graves et acte de cruauté envers un animal
domestique apprivoisé ou captif"
Réagissez dans le forum de M6 :
Conatctez M6 ICI (de façon courtoise) pour leur dire votre
Page officielle de l'émission c'est ICI
Page Fans du candidat c'est ICI
Mon avis
Dans cet article on n’y apprend absolument rien, madame Lelièvre a été sollicité pour cet article, rappelons tout de même que cette dernière a publiée un livre biographique sur Brigitte Bardot sans aucune autorisation, il n’y a qu’un seul livre de référence biographique sur BB...c’est simple le livre que Brigitte Bardot a écrit elle-même « Initiales BB »...
Bruno Ricard
ATTENTION LES IMAGES SONT CHOQUANTES!
Des braconniers massacrent 89 éléphants au Tchad, dont plus de 30 femelles pleines
Christina M. Russo
Traduit par Florence Calvez
July, 24, 2013
Une scène de terreur : les corps de 89 éléphants ont été
trouvés au Tchad après un massacre par des braconniers. Photos reproduites avec l’aimable autorisation de SOS Eléphants au Tchad.
Au cours de ce qui est le pire massacre d’éléphants en
Afrique cette année, des braconniers ont récemment tué 89 éléphants jusqu’à 89 éléphants au Tchad. Stéphanie Verginault, Présidente de SOS Eléphants au Tchad, a déclaré que les éléphants ont été
massacrés sur une période de deux jours à la fin de la semaine dernière près de Tikem, à la frontière sud ouest entre le Tchad et le Cameroun. Au moins 30 des éléphantes étaient pleines. Des
images d’un programme télévisé d’information montrent ce qui a l’air d’être une éléphante encore reliée à son cordon ombilical à terre. En dehors de cela 12 petits ont aussi été
massacrés.
Mme Vergniault a été informée du massacre par son équipe base
au Tchad ainsi que par des fonctionnaires gouvernementaux. Les braconniers, que l’on soupçonne soudanais ou tchadiens, étaient lourdement armés et se déplaçaient à cheval. Mme Vergniault dit que
jusqu’à 50 braconniers étaient impliqués dans le massacre. Un grand nombre de braconniers ont été repérés au Tchad en janvier ; Le ministre de l’Environnement du Tchad, selon certaines sources, a
été informé de leur présence à ce moment-là. Mme Vergniault déclare que les braconniers se dirigent à présent vers une zone plus proche de la frontière avec le Cameroun où, dit-elle, plus de 800
éléphants sont toujours sans protection.
Céline Sissler-Bienvenu, Directrice France et Afrique
francophone pour le Fonds international pour la protection des animaux (International Fund for Animal Welfare, IFAW) dit que les communautés locales ont déjà demandé de l’aide aux autorités
tchadiennes pour résoudre le conflit local portent sur les éléphants. Cependant, aucune aide n’a été apportée “ce qui explique peut-être pourquoi le massacre d’éléphants n’a pas été signalé
pendant plusieurs jours. L’abattage des éléphants par les braconniers a pu être vu comme une sorte de soulagement pour les fermiers locaux qui n’arrivent pas à protéger leurs cultures et leurs
moyens de subsistance qui sont régulièrement abimés par les troupeaux d’éléphants qui cherchent simplement de la nourriture. » Mme Sissler-Bienvenu dit que la zone où les éléphants ont été tués –
comme beaucoup de zones où les éléphants vagabondent au Tchad – n’était pas protégée.
Nicole Mollo, Directrice des Opérations des Parcs Africains
basée aux Etats-Unis, une ONG qui réhabilite et renforce des parcs nationaux en difficulté, dit que le massacre près de Tikem et, malheureusement « très typique de la tendance que nous observons
et que nous continuerons d’observer jusqu’à ce que tous les éléphants d’Afrique aient disparu – à moins que nos méthodes de protection ne changent. [En ce qui concerne les pratiques de
conservation actuelles], le statu quo ne fonctionne pas.»
On ne sait pas clairement où se trouvent les braconniers en
ce moment. Aucune arrestation n’a été signalée. Les autorités tchadiennes ont dénoncé le massacre, qui fait suite à un récent massacre d’éléphants au Cameroun, tuant 28
éléphants.
L’ivoire des éléphants sera probablement exporté illégalement
en Thaïlande ou en Chine, où il est utilise pour faire des bijoux, des figurines, et des souvenirs.
La Chine est l’un des huit pays actuellement placé sur une
liste de surveillance par la CITIES (Convention Internationale sur le Commerce d’Espèces en Voie d’Extinction), qui vient de terminer son sommet global. La CITIES a demandé à ces pays – dont la
Thaïlande, le Vietnam, les Philippines, la Malaisie, le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda – de soumettre des plans détaillant comment ils allaient arrêter l’actuel trafic d’ivoire. Des progrès
doivent être faits d’ici 2014.
D’autres pays, cependant, comme le Cameroun, la République
Démocratique du Congo (RDC) et le Tchad, n’ont pas été épinglés par la CITIES alors que c’est là que se produisent un grand nombre de braconnages en Afrique. Un certain nombre d’associations de
conservation ont trouvé la démarche de CITIES complètement inadéquate. Rosalind Reeve de la David Shepherd Wildlife Foundation dit que “son échec à combattre le moteur fondamental des abattages
devient une grave négligence internationale.
Une femelle morte avec son petit encore attaché à son cordon
ombilical. La Présidente de SOS Eléphants Tchad, Stéphanie Vergniault, a déclaré à mongabay.com que le petit était sans doute né pendant la fusillade uniquement pour périr.
Des fonctionnaires à côté du corps d’un éléphant massacré, un
parmi plusieurs dizaines. Photos reproduites avec l’aimable autorisation de SOS Eléphant au Tchad.
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