Brigitte Bardot Clothing Collection...sur TF1
Brigitte Bardot a séduit le monde par sa beauté et son style. Elle a fait chavirer le cœur des hommes et inspiré de nombreuses femmes. Elle laisse à la mode un énorme héritage.
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Brigitte Bardot a séduit le monde par sa beauté et son style. Elle a fait chavirer le cœur des hommes et inspiré de nombreuses femmes. Elle laisse à la mode un énorme héritage.
~~Dimanche 28 septembre 2014, Paris Première fête les 80 ans de Brigitte Bardot avec la diffusion dès 20h40 des films En cas de malheur et La vérité. Découvrez sans plus attendre la bande-annonce de cette soirée anniversaire. Il y a quatre-vingt ans, le 28 septembre 1934, naissait Brigitte Bardot. Au milieu des années 50, l'actrice devient B.B. après le succès du film Et Dieu... créa la femme réalisé par son premier mari, Roger Vadim. Pour fêter cet anniversaire, et parce que la star continue à déchaîner les passions quarante ans après l'arrêt de sa carrière, Paris Première lui rend hommage en diffusant deux long-métrages en noir et blanc qui ont marqué sa filmographie. Retrouvez En cas de malheur de Claude Autant-Lara (1958) à 20h40, puis La Vérité d'Henri-Georges Clouzot (1960) à 23h00 sur la chaîne de la TNT payante ce dimanche 28 septembre 2014. Le premier raconte l'histoire d'amour passionnée entre une petite voleuse (Brigitte Bardot) et son avocat (Jean Gabin), alors qu'on assiste dans le second au procès d'une jeune femme qui a abattu à coups de revolver son amant (Sami Frey). Après vous avoir proposé les bandes-annonces et les photos de ces deux films, découvrez celle concoctée spécialement par Paris Première, pour souhaiter à l'icône du cinéma français un très joyeux anniversaire...
~~ Le 28 septembre, Brigitte Bardot fêtera son 80ème anniversaire. Personnalité hors du commun, à la sensualité à fleur de peau, l'actrice continue de susciter la curiosité des français, malgré son retrait de la vie médiatique. Dès le début de sa carrière, sa popularité dépasse les frontières, au point que Bob Dylan lui dédiera, adolescent, sa première chanson. En 2010, elle est approchée par Hollywood et le réalisateur Kyle Newman qui souhaite lui consacrer un biopic sur grand écran. Brigitte Bardot s'y oppose, et estime qu'aucune actrice ne peut jouer son rôle : « Personne, y en a pas une qui peut le faire », déclare-t-elle à la presse. A l'aube de ses 80 ans, la star est à nouveau dans la lumière avec une succession d'hommages organisés dans toute la France. Petite sélection d'événements pour redécouvrir BB sous toutes ses formes. Expositions La comédienne fait encore figure d'icône à Saint-Tropez, comme en témoigne l'exposition « B.B. :Best Of Bardot » jusqu'au 26 octobre 2014 au Château de la Messardière. Des clichés rares y sont dévoilés, pris dans l'intimité de la star, et issus de la collection privée de Bruno Ricard, un des plus célèbres collectionneurs et admirateurs de Brigitte Bardot. Le temps de l’exposition, il mettra à disposition des visiteurs quelques unes des plus belles pièces de sa collection : affiches de films originales, disques vinyles, couvertures de magazines internationaux, objets à l’effigie de l’icône. La Galerie de l'Europe présentera également, du 30 septembre au 8 novembre, une exposition d'images inédites, réalisées entre 1967 et 1977, par son amie la photographe Sveeva Vigeveno. « B.B. :Best Of Bardot » au Château de la Messardière, à Saint-Tropez, jusqu'au 26 octobre. « Bardot Intime 1967/1977 » à la Galerie de l'Europe, 55 Rue de Seine, 75006 Paris, jusqu'au 8 novembre. Films Malgré une carrière cinématographique inégale, Brigitte Bardot a su entrer dans la légende. La filmothèque du Quartier Latin programme jusqu'au 14 octobre les longs métrages emblématiques de l'actrice, du « Mépris » de Jean-Luc Godard à « La Vérité » d'Henri-George Clouzot, en passant par le film qui la révélée, « Et Dieu créa la femme ». Cet anniversaire est aussi l'occasion de rédécouvrir le documentaire « Bardot, la méprise » de David Teboul, sorti en 2013. Absente du long métrage, la comédienne a donné au réalisateur un accès privilégié à ses archives familiales - une multitude de films tournés par son père - et l'a autorisé à filmer librement les lieux de sa vie, les maisons de La Madrague et de La Garrigue à Saint-Tropez.
INTERVIEW - Dimanche, c’est pile poil son anniversaire. Pour fêter ses 80 ans en beauté, la belle Brigitte nous a accordé un entretien bien tonique.
Qu’est-ce qui vous ferait plaisir pour votre anniversaire? Que vous deveniez végétarien! Sur cette planète, tout le monde vous connaît. Mais sur une autre? Si vous deviez vous présenter à un extraterrestre, ça donnerait quoi "BB pour les nuls"? Au lieu de lui parler, je lui demanderai de m’emmener avec lui, loin d’un monde cruel qui s’entretue, ravage tout, pollue tout, défigure tout. Je lui demanderai de m’emmener loin d’un abattoir à ciel ouvert qui massacre sans états d’âme tant de vies animales. Loin du cannibalisme qu’est devenue notre société : un monde pourri par le fric ! Vous avez lancé un appel à François Hollande pour obtenir l’abolition de l’abattage rituel et la fermeture des abattoirs de chevaux. L’a-t-il entendu? J’ai rencontré tous les présidents de la Ve république, de Pompidou à Sarkozy. Je n’ai obtenu que des promesses non tenues. J’attends maintenant que François Hollande réponde à mon appel officiel, lancé le 8 septembre dans la presse nationale. On ne vit que d’espoir… Que répondez-vous à ceux qui vous ont reproché de plus vous intéresser aux animaux qu’à votre fils? Je leur réponds : "Et vous, à quoi vous intéressez-vous à part votre nombril?" J’ai remarqué que ceux qui me critiquent sont souvent ceux qui ne font rien pour les autres.
Ce dimanche, Brigitte Bardot aura 80 ans. Comme ses chats, elle a eu sept vies, mais c'est dans son rôle d'actrice qu'elle a stupéfait le monde entier par sa beauté et son art de lancer des modes. La marinière, aujourd'hui très identifiée à la Bretagne, lui doit beaucoup. Remontons le fil du temps en tirant sur la pelote... Drôle de spectacle cette semaine. Des pilotes de ligne en grève avaient, à leur tour, adopté la marinière, désormais symbole du Made in France. Avec leur veste et leur casquette, certains avaient de faux airs de capitaine Haddock qui se serait rasé la barbe pour protester contre le projet Transavia. Le vêtement de marin habillant pour un jour des pilotes de ligne : le tricot rayé a décidément colonisé tous les espaces. Et B.B. créa le mythe Mais au fait, d'où sort-elle cette marinière ? Du décret du 27 mars 1858 qui, pour la première fois, établit la liste officielle de la tenue de la Marine française. Elle détaille avec une rigueur toute militaire « le tricot bleu de service courant » que les matelots et quartiers-maîtres devront porter sous leur vareuse et qui devra « compter 21 rayures blanches, chacune deux fois plus large que les 20 à 21 rayures bleu indigo ». Le décret ajoute bien d'autres détails millimétrés sur les rayures des manches ou l'encolure de ce tricot censé permettre de repérer plus facilement un homme tombé à la mer ou manoeuvrant dans la mâture. Ainsi naît la marinière qui restera exclusivement masculine avant que l'icône française de la mode, Gabrielle Chanel, alias Coco, ne convertisse ce vêtement masculin et militaire en tricot civil et féminin, dans le sillage de la mode du vêtement marin qui gagne tous les bords de mer de la France de la Belle Époque. Le tricot rayé est, dès lors, bien installé. Mais c'est Brigitte Bardot qui va lui donner une renommée mondiale et une french touch avant l'heure en adoptant la rayure, tantôt moulante tantôt flottante, dans des tenues à faire tomber raides les jules de l'époque. Et à entraîner les femmes dans son sillage vestimentaire, de l'agricultrice au champ à l'estivante traînant sa nostalgie de fin d'été sur des plages pas encore abandonnées aux coquillages et crustacés. Mais on ne sait pas très bien d'où vint ce tropisme de Bardot pour la marinière, sauf, bien sûr, à penser qu'il y eut tout de même quelques privilégiés pour recueillir quelques-unes de ses confidences sur le rayé. Jean Paul Gaultier au rayon rayures Des robes vichy aux cuissardes, en passant par la chevelure en choucroute, B.B. fut à l'origine de bien d'autres modes. Et aucun homme ne pouvait rester insensible à un tel charme. Pas même le Général qui, face à Bardot ou Jackie Kennedy, ne put refréner quelques oeillades admiratives. Tante Yvonne, son épouse, ne cultiva aucune jalousie, n'ayant probablement jamais imaginé, même dans ses pires cauchemars, son grand homme fuguant de l'Élysée, de nuit et en scooter, pour une rencontre non inscrite au protocole. D'ailleurs, en ce temps-là, la politique et le show-biz savaient garder leurs distances. De Picasso à l'Américaine Jean Seberg, craquante en marinière dans « À bout de souffle », le tricot rayé fit son bonhomme de chemin en traversant toutefois difficilement les modes hippie puis disco, dont les arabesques psychédéliques et les chemises à jabot n'étaient pas vraiment profilées pour la rayure à la traçabilité militaire. Et il fallut les délires et les fulgurances du couturier Jean Paul Gaultier pour le second rebond de la marinière, dans les années 80. Il en fit même sa marque de fabrique en la déclinant sous toutes les coutures, y compris sur ses parfums. La marinière était relancée au point même de s'inviter plus tard sur les maillots de l'équipe de France de football, donnant soudain à nos Bleus des airs de plagistes. Et c'est vrai qu'à ce moment-là, ils étaient vraiment sur le sable, ce qui renvoya vite les rayures aux vestiaires, au grand dam de Noël Le Graët, patron de la Fédération française de football et tenant de ses origines bretonnes, une appétence naturelle pour le tricot rayé. Obama en marinière Et puis bien sûr, il y eut Montebourg en marinière Armor-Lux et en couverture du Parisien Magazine, tenant dans les bras un robot Moulinex pour symboliser le Made in France. Une photo devenue presqu'aussi célèbre que celles de B.B. en tricot rayé et à laquelle le magazine anglais The Economist envoya une version boomerang. Pour symboliser les dérives budgétaires à l'européenne de Barack Obama, ils habillèrent le président américain d'un tricot rayé et d'un béret en Une du magazine. Les sagouins ! Et voilà que maintenant, à l'instar du bonnet rouge, la marinière est devenue un accessoire de contestataires se réclamant du Made in France, comme l'ont prouvé les pilotes de ligne en décidant de ne pas quitter le plancher des vaches. Entourée justement de ses animaux, B.B. est aujourd'hui bien loin de tout cela. Elle qui a connu les fêtes les plus délirantes va passer demain le cap des 80 ans, dans la plus grande discrétion. Et le premier paparazzi qui se pointe, elle l'envoie aux moules ! Marinières, bien sûr.
Loin derrière Simone Veil et juste après Bernadette Chirac, Brigitte Bardot, entre aujourd'hui, à 80 ans, à la 10e place du classement (BVA) des «personnalités âgées préférées des Français». Cela ne fera ni chaud ni froid à celle qui depuis les premières années de son immense célébrité, se moque de ce qu'on pense d'elle. Retirée à La Garrigue, sa deuxième adresse tropézienne où elle se rend chaque jour, hors de portée de la Madrague (la maison où rien n'a bougé depuis les années 70, assaillie en permanence par les porte-voix des bateaux à touristes), l'ancienne actrice et infatigable militante de la cause animale revient sous les feux de l'actualité à l'occasion de son anniversaire. C'est là, près d'une petite chapelle, qu'elle a reçu Laurent Delahousse pour une émission suivie par près de 5 millions de téléspectateurs. C'est aussi là qu'elle a répondu à une interview de La Dépêche, en lettres rondes, transmise par fax, son moyen de communication préféré. BB nous redit ce qu'elle souhaite, au nom des animaux, des chevaux et des agneaux, pour son anniversaire (lire page suivante). Brigitte Bardot, la Parisienne «châtain et aux dents de lapin» qui avait fait ses débuts dans «Si Versailles m'était conté» (avant de passer au blond platine dans le bac d'un coiffeur du Carlton) a tourné le dos au cinéma il y a quarante ans. Les télévisions le lui rendent bien : pas un de ses films n'est programmé ce dimanche. On aurait vu ou revu avec intérêt «Vie Privée» ou «Viva Maria», de Louis Malle, qui montrent qu'elle n'était pas seulement une «ravissante idiote». Mais comme elle fut aussi chanteuse, notamment pour Gainsbourg lors de leur rencontre passionnée («Il n'est pas beau, il est pire», disait-elle), on reverra ses émissions de variétés (sur Melody.TV). «J'ai offert ma jeunesse et une certaine beauté aux hommes, j'offre ma sagesse, mon expérience, et j'espère le meilleur de moi-même, aux animaux», a-t-elle affirmé en vendant ses souvenirs pour financer la fondation qui porte son nom. Ses deux moitiés de vie allaient se réconcilier pour cet anniversaire. Mais ses violentes prises de position contre la société d'aujourd'hui continuent de casser le mythe. Et elle s'en contrefiche. Son dernier film à Sarlat En 1973, à 39 ans, Brigitte Bardot commence en Dordogne, à Sarlat, le tournage d'une comédie, sans savoir encore que ce sera son dernier film. Fantaisie médiévale à la mode de l'époque, dirigée par Nina Companeez, «L'histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise» réunit un casting à succès : Bardot, Nathalie Delon, Ottavia Piccolo, Bernadette Lafont, Alice Sapritch, Francis Blanche, et un jeune premier repéré au théâtre : Francis Huster. Devant la caméra, la rencontre entre le débutant de cinéma de 26 ans et l'actrice à l'apogée de sa beauté qui a tourné 47 films (de ses premières apparitions jusqu'à «Don Juan 73») se fait dans le plus simple appareil. Francis Huster bondit tout nu dans le lit de Bardot. Francis Huster lui a rendu hommage trente ans plus tard : «Brigitte bandante, vivante, nature, touchante et drôle… Brigitte espiègle, effrontée, rusée, chatte et capricieuse.»
Vie privée, carrière, engagements… l'icône s'est confiée à la rédaction de Gala
Elle parle peu. Mais c’est souvent de manière « cash ». Pour preuve, cette interview « par écrit » (via mail) accordée à Gala, à laquelle la Femme que Dieu créa (avec l’aide non négligeable de Roger Vadim en 1956) répond sans détour. Sur Catherine Deneuve, comme sur François Hollande et sur le livre qui selon elle le salit, mais aussi sur Alain Delon, sur le mariage, mais aussi sur ce qui « l ‘émeut et ce qui l’étouffe ». Et puis sur ce « temps qui passe », pour elle, toujours, « sans nostalgie ».
~~A quelques jours de l’anniversaire de ses quatre-vingts ans (le 28 septembre), Gala a eu l’occasion de partager un peu de l’intimité d’une personnalité qui aura marqué le XXe siècle à tout jamais. Un échange rendu possible par les éditions Hugo et Cie, qui viennent de publier Bardot-Gainsbourg, Passion fulgurante. Gala: Qu’est-ce qui vous avait conduit à arrêter votre carrière à 39 ans? Brigitte Bardot: Une soudaine envie de donner à ma vie un sens moins superficiel. Gala: Quel était le sens de cette retraite? B.B.: Comme l’amour des animaux était depuis toujours profondément ancré en moi, j’ai décidé en 1973 de leur dévouer le restant de ma vie. Gala: Rien à voir avec Greta Garbo qui, elle, ne voulut laisser que la meilleure image d’elle-même sur pellicule? B.B.: Mais vous m’avez déjà vue copier quelqu’un? Greta Garbo ou une autre…? Gala: Quels films importants avez-vous, peut-être, refusés à la suite de cette décision de disparaître des écrans? B.B.: Oh, beaucoup qui furent d’ailleurs ensuite des grands succès, surtout des projets américains, notamment un film avec Marlon Brando pour lequel on me proposait des sommes astronomiques… Gala: Aujourd’hui, nombre d’actrices avec moins de notoriété que vous se voient proposer des contrats. Quel fut votre rapport au monde du luxe et de la mode? B.B.: Je fuis le monde du luxe et de la mode. Gala: Que vous a procuré de prêter votre visage et votre silhouette à Marianne? B.B.: Une fierté immense car je fus la première personnalité à incarner la République. Gala: Que vous « doivent » peut-être les femmes françaises? Pensez-vous avoir fait évoluer, malgré vous, leur condition vers plus de liberté personnelle ? B.B.: Personne ne me doit rien, j’ai simplement vécu ma vie comme j’en avais envie, à mes risques et périls. Gala: Juliette Gréco, Jeanne Moreau, Catherine Deneuve furent elles aussi des égéries françaises aux yeux de l’étranger. Avec le temps, comment les observez-vous? B.B.: Je pense qu’elles ont eu le talent de durer. Je déplore cependant que Catherine Deneuve soit devenue la « Cruella » de la fourrure! Gala: Un livre passionnant revient sur votre histoire avec Serge Gainsbourg. Si c’était à refaire, vous revivriez cette histoire de la même manière? B.B.: J’ai déjà tout dit sur cette histoire fulgurante, et il suffit de lire le livre qui vient de paraître. Et puis, j’ai aimé d’autres hommes que lui et Bernard d’Ormale, mon mari actuel, en priorité. Gala: Quel souvenir gardez-vous de Jean Gabin? Étiez-vous plus impressionnée par l’homme ou par l’acteur? B.B.: J’ai été impressionnée par les deux: l’homme et l’immense acteur. Gala: Et Alain Delon? B.B.: Nous sommes extrêmement proches. Nous avons des rapports très tendres et chaleureux. Gala: Qui sont les acteurs avec qui vous avez préféré tourner? B.B.: Je ne sais et puis je m’en fiche. C’est le passé et je ne reviens jamais en arrière… Gala: Vous venez de tenir des propos de reconnaissance envers François Hollande, vous êtes l’une des rares à le faire d’ailleurs ce qui ne manque pas de surprendre « les observateurs » comme on dit. B.B.: J’ai simplement eu la courtoisie de le remercier de l’attention qu’il porte en général à mes demandes. Nous allons d’ailleurs voir ce qu’il répondra à ma dernière lettre ouverte que j’ai adressée au gouvernement le 8 septembre dernier… Gala: Que pensez-vous de ce que provoque le livre de son ancienne compagne? Pour amour, ou par désamour, vous auriez pu aller aussi loin? B.B.: Je ne l’ai pas lu et ne le lirai pas. Le contenu des poubelles ménagères me dégoûte. Gala: Qu’a représenté le mariage pour vous? Fut-il synonyme de épanouissement? Ou l’inverse? B.B.: J’ai toujours adoré me marier. Gala: Beaucoup de livres sortent pour célébrer votre anniversaire. Ça vous amuse, vous flatte, ça vous ennuie ou cela vous indiffère? B.B.: Cela m’émeut mais cela m’étouffe aussi un peu… Gala: C’est une photo de vous en couverture de Elle qui vous fit remarquer et permit de faire votre premier film. Quel rapport maintenez-vous avec la presse? B.B.: Je lis très rarement des magazines car j’ai des choses plus importantes à faire notamment avec la gestion de ma fondation. Gala: La cause des animaux reste la vôtre. Que reste-t-il à conquérir? B.B.: Il reste encore tant à faire, tant d’horreurs. La vie des animaux n’est pas prise en considération ni leurs souffrances. Ils sont toujours considérés comme des objets de rapports et sont massacrés quotidiennement pour du fric dans la plus grande indifférence. Gala: Et si vous deviez vous réincarner en un animal? B.B.: Un cheval sauvage, libre et indépendant.
INVITÉE RTL - Brigitte Bardot, qui fête ses 80 ans dimanche 28 septembre, a réagi à l'assassinat de l'otage français en Algérie.
Je vais vous dire, cette histoire m'a fait pleurer". Comme la plupart des Français, Brigitte Bardot n'est pas restée insensible à l'exécution d'Hervé Gourdel par des terroristes en Algérie. "J'ai trouvé l'égorgement de cet homme tellement ignoble, infâme, scandaleux", a expliqué l'actrice sur RTL. L'icône surnommée "BB", qui fait désormais plus parler d'elle pour son soutien à Marine Le Pen que pour ses films, se "demande pourquoi on n'interdit pas à jamais aux jihadistes qui sont partis de France, pour se battre avec ces troupes sans aucun état d'âme, de revenir en France".