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12 millions d'animaux dans les laboratoires
La torture animale va continuer en Europe
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
12 millions d'animaux dans les laboratoires
La torture animale va continuer en Europe
{C}Tribunal de grande instance de Bergerac. © Radio France{C}
Ce couple, habitant à Eglise Neuve d'Issac, entre Mussidan et Bergerac était poursuivi pour "sévice grave ou acte de cruauté envers un animal". Il possédait une chienne, de race rottweiler, achetée pour quelques dizaine d'euros seulement. L'an dernier, l'animal était devenu trop encombrant, il aurait mordu un voisin.
Le couple veut se débarrasser de sa chienne Bubba et décide de la tuer. Ils l'ont donc emmenée en forêt et son maître a passé la tête de l'animal dans un noeud coulant, a lancé la corde au dessus d'une branche puis a tiré jusqu'à ce que la chienne de quarante kilos meurt. L'agonie a duré plusieurs minutes.
Le maître de la chienne était accompagné par sa compagne, elle l'a aidé à enterrer Bubba. Après des recherches, un autre cadavre de chien a été retrouvé dans un étang proche, dans une couverture et lesté d'une pierre. Un chien qui appartenait à ce même couple.
Le couple ne s'est pas déplacé à l'audience. Ils n'avaient pas non plus le droit de posséder un tel animal considéré comme "dangereux". Pour l'avoir pendu, son maître écope donc de trois mois de prison ferme. La Société Protectrice des Animaux (SPA) s'était constitué partie civile dans ce procès.
Source ; Cliquez ICI : http://www.francebleu.fr/faits-divers/bergerac/trois-mois-de-prison-ferme-pour-avoir-pendu-son-chien-2402305
Momentum is building in China to shut down the despicable dog meat trade. Over the weekend, massive protests were held in 15 cities, with advocates displaying banners and handing out leaflets calling for an end to the slaughter. Read more on this and the growing Chinese movement for all animals
Source : Humane society International : http://www.hsi.org
Le juge de proximité de Dax a estimé que l'arrêté municipal qui interdisait la manifestation à proximité des arènes n'était pas valable
Quelques heures avant la dernière corrida de la temporada, une centaine de militants antitaurins avaient déployé leurs slogans hostiles autour du rond-point des arènes, avant d'entrer dans le parc Théodore-Denis et de se poster à l'entrée principale où affluaient les aficionados. Ils en avaient été dégagés manu militari par les CRS, un arrêté municipal interdisant toute manifestation dans les 500 mètres autour de l'enceinte. Le 4 mai, le ministère public avait requis 38 euros d'amende pour les 29 hommes et femmes.
S'il n'a pas retenu tous les motifs de rejet plaidés par l'avocate de 28 des 29 prévenus, le juge de proximité a néanmoins prononcé lundi leur relaxe au vu de l'arrêté municipal "qui n'était pas valable". Celui-ci avait été signé le 22 août par Elisabeth Bonjean, première adjointe au maire, "qui n'a pas le pouvoir de police et n'avait aucune délégation", selon le juge de proximité Maurice Etcheverry.
Source : Cliquez ICI : http://www.sudouest.fr/2015/06/02/dax-l-arrete-municipal-n-etait-pas-valable-29-militants-anti-corrida-relaxes-1939038-3452.php
Le Général Devis Favier, Directeur général de la Gendarmerie nationale, souhaite que les forces de l’ordre puissent obtenir le brouillage des réseaux sociaux et le droit d’intercepter les SMS, lors de manifestations qui dégénèrent. « L’idée peut choquer », convient-il.
L’Assemblée nationale a publié le rapport (.pdf) réalisé par la commission d’enquête chargée de tirer les conséquences de la mort de Rémi Fraisse, tué par un tir de grenade de la gendarmerie sur la « Zone à Défendre » (ZAD) créée par des opposants au barrage de Sivens. Les députés y ont examiné plus largement les modalités que devaient prendre le maintien de l’ordre face aux manifestations improvisées et au phénomène des ZAD, « dans un contexte de respect des libertés publiques et du droit de manifestation, ainsi que de protection des personnes et des biens ».
Présidée par le député écologiste Noël Mamère, la commission d’enquête a donc évoqué à travers ses nombreuses auditions la question de l’utilisation d’internet et en particulier des réseaux sociaux, pour appeler à manifester et s’organiser sur place face aux forces de l’ordre. C’est à cette occasion que le Général Devis Favier, Directeur général de la Gendarmerie nationale, a pu exprimer ses souhaits.
Tout d’abord, a-t-il fait remarquer, « nous ne sommes pas assez performants pour tout ce qui concerne les réseaux sociaux ». Sans entrer dans les détails, il estime qu’un « travail colossal reste à mener dans l’exploitation des métadonnées pour développer une analyse prédictive des situations d’ordre public », c’est-à-dire pour être capable de savoir qui, où et avec quels soutiens s’organise une manifestation. « Il s’agirait d’examiner les situations avec la plus grande exactitude possible pour mieux dimensionner le nombre de forces engagées », prévient-t-il.
BROUILLER LES RÉSEAUX SOCIAUX, INTERCEPTER LES SMS
A cet égard le projet de loi Renseignement pourrait lui apporter satisfaction, puisqu’il confie aux services de renseignement la possibilité de collecter des données pour prévenir les « violences collectives de nature à porter atteinte à la sécurité nationale ».
Par ailleurs, « nous devons, en cours d’opérations, aller plus loin dans l’exploitation des réseaux sociaux », souhaite le Général. « À l’occasion de manifestations, on observe que, par le biais de Twitter, de textos, des consignes de déplacement de tel point à tel autre sont données et les forces de l’ordre en sont réduites à suivre plus qu’à anticiper. De ce fait, les réactions ne sont pas forcément élaborées tactiquement au point qu’il arrive que des unités se dispersent et perdent leur force opérationnelle – point de départ de situations susceptibles de dégénérer ».
« L’idée peut choquer mais il faudra examiner les conditions permettant, en situation dégradée, d’être plus contraignants sur les réseaux sociaux, d’examiner, sous le contrôle de l’autorité judiciaire et des autorités administratives, la question du brouillage et celle de l’interception de certains textos », a-t-il plaidé.
RECRUTER DES TAUPES SUR FACEBOOK
Jérôme Léonnet, chef du Service central du renseignement territorial (SCRT), a pour sa part expliqué que le SCRT utilisait « les logiciels dont se servent les entreprises [pour] identifier, par des mots-clés ou des scénarios, des mots d’ordre ou des réactions » sur les réseaux sociaux, et ainsi « glaner beaucoup d’informations sur les ZAD ».
Source : Cliquez ICI : http://www.fdesouche.com/614153-la-gendarmerie-veut-brouiller-les-reseaux-sociaux-dans-les-manifs#
Un chat a été coincé pendant cinq ans dans un mur d'une station de métro au Caire, en Égypte. Il a été secouru sain et sauf grâce à une mobilisation efficace sur les réseaux sociaux.