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Byblos, la légende d’un palace...

Publié le par Ricard Bruno

Byblos, la légende d’un palace...
Byblos, la légende d’un palace

L’hôtel de Saint-Tropez fête cette année ses 50 ans. Rencontre avec Antoine Chevanne son propriétaire qui raconte cet établissement mythique construit pour Brigitte Bardot

Tout a déjà été dit sur l’Hôtel Byblos, dont le nom rend hommage à l’une des plus anciennes villes du Liban, celle où la légende veut qu’Adonis et Aphrodite se soient aimés. Décriés par certains, adulés par d’autres, le palace de Saint-Tropez et sa discothèque les Caves du Roy sont devenus un véritable mythe. A l’occasion de son 50e anniversaire, l’établissement s’est associé avec les prestigieuses Maisons Missoni, Audemars Piguet, Dom Pérignon, Goyard, Sisley et Rolls Royce en prévision de festivités féeriques.

Au-delà du strass et des paillettes, le Byblos a su traverser les modes et les âges avec une insouciance désarmante et un charme indéfinissable. Le gardien du temple, Antoine Chevanne, représentant de la quatrième génération de propriétaires, contribue dignement à ce succès. Avant-gardiste dans bien des domaines, il cultive sans relâche le luxe d’un art de vivre à la française tout en cultivant un profond respect des traditions.

L’effet BB

Le Byblos, c’est une saga. Son décor? Saint-Tropez, petit port de pêche du Sud de la France qui fascine et attise la curiosité depuis toujours. Fièrement attachés à leurs traditions, les 5000 Tropéziens de souche ont accueilli dès la fin du XIXe siècle écrivains, artistes et peintres fascinés par une luminosité incomparable. Les acteurs de cinéma leur emboîtent le pas. La rencontre entre Roger Vadim et Brigitte Bardot va bouleverser ce coin tranquille de Provence. En 1956, ils tournent ensemble sur la presqu’île Et Dieu créa la femme. Le monde entier découvre BB, sa moue boudeuse et sa beauté insolente. Les premières stars internationales de la chanson et du cinéma arrivent dans la foulée dans ce village en même temps que les premiers seins nus apparaissent sur les plages.

A l’autre bout de la Méditerranée, Jean-Prosper Gay-Para, homme d’affaires d’origine libanaise, nourrit une véritable passion pour l’actrice à qui il désire édifier un palais des Mille et Une Nuits. A Saint-Tropez, le projet défraie la chronique. Les travaux commencent en 1965, au pied de la Citadelle, à deux pas de la célèbre place des Lices et du port. Le 27 mai 1967, l’inauguration du Byblos a lieu durant trois jours de fêtes, en présence de ses deux marraines: Mireille Darc et Brigitte Bardot. Hasard ou contexte géopolitique, la Guerre des Six Jours éclate la même année. Jean-Prosper Gay-Para doit regagner le Liban et se séparer du Byblos.

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Et Brigitte Bardot créa Saint-Tropez...

Publié le par Ricard Bruno

Saint-Tropez, Brigitte Bardot devant sa maison La Madrague en 1960

Saint-Tropez, Brigitte Bardot devant sa maison La Madrague en 1960

Saint-Tropez attire toujours les célébrités comme un aimant : les peintres Matisse et Signac l’aimaient pour sa lumière, les écrivains Maupassant et Colette pour sa tranquillité. Mais c’est Brigitte Bardot qui le rendit célèbre dans les années 60.

Quand Brigitte Bardot a acheté «La Madrague» en 1956, pour (une bouchée de pain !) 7 000 000 d’anciens francs, ce n’était qu’un hangar à bateaux. Elle en dessina elle-même les plans, et se transforma en bricoleuse. Chaque année, il allait pousser des ailes à la maison, gentil cube blanc que l’on aperçoit à travers les eucalyptus de la baie des Caroubiers. Dès avril, un jardinier plante des œillets, des bleuets et des fuchsias. Un tunnel de lauriers roses conduit à la plage. Ivre de soleil et de grand air, Brigitte n’est jamais si gaie, si sereine, qu’à «La Madrague». Chaque jour, elle fait une sortie en mer sur une barque de pêche baptisée «Pacifou».

"La Madrague", tout un symbole

Mais «La Madrague», c’est aussi le symbole d’une vie privée impossible à protéger, malgré un mur que B.B. a fait construire pour empêcher le passage d’indésirables visiteurs. On la traque, l’appareil photo en batterie. Parfois, Brigitte Bardot apparaît dans la cohue du port. Dans son sillage, le Tout Paris devient le Tout Saint-Trop’ ! «Je dors, je sors et me dore. Ne pas déranger, merci !» Elle aurait souhaiter accrocher ces mots à la porte de sa maison. Un rêve…

Alors, le port tranquille devint le carrefour de toutes les modes, le village le plus peuplé, tumultueux et extravagant de France, et Saint-Tropez devint Saint-Trop’. 5 000 pêcheurs en hiver, 100 000 estivants et 20 000 voitures… Le grand embouteillage. Les gendarmes sont débordés. Au début, ils sont 11, dont un brigadier en congé de longue maladie. Bardot, c’est la Tour Eiffel de Saint-Trop’, Niarchos et son bateau, le serpent de mer.

Des yachtmen ancrés sur port

Trois types de populations  se côtoient à Saint-Tropez: celle des lacustres (yachtmen ancrés sur le port), celle des villas (invisible) et celle des touristes (grouillante). De 10 heures à 1 heure du matin, le cirque tropézien bat son plein. Les rites sont sacrés : petit déjeuner chez Sénéquier ; bronzage et baignade à Pampelonne. Pour prendre du soleil, deux mètres carrés de sable numérotés ; apéritif à l’Escale ; cocktail à bord des yachts ; dîner à l’intérieur des terres (Gassin, Ramatuelle…), twist et cha-cha à l’Esquinade… Le touriste de passage regarde la faune des habitués avec l’œil du zoologiste qui découvrirait une planète inconnue. Il ne s’arrache de là que s’il a aperçu, ou cru deviner : Bardot, Vadim, Sagan, Distel.

Paru dans Paris Match le 20 août 1982

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Dans les arènes de Nîmes, Julien Doré ose... «La corrida» de Francis Cabrel !

Publié le par Ricard Bruno

Julien Doré aux Victoires de la Musique, le 10 février 2017

Julien Doré aux Victoires de la Musique, le 10 février 2017

Ça s’appelle un joli pied de nez. De passage aux arènes de Nîmes, jeudi soir, dans le cadre du festival de la capitale gardoise, dans un amphithéâtre plein à craquer, Julien Doré, l’enfant du pays, a repris… La corrida de Francis Cabrel !

 

Végétarien et opposé à la corrida

Un hymne anti-corrida, qui n’a pas manqué de susciter quelques sifflets dans le public, dans cet écrin qui voit passer bon nombre de toreros chaque année…

Peu importent les quelques cris de désapprobation, le chanteur, végétarien et opposé à la tauromachie, a poursuivi son chant jusqu’au bout jeudi soir.

Dans les arènes de Nîmes, Julien Doré ose... «La corrida» de Francis Cabrel !
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En Thaïlande, l'envers du décor est sombre pour les "éléphants à touristes"...

Publié le par Ricard Bruno

En Thaïlande, l'envers du décor est sombre pour les "éléphants à touristes"...

Bangkok (AFP) - Les éléphants, exploités en masse par l'industrie du tourisme en Thaïlande, vivent souvent dans des conditions "inacceptables", met en garde jeudi une ONG internationale ayant réalisé une étude inédite sur le sort des pachydermes en Asie.

Les chercheurs de World Animal Protection (WAP) ont visité plus de 220 attractions montrant des éléphants à travers l'Asie, soit 90% des entreprises du secteur selon l'ONG.

Au terme d'une étude de deux ans, leur rapport, publié jeudi, éclaire un secteur échappant souvent aux régulations, avec au total les trois quarts des "éléphants à touristes" qui vivent dans des conditions "mauvaises voire inacceptables".

Sur les 2.923 éléphants recensés dans l'industrie du tourisme, 2.198 se trouvent en Thaïlande. Viennent ensuite l'Inde (617 éléphants), le Sri Lanka (166), le Népal (147), le Laos (59) et le Cambodge (36).

Pour ce qui est de l'évaluation des conditions de vie, l'Inde et la Thaïlande sont les plus mauvais élèves en Asie, alors qu'un pays comme le Cambodge traite plutôt bien ses éléphants employés dans le secteur touristique.

"Quand ils ne sont pas utilisés pour des promenades ou des spectacles, les éléphants sont enchaînés jour et nuit, le plus souvent avec une chaîne de moins de trois mètres de long", un constat fait à travers toute l'Asie, souligne le rapport.

"La nourriture qui leur est donnée n'est pas bonne, ils ont des soins vétérinaires limités et sont gardés souvent dans des endroits stressants, avec de la musique forte ou des groupes de touristes, sur un sol en ciment", conclut le rapport.

L'industrie des parcs à éléphants en Thaïlande s'est développée dans les années 1990, après l'interdiction de l'exploitation des éléphants pour transporter des arbres dans le secteur forestier.

Pour Jan Schmidt-Burbach, qui travaille pour WAP et est basé en Thaïlande, les touristes ont le pouvoir d'améliorer la vie de ces éléphants captifs en choisissant des sites qui favorisent l'observation des animaux.

"En règle générale, si vous pouvez étreindre, prendre un selfie ou monter sur un animal sauvage, c'est cruel et vous ne devriez pas le faire", explique-t-il à l'AFP.

L'ONG est particulièrement préoccupée par les cirques en Thaïlande, où les éléphants sont souvent vus en train de faire du tricycle, de marcher sur des haltères et même de jouer au basket.

"La formation nécessaire pour que les éléphants effectuent de telles prouesses est particulièrement cruelle et stressante", estiment les chercheurs.

Aujourd'hui, l'attraction est populaire auprès des dizaines de millions de touristes qui se rendent chaque année en Thaïlande. Toutefois commencent à apparaître des parcs à éléphants alternatifs, ne proposant pas de balades à dos de pachydermes mais seulement de les observer.

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L'image vintage du week-end : Brigitte Bardot en 1958...

Publié le par Ricard Bruno

L'image vintage du week-end : Brigitte Bardot en 1958...

60 après avoir acheté La Madrague, Brigitte Bardot est toujours indissociable de Saint-Tropez. Lieu de fêtes inoubliables dans les Seventies, havre de paix aujourd’hui… Saint-Tropez et B.B., une histoire qui dure depuis 1958. La preuve en image.

Été 1958, Brigitte Bardot entame sa plus belle et longue histoire d’amour : celle de La Madrague. À Saint-Tropez, le long de la plage, la jeune actrice de 24 ans qui est en train de devenir l’icône de plusieurs générations vient d’acquérir sa villa, La Madrague. Devenue mythique, cette maison continuera de lier étroitement Brigitte Bardot à la ville de Saint-Tropez dans l’esprit collectif. Dès 1956, les noms de Brigitte Bardot et de la petite ville portière devenue haut lieu de la jet set depuis les années 50 deviennent indissociables. Tout cela grâce au film de Roger Vadim Et Dieu créa la femme tourné à Saint-Tropez qui fait d’elle une star internationale à sa sortie. Sur cette image capturée par l’œil acéré de Willy Rizzo, la jeune actrice la plus demandée de sa génération profite du soleil méditerranéen pour se détendre entre deux tournages. Ultra prisée, Brigitte Bardot n’en n’oublie pas le plus important : prendre du temps pour elle et profiter de la vie. Une vie qu’elle croque à pleine dents. Balade dans la vieille ville avec ses animaux, sieste sur la plage, arrêt à la terrasse du Sénéquier, coucher de soleil sur le port… L’été est doux à Saint-Tropez pour Brigitte Bardot. Des airs de vacances que l’icône française, aujourd’hui âgée de 82 ans, a adoptés pour de bon en passant de calmes jours à la Madrague. Presque 60 ans après avoir acheté sa fameuse villa, l’actrice est toujours sous le charme de Saint-Tropez et Saint Tropez le lui rend bien.

L’exposition La belle histoire de Saint-Tropez de Willy Rizzo est à admirer jusqu’au 25 juillet 2017 au Studio Willy Rizzo, 12 rue de Verneuil 75007 Paris

Crédit photo : Brigitte Bardot sur le Port de Saint-Tropez 1958

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Adada investit l’ancien centre équestre à « La Combe Haute » pour ses 325 ânes

Publié le par Ricard Bruno

Selon l’association, 5.000 € par mois sont nécessaires pour assurer les soins de l’ensemble des ânes accueillis par Adada;

Selon l’association, 5.000 € par mois sont nécessaires pour assurer les soins de l’ensemble des ânes accueillis par Adada;

Sur 70 ha de prés, ce sont quelque 325 ânes qui vivent paisiblement sur Ambert et le Livradois-Forez. Un véritable sanctuaire constitué par l’association Adada qui se bat, depuis 1968, pour assurer un quotidien paisible à ces animaux, parfois victimes de leur succès.

Adada s'étend et pérennise ses actionsDepuis 2003, ce ne sont pas moins de 398 ânes qui ont été placés par Adada dans des familles d'accueil. Et le passage à la centaine supérieure n'est vraiment pas loin. « Deux vont partir ces jours-ci », précise Marinette Panabière, l'infatigable présidente depuis 1999 de l'Association nationale des amis des ânes, reconnue d'utilité publique depuis 2008.

Infatigable et motivée au regard de l'activité de cette association, créée en 1968 par le peintre corrézien Raymond Boissy dans le but de réhabiliter l'âne afin d'éviter sa disparition. Les années passant, l'association apporte ses conseils aux propriétaires et adhérents avant de devoir changer son fusil d'épaule. « On s'est rendu compte qu'il y avait plein de problèmes », explique Marinette Panabière.

Dans des états épouvantables

Devenu à la mode, l'âne était en effet confronté au danger de l'abandon et à la malnutrition. « On achète un ânon, petite peluche vivante, et, quand elle grandit, on n'en veut plus », poursuit-elle. Et les histoires ne manquent pas au fil de ces années d'expérience. « Il y en a qui arrivent dans des états épouvantables. Il y a six ans, on avait vu sur internet une annonce pour un âne à vendre pour la boucherie… Il s'était blessé et ne pouvait plus faire de randonnées ». La pauvre bête est récupérée et soignée. L'amputation ne pourra être évitée mais grâce à la mobilisation d'Adada et de son faisceau de soutien, une prothèse sera conçue par le CHU de Clermont-Ferrand pour que l'animal retrouve les champs ! Outre cette veille sur internet, l'association intervient aussi sur signalement, en lien avec les mairies, les familles ou la DDPP (Direction départementale de la protection des populations).

Depuis, ce sont 325 ânes et mulets de tous âges, qui sont soignés et (ré)éduqués au refuge, au point de faire du territoire un sanctuaire des ânes. Face à ce nombre, en augmentation, Adada dispose de 36 prés et d'un refuge à vocation nationale, à proximité d'Ambert, à la Gravière d'Auzelles où sont accueillis 32 ânes, uniquement des mâles. Le reste est réparti majoritairement sur Ambert, Bertignat, Saint-Just-de-Baffie, Vertolaye… et la place manque encore.

Face à ce besoin, l'association et son millier d'adhérents, s'est doté, en août 2016, grâce au soutien financier d'une fidèle donatrice belge, d'un ancien centre équestre à « La Combe Haute ». De quoi pérenniser encore l'association et y installer ses pensionnaires sur les 20 ha de terrains (pour un total de 70 ha pour l'ensemble occupé par l'association). « Il y a aussi des granges pour le foin, une carrière, une salle de réunion, des box », souligne Marinette Panabière qui cherche désormais un responsable sur place.

n'a pas fait tout ça pour que ça s'arrête

« Toute seule, je ne peux plus », lâche-t-elle, éprouvée par le décès en février dernier de son époux, Étienne, qui l'aidait efficacement dans cette rude tâche. « On n'a pas fait tout ça pour que ça s'arrête », reprend-elle aussitôt. Des premiers travaux ont déjà été effectués tant sur l'assainissement que pour la pose de clôture. Mais les bénévoles manquent encore pour achever ce travail. Deux journées de mobilisation seront d'ailleurs organisées les 23 et 24 septembre prochains.

En attendant, l'association continue d'informer les futurs propriétaires, responsabiliser et encourager les adoptions. Mais avant de partir dans les familles, Trogentil, Théou, Jeanot, Hercule ou Nana passent au moins six mois au refuge afin de voir s'ils peuvent être adoptés, « le temps aussi de faire les papiers, de les soigner ». Et le protégé ne rejoint une famille que si celle-ci a déjà un autre âne ou un équidé à domicile. 450 € de participation aux frais sont demandés. « On voit où va l'âne et, deux fois par an, on prend des nouvelles. L'adoptant n'a pas le droit de vendre, ni de placer l'âne », précise Marinette Panabière.

De même, le public peut également parrainer un âne via un contrat de parrainage (50 € par mois, déductibles des impôts). 230 environs ont été signés.

Salariés
Adada compte actuellement 19 salariés, entre les soigneurs (10), les personnes chargées de l'entretien ou du secrétariat. Depuis son installation, l'association a employé 80 personnes.
Finances
Avec un chiffre d'affaires d'environ 650.000 €, Adada ne bénéficie d'aucune aide publique. « Nous vivons avec les dons », note Marinette Panabière : la Fondation Brigitte-Bardot, 30 Millions d'Amis ou des donateurs ainsi que les cotisations d'adhérents. L'association note aussi son impact sur l'économie de la région, estimant à 560.000 € par an les dépenses effectuées sur le territoire. Animations
Afin de financer ses actions, Adada organise des manifestations, démonstrations, randonnées, concours d'attelage… À l'initiative de Marie-Anne Hauchard, adhérente et membre du Golf de Royat-Charade, 44 golfeurs ont participé à une compétition caritative au profit d'Adada, le 11 juin dernier.

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Chienne retrouvée massacrée sur un balcon: le propriétaire jugé pour actes de cruauté envers un animal

Publié le par Ricard Bruno

Chienne retrouvée massacrée sur un balcon: le propriétaire jugé pour actes de cruauté envers un animal

Un homme de 59 ans était renvoyé mercredi devant le tribunal correctionnel d'Aix pour sévices graves et actes de cruauté envers un animal.

L'association Les amis de Sam avait révélé le 23 mai dernier la découverte d'une petite chienne massacrée et la gueule en lambeau sur un balcon dans une résidence aixoise. 

« Arrivé sur les lieux, on aperçoit une chienne au troisième étage en sang sur le balcon, le sang dégouline jusqu'en bas. D'après des témoins la chienne a été prise à coup de tire bouchon » avait expliqué l'association sur Facebook.

Après avoir emmené le petit Jack russell, nommé Bonnie, chez le vétérinaire, il recevra 5 points sous cutanés et 17 points cutanés.

Le refuge avait alors décidé de déposer plainte pour actes de cruauté.

Le propriétaire reconnaît les faits

"Jean Luc, les épaules basses reconnaît les faits. Plus tard, il dira même que ce qu'il a fait ce soir-la est inacceptable, impardonnable", relate La Provence.

Le retraité, suivi pour dépression, ne réussira pas à expliquer son geste et déclarera avoir trop bu et ne se souvenir de rien.

Toujours selon le quotidien, l'homme sera même effaré à la vue des photos des sévices qu'il a fait vivre à l'animal. 

Le procureur a requis deux mois de prison avec sursis, l'interdiction de détenir un animal pendant 5 ans et la confiscation de ses chiens.

Avant de préciser, comme le rapporte le journal, qu'au "vue des désagréments constatés pendant le temps de l'enquête, [il] ne souhaite pas que ces chiens soient confiés à la Fondation Brigitte Bardot ni aux Amis de Sam".

Une déclaration qui aurait créé de vives réactions, l'association Les Amis de Sam s'étant occupée depuis le début des chiens. 

Décision du tribunal le 16 août.

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Paris : les bœufs du jardin d’acclimatation recueillis par Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Paris : les bœufs du jardin d’acclimatation recueillis par Brigitte Bardot

Ils ont grandi avec deux générations de visiteurs du jardin d’acclimatation (XVIe), menant leur tranquille vie de bovins dans un enclos de nature aux portes de Paris. Ce mercredi soir, pour la première fois depuis 19 ans, Pipo et Pacha ont pris la route… et leur retraite. Direction la Normandie, non loin de la Mare Auzou, le tout premier refuge créé dans l’Eure par Brigitte Bardot, il y a 25 ans pour y recueillir les animaux d’élevages sauvés des abattoirs ou de l’abandon de leurs éleveurs. Aujourd’hui, les différents refuges ouverts par la Fondation accueillent 700 bovins, rescapés d’un probable trajet direct pour l’abattoir. « Nous avons aussi un millier de moutons, 300 chèvres et 150 cochons, auxquels nous garantissons une retraite à vie », souligne Romy Turpin, responsable juridique de la Fondation, et chargée des animaux de ferme.

A quelques semaines d’engager les grands travaux de sa « métamorphose » annoncée, le plus ancien parc de loisirs français a fait appel à la Fondation Brigitte Bardot pour accueillir les deux bœufs de sa ferme pédagogique, qui ne reviendront pas après transformation. « Tous les parcs ou les éleveurs ne se préoccupent pas de trouver une solution pour leurs animaux, donc c’est une bonne chose », note Romy Turpin.

Mais que deviendront les autres ? La plupart ont été provisoirement confiés à d’autres parcs et reviendront d’ici le mois d’avril, pour la réouverture. « La ferme continuera d’exister et va même s’améliorer, mais il n’y aura plus de gros animaux », explique Christophe Jalladeau, qui pilote l’équipe de soigneurs du jardin parisien (géré par LVMH propriétaire du Parisien). La ferme qui compte aujourd’hui environ 300 bêtes à poils et à plumes, retrouvera ses 150 canards, ses chèvres, ses lapins etc., mais « les deux aurochs sont partis dans la région Nantaise, dans des parcs où ils resteront définitivement, et seulement 2 des 4 ânes reviendront », confirme Christophe Jalladeau. « L’idée du futur jardin, c’est de créer des espaces thématiques, par exemple l’un sera dédié à la biodiversité mondiale, et la volière rénovée accueillera beaucoup d’espèces exotiques. Un autre espace sera consacré au monde rural. Nous aurons par exemple des petits moutons d’Ouessant, les lapins auront de vrais enclos et non plus des clapiers, et tous les animaux bénéficieront d’un double enclos, pour qu’ils puissent s’y réfugier mettre en retrait ».

A la lisière du Bois de Boulogne, les 20 ha d’espace vert garderont bien leur rivière enchantée, leur petit train si bucolique, leurs attractions traditionnelles et leurs enclos d’animaux de ferme, mais le site remodelé sur le thème « Paris nature », qui a attiré 1,8 million de visiteurs en 2016 prévoit de rendre sa place à la nature.

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Un chien retrouvé pendu à Peillon...

Publié le par Ricard Bruno

Un chien retrouvé pendu à Peillon...

Après avoir disparu en octobre 2016, Link, un jeune cane corso de 2 ans, a été retrouvé, mi-juin, pendu par un câble électrique à seulement quelques kilomètres de son domicile. Ce sont des voisins, qui, alertés par le bruit d’animaux, ont découvert la pauvre bête suspendue à un arbre, en train de se faire dévorer par des renards.

La gendarmerie, alertée, s’est ensuite rendue sur place pour constater les faits. Une enquête est ouverte.

La propriétaire, Linda Carlès, habitante de Borghéas Supérieur, est encore sous le choc: "Quand je me suis aperçue que Link avait disparu, je ne me suis pas inquiétée tout de suite. Cela lui arrivait de s’échapper et de revenir quelques heures après. Mais au bout de plusieurs jours, j’ai plutôt pensé qu’on l’avait enlevé, c’était un beau chien de race."

Un avis de recherche est alors lancé sur les réseaux sociaux, en vain. "Quand on m’a appelé pour me dire que mon chien avait été retrouvé pendu tout près de chez moi, je n’ai pas réalisé tout de suite, choquée par la brutalité et la cruauté d’un tel acte."

Dépôt de plainte et "BB" partie civile

Linda dépose plainte à la gendarmerie, l’association de Brigitte Bardot s’est portée partie civile pour avoir accès au dossier et avec l’association de la SPA, elles suivent cette affaire de près. Car des zones d’ombre restent à éclaircir pour comprendre ce qui a pu arriver à la pauvre bête.

Vengeance ? Acte isolé ? "Je ne sais pas, je n’ai jamais eu de problème avec “Link”. Avec les voisins, ça se passait bien, c’était un chien adorable. "

Link a été retrouvé à Borghéas Supérieur, à l’ancien chenil, près de la piste. "Il faut connaître le coin pour aller là-bas, c’est un endroit assez reculé. Et il faut quand même avoir une sacrée force pour pouvoir le soulever", explique Linda. Le chien qui avait presque atteint sa taille adulte faisait une trentaine de kg.

Des analyses ADN

Une demande a été faite pour pouvoir réaliser des analyses ADN sur le câble électrique avec lequel Link a été pendu. Mais serait-il mort avant d’avoir été pendu?

Quand a-t-il été pendu ? "On a un doute sur la date de cet acte de cruauté, on ne sait pas encore s’il a été pendu en octobre, quand il a disparu, et le froid de l’hiver l’aurait conservé, ou s’il l’a été peu de temps avant sa découverte ?". Si tel est le cas, où était Link pendant ces mois d’intervalle entre sa disparition et cette macabre découverte?

L’enquête suit son cours et devra répondre à ces nombreuses questions qui restent pour le moment sans réponse.

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