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Les Baléares plantent une nouvelle banderille dans la tauromachie espagnole

Publié le par Ricard Bruno

Un matador a Pampelune, en Espagne, le 12 juillet...

Un matador a Pampelune, en Espagne, le 12 juillet...

Les Canaries l'avait bannie en 1991, la Catalogne en 2010. Lundi, c'est le Parlement régional de l'archipel qui a porté un coup à cette tradition controversée. En interdisant notamment la mise à mort des taureaux, il a mis en colère tout un milieu.

La tauromachie se réduit comme peau de chagrin dans le pays qui l’a vue naître. Après la prohibition de cette «fête nationale» (nom donné à la tauromachie sous le franquisme) aux Canaries en 1991, et sa disparition en Catalogne depuis 2010, voici que l’archipel des Baléares – dont Palma de Majorque est la capitale – veut aussi faire la peau à cette vieille tradition espagnole aujourd’hui chancelante. Qui demeure très vivante, surtout dans les campagnes, avec un total de près de 5 000 spectacles taurins de tout type chaque année, d’après l’agence Europa Press. Mais paradoxalement, le nombre de corridas est en baisse, ainsi que l’affluence et les retransmissions télévisées, elle intéresse à peine les moins de 35 ans, et la récente montée du mouvement animaliste l’affaiblit sensiblement. Désorganisé, peu solidaire, le milieu taurin vient donc de recevoir un autre coup de pique régional qui, selon toute vraisemblance, signifie à moyen terme sa mort définitive dans le très touristique archipel méditerranéen des Baléares. Et qui, à l’échelle nationale, accentue la possibilité d’une contagion généralisée.

Trace culturelle

Les autorités des Baléares n’ont pas à proprement parler aboli la tauromachie. Elles savent que, depuis une loi promulguée en 2013 par les conservateurs au pouvoir central à Madrid – qui définit cette tradition comme «patrimoine culturel» –, cette initiative serait rejetée par le tribunal constitutionnel. Alors le Parlement régional, dominé par le Parti socialiste, Podemos et les éconationalistes de Més (des formations férocement opposées à une pratique qui «maltraite et fait souffrir des animaux»), a contourné l’obstacle : au lieu de prohiber la tauromachie, il a voté une législation qui l’édulcore au point d’en ôter son essence. Finies la mise à mort et le sang versé dans les arènes (comme au Portugal, où l’animal est tué après le spectacle) ; finis les banderilles et les piques des picadores à cheval. Interdits, aussi, l’entrée des moins de 18 ans, la vente de boissons alcoolisées et autres réjouissances. «Tout cela revient à vouloir en finir avec la corrida, enrage Angel González Abad, chroniqueur taurin. Car, par définition, depuis que la tauromachie existe dans sa version moderne, la mise à mort en est indissociable. Si elle ne se produit pas, alors la corrida n’a plus de sens.» Aux yeux du président de la fédération taurine des Baléares, Juan Antonio Alvarez, «c’est un coup de cette gauche qui a en horreur tout ce qui est espagnol, et qui veut effacer la moindre trace culturelle qu’elle estime étrangère à l’archipel».

Droits élémentaires

Détracteurs ou partisans de la «fête nationale», tous ont la Catalogne dans leur rétroviseur. En 2010, une majorité de députés régionaux – nationalistes ou écologistes – avaient proscrit la tauromachie, sous le prétexte, aussi, qu’elle était incompatible avec les droits les plus élémentaires des animaux. A Madrid, après une plainte du Parti populaire au pouvoir, le tribunal constitutionnel avait entamé une intense bataille judiciaire contre les leaders catalanistes. En novembre 2016, ce même tribunal avait fini par annuler l’interdiction. «Pendant ces six ans, le monde taurin s’est tu, les toreros, les éleveurs, les entrepreneurs, tous, souligne Angel González Abad. Si bien que ce furent six ans de silence, de solitude. Et, pendant ce temps, en Catalogne, la corrida tombait en désuétude.» De fait, les arènes ont depuis changé de fonction, certaines sont devenues des centres commerciaux, d’autres des lieux de loisirs. A Tarragone, par exemple, elles accueillent les «castellers», ces pyramides humaines si typiques de la région. Partout, on a supprimé les étables et les infirmeries pour les taureaux. Si bien qu’aujourd’hui seules les arènes barcelonaises de «La Monumental» pourraient héberger une corrida – ce qui n’a pas eu lieu depuis 2010, sous la pression médiatique et sociale, et du fait de l’absence de garantie de rentabilité.

Or, c’est bien ce qu’escomptent les antitaurins aux Baléares : profiter des démêlés judiciaires qui sont à prévoir pendant les mois – ou les années – à venir, et empêcher par tous les moyens l’organisation de corridas pendant cette période d’incertitude. D’autant que la législation régionale, tout juste approuvée, prévoit quantité d’obstacles administratifs : obligation que les taureaux soient issus d’élevages de l’archipel  –rares –, des contrôles antidopage supplémentaires pour les toreros, des examens sanitaires tatillons pour les animaux, etc. Cet été, à n’en pas douter, les corridas prévues dans les Baléares auront certainement lieu, notamment à l’occasion de la grande fête de Palma de Majorque, avec la présence remarquée du torero français Sébastien Castella. Mais, à l’avenir, après la Catalogne et les Canaries, les milieux taurins ont de bonnes raisons de craindre la perte d’un nouveau bastion.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Et si le loup était responsable de la propagation des incendies dans le Var?

Publié le par Ricard Bruno

Quand j'ai lu cet article j'ai bondi de ma chaise, il ne manquait plus que ça, maintenant le loup serait responsable des incendies, ben voyons, et les orques et baleines elles seraient responsable des tsunamis...non mais, on nous prend vraiment pour des cons, ce n'est pas possible !

Bruno Ricard 

L'incendie dans le secteur de Bormes-les-Mimosas...

L'incendie dans le secteur de Bormes-les-Mimosas...

Si le président de la Région Paca, Renaud Muselier, est persuadé que l'origine de l'incendie de Bormes-les-Mimosas est "volontaire", le maire d'Artigues - une commune également ravagée par les flammes - ainsi qu'un éleveur varois mettent en cause le loup.

Une catastrophe pour le Var, 3e département le plus boisé de France. Depuis lundi après-midi, plus de 3.200 hectares de forêt ont été ravagés par les flammes à La Croix Valmer, Artigues et Bormes-les-Mimosas. "C'est un désastre, a commenté mercredi Renaud Muselier, le président de la Région Paca. L'incendie est sans doute d'origine criminelle. On va tout faire pour retrouver les auteurs de cet incendie."

Attisées par des vents violents, les flammes se sont propagées à une vitesse folle. En seulement quelques heures, le feu a parcouru plus de 1.000 hectares dans la nuit de mardi à mercredi dans le secteur de Bormes-les-Mimosas. Une avancée très rapide que le maire d'Artigues ainsi qu'un éleveur varois justifie par l'absence de débroussaillage... à cause de la présence du loup. "Il y a des loups, de plus en plus. Et beaucoup de bergers ont abandonné leurs troupeaux. Cette herbe sèche favorise les départs de feu plus rapidement qu'avant", se désole Gabriel Magne, le maire du village d'Artigues où 1.700 hectares sont partis en fumée. "Avec les loups, on ne peut plus aller en forêt et faire le débroussaillement. Avec les troupeaux, on était payé pour débroussailler les pare-feux. Cela fait deux ans que j'ai arrêté à cause des loups", poursuit l'éleveur Gilbert Villa.

"Non, le loup n'est pas responsable"

Une théorie qui a déclenché l'ire de l'association Ferus. "C'est une énième tentative de certains anti-loup de vouloir en faire le coupable de tous les malheurs du monde", écrit Férus dans un communiqué. "Les vrais responsables des incendies sont les pyromanes, jeteurs de mégots, faiseurs de barbecue et autres irresponsables, volontaires ou non (...) et le Mistral". 

Selon l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, trois meutes sont présentes dans le Var. Elles sont treize dans les Alpes-Maritimes.

L'association cite aussi l'exemple de la Corse, durement touchée depuis le début de la semaine par les incendies. "Le loup n’a pourtant jamais posé une patte sur l’île de Beauté".

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Brigitte Bardot en couverture du journal "La province" (Belgique) du 25 07 2017...

Publié le par Ricard Bruno

Journal La Province n°200 du 25/07/2017 (Belgique)

Brigitte Bardot en couverture du journal "La province" (Belgique) du 25 07 2017...
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En Espagne, les Baléares interdisent les corridas avec mise à mort !

Publié le par Ricard Bruno

Les taureaux ne pourront plus être blessés ni mis à mort...

Les taureaux ne pourront plus être blessés ni mis à mort...

Les toreros pourront toréer seulement munis de leur cape, et sans "aucun instrument pointu susceptible de produire des blessures et/ou la mort du taureau"

Le Parlement régional de l’archipel des Baléares a voté lundi une loi de protection des animaux réglementant drastiquement les corridas, interdisant notamment la mise à mort des taureaux.

 

Le texte, promu par la coalition de gauche au pouvoir dans l’archipel, permet aux toréros de toréer trois bêtes pour une durée maximum de dix minutes par animal, seulement munis de leur cape, et sans "aucun instrument pointu susceptible de produire des blessures et/ou la mort du taureau". 

Il oblige également les toreros et les bêtes à se soumettre à des contrôles antidopage avant et après le spectacle, et relève à 18 ans l’âge minimum pour y assister. 

Contourner la jurisprudence espagnole

Ce texte vise à contourner la jurisprudence de la Cour constitutionnelle espagnole, qui a annulé fin 2016 l’interdiction pure et simple de la tauromachie en Catalogne, estimant qu’il s’agissait d’une "mesure prohibitive" que les régions n’avaient pas le droit de prendre.

Les corridas, objet depuis des années d’un débat passionné entre défenseurs des animaux et partisans de la "fiesta nacional", sont inscrites à la liste du "patrimoine culturel immatériel" de l’Espagne, et l’Etat veille à ce titre à leur conservation. 

Multiplication de mesures anti-taurines

Un autre archipel, les Canaries, sont la seule région espagnole où l’interdiction des corridas est effective, depuis 1991. 

Les défenseurs des animaux y ont le vent en poupe depuis plusieurs années, le Parti contre la maltraitance animale ayant obtenu aux dernières législatives plus de 286 000 voix, contre environ 45 000 en 2008. 

Sous leur pression, des mairies conquises par la gauche en 2015 ont pris depuis des mesures anti-taurines, comme Madrid, qui a retiré sa subvention à l’école de tauromachie. 

Le nombre de corridas en Espagne n’a cessé de diminuer ces dernières années, passant de 475 en 2012 à 386 en 2016 selon le ministère de la Culture, alors que les partisans de la tradition soulignent que les "fêtes populaires" issues de traditions locales ont augmenté dans le même temps.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Je ne suis pas :

Publié le par Ricard Bruno

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Brigitte Bardot dans Vogue d'août 2017

Publié le par Ricard Bruno

Merci à Bernard D, pour ces informations.

Brigitte Bardot dans Vogue d'août 2017
Brigitte Bardot dans Vogue d'août 2017
Brigitte Bardot dans Vogue d'août 2017
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Brigitte Bardot retour au centre de saint tropez !...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot retour au centre de saint-Tropez !

Souvenirs, souvenirs...

Bruno Ricard 

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Brigitte en ce 23 juillet : Bonne fête !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot par le peintre "Serge de Saint-Tropez"...

Brigitte Bardot par le peintre "Serge de Saint-Tropez"...

Journée spéciale pour toutes les Brigitte du monde...mais une Brigitte me tien particulièrement à cœur...vous l'aurez deviné, Brigitte Bardot...pour qui j'ai une profonde tendresse...et une passion infinie...

Bruno Ricard

Ste Brigitte
Veuve, Fondatrice d’Ordre (1302-1373)

Sainte Brigitte naquit en Suède, de famille royale. Sa mère avait été sauvée d’un naufrage en considération de l’enfant qu’elle portait dans son sein. Bien qu’à sa naissance un saint personnage eût reçu de la Sainte Vierge l’assurance que cette enfant ferait entendre sa voix dans tout l’univers, Brigitte fut muette, jusqu’à l’âge de trois ans ; mais, ce temps écoulé, elle parla tout à coup aussi bien qu’une grande personne.

A l’âge de dix ans, elle fut singulièrement touchée d’un sermon sur la Passion du Sauveur. La nuit suivante, elle vit le divin Crucifié tout couvert de plaies et de sang, et L’entendit dire : "Regarde, Ma fille, comme J’ai été traité. – Et qui Vous a traité si cruellement ? dit-elle. – Ce sont ceux qui Me méprisent et sont insensibles à Mon amour pour eux." À partir de cette époque, la seule pensée des mystères de la Passion faisait couler ses larmes.

Une nuit qu’elle était en prière, sa tante, chargée de son éducation après la mort de sa mère, la surprit et voulut la frapper ; mais la verge se rompit entre ses mains. Brigitte, tout enfant, était souvent assaillie par le démon qui prévoyait en elle une grande ennemie ; mais elle trouvait un secours assuré en courant dans sa chambre se jeter aux pieds du crucifix qui lui avait parlé.

Malgré son goût pour la virginité, Brigitte accepta le mariage par obéissance ; elle et le prince, son mari, se préparèrent par un an de prières et de bonnes oeuvres aux obligations de leur état. Dieu donna à ces pieux époux huit enfants. Brigitte fut le modèle des mères par sa sollicitude envers sa famille ; elle éloignait de sa maison tout ce qui n’y aurait pas apporté l’édification et la vertu : "Après la lecture de la Bible, répétait-elle à ses enfants, n’ayez rien de plus cher que la Vie des Saints."

A la mort de son mari, elle s’adonna aux saintes oeuvres avec plus de liberté que jamais, apprenant à ses enfants à laver les pieds des pauvres, à soigner les plaies des malades, à soulager toutes les misères. Mais la grande mission de sa vie, Brigitte l’accomplit pendant ses dernières années, qu’elle passa dans la pénitence et la contemplation de Jésus Crucifié. Ses révélations étonnantes ont fait d’elle la merveille de son siècle.

C’est à Rome, où elle aimait à séjourner près des tombeaux des Saints, que le Sauveur lui fit connaître l’heure de sa mort prochaine ; elle rendit le dernier soupir en prononçant avec amour les dernières paroles de Jésus expirant : "Mon Père, je remets mon âme entre Vos mains."

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Brigitte Bardot dans "Elle Style" Québec collection n°2

Publié le par Ricard Bruno

Merci à Diane Audy...pour les informations...

Brigitte Bardot dans "Elle Style" Québec collection n°2
Brigitte Bardot dans "Elle Style" Québec collection n°2
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