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Dunkerque : Un pêcheur recherché pour avoir frappé un bébé phoque

Publié le par Ricard Bruno

Le bébé phoque blessé. — LPA de Calais

Le bébé phoque blessé. — LPA de Calais

L’ONG Sea Shepherd et le Centre de soins de la faune sauvage de la LPA de Calais ont annoncé leur intention de déposer conjointement une plainte contre un pêcheur. Ce dernier est suspecté d’avoir volontairement frappé un bébé phoque, dimanche, sur la plage de Dunkerque, dans le Nord.

Selon Sea Shepherd, un pêcheur au filet a frappé à plusieurs reprises, au niveau de la tête, une jeune femelle phoque échouée sur la plage, dimanche matin. L’ONG précise que c’est un témoin de la scène qui s’est interposé et sauvé la vie de l’animal. Selon les récits des personnes présentes collectés par Sea Shepherd, le mis en cause s’en est pris au phoque, l’accusant de détruire ses filets.

Un animal déjà affaibli

La police a été contactée mais le pêcheur avait quitté les lieux avant l’arrivée de la patrouille. Néanmoins, selon nos informations, plusieurs témoins ont pu fournir aux fonctionnaires le signalement de l’homme, sa photo ainsi que l’immatriculation de son véhicule. La LPA de Calais, qui a recueilli le phoque, a confirmé à 20 Minutes qu’une plainte allait être déposée conjointement avec l’ONG Sea Shepherd pour « destruction volontaire d’espèce protégée ».

Baptisée Laëtitia, la femelle bébé phoque est actuellement soignée au Centre de soins de la faune sauvage. « Elle était un peu malade, c’est pour cela qu’elle s’est échouée. Elle souffre aussi d’ecchymoses à la tête après les coups portés. Un vétérinaire la suit depuis dimanche et elle va mieux aujourd’hui », assure-t-on à la LPA de Calais. Âgé entre deux et trois mois, l’animal doit entrer dans une période de réhabilitation avant de pouvoir être relâché.

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Après lui avoir brisé les pattes, il laisse son chien attaché à un camion durant 10 jours sans nourriture

Publié le par Ricard Bruno

JAMAIS je ne pourrais m'y résoudre, tant que de telles horreurs auront lieu, je me lèverais contre cette barbarie incommensurable que fait subir l'être "dit humain" aux animaux, ça me met dans une rage noire de voir de tels cas de maltraitance, il faut absolument que ce gouvernement se bouge "le cul" par la création d'un véritable ministère dédié aux animaux ! maintenant il faut AGIR et ne pas rester le cul visser sur une chaise, marre de tous ces massacres qui n'en finissent pas, ça ne peut plus durer, écouter le peuple Français dans sa grande majorité qui veut une véritable justice pour les animaux, ON VEUT des peines exemplaires pour les tortionnaires !

Bruno Ricard 
 

Duke, un chiot âgé de 10 mois, a vécu un véritable enfer. 

Ce dernier a passé 10 jours attaché à un vieux camion, sans être nourrit ou soigné. Son propriétaire "n'en aurait plus voulu après que Duke soit tombé malade". 

Heureusement pour lui, une femme a informé une association de sauvetage de la commune, le RSDR Rudozem Street Dog Rescue, et il a rapidement été pris en charge. 
Les bénévoles ont été choqués de l'état de la pauvre victime : Il pataugeait dans ses propres excréments, était recouvert de puces et en état de malnutrition avancé

Les pattes étaient brisées

Pire encore, les vétérinaires qui l'ont pris en charge ont découvert qu'il avait les pattes brisées. Son ancien propriétaire avait du le battre, avant de le laisser pour mort attaché à ce camion. 

Lorsque le présidant de l'association, Tony Rowles, est arrivé sur place, il fut littéralement choqué de l'état du chien. Après avoir été soigné en urgence dans une clinique vétérinaire, Duke a été accueilli chez Tony, qui ne souhaitait pas qu'il aille au refuge. Très apeuré durant les premières semaines parce que peu habitué à recevoir de l'amour, Duke a fini par s'acclimater à ce confort dont avait droit les autres animaux de la maison.

Mais les lésions étant nombreuses, une intervention chirurgicale pour réparer ses pattes brisées fut programmée, allongeant sa durée de convalescence.

Une histoire qui finit bien

Heureusement, c'est une histoire qui finit bien : Duke a été adopté par une femme touchée par son histoire. Il est aujourd'hui couvert d'amour dans son nouveau foyer. 

Souhaitons à lui et sa nouvelle humain tout le bonheur qu'ils méritent !

Source de l'article et vidéo : Cliquez ICI

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À Roye, un chien traîné à l’arrière d’une voiture

Publié le par Ricard Bruno

La scène, hallucinante, a été filmée et diffusée ce lundi soir sur les réseaux sociaux. On y voit un chien attaché à l’arrière d’une voiture, tiré dans les rues de Roye. Justine, l’auteure de la vidéo, témoigne. Elle doit porter plainte ce mardi à la gendarmerie. La SPA et la fondation Brigitte Bardot également portent plainte.

Capture d’écran de la vidéo montrant le berger allemand traîné derrière l’utilitaire lundi 16 septembre à Roye.  Photo ER /DR

Capture d’écran de la vidéo montrant le berger allemand traîné derrière l’utilitaire lundi 16 septembre à Roye. Photo ER /DR

Elle a des sanglots dans la voix en racontant la scène. Ce lundi, peu avant 20 h, alors qu’elle était dans son jardin à Roye, Justine voit arriver un utilitaire avec, à l’arrière, un berger allemand attaché au coffre avec sa laisse. « J’ai d’abord pensé que le chien courait après le véhicule. Je me suis dit que ça n’était pas possible, qu’il ne pouvait pas faire ça ! », témoigne-t-elle, très marquée par ce qu’elle a vu.

La jeune femme a le réflexe de filmer quelques secondes puis de courir dans la rue où réside le propriétaire du chien, un septuagénaire avec qui elle a déjà eu maille à partir au sujet de ses animaux. « Une quinzaine de voisins, témoins de la scène, étaient dehors dans la rue, scandalisés », affirme-t-elle.

Après avoir parcouru environ 1 km dans ces conditions, le chien, ensanglanté, présente des plaies à la face. Mais son maître ne semble pas alarmé selon Justine. « Pour lui c’était normal, il n’était pas choqué. Il a donné une tape sur la tête du chien. Comme si de rien n’était. Il voulait plutôt qu’on lui foute la paix ».

« Il laisse divaguer ses chiens. Ils ont attaqué mes chats. Je ne les aimais pas. Aujourd’hui, je veux les sauver. C’est dégueulasse de faire ça. Il faut agir »,

Justine, témoin de la scène

Emmené chez le vétérinaire

Immédiatement, les voisins, choqués, appellent les gendarmes de Lure, qui interviennent quelques minutes plus tard. Après discussion avec le propriétaire, l’animal lui est retiré et confié à la clinique vétérinaire de la Saline à Lure, où il est toujours pris en charge ce mardi. Contacté, l’établissement ne souhaite pas communiquer sur son état de santé.

« Il est bien blessé à la face et aux membres », indique toutefois Bernard Armand, membre de l’unité maltraitance animale à la SPA Boules de Poils de Dampvalley-lès-Colombe, qui a été rapidement prévenu lundi soir. « Cette personne qui a fait ça n’était pas dans son état normal, ça n’est pas possible pour faire des choses pareilles. C’est inadmissible », s’étrangle le bénévole.

La SPA et Justine ont rendez-vous ce mardi en début d’après-midi à la gendarmerie de Lure pour porter plainte. La fondation Brigitte Bardot a également annoncé son intention de saisir la justice. D’autres riverains et associations de protection animale pourraient suivre.

Justine affirme avoir interpellé la mairie de Roye à deux reprises depuis le début de l’année à propos du propriétaire et de ses animaux. «  Il laisse divaguer ses chiens. Ils ont attaqué mes chats. Je ne les aimais pas. Aujourd’hui, je veux les sauver. C’est dégueulasse de faire ça. Il faut agir », plaide-t-elle.

 

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France 3 ne veut plus parler des corridas à Nîmes !

Publié le par Ricard Bruno

Merci à Thierry Hély !

Merci à Thierry Hély !

France 3 ne veut plus parler des corridas à Nîmes (deuxième ville taurine de France). Le coup est RUDE pour les aficionados ! D'autant plus que cela risque de faire tache d'huile... Bravo France 3 !

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Chasse en captivité : alerte aux sordides safaris des campagnes

Publié le par Ricard Bruno

Chasse en captivité : alerte aux sordides safaris des campagnes

Une association de protection de la faune sauvage révèle les dessous cruels de la chasse en captivité : des milliers d’animaux élevés pour ce «loisir» sont en effet traqués dans des parcs grillagés.

«C’est un parc d’attractions pour chasseurs.» Visage flouté, un enquêteur résume en quelques mots l’enquête qui sera révélée ce samedi par l’Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas), et intitulée «Carnage derrière le grillage». Les images, tournées en caméra cachée entre septembre 2018 et février 2019 dans un parc de chasse de Nouvelle-Aquitaine, montrent notamment un sanglier acculé, achevé à coups d’épieux, déchiqueté par des meutes de chiens. «Comme ils sont sûrs de l’avoir, ils ne le tuent pas tout de suite, il faut s’être amusé avec», commente l’enquêteur, qui dénonce chez les chasseurs un «plaisir de voir l’animal en détresse».

Selon l’Aspas, entre 50 000 et 100 000 sangliers, cerfs, chevreuils, mouflons ou daims sont ainsi élevés pour être chassés sur environ 1 300 terrains privés et grillagés dont ils ne peuvent s’échapper. Sur place, tout est adapté à ce «loisir» : pistes aménagées, miradors, parfois même salles de découpe du gibier, restauration… «Ces parcs sont légaux, précise Madline Rubin, directrice de l’Aspas. Comme lors d’un safari, les chasseurs paient pour venir traquer les animaux et s’amusent à les harceler pendant des heures avant de les abattre.» L’activité est lucrative : une journée de chasse avec à la clé 20 sangliers tués est par exemple facturée 9 000 euros aux chasseurs selon l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS).

Une des voies d’accès vers un autre parc de ce type. Photo Aspas

Une des voies d’accès vers un autre parc de ce type. Photo Aspas

La réglementation distingue deux types de structures : les parcs, au sein desquels la chasse est ouverte aux mêmes périodes qu’à «l’extérieur», et les enclos, qui sont des terrains dotés d’une habitation et d’une clôture permanente ; là, la chasse est autorisée toute l’année. Selon l’Aspas, l’opacité règne dans ces enceintes privées car «les agents de l’ONCFS, chargés de contrôler la chasse partout ailleurs, n’ont pas le droit d’entrer dans les enclos sans mandat particulier». En outre, certains animaux chassés dans ces parcs et enclos proviendraient de l’étranger, comme des cerfs ou des sangliers importés de Pologne ou de Hongrie, ce qui soulève des questions d’ordre sanitaire, certains animaux parvenant à s’évader.

A LIRE AUSSI[Reportage] Chasse : «D’habitude, nous avons la bonne idée de nous tuer entre nous»

L’Aspas demande donc l’interdiction de la chasse en captivité, «cruelle et totalement aberrante sur le plan écologique». De plus, elle souligne que les élevages de sangliers destinés ces chasses commerciales apparaissent d’autant plus choquants que les chasseurs mettent régulièrement en avant leurs difficultés à réguler les populations en liberté. Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture, avait d’ailleurs déclaré sur CNews, le 29 août, qu’il y avait «beaucoup trop de sangliers» et qu’il fallait en «prélever plus». Or la France compte au moins 350 élevages de sangliers destinés à la chasse, et aucune statistique nationale ne permet de savoir combien de sangliers sont lâchés officiellement… et encore moins officieusement.

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Brigitte Bardot Nouveautés

Publié le par Ricard Bruno

Ce disque sorti très récemment (août 2019) a été autorisé par Brigitte Bardot...disponible uniquement sur le site de la FNAC Prix : 16 euros
Ce disque sorti très récemment (août 2019) a été autorisé par Brigitte Bardot...disponible uniquement sur le site de la FNAC Prix : 16 euros

Ce disque sorti très récemment (août 2019) a été autorisé par Brigitte Bardot...disponible uniquement sur le site de la FNAC Prix : 16 euros

Ce disque aussi sorti en août 2019 n'a pas été autorisé par Brigitte Bardot
Ce disque aussi sorti en août 2019 n'a pas été autorisé par Brigitte Bardot

Ce disque aussi sorti en août 2019 n'a pas été autorisé par Brigitte Bardot

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Pour un ministère de la protection animale

Publié le par Ricard Bruno

Durant une corrida à Nîmes (Gard), en 2010.

Durant une corrida à Nîmes (Gard), en 2010.

Un collectif de personnalités artistiques et de responsables d'association demande au gouvernement le retrait de l'attribution «protection animale» au ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.

Tribune. Alors que 3 Français sur 4 souhaitent l’abolition de la corrida, que cette pratique est qualifiée d’acte de cruauté et de sévice grave par le code pénal, lequel l’interdit sur 90 % du territoire français et sanctionne les auteurs de cette infraction à deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende, Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture, assistait le 14 août à une corrida dans les arènes de Bayonne. Le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation a pourtant la protection animale sous sa responsabilité. Elle fait partie de ses attributions au titre du décret du 24 mai 2017. La présence du ministre à cette corrida, où six taureaux ont été mis à mort, témoigne sans conteste du profond mépris qu’il a pour la protection animale, ce qui est incompatible avec sa mission.

Avec une note de 2,2/20 sur le site Politique & Animaux, qui évalue les personnalités politiques en fonction de l’impact favorable ou non de leurs décisions sur les animaux, Didier Guillaume s’inscrit dans une désormais longue tradition de complaisance à l’égard de la souffrance animale. Il affirme en outre «ne pas connaître un chasseur qui ne soit pas un protecteur du bien-être animal»… (1) Le ministre n’envisage ainsi pas d’interdire la castration à vif ni la coupe des queues des porcelets (2), malgré les souffrances considérables qu’elles engendrent et alors même que des alternatives sont en vigueur dans d’autres pays. Il a augmenté le nombre de loups pouvant être abattus. Il s’est également opposé à l’abolition de la chasse à la glu, qui piège même les oiseaux en voie de disparition, ce qui constitue une infraction à la directive européenne Oiseaux et a valu à la France d’être récemment mise en demeure par la Commission européenne pour qu’elle se mette en conformité. De la part d’un ministre en charge de la protection animale, cela est extrêmement inquiétant et lui ôte toute crédibilité dans la poursuite de cette attribution.

Il apparaît aujourd’hui manifeste que monsieur Didier Guillaume ne peut plus rester en charge de la protection animale. La compétence «protection animale» doit donc lui être retirée pour être confiée à un ministre qui en aurait la charge exclusive. Plus généralement, il est  indispensable que la protection animale, qui dépend à l’heure actuelle du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, fasse l’objet d’un ministère indépendant, libéré de tout conflit d’intérêts avec les lobbys de l’agriculture, de l’élevage, de l’alimentation ou de la chasse. 89 % des Français jugent la question animale importante, 77 % sont favorables à la création d’un ministère de la protection animale. La volonté affichée du gouvernement de faire du bien-être animal une priorité trouverait là une application concrète, loin des seules déclarations d’intention. Par conséquent, nous, signataires de cette tribune, demandons au président de la République, Emmanuel Macron, et au Premier ministre, Edouard Philippe :
– le retrait de l’attribution «Protection animale» au ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation ;
– la nomination d’un(e) ministre de la Protection animale reconnu(e) pour son engagement et son expertise en matière de protection des animaux.

Signataires : AFAAD, Association en faveur de l’abattage des animaux dans la dignité ; Anouk Aimée, actrice ; Nathalie Baye, actrice ; Alliance anticorrida, association pour l’abolition des corridas ; Souad Amidou, actrice ; Pamela Anderson, actrice ; Yaël Angel, juriste, documentation technique du Parti animaliste ; Animal Cross, association de protection des animaux ; AJD, Animal, justice et droit ; Association Droits des animaux, association pour la reconnaissance des droits des animaux ; Association et refuge GroinGroin, refuge pour animaux de ferme ; Association Gorilla, association pour la protection des gorilles et primates ; ASPAS, association pour la protection des animaux sauvages ; Association Stéphane-Lamart, association dédiée à la défense des droits des animaux ; AVES France, association pour la protection des espèces menacées ; Laurent Baffie, humoriste ; Brigitte Bardot, actrice et fondatrice de la Fondation Brigitte-Bardot ; Phil Barney, chanteur ; Nathalie Baye, actrice ; Valentin Bernard, coprésident du Parti animaliste ; Christine Berrou, humoriste, comédienne, auteure ; Claude Boucher, association LI-ZA (association de protection animale et d’adoption) ; CNDA, Confédération nationale défense de l’animal (réseau des refuges indépendants) ; Florence Burgat, philosophe et directrice de recherche à l’INRA ; C’est Assez !, association engagée dans la défense des cétacés captifs ; Code animal, association spécialisée dans la relation entre l’espèce humaine et l’animal sauvage ; Mario d’Alba, acteur et compositeur ; Pascal Danel, chanteur et compositeur ; Hélène de Fougerolles, actrice ; Mylène Demongeot, actrice ; Sophie Dol, vétérinaire ; Michel Drucker, animateur et producteur de télévision ; Isabelle Dudouet-Bercegeay, cofondatrice et coprésidente du Parti animaliste ; Anny Duperey, actrice ; Fédération CREL, association de défense des lévriers ; FLAC Anticorrida, Fédération des luttes pour l’abolition des corridas ; Fondation Brigitte-Bardot, fondation vouée à la protection des animaux ; Sophie Forte, comédienne et scénariste ; Galgos sans famille, association de sauvetage des lévriers espagnols ; Marc Giraud, naturaliste, écrivain et journaliste spécialisé en zoologie ; Laure Gisie, coprésidente du Parti animaliste ; Global Earth Keeper, ONG qui vise à renforcer les lois internationales sur la protection animale et environnementale ; Chantal Goya, actrice et chanteuse ; Olivier Gracia, écrivain et éditorialiste politique ; Astrid Guillaume, coprésidente de la Société française de zoosémiotique ; Audrey Jougla, auteure et professeure de philosophie, fondatrice de l’association Animal Testing (association pour rendre visibles les animaux de laboratoire) ; Florence Juralina, coprésidente du Parti animaliste ; Virginie Lemoine, humoriste et actrice ; L214 Ethique et Animaux, association de protection animale œuvrant pour une pleine reconnaissance de la sensibilité des animaux et l’abolition de pratiques ; Martine Lelouch, actrice ; Gérard Lenorman, auteur, compositeur, interprète ; Caroline Loeb, actrice, animatrice de radio, chanteuse, metteuse en scène ; Douchka Markovic, cofondatrice et coprésidente du Parti animaliste ; André Ménache, vétérinaire ; Raphaël Mezrahi, humoriste et acteur ; Nicoletta, chanteuse ; No Corrida, association anticorrida ; One Voice, association pour les droits des animaux et le respect de toute vie ; Paris Animaux Zoopolis, défense des intérêts des animaux, sans distinction d’espèces ; le Parti animaliste, parti politique pour les animaux ; Peta France, association dédiée à établir et à protéger les droits de tous les animaux ; Laurent Petitguillaume, animateur de télévision et de radio ; Matthieu Ricard, docteur en génétique cellulaire, moine bouddhiste tibétain, auteur et photographe ; Firmine Richard, actrice ; Sylvie Rocard, écrivaine ; Michel Sardou, chanteur ; Dany Saval, actrice et présidente de l’association LI-ZA ; Sea Shepherd France, ONG internationale de défense et de protection des océans ; Henry-Jean Servat, écrivain et journaliste ; Agnès Soral, actrice ; SPA, Société protectrice des animaux ; Laurent Spielvogel, acteur, metteur en scène et humoriste ; Stone, chanteuse et actrice ; Hélène Thouy, cofondatrice et coprésidente du Parti animaliste ; Corinne Touzet, actrice ; Une histoire de galgos, association de sauvetage des galgos et podencos martyrs d’Espagne ; Isabelle Yvos, coprésidente du Parti animaliste.

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« Je protège mon animal » : la carte indispensable en cas d’accident

Publié le par Ricard Bruno

La mairie de Montpellier vient de mettre en place un système de protection des animaux en cas d'accident de leur maître. Son nom ? "Je protège mon animal."

Qu’arrive-t-il à un animal domestique lorsque son maître est victime d’un accident ? Pour éviter que la pauvre bête ne se retrouve pas privée de soins pendant plusieurs jours, la ville de Montpellier a mis en place un ingénieux système : une carte indiquant « j’ai un animal seul chez moi », à placer dans son porte-monnaie. Une première en France.

« Je protège mon animal » : la carte indispensable en cas d’accident

Lorsque l’on vit seul, difficile de s’assurer que son animal sera pris en charge en cas d’accident ou d’hospitalisation soudaine. C’est pour y remédier que Valérie Barthas-Orsal, déléguée à l’animal en ville à la mairie de Montpellier, a eu cette idée brillante : un carton de la taille d’une carte de visite, signalant la présence d’un animal chez soi et les coordonnées d’une personne de son entourage à contacter.

Ainsi, en cas d’intervention, les secours peuvent alerter un proche pour qu’il s’occupe de l’animal en l’absence de son maître. Isabelle, qui vit seule avec son chien Félix, a immédiatement adopté le système « Je protège mon animal ». Elle explique à France Bleu être ainsi rassurée :

« Lorsqu’on vit seule, forcément, on se préoccupe de ce qu’il arriverait à notre animal en cas de situation extrême. Mon chien, c’est un être sensible et intelligent, si je ne rentre pas à la maison, il va vraiment se sentir mal. »

Autre avantage, la carte permet également de soulager les refuges trop souvent surchargés. En effet, en cas d’accident, si les secours ne savent pas qui contacter, c’est auprès de la SPA qu’ils se tournent.

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«Personne n’a bougé pour ce phoque emprisonné dans un filet de pêche»: le coup de sang d’un touriste verlainois à Berck-sur-Mer

Publié le par Ricard Bruno

Au milieu de la colonie, un phoque se débat avec un filet de pêche.

Au milieu de la colonie, un phoque se débat avec un filet de pêche.

Témoin d’un phoque coincé dans un filet de pêche lors de son voyage à Berck-sur-Mer, Désiré Gielen, un retraité de Verlaine, a remué ciel et terre pour que les organisations locales interviennent rapidement. Sans succès, même si l’animal pourrait prochainement être secouru.

Mardi 24 août. Berck-sur-Mer, le long de la Côte d’Opale. De passage au bord de la baie d’Authie, Désiré, un touriste originaire de Verlaine, profite de la marée basse pour immortaliser des phoques présents sur un banc de sable. Comme beaucoup de visiteurs, le spectacle de cette dizaine d’animaux affalés, en train de se réchauffer au soleil, l’amuse. Mais le sort d’une de ces bêtes retient toutefois son attention. En effet, au milieu de la colonie, un phoque se débat avec un filet de pêche.

«Très rapidement, je me suis dirigé vers la base nautique, l’organisme qui est situé sur la digue et qui s’occupe des sorties en mer, pour leur signaler qu’un des phoques était mal en point, raconte l’ancien professeur d’horticulture. Je pensais que les employés allaient agir vite mais ils m’ont assuré qu’ils ne pouvaient rien faire. Ils n’avaient qu’une seule chose à me conseiller: téléphoner à une autre organisation.»

Un peu décontenancé, Désiré poursuit son entreprise. «Mais là encore, aucune réponse concrète au problème que j’ai soulevé. La personne que j’ai eue au téléphone m’a même signalé qu’elle ne pourrait pas se déplacer dans l’immédiat. C’est juste incompréhensible!»

«Personne n’a bougé pour ce phoque emprisonné dans un filet de pêche»: le coup de sang d’un touriste verlainois à Berck-sur-Mer

En colère, le retraité verlainois quitte alors Berck-sur-Mer avec une certaine amertume. Celle de laisser un animal en difficulté derrière lui. Et celle de ne pas avoir été écouté par les autorités locales.

«Avec le recul, je me dis qu’il est sans doute plus facile de faire de l’argent en proposant une sortie en mer avec un hors-bord polluant que de montrer sa reconnaissance à la nature qui se montre si généreuse, fulmine encore et toujours Désiré. Les phoques, la faune et la flore méritent sans doute mieux que de voir passer des touristes avides de sensations.»

«Nous suivons ce phoque avec attention»

De retour en Belgique, l’ancien professeur n’en reste pas là. Et il décide de contacter plusieurs organisations actives dans la défense des animaux afin d’en savoir plus. Outre la Fondation Brigitte Bardot, il parvient également à obtenir une réponse de la Ville de Berck-sur-Mer. «Nous avons contacté l’association en charge de porter secours aux phoques, et cette dernière nous a assuré qu’elle allait faire le nécessaire pour venir porter secours au phoque en péril», lui a confirmé un des représentants de l’Office du tourisme. Ce que confirme, entre les lignes, l’observatoire Pelagis, le réseau national qui coordonne les interventions de ce type en France.

«Nous avons bel et bien pris connaissance du cas spécifique de ce phoque, note d’entrée la biologiste Éléonore Meheust, membre de l’observatoire Pelagis basé à la Rochelle (à 625 km de Berck-sur-Mer). Ce n’est pas la première fois qu’on reçoit des informations le concernant. Nous le tenons à l’œil grâce à nos bénévoles sur place et nous remercions toutes les personnes qui nous permettent d’en savoir plus sur sa condition. Malgré tout, il faut se rendre compte de la complexité de sa situation…»

«Personne n’a bougé pour ce phoque emprisonné dans un filet de pêche»: le coup de sang d’un touriste verlainois à Berck-sur-Mer

«Tout d’abord, il s’agit d’un phoque sauvage de taille adulte, précise Éléonore Meheust. Même s’il est amaigri en raison du filet de pêche qui l’enserre, il n’est pas facile de l’attraper. Pourquoi? Parce que ça demande pas mal d’efforts de le localiser et qu’il n’est pas évident de mettre la main dessus sans l’effrayer ou sans effrayer les autres membres de la colonie. Et puis, il faut encore pouvoir mettre en place une équipe capable de l’aider… Ça demande la présence d’un vétérinaire pour le sédater, et de plusieurs bénévoles aguerris pour l’encadrer. Bref, ce n’est pas une opération qui se monte en un claquement de doigt. Sans oublier que ça demande une réflexion générale sur les désagréments qu’une telle démarche peut provoquer chez les autres phoques. Donc, voilà…»

Autant de facteurs qui expliquent en grande partie que Désiré n’ait pas pu assister en direct au sauvetage de ce phoque dont il se souviendra encore longtemps. Et dont il espère qu’il pourra encore profiter longtemps d’un bain de soleil sur son banc de sable, à Berck-sur-Mer.

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