Le look de la semaine : Brigitte Bardot dans « Le Mépris »
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
L’hippopotame Aldo a de nouveau eu besoin de l’aide de la Fondation 30 Millions d’Amis. La réserve sud-africaine où il vit a dû faire des travaux d’aménagement en urgence. Récit.
La vie n’est pas un long fleuve tranquille pour Aldo et Tonga. Ces deux hippopotames, sauvés respectivement par la Fondation 30 Millions d’Amis et la Fondation Brigitte Bardot, ont de nouveau eu besoin d’aide ce printemps. Le parc Sanwild, au Nord-Est de l’Afrique du Sud, a rencontré de graves difficultés financières et a dû se séparer du terrain sur lequel vivaient les deux animaux. Contraint de les déplacer en urgence, le parc doit faire des aménagements pour bien les accueillir. Et les travaux sont considérables : un étang doit être construit ainsi qu’un système pour l’approvisionner en eau, même lors des périodes de sécheresse. Un élément vital pour ces animaux qui passent 90 % de leur temps dans l’eau – pour hydrater leur peau et les alléger de leur poids – et n’en sortent que pour se nourrir. L’étang doit aussi être assez grand et profond pour que les hippopotames puissent s’immerger complètement.
Le parc ne pouvant pas payer ces travaux, il fait appel à la Fondation 30 Millions d’Amis. 5000 euros seront réunis par les fondations 30 Millions d’Amis et Brigitte Bardot pour réaliser ces transformations. Les travaux ont duré une bonne partie de l’été et mi-août, tout était prêt pour les accueillir dans leur nouvelle maison. Sauf que le déménagement ne s’est pas fait sans encombre… comme l’explique Louise Joubert, présidente du parc Sanwild « le jour du transfert, Aldo a refusé de monter dans notre camion car il ne voulait pas quitter Tonga ! Après plusieurs essais, nous avons fini par nous résigner : il fallait tout annuler et trouver un plan B ! ».
Quelques jours plus tard, les équipes du parc ont dû ruser en construisant un enclos spécial et en les attirant à l’intérieur du camion avec de la nourriture : mission réussie !
L’équipe de la réserve Sanwild a fait parvenir quelques clichés et une vidéo des deux hippopotames. On peut y suivre le déroulement du transfert et voir des bénévoles apporter de la nourriture à ces très gros mangeurs : chaque hippopotame engloutit jusqu’à 40 kg de fourrage par jour !
C’est en décembre 2007 que la Fondation 30 Millions d’Amis est intervenue pour secourir Aldo, un hippopotame qui, pendant 12 ans, n’a connu que la cage exigüe d’un cirque itinérant en France. Son sauvetage et son transfert dans une réserve d’Afrique du Sud, au parc de Sanwild, ont été entièrement financés par la Fondation. En 2012, Aldo était de nouveau en danger après avoir mâchouillé une chambre à air crevée qui lui avait causé une obstruction partielle de la trachée. La Fondation 30 Millions d’Amis avait immédiatement pris en charge les frais vétérinaires nécessaires.
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La Commission condition animale de L'UDI relaie la pétition contre le broyage des poussins mâles
Soumis par Thierry Lherm
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La pasionaria de la protection des animaux vient d’adresser un courrier au préfet du Var. Elle y dénonce les conditions de captivité de ce parc animalier. L’ancienne icône du cinéma profite de l’arrivée d’un nouveau représentant de l’État dans son département pour lancer un nouvel appel à l’action.
Voilà plusieurs années qu’elle et sa fondation alertent les autorités locales sur le manque, selon elles, de soins apportés aux animaux. Un lieu que BB qualifie de véritable mouroir, et de honte. Celle-ci dénonce « des années de bienveillance coupable des services de l’État » et des « petits arrangements entre amis ».
La Fondation Brigitte Bardot se fonde notamment sur des inspections et de nombreux témoignages qui font état de manques dans les conditions d’habitat, de cohabitation et d’espace dont ont besoin les espèces hébergées sur place. C’est aussi l’un des chevaux de bataille du mari de la star, Bernard d’Ormale, qui réagit régulièrement sur les réseaux sociaux à cette affaire. BB demande, elle, une intervention immédiate.
Le tranquille petit village de pêcheurs a été emporté par une tornade de notoriété. La faute à Brigitte Bardot et aux dizaines de célébrités qu’elle a fait venir dans son sillage. La faute aussi aux films des "Gendarmes" qui l’ont fait connaître au monde entier. Aujourd’hui, Saint-Tropez reste un lieu de passage incontournable de tout séjour dans ce petit coin du Midi.
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La fondation Brigitte-Bardot a publié ce lundi une lettre ouverte au maire de Cambo-les-Bains. Christophe Marie, le directeur du pôle protection animale, y dénonce la première organisation d'un Jeu de l'oie, ou Antzara Jokoa, ce mercredi à 17 heures dans la commune des Pyrénées-Atlantiques.
Ce jeu d'adresse traditionnel basque consiste, pour les participants à cheval, à arracher le cou d'une oie, suspendue la tête en bas sous un portique. Si ce jeu médiéval se pratiquait autrefois avec une oie vivante, c'est un animal mort qui est exposé au public depuis 1924. Mais ce divertissement qui entraîne "la mort d'un animal et la souillure de son cadavre", n'est pas du goût de la fondation Brigitte Bardot, dont le but est de défendre les animaux.
"Même si l’animal est désormais tué avant ce 'jeu', il n’en reste pas moins que cette pratique est primaire et particulièrement choquante. Tuer un animal et s’amuser à arracher sa tête est une occupation bien morbide et irrespectueuse, cela banalise la mort de l’animal ici réduit au rang d’objet", s'insurge la fondation, qui propose que l'animal mort soit remplacé par un leurre.
Interrogé par Sud Ouest, le président du comité des fêtes du Bas-Cambo, Pierre Baptista, ne compte pas annuler l'animation. Il rappelle au journal que, si Cambo-les-Bains innove en proposant un Antzara Jokoa lors de ses fêtes, le même jeu est organisé dans d'autres communes de la région.
"On sait bien qu'ils sont choqués par l'oie, mais que voulez-vous?", réagit Pierre Baptista, avant d'expliquer sans détour que "pour les tuer, on ne leur tranchera pas la gorge, en raison du jeu à venir. (...) Soit on les noie, soit on leur ouvre la bouche pour leur fourrer un couteau dedans".
"Quoi que l'on dise, on sait que l'on ne rassurera pas nos détracteurs, mais ce n'est pas barbare", tente de se défendre le président du comité, qui ajoute que tous les animaux seront servis à table après le jeu.
Brigitte Bardot a adressé un courrier à Pierre Soubelet, le préfet du Var, concernant les conditions de détention des animaux au zoo de Fréjus qu'elle juge indignes. Elle attend qu'il agisse après "des années de bienveillance coupable des services de l'Etat".
Brigitte Bardot et sa fondation n'en ont pas fini avec le zoo de Fréjus. Après avoir déjà dénoncé à plusieurs reprises les conidtions de captivité des animaux dans le parc, Brigitte Bardot a cette fois-ci directement rédigé un courrier qu'elle a adressé au préfet du Var, Pierre Soubelet, lui demandant d'agir au plus vite.
"Vous êtes en fonction dans le Var depuis quelques mois maintenant et je tiens à vous alerter d’une situation scandaleuse, qui ne fait qu’empirer depuis des années", écrit-elle. "Je parle de ce mouroir qu’est le zoo de Fréjus, une honte où les bêtes sont maintenues dans des conditions indignes".
Elle déplore notamment la situation des éléphants "dont la détresse est insupportable" et rapelle le préfet à ses devoirs: "Je vous demande de faire preuve de la plus grande fermeté face aux dirigeants de ce zoo qui, par leur je-m’en-foutisme, insultent et provoquent l’autorité que vous représentez dans le Var."
J'avais été visité avec Bernard D'ormale (mari de Brigitte Bardot) ce zoo de la honte, c'est une horreur...comment se fait il que cet endroit puisse encore être ouvert !
Bruno Ricard
Capitaine Paul Watson, fondateur de Sea Shepherd
Sea Shepherd se bat contre le massacre des dauphins à Taiji depuis 2003, dans le cadre de la campagne Opération Infinite Patience.
Aujourd’hui, cette patience a enfin payé.
L’Association japonaise pour les zoos et aquariums (JAZA) a voté la fin des achats de dauphins aux tueurs de Taiji.
Le mois dernier, l’Association internationale des zoos et aquariums (WAZA) a demandé à JAZA de choisir : soit elle arrêtait d’acheter les dauphins de Taiji, soit elle était suspendue définitivement de WAZA.
JAZA a choisi de rester au sein de WAZA.
Après des années de pression de Sea Shepherd, Dolphin Project, Earth Island et bien d’autres groupes, WAZA a jugé la chasse de Taiji "cruelle" et a pris la décision d’interdire à ses membres le commerce avec les tueurs de dauphins de Taiji.
Dans une lettre à WAZA, le groupe japonais, fort de 89 zoos et 63 aquariums, a indiqué qu’il se plierait à la décision de WAZA.
"C’est notre souhait, au sein de JAZA, de rester membre de WAZA", a déclaré le directeur Kazutochi Arai dans une lettre adressée au président de WAZA, Lee Ehmke.
Cette décision de JAZA est historique. Mettra-t-elle fin au massacre ? Nous ne le savons pas encore. Mais cela va certainement ébranler le marché des dauphins capturés à Taiji. Ce sont les captures qui sont les plus lucratives, car tuer les dauphins pour leur viande ne suffit pas à soutenir cette activité. C’est un coup majeur porté aux bouchers de Taiji et une merveilleuse nouvelle pour les dauphins qui vivent autour du Japon.
Les Gardiens de la Baie de Sea Shepherd continueront à surveiller Taiji pour voir ce qui se passera à la prochaine saison. Taiji restera sous la vigilance internationale jusqu’à ce que les massacres cessent pour de bon.
Un groupe de globicéphales en train de se débattre dans l’eau, après avoir été immobilisé par des tueurs Photo: Sea Shepherd |