Brigitte Bardot : Exposition 2015 au château de la Messardière
Exposition intimiste au Château de la Messardière* "Brigitte Bardot" à la une des journaux du monde entier, journaux et revues en provenance des collections privées de Mr Bruno Ricard
*Adresse : Château de la Messardière 2 Route de Tahiti, 83990 Saint-Tropez Téléphone :04 94 56 76 00
Merci à Guitle Elman !
BB demande l'intervention de Ban Ki-moon contre la "chasse aux trophées"
Brigitte Bardot, le 28 décembre 2005 dans une fourrière de Nice
Brigitte Bardot demande à Ban Ki-moon, secrétaire général des Nations unies, d'intervenir d'urgence contre la "chasse aux trophées" après la mort du lion Cecil tué début juillet par un chasseur américain lors d'un safari au Zimbabwe, dans une lettre ouverte publiée lundi.
"C'est écoeurée et les larmes aux yeux que j'attends de vous une forte prise de position: il y a urgence!", déclare l'ancienne actrice, présidente de la fondation de défense des animaux qui porte son nom.
Elle réclame "l'abolition à jamais" de ces "scandaleux meurtres sportifs et récréatifs". Selon Brigitte Bardot, "un quota d'animaux sauvages, y compris ceux en voie d'extinction, est autorisé pour des chasses réservées aux fanatiques en recherche de trophées".
"Si le braconnage est une menace qui s'ajoute à la destruction de l'habitat et au changement climatique, il ne faut toutefois pas minimiser l'impact de la chasse aux trophées qui n'épargne aucune espèce pour le plaisir de chasseurs fortunés qui tuent par jeu et vanité", ajoute-t-elle.
"Le pouvoir de l'argent permet de s'affranchir de toutes les règles, il permet aussi de corrompre en profitant de la misère humaine", dénonce Brigitte Bardot qui met en cause notamment les agences spécialisées qui organisent des chasses "avec la complicité des parcs privés ou nationaux et la bienveillance de certains chefs d'état africains".
Cecil, célèbre lion du parc national Hwange, a été tué début juillet au cours d'une chasse à l'arc par le dentiste américain Walter Palmer, qui a payé 50.000 euros à une société spécialisée zimbabwéenne pour abattre l'animal.
La mort du lion Cecil, reconnaissable entre mille grâce à sa crinière noire, a suscité une virulente polémique dans le monde, d'autant que Cecil faisait l'objet d'un suivi dans le cadre d'un programme d'études scientifiques.
L'organisateur du safari Theo Bronkhorst a été inculpé pour ne "pas avoir empêché une chasse illégale" et remis en liberté surveillé en attendant son procès, prévu le 28 septembre.
Source : Le point
«Et Dieu créa la femme» : « Sur le tournage, Brigitte provoquait des attroupements »
Christian Marquand et Brigitte Bardot sur la plage de Pampelonne à Ramatuelle dans une scène du film de Roger Vadim.
Quand Brigitte Bardot attaque le tournage d'« Et Dieu créa la femme » de son mari Roger Vadim, Saint-Tropez n'a déjà plus de secrets pour elle. Elle y venait adolescente, en vacances l'été avec...
Source le Parisien du 17 08 2015
Entretien avec Brigitte Bardot dans "Vogue homme"
Brigitte Bardot est un mythe. Elle dit détester ce mot. Ne pas le comprendre. Elle reste un mythe. Plus qu’une actrice malgré les chefs-d’œuvre (La Vérité, Le Mépris, Vie privée…). Une équation unique. Les Beatles l’adulaient, Warhol voyait en elle la première femme moderne, Duras la surnommait "la reine Bardot", Julien Green saluait son "cœur pur", Barthes la décortiquait, et Cocteau lui attribuait un je-ne-sais-quoi d’inconnu qui "attire les idolâtres d’un âge privé des dieux". Des centaines de millions d’hommes ont fermé les yeux en rêvant à Bardot. Rare, il y a deux ans, elle se confiait à Vogue Hommes, rencontre.
Marineland d’Antibes : 500 opposants à la captivité face au parc
Marineland d’Antibes : 500 opposants à la captivité face au parc pour dénoncer les conditions de détention des animaux et demander leur libération !
Belle mobilisation samedi 15 août, à l’appel des "sans voix PACA", la Fondation était présente auprès des militants locaux.
- Pourquoi la Fondation Brigitte Bardot s’est-elle associée à cette manifestation ?
Au Marineland d’Antibes, comme dans tous les autres parcs équivalents, les orques, dauphins, otaries, ours polaires, etc. sont condamnés à vivre dans des conditions qui ne répondent pas à leurs besoins biologiques, c’est déjà une infraction à la législation. D’ailleurs, la forte mortalité observée dans les bassins est la preuve de cette inadaptation aux besoins des cétacés. Depuis l’ouverture du Marineland, une trentaine de dauphins et une dizaine d’orques sont morts dans ce parc (dernièrement l’orque Freya qui avait été capturée en Islande), c’est un véritable cimetière marin et nous sommes solidaires des militants qui se mobilisent, chaque mois, devant cet établissement pour informer et sensibiliser le public.
- Précisément, que reprochez-vous à cet établissement ?
Les cétacés vivent dans un environnement restreint, dépourvu de tout enrichissement. Ils sont utilisés pour le spectacle et doivent donc être vus des spectateurs, d’où ce choix de les confiner dans des bassins peu profonds qui sont de grandes piscines mais ne reflètent nullement la richesse et la diversité de leur milieu naturel. Pas de plante, pas de rocher ni de sable, pas même d’autres espèces animales pour créer des interactions, les conditions de captivité des cétacés sont un cas d’école, il est ridicule d’avancer des arguments de conservation, ce n’est rien d’autre que du cirque où les animaux sont réduits à l’esclavage.
- Peut-on parler de maltraitance ?
Je parle des cétacés mais il ne faut pas oublier toutes les autres espèces, notamment les ours polaires qui se retrouvent sous le soleil varois, comment ne pas parler de maltraitance ? La souffrance n’est pas seulement physique, il ne faut pas oublier un autre point tout aussi important, en condamnant les cétacés à la captivité, on détruit aussi leur organisation sociale qui est extrêmement développée et importante dans l’équilibre du groupe. Lors de la capture on casse les liens sociaux, ils sont détruits aussi pour les jeunes nés en bassins qui seront transférés vers d’autres delphinariums. Dans la nature, le groupe reste soudé, les jeunes restent avec leur mère, en captivité il n’y a pas de groupe mais un rassemblement d’individus qui parfois ne se comprennent pas. Les orques sont en effet les rares animaux à utiliser, comme l’homme, différents dialectes développés au sein même d’un groupe. C’est monstrueux de considérer que l’homme peut disposer à sa guise, pour son plaisir, d’autres espèces animales, c’est totalement immoral.
- Quelles sont les prochaines étapes ?
Lors de la 1ère lecture à l’Assemblée nationale du projet de loi "biodiversité", des amendements ont été déposés, dont l’un par la députée Laurence Abeille demandant la fermeture des delphinariums. Cet amendement n’a pas été adopté mais le gouvernement s’est engagé à un réexamen de la réglementation relative à la captivité des cétacés. Ségolène Royal nous a assuré que la Fondation Brigitte Bardot serait pleinement associée à ces travaux et nous venons de lui rappeler son engagement. Il n’y a aucune raison que certains pays membres de l’UE prennent des dispositions pour interdire l’exploitation des cétacés et que la France ne légifère pas. Nous avons le même problème avec les cirques et nous devons absolument mettre un terme à l’esclavage animalier, il ne suffit pas d’écrire dans le code pénal que les animaux sont doués de sensibilité, il faut agir pour faire en sorte que le pays des Droits de l’Homme soit, aussi, celui du respect des Droits de l’Animal.
Christophe Marie
Porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot
Confessions de la militante qui a réconforté un taureau mourant dans l’arène
Animée par une bravoure extraordinaire, une activiste de la cause animale a sauté en pleine corrida dans les arènes de Malagueta à Malaga (en Espagne) hier. Elle s’est confiée en exclusivité à notre rédactrice Carole Raphaelle Davis, après avoir réalisé ce geste héroïque.
Pendant quelques instants, Virginia Ruiz, âgée de 38 ans, a pu se coucher sur le taureau et le protéger avant d’être violemment bousculée par le personnel des arènes accompagné d’aficionados en furie. « Je pouvais l’entendre pleurer de douleur, alors j’ai sauté et traversé l’arène pour rejoindre l’endroit où il était allongé, mourant », nous explique mademoiselle Ruiz via Skype (ndlr : logiciel de téléconférence). « Il m’a regardé et je pense qu’il a senti mon énergie. Je voulais lui donner de l’amour avant qu’il ne quitte cette Terre », a-t-elle ajouté.
Tandis qu’elle était éloignée manu militari du taureau, le public taurin exultait, criant « fuera ! » (« dehors ! ») à l’unisson. « Ils m’ont insultée, ils m’ont frappé, ils m’ont craché dessus, ils m’ont dit de retourner derrière mes fourneaux et m’ont traitée de salope », poursuit Virginia.
La militante s’était rendue, seule, à la corrida ce jour là car l’entrée était gratuite. Elle n’a donc pas eu à acheter de ticket pour pénétrer dans l’édifice qui comporte 9000 sièges. Son intention était de filmer le massacre (dans des arènes qui étaient vides aux 3/4, malgré la gratuité du « spectacle »). Mais, lorsque l’animal a commencé à mugir de douleur, elle n’a pas pu s’empêcher de sauter sur la piste pour aller auprès de lui. « Comme j’ai marché, au lieu de courir, le public n’a pas réalisé que j’étais une activiste avant que je me retrouve à côté du taureau (…). Il était encore vivant, c’était avant qu’ils ne l’achèvent d’un coup de couteau dans la nuque. Il pleurait, il essayait de regarder les gens », raconte-t-elle, émue.
Virginia Ruiz, qui combat la corrida depuis 2008, affirme qu’il n’y avait pas plus de 1500 spectateurs ce jour là. Les gradins exposés au soleil étaient vides, et ceux dans l’ombre n’étaient qu’aux 3/4 pleins, avec « beaucoup d’enfants dans l’assistance », précise-t-elle.
« Hemingway avait tort à propos de cette tradition barbare. Nous, espagnols, en avons honte. Cela ne nous représente pas. Il y a bien d’autres choses en Espagne que la corrida. Nous sommes des gens merveilleux, mais on nous voit souvent comme un pays du tiers-monde plutôt que comme un pays européen », déplore-t-elle.
Après avoir été violemment escortée vers la sortie, la courageuse femme a été maintenue illégalement en détention et interrogée par la police qui a noté son adresse. Elle va recevoir une amende pour « violation de propriété privée » et devra en conséquence s’acquitter d’une somme pouvant atteindre 6000 €. « J’avais l’impression de faire ce qui était juste, le taureau savait que je me battais pour le défendre », estime pour sa part Virginia, comme elle nous l’a confié. Quel dommage que le Parlement européen ne partage pas son opinion, cette instance finançant ce sport sanglant à hauteur de 600 millions d’euros par an…
Vous pouvez ci-dessous regarder l’action de Virginia Ruiz dans les arènes de Malaga :
Texte : Carole Raphaelle Davis
A propos de l’auteur : Carole Raphaelle Davis est une personnalité franco-américaine très investie dans la cause animale. Parallèlement chanteuse et actrice, elle a collaboré avec Prince, et fait des apparitions dans divers longs métrages et séries télévisées (Sex & The City, Star Trek Voyager, etc.). Carole a également écrit le livre « Dog of a Hollywood Wife », qui évoque les excès de la vie à Hollywood, du point de vue d’un chien. Mais surtout, Carole est directrice de la Companion Animal Protection Society, une organisation qui se bat contre les usines à chiots et les animaleries véreuses. Régulièrement, elle écrit dans Planète Animaux pour dénoncer des maltraitances animales.
Vous pouvez ci-dessous regarder l’action de Virginia Ruiz dans les arènes de Malaga :
Un chien désespéré saute dans le voiture d’un inconnu et va changer son destin à jamais
Si seulement nous pouvions vivre dans un monde où il n’y aurait pas de cruauté envers les animaux … Trop souvent, nous entendons parler d’histoires de chiens errant dans les rues qui souffrent et c’est plus que suffisant pour ruiner notre journée.
Heureusement, il y a de bonnes personnes sur cette planète qui font ce qu’ils peuvent pour sauver nos amis les animaux et de leur donner une autre chance dans la vie. Ce fut le cas avec cette pauvre chienne malade errant dans les rues à la recherche de nourriture. Dans les images ci-dessous, vous verrez très clairement qu’elle avait faim et qu’elle souffrait de graves problèmes de peau, comme la gale.
Et à cause de son apparence la plupart des gens l’ignoraient et la fuyaient. Mais un jour, quelqu’un a finalement été en mesure de regarder au-delà et voir la belle chienne qu’elle était vraiment…
Cette chienne errante a été vu marchant sur la route…
Elle était sévèrement malnutris, sa peau était couverte de plaies et elle avait perdu la plupart de sa fourrure à cause de la gale.
Une personne attentionnée a invité cette douce chienne à monter dans sa voiture.
Elle a été emmenée chez le vétérinaire et son rétablissement a commencé…
Sa sauveteuse a décidé de l’appeler Kelsey, et elle était très reconnaissante !
La vie de Kelsey était sur le point de changer pour toujours !
Même avec la gale partout sur son visage, vous pouvez voir la bonté dans les yeux de Kelsey.
Il ne fallut pas longtemps pour que Kelsey commence à trouver du bonheur dans sa vie.
Elle a pu se socialiser avec d’autres chiens et se faire de nouveaux amis.
Sa fourrure a réussi à pousser et elle a été en mesure de prendre du poids !
Kelsey vit maintenant une vie merveilleuse avec ses nouveaux parents !
C’est incroyable qu’elle puisse être aussi belle maintenant… Quelle belle histoire ! Cela montre à quel point notre amour et notre compassion peut faire la différence dans la vie d’un animal.