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De Paris à Saint-Tropez, Brigitte Bardot photographiée chez elle

Publié le par Ricard Bruno

De Paris à Saint-Tropez, Brigitte Bardot photographiée chez elle
« Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés... » fredonnait Brigitte Bardot dans sa chanson La Madrague. Si elle s'est rarement laissée photographier dans cette villa mythique de Saint-Tropez – souvent assiégée par les paparazzis, Brigitte Bardot a plusieurs fois dévoilé l'appartement parisien qu'elle partageait avec le réalisateur Roger Vadim.
L'appartement de Brigitte Bardot à Paris.Brigitte Bardot en train de danser dans son appartement parisien, 1954.

L'appartement de Brigitte Bardot à Paris.Brigitte Bardot en train de danser dans son appartement parisien, 1954.

Brigitte Bardot et Roger Vadim chez eux à Paris, 1952.

Brigitte Bardot et Roger Vadim chez eux à Paris, 1952.

Brigitte Bardot pose dans son appartement parisien, 1952.

Brigitte Bardot pose dans son appartement parisien, 1952.

Brigitte Bardot,18 ans, dans la chambre de l'appartement qu'elle partage alors avec Roger Vadim.

Brigitte Bardot,18 ans, dans la chambre de l'appartement qu'elle partage alors avec Roger Vadim.

Brigitte Bardot et le scupteur Miroslav Brozek assis sur le ponton de La Madrague à Saint-Tropez.

Brigitte Bardot et le scupteur Miroslav Brozek assis sur le ponton de La Madrague à Saint-Tropez.

Brigitte Bardot amarre son bateau devant sa propriété de La Madrague, à Saint Tropez.

Brigitte Bardot amarre son bateau devant sa propriété de La Madrague, à Saint Tropez.

À Paris, Brigitte Bardot prend la pose dans le salon de son appartement, 1962.

À Paris, Brigitte Bardot prend la pose dans le salon de son appartement, 1962.

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AOÛT “Le Mépris” de Godard : histoire d'un tournage cauchemardesque

Publié le par Ricard Bruno

 

Après François Truffaut, Claude Chabrol et Jacques Demy, c’est au tour de l’enfant terrible de la Nouvelle Vague Jean-Luc Godard de faire son entrée sur Netflix. Quatre de ses plus grands films seront disponibles sur la plateforme de streaming à partir du 1er septembre prochain – dont “Le Mépris” (1963) un drame sentimental avec Brigitte Bardot et Michel Piccoli. Retour sur le tournage tourmenté du film culte.

Michel Piccoli et Brigitte Bardot, "Le Mépris" (1963) de Jean-Luc Godard

Michel Piccoli et Brigitte Bardot, "Le Mépris" (1963) de Jean-Luc Godard

Après avoir connu le succès avec À bout de souffle (1960) ou encore Une femme est une femme (1961), le pionnier de la Nouvelle Vague Jean-Luc Godard souhaite réaliser son rêve de “grand film hollywoodien”. Adapté du roman éponyme d’Alberto Moravia, Le Mépris (1963) se tournera finalement dans les studios romains de la Cinecittà. Pour ce récit d’un film qui se fait et d’un couple qui se défait, Jean-Luc Godard fait appel à Michel Piccoli – qui montre tout son génie dans le rôle d’un scénariste en crise obligé de travailler sur un film pour recouvrir ses dettes – et Brigitte Bardot dans le rôle d’une épouse qui s’éloigne irrémédiablement. 

 

La rencontre entre l'icône populaire Brigitte Bardot et le cinéaste Jean-Luc Godard annonce le chef-d’œuvre à venir. Dès les premiers jours de tournage, le film prend une tournure spéciale. Les paparazzi italiens – c'est d'ailleurs au film La Dolce Vita (1960) de Federico Fellini, tourné au même endroit quelques années plus tôt, que l'on doit cette expression – se ruent sur le plateau, grimpent sur les murs ou les balcons qui entourent la Cinecittà pour voler quelques instantanés de Brigitte Bardot, femme la plus photographiée de l’époque. Lorsque l’équipe du film se déplace sur l’île de Capri, au large de Naples, pour une semaine de tournage dans la superbe villa Malaparte, les journalistes suivent le mouvement et se cachent dans les falaises qui bordent ce cadre unique et presque irréel – où seront tournées les images les plus cultes du film. 

 

Jean-Luc Godard, qui n’a jamais caché son admiration pour les stars de renommée mondiale (il tournera plus tard avec Alain Delon, Mick Jagger ou encore Johnny Halliday) entretient une relation cordiale avec Brigitte Bardot. Bien qu’il la trouve physiquement peu attirante, il voit en elle une bonne actrice dont il admire le côté amateur. Lors d’une célèbre interview télévisée, le réalisateur explique que les deux seuls problèmes qu’il ait eu avec Brigitte Bardot sont sa jupe, qu’il jugeait trop courte et son imposante coiffure que le réalisateur réussi à raccourcir avec un tour de passe-passe original : “je lui ai proposé qu’à chaque mètre que j’arriverai à traverser en marchant sur les mains, elle retire un centimètre de sa coiffure”.

Jean-Luc Godard, Michel Piccoli et Brigitte Bardot sur le tournage du film "Le Mépris" (1963) © Jean-Louis Swiners

Jean-Luc Godard, Michel Piccoli et Brigitte Bardot sur le tournage du film "Le Mépris" (1963) © Jean-Louis Swiners

Le cinéaste présente une première version au directeur de la Mostra de Venise, qui accepte Le Mépris en compétition. Mais l’argument ne convainc pas les producteurs, qui refusent de sortir le film. Ils jugent que Brigitte Bardot n’est pas assez mise en valeur, alors même que son cachet représente près de la moitié du budget de production. Raoul Coutard, directeur de la photographie raconte : “Ça a été un drame parce que Jean-Luc a été obligé de retourner un certain nombre de plans pour que les américains finissent de payer le dernier versement. On avait envoyé le film à Sam Levine [le producteur] et ensuite il a dit : non, non, ça ne va pas, je veux voir les fesses de Bardot !” 

 

Jean-Luc Godard répond par la provocation et envoie un montage complètement hasardeux à ses producteurs – qu’il surnomme “Mussolini Ponti” et “King Kong Levine”. Ces derniers envoient alors un représentant à Paris, giflé en pleine rue par le réalisateur. Après un procès et de nombreuses complications, le cinéaste se résout à tourner trois scènes supplémentaires, dont une seule apparaîtra au montage. 

 

Tu les trouves jolies mes fesses [...] et mes seins, tu les aimes ? Brigitte Bardot nue sur un lit détaillant son corps à Michel Piccoli est depuis devenue l’une des séquences les plus cultes du septième art. Pourtant gêné par les producteurs présents derrière la caméra – exigeant de voir chaque bout d’essai avant que le plan suivant ne soit tourné – Jean-Luc Godard répond à la contrainte commerciale avec un hymne au corps féminin, qu’il décrit comme “une scène d’amour total, complet, aussi physique que platonique”.

Bande-annonce – "Le Mépris" (1963) de Jean-Luc Godard

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Chevaux mutilés : l’agression de la ponette à Pau provoque l’indignation

Publié le par Ricard Bruno

Celina, soigneuse, avec la ponette Lulu, samedi. © Crédit photo : Anna Paul

Celina, soigneuse, avec la ponette Lulu, samedi. © Crédit photo : Anna Paul

Le représentant local de la fondation Brigitte Bardot réagit après l’agression dont a été victime un poney de la ferme Saint-Joseph.

" La fondation Brigitte Bardot est choquée et révoltée après l’agression dont a été victime la ponette Lulu, jeudi matin à Pau, ainsi que le poney Mikado, mercredi à Urcuit. Sur ces deux dossiers, nous nous porterons partie civile auprès des propriétaires et victimes, lorsque les auteurs seront identifiés, arrêtés et jugés."

Représentant local de la fondation Brigitte Bardot dans les Pyrénées-Atlantiques, le Palois Daniel Raposo s’associe à la vague d’indignation qui a suivi la révélation ce week-end, d’actes de cruauté, envers un nouvel équidé en Béarn après celui dénoncé jeudi au Pays basque.

Aspergés aussi de peinture

Mercredi matin, en effet, à Urcuit, un poney des écuries Linagua, appelé Mikado, a été retrouvé avec une plaie à une cuisse provoquée par une arme blanche. Et jeudi matin, c’est une ponette baptisée Lulu, propriété du club de poneys de la ferme Saint-Joseph de Pau, qui a été lardée de coups de lame et aspergée de peinture rose, notamment sur le museau.

Jeudi, un autre poney de la ferme Saint-Joseph avait lui même reçu des projections de peinture rose, sans être blessé.

" On espère qu’il ne s’agit pas du gang de chevaux, mais de gens qui agissent par mimétisme " poursuit Daniel Raposo. " Quoi qu’il en soit, c’est un comportement inadmissible. Même si dans les deux cas, les bêtes ont eu la vie sauve, heureusement. Ça rentre dans le cadre des actes de cruauté envers les animaux, avec des peines de deux ans d’emprisonnement et jusqu’à 30 000 euros d’amende. "

Depuis le début de l’année, 84 attaques ont été recensées contre des équidés : chevaux, poney, ânes… " La fondation Brigitte Bardot a déjà ouvert 30 dossiers sur le gang des chevaux. On prend cette affaire très au sérieux ", enchaîne Daniel Raposo. " Dans les Pyrénées-Atlantiques aussi. La police nationale, la gendarmerie, les parquets de Pau et de Bayonne ont exprimé leur volonté de tirer ça au clair le plus rapidement possible. Tous les témoignages qui permettront de confondre le ou les auteurs sont les bienvenus, afin qu’ils soient sanctionnés. "

Des équidés tués et mutilés

Daniel Raposo évoque la perplexité provoquée par ces actes barbares. " Dans les cas extrêmes, les équidés sont tués ! On leur coupe l’oreille droite, et on leur arrache le sexe et parfois les yeux. Est-ce un rituel sectaire, satanique ? Tant que les auteurs de ces actes criminels ne sont pas neutralisés et confondus, on ne sait pas. "

La fondation Brigitte Bardot se félicite, par ailleurs, d’avoir remporté un combat au Pays basque, l’interdiction du salon des Animaliades, qui se tenait à Biarritz.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Petit florilège de la dégueulasserie Dupond Moretti en tant que pro chasse, pro corrida !il est à VOMIR !

Publié le par Ricard Bruno

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Brigitte Bardot et Edith Piaf document court maisTotalement inédit !

Publié le par Ricard Bruno

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Brigitte Bardot...le must !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot...le must !
Brigitte Bardot...le must !
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Gangrénée par le lobby de la chasse, la Société Centrale Canine est CONTRE le référendum pour les animaux.

Publié le par Ricard Bruno

Bonjour,

Peut-être en avez-vous déjà entendu parler : dans le domaine de la Protection Animale, le Référendum pour les Animaux est sur toutes les lèvres(1).

Ce référendum a pour but de permettre, grâce au R.I.P. (Référendum d’Initiative Partagée), aux citoyens et citoyennes de soumettre une proposition de loi. Ce projet propose 6 nouvelles mesures :
Et notamment, l’interdiction de traquer, torturer, et abattre des animaux pour se divertir : la chasse à courre.
Les six mesures proposées par le Référendum sont les suivantes :
- L’interdiction de l’élevage en cage
- L’interdiction des élevages à fourrure
- La fin de l’élevage intensif
- L’interdiction des spectacles avec animaux sauvages
- La fin de l’expérimentation animale quand une alternative est possible
- L’interdiction de la chasse à courre

C’est sur cette dernière mesure que nous allons nous pencher – car elle touche directement les chiens.

La chasse à courre est pratiquée par 300 à 400 riches aristocrates en France – une minorité. Elle consiste à traquer un animal, souvent un cerf, jusqu’à épuisement à l’aide d’une meute de chiens et de cavaliers.

Le but n’est pas de se nourrir – le corps de l’animal est ensuite jeté aux chiens ; la tête est utilisée comme trophée.

Le but n’est pas non plus d’abattre l’animal sans souffrance. Au contraire, la poursuite et la mise à mort sont volontairement longues et scénarisées(2). La bête est choisie par les chasseurs ; traquée toute la journée jusqu’à l’épuisement ; affaiblie à coups de morsures ; puis achevée à l’arme blanche.

Cette torture a pour unique objectif de divertir quelques centaines de chasseurs, assez riches pour s’offrir des chevaux, et une meute de chiens sortis que quelques fois par an au moment de la chasse.

Parlons-en justement, de ces chiens.
Les chiens de vénerie sont considérés comme des outils de travail.
Regardez les enquêtes et sauvetages réalisés par des associations de protection animale. La plupart des rescapés sont des chiens issus d’élevages de chasse.

Par exemple, en juillet dernier, 30 chiens de chasse ont été retrouvés attachés dans une forêt, livrés à eux-mêmes, affaiblis et malades. Personne ne s’occupait d’eux – normal, ce n’était pas la saison de la chasse.

Il ne s’agit pas d’un cas isolé. Les chiens de vénerie ont la vie dure.
Gangrénée par le lobby de la chasse, la Société Centrale Canine est CONTRE le référendum pour les animaux.
Ils passent leur temps enfermé dans des chenils étroits, les uns sur les autres.

S’ils tombent malades, personne ne les soigne – après tout, pourquoi s’embêter à payer un vétérinaire ?

Quelques jours avant la chasse, on les affame, afin de les rendre plus nerveux.

Ces chiens ne connaissent ni le confort d’un foyer ni la chaleur d’une caresse. Ils sont élevés dans l’unique but de servir les chasseurs.

Il semblerait donc logique que tous les acteurs du monde canin se prononcent en faveur du référendum pour les animaux, n’est-ce pas ?
Et bien non. La Société Centrale Canine s’est prononcée contre – dans l’unique but de maintenir la chasse à courre !
Dans un communiqué du 5 août 2020, la SCC (Société Centrale Canine) déclare :

« [Le Référendum d’Initiative Populaire pour les Animaux] vise, entre autres mesures, à obtenir l’interdiction de la chasse au chien courant (chiens courants, terriers et teckels). La Société Centrale Canine n’est pas une organisation cynégétique, mais nous savons qu’une telle interdiction aboutirait à l’extinction de plus de 40 races sur les 58 races nationales françaises. (…)

En conclusion, nous nous engageons fermement sur :
- Le maintien et la défense des races patrimoniales françaises.
- Le maintien des activités de sélection pratiquées en France depuis plus d’un siècle voire plusieurs siècles. »

En bref : la SCC refuse de soutenir le Référendum pour les Animaux… afin de protéger la chasse à courre(3).

Son excuse : interdire la chasse à court reviendrait à l’extinction des races de chien de chasse.

Mais bien sûr. Le combat de chiens a été aboli depuis longtemps ; et pourtant, on retrouve toujours des Staffs, des Rottweilers, des Bouledogues Anglais, des Bulls Terrier, qui mènent une vie heureuse au sein d’une famille aimante. Cette interdiction a été une aubaine pour eux.

Ce ne sont pas 300 chasseurs qui entassent leurs animaux en chenil pour les sortir une fois par an, qui vont « sauver » des dizaines de races. On n’est pas dupes.

L’immense majorité des éleveurs, censée être représentée par la SCC, se sent trahie.

La plupart des éleveurs exercent leur métier par passion pour le chien. Pour eux, le Référendum est une bonne nouvelle. Alors quand la SCC déclare se porter parole en étant pour la chasse à courre, et contre le référendum, cela donne une bien piètre image de leur métier.

Le problème est que la SCC est complètement gangrénée par le lobby des chasseurs.

Le président de la SCC, Gérard Thonnat, est un spécialiste de la chasse, qu’il pratique avec ferveur. (4)

Pas étonnant, donc, que lui et ses petits copains se prononcent contre le référendum.

Les éléphants peuvent continuer d’être exploités dans des cirques ; les poulets, porcs, et lapins élevés dans des cages minuscules et insalubres ; les Beagles inlassablement soumis à des tests douloureux… Tant que ces messieurs pourront satisfaire leurs caprices, et mettre à bas des proies torturées et à bout de souffle.

Le divertissement prime.
Ce n’est pas la première fois que la SCC défend les chasseurs.
Récemment, elle a permis (et même encouragé !) l’organisation de test d’aptitude à la chasse des chiens nordiques :
Gangrénée par le lobby de la chasse, la Société Centrale Canine est CONTRE le référendum pour les animaux.
Lors de l’affaire du chien Curtis, et de son humaine Elisa Pilarski, un « comportementaliste » représentant la SCC avait dit, lors d’une émission sur RMC : « [Les Staffs] sont particulièrement connus pour leur agressivité dans leur comportement interspécifique » – c’est-à-dire envers les autres espèces(5). Comme l’Homme, par exemple.

La SCC est sensée promouvoir chaque race, sans discrimination – et là, en sous-entendant que les Staffs sont des monstres sanguinaires capables de manger leur propre maître, elle fait exactement le contraire.

Curtis, comme tous les chiens catégorisés, est condamné pour « délit de sale gueule », et les chasseurs, également suspectés dans cette affaire, s’en sont encore une fois bien tirés.

Le lobby de la chasse est clairement très actif au sein de la SCC.

Heureusement, elle n’est pas la représentante des passionnés du chien. Vous l’êtes. Vous aussi avez votre mot à dire.

Je vous invite à vous rendre sur le site du Référendum pour les Animaux. Si vous souhaitez vous engager, vous pouvez apporter votre soutien au référendum. Je l’ai fait, et plus on sera nombreux, plus ces réformes pourront aboutir.

Source de l'article : 

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ALERTE ! portrait robot d'un tueur de chevaux Gendarmerie de l'Yonne...

Publié le par Ricard Bruno

ALERTE ! portrait robot d'un tueur de chevaux Gendarmerie de l'Yonne...
[ PORTRAIT ROBOT DANS CADRE AFFAIRE SÉVICES GRAVES OU ACTE DE CRUAUTÉ ENVERS DES ÉQUIDÉS ]
Dans la soirée du 24 août 2020, sur le département de l’YONNE à VILLEFRANCHE SAINT PHAL commune de CHARNY OREE DE PUISAYE (89120), deux individus sont surpris dans une propriété privée. Ils ont le temps de commettre des actes de cruauté sur deux poneys avant de prendre la fuite.
Dans le cadre de l’enquête ouverte, un portrait robot d’un des deux individus a été réalisé.
Tout renseignement utile peut être communiqué à l’adresse suivante :
br.auxerre+chevaux89@gendarmerie.interieur.gouv.fr
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Abattage de 1430 renards en Seine-Maritime : Brigitte Bardot accuse le préfet « d'excès de zèle et de pouvoir mal placé »

Publié le par Ricard Bruno

Nouvel épisode dans le feuilleton qui oppose le préfet de la Seine-Maritime aux défenseurs des animaux. Cette fois, Brigitte Bardot monte au créneau pour sauver de l'abattage 1430 renards. Et la présidente de la fondation éponyme ne mâche pas ses mots.

En lançant fin mai une consultation publique sur un projet d’arrêté visant à abattre 1 430 renards, d’ici le 31 décembre 2020, en Seine-Maritime, le préfet n'avait sans doute pas imaginé les suites données à cette affaire.

À quelques jours de l'examen par le tribunal administratif de Rouen, le 2 septembre 2020, de deux nouvelles requêtes en référé contre cet arrêté préfectoral et d'un rassemblement annoncé sur Facebook à Rouen ce même jour, Brigitte Bardot a pris sa plume pour défendre les goupils.

« Acharnement personnel »

Une plume trempée dans l’acide pour questionner Pierre-André Durand sur « l’acharnement personnel » qui pousserait le représentant de l’État « à vouloir les tuer ».

Abattage de 1430 renards en Seine-Maritime : Brigitte Bardot accuse le préfet « d'excès de zèle et de pouvoir mal placé »

Dans ce courrier, l'ancienne actrice, s'interroge également sur la finalité de la consultation publique lancée en mai et juin derniers :

« Sur les 3 300 avis de cette consultation, 2 468 étaient contre votre projet d’arrêté (près de 75% des votants), écrit-elle. Vous avez décidé de passer outre, pourtant les renards ne représentent aucun danger pour l’homme, au contraire, ils sont des alliés précieux pour les agriculteurs en prélevant de nombreux rongeurs. »

Source de l'article : Cliquez ICI

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