Non aux animaux dans les cirques !
Une vidéo d'une minutes qui tout sur la maltraitance des animaux dans les cirques...Il faut regarder !
Brigitte Bardot au secours d’ours russes alcooliques
La Fondation Brigitte-Bardot et la Big Hearts Foundation se sont mobilisées afin de venir à en aide à deux ours alcooliques enfermés dans une cage depuis 20 ans à Sotchi, en Russie. Les animaux sont dans un état si pitoyable qu’ils risquent de mourir si rien n’est fait.
La cage étant située à l’extérieur d’un restaurant, les deux mammifères sont nourris avec de la malbouffe et de l’alcool donnés par des clients et des passants, amusés de les voir ivres. Le propriétaire, Dzhenkis Uzaroshvili, n’y voit aucun problème, puisque selon lui la bière est bénéfique pour les deux ours en raison du climat.
«Les ours ont une plus forte réaction à l’alcool que les humains, ils peuvent mourir», a affirmé Anna Kogan, la fondatrice de Big Hearts Foundation au quotidien britannique The Independant.
Par ailleurs, l’un des ours est complètement aveugle en raison des phares de voitures.
Selon la BBC, en février, la justice russe a ordonné que le mâle soit confisqué. Une décision qui doit être appliquée au plus tard en mars. Toutefois, en raison de leur dépendance à l’alcool, aucun centre pour animaux en Europe n’est prêt à accueillir les deux animaux, les dépenses engendrées par leur condition particulières étant jugées trop élevées.
Finalement, mercredi, le sanctuaire pour ours Libearty, en Roumanie, s’est porté volontaire. Selon Anne Kogan, le sanctuaire serait en mesure d’assurer les soins nécessaires puisque le personnel a déjà eu à traiter des ours danseurs également alcooliques.
«Nous avons été contactés par des organisations de défense des animaux de Russie et avons été d’accord pour prendre en charge les deux ours», a déclaré jeudi à l'AFP Liviu Cioineag, directeur de l'association Milioane de prieteni qui dirige le sanctuaire roumain. Il précise que le transfert pourrait avoir lieu en avril
Près de Nantes, des macaques du zoo livrés à la trépanation
Les zoos sont censés protéger les animaux, pas les vendre à un laboratoire pour des expériences impliquant une chirurgie lourde. Reporterre révèle que des macaques rhésus, nés dans un zoo près de Nantes, ont été vendus en Allemagne à un Institut de recherche pratiquant la vivisection.
Nantes, correspondance
En septembre, une chaîne allemande a diffusé un film en caméra cachée sur ces macaques qui paraissent bien maltraités. Il semble alors que le laboratoire allemand Max-Planck de Tübingen ait importé, directement de l’Île Maurice, des primates sauvages. L’investigation, relayée par l’ONG One Voice, montre que certains de ces singes sont nés en France dans un zoo à Port-Saint-Père en Loire-Atlantique, relayés par un élevage voisin.
Choquantes, les images ne sont pas à montrer aux gens sensibles : les macaques montrent des visages et des crânes ensanglantés par les trépanations qui les ont transformés en cobayes. « Un cauchemar vivant », ce reportage en caméra cachée, a été effectué pendant sept mois, de 2013 à 2014, par des militants de la défense animale dans les locaux d’un éminent institut de recherche neurologique allemand, l’Institut Max-Planck, pour la cybernétique biologique, basé à Tübingen, dans le land de Bade-Wurtemberg.
Ce reportage a été diffusé le 10 septembre 2014 par la chaîne de télévision allemande Stern TV.
https://www.youtube.com/watch?v=lHsmeFNaT6w
Pour faciliter les manipulations sur le cerveau des singes, le placement d’électrodes ou l’injection directe des substances chimiques requises par les expériences in vivo, des implants permanents en titane, de la taille d’un gros bouchon, leur sont insérés au sommet du crâne. Des implants qui servent aussi à immobiliser la tête des primates pendant les expérimentations, le cou étant déjà contraint par l’orifice d’une boîte où le primate est enfermé. Selon les militants qui ont dévoilé ces images, les plaies des animaux s’infectent parfois, induisant souffrance et mal être.
Les images prises clandestinement ont été rendues publiques par le BUAV, British Union for Abolition of Vivisection. Fondée à Londres en 1898, l’association milite pour l’abolition totale de toute expérimentation animale. Ses investigations anonymes l’ont menée ces dernières années dans des laboratoires en Grande-Bretagne, chez des pourvoyeurs de primates au Vietnam, en Malaisie, en Espagne. Pour cette dernière enquête à Tübingen, les Britanniques se sont associés avec leurs correspondants en Allemagne, l’association Soko-Tierschutz.
Sensibles à la douleur ou pas ?
« L’animal ne ressent pas les électrodes dans son cerveau, car son cerveau n’a pas de récepteur de la douleur », expliquait l’institut Max-Planck en 2009 après les protestations d’une association de médecins allemands contre l’expérimentation animale.
L’absence de perception de douleur par les animaux est un sujet très controversé, récemment commenté par de philosophes et des théologiens aux Etats-Unis. Des travaux universitaires menés sur des macaques rhésus en 1964 ont montré qu’un de ces singes refusait de tirer sur une chaîne qui lui fournit de la nourriture, quand ce geste provoquait un électrochoc à un autre singe dans la cage voisine. Cette recherche concluait que le macaque est capable d’empathie avec ses semblables.
Air France sans états d’âme
La diffusion de l’investigation divulguée par BUAV et Soko-Tierschutz a causé quelque émoi en Allemagne. Elle a aussi conduit l’association française One Voice à dénoncer la compagnie Air France, qui achemine sans états d’âme ces singes de l’Île Maurice jusqu’en Europe.
Air France est d’ailleurs la dernière compagnie aérienne de passagers dans le monde à continuer à effectuer ces transports des singes voués à l’expérimentation, malgré les protestations, notamment de l’experte en primates et anthropologue britannique Jane Goodall.
Un zoo français fournisseur de singes cobayes
Après la diffusion du film « Un cauchemar vivant », des ramifications et compléments d’enquête mènent en Loire-Atlantique, où un zoo et un élevage, très liés l’un à l’autre, ont fourni sept animaux.
Daté de décembre 2011 et janvier 2012, des dizaines de document photographiés révèlent les attestations sanitaires délivrées pour ces macaques rhésus mâles (Maccacca mulata) en transit dans les murs de la société BioPrim à Baziège, près de Toulouse. Il a joué le rôle d’un centre d’accueil des singes importés, soumis à quarantaine, avant d’être répartis ailleurs pour des expérimentations médicales ou pharmaceutiques. Un centre décrié dès sa création en 2001, mais que son gérant, Éric André, considère alors comme un « hôtel Hilton pour singes ».
Nés en captivité, vendus au labo
Les macaques rhésus expédiés à l’institut Max-Planck ne sont donc pas tous nés à l’état sauvage à l’Île Maurice. Les documents vétérinaires produits par l’association de défense des animaux One Voice prouvent sans équivoque que ces singes parvenus en janvier 2012 en Allemagne sont nés au sein du zoo Planète Sauvage, à Port-Saint-Père, et souvent acheminés via une société d’élevage voisine, Savane Nature, située à cinquante kilomètres de là, dans le vignoble nantais.
Selon les documents, dont certains portent le tampon de la préfecture de Loire-Atlantique, la provenance d’un même singe, identifié par le matricule à cinq chiffres de son tatouage, indique soit Savane Nature, soit Planète Sauvage, soit Safari Africain (le premier nom du zoo de 1992 à 1998).
« Passer par une structure extérieure permet à un zoo d’écouler sans souci les macaques rhésus en trop. Il faut dire que ce sont des animaux qui se reproduisent facilement et que pour attirer le public, il est préférable que des petits naissent. C’est le cas pour tous les animaux dans tous les zoos », explique Muriel Arnal, présidente de l’association One Voice.
Une « maison de retraite »
La Sarl Savane Nature a été créée en 2005 par l’ancien directeur de Planète Sauvage, Dany Laurent, décédé accidentellement à son domicile le 30 septembre dernier. Son entreprise avait été dissoute en 2013. Liquidatrice de la société, Véronique Laurent, veuve de Dany Laurent, donne aujourd’hui une version diamétralement opposée de ce qu’attestent les documents :
« Mon mari avait ces singes pour le plaisir. On les a récupérés d’un labo qui s’en débarrassait, en Allemagne, je crois. Ils étaient super bien, ici. C’était leur maison de retraite. Ils ont fait des bébés. Après je ne sais pas. Mon mari les a sans doute donnés... Il ne les aurait pas vendus. C’était pas le genre. J’ai sans doute les papiers de tout ça, mais c’est dans son bureau et franchement, je n’ai pas la force d’y aller ».
Personne ne prétend que les singes ont été maltraités avant d’être vendus au laboratoire allemand, mais leur double provenance, zoo et élevage de son ancien directeur n’est pas contestable. « Non non, Planète Sauvage n’a rien à voir là-dedans », répond pourtant Véronique Laurent.
Dany Laurent avait créé il y a trente ans le zoo de La Boissière-du-Doré, à l’est du département de Loire-Atlantique, toujours géré aujourd’hui par son fils. En 1992, Dany Laurent avait ensuite fondé à Port-Saint-Père la société Safari Africain, renommée Planète Sauvage, structure qu’il a dirigée jusqu’en 2005.
« Contraire à nos valeurs »
Le zoo a été racheté en 2005 par la Compagnie des Alpes, filiale de la Caisse des dépôts & consignations, qui gère des domaines skiables et des parcs d’attraction comme le parc Astérix, le Futuroscope mais aussi des parcs animaliers en Suisse, Belgique, Hollande et Allemagne.
« Depuis que Planète Sauvage a été racheté par la Compagnie des Alpes, aucun animal sauvage n’a été vendu, dit Clémentine Amar, responsable de la communication du parc. On ne vend pas à des instituts. C’est contraire à toutes nos valeurs. Nous n’avons que des cessions, dons ou échanges, avec d’autres parcs animaliers dans le cadre européen. Voire avec un éleveur comme Dany Laurent, mais il n’y a pas de transaction d’argent. Il n’y a aucun problème juridique. Planète Sauvage peut être l’éleveur initial des macaques, mais notre seul interlocuteur, c’était Dany Laurent. Nous n’avons pas de doute quant à notre éthique. »
Les documents attestant le transit par BioPrim à Toulouse, et que Reporterre a consulté, indiquent pourtant clairement : « Cause de la sortie : vente ». Exemple : le macaque mâle de près de quatre kilos, portant le numéro 60892, né à Planète Sauvage le 10 mars 2009, a été l’objet d’une acquisition par Savane Nature, qui, après quarantaine et examens sanitaires à Toulouse, l’a revendu à l’institut Max-Planck où il a été livré le 26 janvier 2012.
Les explications pour le moins contradictoires des deux structures, Planète Sauvage et Safari Nature, parties prenantes, laissent planer le doute d’un genre d’« externalisation du risque », déplaçant hors du zoo la responsabilité de cette transmission « contraire aux valeurs » d’animaux envoyés au laboratoire qui pratique la vivisection.
Contraire au code éthique, ou pas...
Philippe Vignaud, le directeur de Planète Sauvage, ne sait pas ce qui s’est passé avec les macaques nés dans son parc : « Je me suis déplacé pour visiter les installations d’élevage de Dany Laurent, à qui nous avons confié en dépôt plusieurs groupes de macaques rhésus que nous avions en surplus", explique-t-il à Reporterre. De très belles installations agréées, en règle, proches de chez nous et que nous avons contrôlées, administrativement et physiquement. Dany Laurent, un professionnel connu pour ses bonnes bonnes pratiques, aurait dû nous prévenir s’il souhaitait placer ces animaux ailleurs. Nous n’avons été avertis de rien. Nous n’avons jamais eu de contact avec cet institut Max-Planck. »
Planète Sauvage est membre de l’EAZA, European Association of Zoos and Aquaria, qui met en avant le bien-être animal. Reporterre a joint le siège bruxellois de cette fédération de zoos et aquariums privés.
Son porte-parole reconnait que « la vente de singes à des laboratoires pratiquant des expérimentations animales est contraire au code éthique », mais que cette objection ne s’appliquerait pas à l’institut Max-Planck du fait qu’« aucune expérimentation chimique ou médicale » ne serait pratiquée sur les primates. Alors que ces expérimentations consitutent le quotidien de l’institut Max-Planck de Tübingen.
Le laboratoire allemand concède des progrès à faire
L’institut Max-Planck justifie son activité d’expérimentation avec des animaux vivants en invoquant le bien fondé de ses recherches sur les connections des systèmes neurologiques sous-tendant les capacités cognitives humaines. Il s’agit donc de comprendre comment le cerveau traite les informations qu’il reçoit.
- Macaque trépané -
L’institut revendique sa contribution à « la recherche pour résoudre des enjeux centraux pour la science et pour établir des bases de nouvelles approches de traitements médicaux ».
Ces recherches sont menées sur des NHP, pour « non human primates », et des rongeurs. Après la diffusion du film par Stern TV, l’institut Max-Planck a reconnu que des hémorragies post opératoires peuvent survenir après des interventions, comme dans le cas d’opérations de chirurgie effectuées sur des patients humains.
Le communiqué ajoute que le personnel du centre est bien formé et que les primates font l’objet d’un suivi sanitaire, sans négligence, concédant quand même une augmentation immédiate des moyens vétérinaires de suivi des animaux, avec l’embauche d’un vétérinaire à temps plein. Sont aussi envisageés des « améliorations en terme d’organisation », notamment un suivi informatique des singes et de leur alimentation.
Les associations de défense des animaux rétorquent que de telles expérimentations ne se justifient pas sur des cobayes animaux et qu’il existe des alternatives pour mener ces recherches. Il existe même un centre européen de recherche sur ces alternatives à la vivisection, l’EURL-ECVAM (European Union Reference Laboratory for alternatives to animal testing) basé à Ispra, en Lombardie, Italie.
Source : Nicolas de La Casinière pour Reporterre
Photos : BUAV
Lire aussi : L’appel du bouddhiste le plus connu de France pour le respect des animaux
Lille: Bataille autour d'un combat de coqs
ma gauche, la tradition des combats de coqs en Nord-Pas-de-Calais. A ma droite, la fondation Brigitte-Bardot. Au centre, la préfecture du Nord. Le décor est planté à Gondecourt, une petite commune au sud de l'agglomération lilloise.
Un combat de coqs y est organisé le 1er mars, au grand dam de la fondation Brigitte Bardot, qui s'est fendue d'une lettre ouverte au préfet du Nord.
«Nous comptons sur votre prompte intervention pour prendre toutes les mesures qui s'imposent afin d'empêcher l'organisation de ces combats clandestins», écrit la fondation, fustigeant au passage la tolérance des «autorités locales je-m'en-foutistes». «Honte à Gondecourt», lit-on aussi sur Facebook, où une internaute s'indigne de voir l'événement gratuit pour les moins de 16 ans... «Tradition locale ininterrompue» L'association rappelle à bon droit que les combats de coqs sont interdits en France depuis 1964, au motif qu'ils infligent «des sévices graves et actes de cruauté» aux animaux, selon l'article R521-1 du code pénal. Mais cette interdiction ne s'applique pas dans les «localités où une tradition ininterrompue peut être établie». C'est pourquoi des combats de coqs se tiennent encore dans certaines communes du Nord-Pas-de-Calais, où subsiste un gallodrome (l'arène où se tiennent les combats) historique, à l'instar de Hantay, Tourmignies ou Vieux-Condé pour les plus connues.
Détail d'une œuvre de Rémy Cogghe, conservée au musée de la Piscine de Roubaix - Musée de la Piscine
«Beaucoup d'amateurs» Problème: à Gondecourt, les combats n'ont repris qu'en 2013, dans une salle appartenant à la mairie... Et l'article R521-1 réprime justement la «création d'un nouveau gallodrome». «On n'avait pas de salle mais il y a beaucoup d'amateurs et de coqueleux (les éleveurs de coqs de combats)», plaide Magalie Christiaens, qui fait partie de l'organisation du 1er mars. Les combats ont d'ailleurs été relancés avec l'aide de la Société Historique Gondecourtoise, qui saluait en 2013 la résurgence d'une «tradition plus que doublement millénaire». Les organisateurs assurent disposer d'une autorisation préfectorale délivrée il y a plusieurs semaines. Contactée, la préfecture du Nord précise qu'il ne s'agirait que d'une autorisation «sanitaire», délivrée classiquement pour tout rassemblement d'animaux. EDIT 17h: Détails sur l'autorisation sanitaire
Source de l'article : http://www.20minutes.fr/lille/1550159-20150226-lille-bataille-autour-combat-coqs
La fondation Brigitte Bardot rebaptise Orthez "la cruelle"
Le représentant de la fondation Brigitte Bardot dans les Pyrénées-Atlantiques stigmatise Orthez pour l'organisation de corridas.
Daniel Raposo ne manque jamais une occasion de médiatiser la cause animale. Moins de 24 heures après qu'Orthez ait dévoilé sa nouvelle identité visuelle, le délégué départemental de la fondation Brigitte Bardot la détournait pour dénoncer l'organisation de corridas à Orthez. Le nouveau slogan de la cité Fébus, "Orthez, la [Re] belle" était en effet transformée, ce mercredi matin, en "Orthez, la cruelle", dans un tweet.
Point d'orgue des fameuses fêtes d'Orthez, la corrida suscite précisément un vif débat dans la cité depuis plusieurs mois. En décembre, une conseillère de la majorité votait contre la gratuité de l'accès aux arènes des mineurs et quatre autres dont deux adjoints s'abstenaient (NDLR : à l'éducation et la culture). Fin janvier, le désaccord se concluait par la démission de l'adjointe à l'éducation et de la conseillère frondeuse. Interrogé depuis à plusieurs reprises sur ce débat de l'accès des mineurs aux spectacles taurins, le maire Yves Darrigrand a indiqué ce mardi qu'il s'exprimerait la semaine prochaine.
Source de l'article : Cliquez ICI : http://www.sudouest.fr/2015/02/25/la-fondation-brigitte-bardot-rebaptise-orthez-la-cruelle-1841268-4344.php
These elderly Chinese women wake up at 4am daily to feed 1,300 dogs
Thanks to five elderly women from Weinan, Shaanxi Province of China, over 1,300 stray dogs have been saved from the pound, fed and taken care of for the last six years. With so many dogs depending on them, these plucky women, who are in their 60s and 70s, wake up at 4am to prepare 400 kilograms of dog food every single day.
The dog shelter was established in 2009 by 60-year-old Wang Yanfang, who was moved to act when she witnessed many strays taken away by the local authorities. Thus far her volunteering work has been solely supported by donations.
Despite their good intentions, each of the ladies has been bitten several times. Talk about biting the hand that feeds!
Source de l'article : Cliquez ICI : http://www.lostateminor.com/2015/02/24/elderly-women-wake-4am-daily-feed-1300-dogs/
Aidons la Section Extrémismes Violents à faire son travail
Le CRAC Europe et ses partenaires ont la preuve formelle d’être surveillés par le Bureau de la Lutte Antiterroriste (BLAT). Plus précisément, les fonctionnaires de la Police Judiciaire qui nous suivent font partie de la section Extrémismes Violents et Analyse Transverse, située à Issy-les-Moulineaux.
Les « clients » habituels de cette section sont les djihadistes, les groupuscules ultra-violents d’extrême-droite ou d’extrême-gauche et les bandes intégristes recourant aux enlèvements, aux attentats et aux meurtres. En quoi sont donc concernés les militants non violents de la cause animale qui se contentent de manifester en scandant des slogans et en demandant un débat à l’Assemblée nationale pour faire évoluer les lois dans le respect de la démocratie ? Mystère et paranoïa.
Il est vrai que les aficionados nous traitent de façon récurrente de terroristes alors que nous ne les avons jamais ne serait-ce que touchés, dans aucune de nos actions depuis des décennies (crier des slogans ou déployer des banderoles ne sont pas encore considérés comme du terrorisme, en France).
Il est vrai que parmi ces aficionados qui nous traitent de terroristes se trouvent des parlementaires qui devraient pourtant connaître la définition qu’en donne la loi et constater qu’aucune de nos actions n’en relève.
Il est vrai que ces parlementaires peu soucieux de ce que dit la loi ont demandé sans fondement juridique la dissolution du CRAC Europe à un autre aficionado qui se trouve être ministre de l’Intérieur.
Il est vrai que c’est de ce ministre que dépend le BLAT et la fameuse section Extrémismes Violents et Analyse Transverse.
Pas besoin d’être un spécialiste d’analyse transverse pour en déduire pourquoi cette section nous surveille, nous lit et probablement nous écoute.
Cela dit, les vrais spécialistes des extrémismes violents qui travaillent dans cette section doivent être plus que perplexes de nous voir débarquer dans leurs dossiers, eux qui traquent à longueur d’année des gens autrement plus dangereux que nous, tels que des criminels fanatisés, des kidnappeurs illuminés, des lapideurs surexcités, des mutilateurs hallucinés, des tortionnaires décérébrés et des poseurs de bombes tarés.
Qu’est-ce que nous venons faire là-dedans ? Nous n’avons jamais frappé, enlevé, torturé, tué ou dynamité le moindre aficionado. Nous ne les avons même pas menacés de quoi que ce soit. En revanche, nous avons été régulièrement les victimes de leurs violences et de leurs menaces de mort.
Aussi, et parce que nous sommes des citoyens dignes de ce nom, nous allons aider un peu la section Extrémismes Violents et Analyse Transverse à établir qui sont les vrais extrémistes violents dans le maquis, peut-être confus à leurs yeux, du monde glauque de la tauromachie.
Les photos qui illustrent cet article leur sont destinées. Elles montrent :
1 – Des individus en bande organisée qui commettent des violences physiques répétées sur des militants anti-corrida non violents assis par terre. C’était à Rodilhan le 8 octobre 2011. Les malfaiteurs, bien que parfaitement identifiés et reconnaissant les faits, ne sont toujours pas jugés deux ans et demi après avoir perpétré leur forfait. En revanche, certains de ceux qui s’opposent à eux de façon non violente ont été cités à comparaître en un délai record devant le tribunal de grande instance du département le plus taurin de France.
Ne me faites pas dire que la justice serait manipulée par des politiciens peu scrupuleux au service des intérêts partisans d’une minorité extrémiste. Ce serait la preuve que nous sommes devenus une république bananière où l’arbitraire s’applique impunément.
2 – Des scènes de torture rituelle pratiquées en public sur des herbivores sous prétexte de tradition venue d’âges obscurs où torturer était légal. Les tortionnaires, bien que parfaitement identifiés et reconnaissant les faits, se pavanent en public sans être inquiétés. Leurs spectateurs qui les adulent comme des héros sont, selon la loi, complices de sévices graves et actes de cruauté sur des animaux mais ne sont pas poursuivis par la justice non plus.
Ces spectacles de torture ont été interdits par la loi en France pendant un siècle (de 1853 à 1951) en raison de leur barbarie épouvantable mais n’en ont pas moins été pratiqués en toute illégalité pendant cette longue période. Ils sont toujours interdits de nos jours, sauf dans onze départements du sud du pays dont les habitants ont bafoué la loi de façon ininterrompue depuis le 19e siècle en déployant une violence extrême à l’encontre des forces de l’ordre totalement dépassées. Pour ces populations séditieuses et délinquantes, une exception a été votée en 1951, faute de pouvoir leur faire respecter l’ordre républicain.
Ne me faites pas dire que, de ce fait, les citoyens français ne sont pas égaux devant la loi et qu’il y aurait deux lois différentes qui s’appliquent dans notre république suivant le lieu où l’on se trouve. Ce serait la preuve que le Conseil constitutionnel se torche avec la Constitution qu’il est supposé défendre.
Messieurs de la section Extrémismes Violents et Analyse Transverse, nous tenons à votre disposition les identités des principaux extrémistes violents dits « aficionados » pris en flagrant délit, ainsi que les preuves irréfutables et multiples de leur comportement factieux depuis 160 ans.
Nous disposons de tous les éléments utiles pour identifier plus généralement la localisation des membres du groupe terroriste extrémiste fanatisé connu sous la dénomination « Aficion ». Nous pouvons vous communiquer tous les lieux de leurs séances de violences en réunion, ainsi que les dates auxquelles se tiennent ces séances. Vous allez rire : ces informations sont librement disponibles dans les médias. Il est possible que vous ne lisiez pas les bons.
Nous avons également des dossiers étayés sur les arnaques fiscales, détournements de subventions, opérations mafieuses, financement occulte, corruptions et autres pratiques illégales commises par certains membres de cette mouvance qui intéresseront votre activité « Analyse Transverse ». Bien que l’ensemble de ces malversations soit connu publiquement et régulièrement dénoncé depuis des décennies, et bien que les faits soient avérés puisqu’aucune plainte en diffamation n’est jamais venue les contester, rien n’a été fait à notre connaissance par vos services pour y mettre fin.
Ne me faites pas dire que vous êtes des fantoches à la botte d’un pouvoir autiste. Vous allez prouver à la face du monde que ce n’est pas le cas en agissant enfin contre les seuls vrais extrémistes violents de ce dossier : les aficionados. Sinon, ce serait la preuve que tout ce que je n’ai pas voulu dire plus haut serait la vérité.
Crédit photos : Aurélien Sauvons Les Animaux (Rodilhan), Jérôme Lescure (premier taureau), Roger Lahana (second taureau).
Source de l'article : http://annagaloreleblog.blogs-de-voyage.fr/2014/03/20/aidons-la-section-extremismes-violents-a-faire-son-travail/
Je rajouterais à ce superbe article le fait que celles et ceux qui comme moi ont déposé plainte pour violences policières n'ont toujours pas été entendu par la justice de ce pays! Ces violences ont eu lieu également à Rodilhan
Brigitte Bardot inspire la marque Benetton
Véritable icone des années 50 et 60, Brigitte continue à inspirer les marques de mode. Pour le printemps, United Colors of Benetton lance toute une ligne de T-shirts à l'effigie de l'actrice française.
Les trois T-shirts de cette collection capsule ont été réalisés en co-branding avec Brigitte Bardot pour rendre hommage à la beauté sensuelle de l'actrice.
Les motifs de chaque pièce, qui représentent bien évidemment la star française, sont trois images d'archives réalisées en 1966 à l'occasion du tournage du film "À coeur joie" de Serge Bourguignon.
Cette mini-collection sera mise en vente à compter du 16 avril prochain dans les boutiques Benetton. Prix : 19,95€.
Source : Cliquez ICI : http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/22/2053895-brigitte-bardot-inspire-la-marque-benetton.html