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Brigitte Bardot enfant...

Publié le par Ricard Bruno

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Elle s’appelait Faustine, elle s'en est allé au paradis rejoindre les anges...

Publié le par Ricard Bruno

Elle s’appelait Faustine, elle s'en est allé au paradis rejoindre les anges...

Elle s’appelait Faustine, elle était de ces personnes qui avait la joie de vivre, un sourire éclatant, mais la vie en a décidé autrement, j’ai appris ce matin sa disparition, je suis bouleversé, j’avais connu Faustine lors de l’exposition Brigitte Bardot à Boulogne Billancourt il y a plus de 10 ans de cela, on s’était retrouvé sur les réseaux sociaux plusieurs années après, elle était simple sans chichi.

Faustine avait déclaré "Je n'ai qu'une idole dans la vie....Brigitte Bardot"

 

Certains d’entre nous on pu la découvrir dans une émission de télé crochet la « Star ac »,,,En 2006, Faustine Nogherotto n'avait que 17 ans lorsqu'elle est retenue pour intégrer le château de la «Star Academy». La jeune fille blonde aux yeux bleus était restée cinq semaines dans l'aventure, avant d'être éliminée. Bien décidée à vivre son rêve, elle quitte alors sa Somme natale pour Paris, et commence l'enregistrement d'un album. Mais le destin l'a rattrapée. En 2010, elle est atteinte d'une mononucléose qui s'éternise. Son état de santé s'aggrave peu à peu. Le diagnostic des médecins tombe alors. Elle souffre du syndrome de fatigue chronique (SFC) et de celui de Gougerot-Sjögren. 

Un ange est parti, les animaux ont perdu un être cher....

En écrivant ces lignes j’en ais les larmes aux yeux, et croyez moi, il m’en faut beaucoup, la vie est injuste et emporte de belles personnes comme Faustine.

Je voudrais dire et exprimer ici mes plus sincères condoléances à sa maman Christine ,,,

Bruno Ricard

Elle s’appelait Faustine, elle s'en est allé au paradis rejoindre les anges...
Elle s’appelait Faustine, elle s'en est allé au paradis rejoindre les anges...
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Dordogne : deux ânesses et un bouc nain sauvés par la Fondation Brigitte-Bardot

Publié le par Ricard Bruno

L’une des ânesses avait les sabots arrières en forme dite de «babouches » de 20 cm lorsqu’elle a été évacuée.

L’une des ânesses avait les sabots arrières en forme dite de «babouches » de 20 cm lorsqu’elle a été évacuée.

Photographies Fondation Brigitte Bardot...
Photographies Fondation Brigitte Bardot...
Photographies Fondation Brigitte Bardot...

Photographies Fondation Brigitte Bardot...

L’association est intervenue dans une fermette de Vergt, ce jeudi.

Ce jeudi 28 janvier, une opération de sauvetage d’animaux en grande détresse a eu lieu dans une petite ferme à la sortie de Vergt (Dordogne). Deux ânesses et un bouc nain avaient été signalés comme étant dans une situation préoccupante à la Direction des services vétérinaires de la Dordogne.

Une enquête fut diligentée par ce même service. Constatations faites, la Fondation Brigitte-Bardot a été contactée afin de prendre soin des animaux. Sous la conduite de Damien Wolff et avec l’appui de l’adjudant-chef Cédric Blois, les gendarmes sont venus chercher ce jeudi les deux ânesses et le bouc nain. 

Un manque de soins

Il aura fallu près d’une heure et demie pour arriver, à force de douceur et de persuasion, à placer ces trois animaux en sécurité. Souffrant d’un manque de soins et d’un suivi sanitaire insuffisant, ils étaient vraiment dans un piteux état. Une des ânesses avait les sabots arrières en forme dite de « babouches ». Quant à l’autre, son état n’était guère meilleur.

Ces animaux ont été évacués dans un endroit resté confidentiel du fait de l’enquête judiciaire en cours.

Source de l'article : Cliquez ICI

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L'Assemblée nationale débat cette semaine de la loi renforçant la lutte contre la maltraitance animale. Que dit-elle de l'attention que nous portons à nos semblables ?

Publié le par Ricard Bruno

L'Assemblée nationale débat cette semaine de la loi renforçant la lutte contre la maltraitance animale. Que dit-elle de l'attention que nous portons à nos semblables ?

Interdire les exhibitions d’animaux sauvages dans les cirques itinérants et les delphinariums ; rappeler à chaque nouveau propriétaire ses obligations à l’égard de son animal de compagnie et ainsi lutter contre les abandons ; renforcer les sanctions pénales pour mauvais traitement, jusqu’à 3 ans d’emprisonnement en cas de mort de l’animal : voilà quelques-unes des mesures de cette proposition de loi, débattue jusqu’à vendredi.

Le texte, bien qu’incomplet selon l’aveu même de son rapporteur, marque néanmoins une étape importante dans la prise en compte de la question animale. Le monde associatif n’en a plus l’exclusivité. C’est un sujet de débat politique, comme en témoigne la naissance du Parti animaliste en 2016 (près de 500 000 voix aux dernières européennes, ce qui n’est pas rien) ou encore la création, la même année, d’une commission d’enquête parlementaire sur les conditions d’abattage.

La science, en faisant progresser les connaissances, notamment sur la sensibilité animale, nous rend, à notre tour, plus sensibles à ces questions. Elle donne des arguments aux considérations d’ordre éthique, et fait progresser l’idée d’un projet zoopolitique, c’est-à-dire un projet qui repense de fond en comble les relations institutionnelles entre l’homme et l’animal. Mais que disent ces évolutions de nos relations à nos semblables ? Autrement dit, l’attention que nous portons aux animaux est-elle liée à celle que nous portons aux autres humains ?

En 1966, Brigitte Bardot, déjà très engagée dans la lutte pour la défense animale, est interrogée sur ce sujet dans l’émission Panorama : 

-attachez-vous plus, moins ou autant d'importance à ce problème des animaux malheureux qu'à celui du Vietnam ?

-alors je vais vous dire, ça, c'est une question que j'attendais. Je vais vous dire : l'un n'empêche pas l'autre. Si on a du cœur et qu'on s'attache à un problème misérable, animal ou humain, si on s'attache au problème animal, on s'attache aussi au problème humain, l'un va avec l'autre. Si vous êtes capable de faire du mal à un animal, vous êtes aussi capable de faire du mal à un être humain.

Evidemment, certaines des prises de position ultérieures de la comédienne jettent un voile de doute sur cette corrélation. Mais c’est bien cette idée que ce que l’on fait subir aux uns, on peut le faire subir aux autres, qui va guider l’élaboration du droit en faveur des animaux.

Ainsi la loi Grammont, la 1ère du genre, en 1850, qui punit les mauvais traitements infligés en public aux animaux domestiques, vise moins à protéger les animaux de la violence qu’à contenir celle de leurs maitres. Comme l’écrit l’historien Maurice Agulhon dans Le sang des bêtes, ‘’lorsqu’on parlait de protection des animaux au XIXe siècle…on espérait qu’en réfrénant cette violence mineure, on aiderait à réfréner la violence majeure des humains entre eux. La protection des animaux voulait être une pédagogie. C’était un problème de relation à l’humanité, et non de relation à la nature’’.

C’était aussi un outil de régulation sociale. Dans un texte pour la revue Déviance et société, un autre historien, Eric Pierre, explique qu’il est alors courant, dans le milieu de la protection animale, ‘’de penser que le cocher qui maltraite son cheval se montre violent au sein de sa famille et plus largement dans ses relation sociales, alors que celui qui conduit son attelage avec douceur, sans brutalité, a toutes les chances d’être un bon père et un ouvrier soumis’’.

Cette façon de voir les choses parait datée. Mais est-ce vraiment le cas ? En 2014, Damien Baldin, auteur d’une ‘’Histoire des animaux domestiques’’, évoquait dans une interview au Monde un sordide fait divers, le cas d’un chaton martyrisé par un jeune homme dans une vidéo devenue virale : ‘’l’émotion qui s’en est suivie n’est pas seulement révélatrice d’une sensibilité accrue de l’opinion publique vis-à-vis des animaux. Elle montre aussi la persistance de cette vieille idée : on protège les animaux pour se protéger soi-même des violences.’’

On remarquera que la proposition de loi actuellement en débat évite d’aborder la question de la chasse, de la corrida et surtout de l’élevage. Est-ce à dire que notre seuil d’intolérance à la violence est encore loin d’avoir été atteint ?

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Avec Brigitte Bardot et Michel Drucker, une femme s'attaque à la ville de Dubaï qui extermine les chats errants

Publié le par Ricard Bruno

Depuis la Suisse, une protectrice des animaux a décidé de s'attaquer à la ville de Dubaï qui a récemment mis en place un programme d'extermination des chats errants. 

Avec sa Fondation SOS Chats Noiraigue basée en Suisse, Tomi Tomek agit depuis plusieurs années pour les animaux et son nom est bien connu par les militants de la protection animale, même au delà des frontières. 

Son dernier combat en date ? Le programme d'extermination des chats errants de la ville de Dubaï, mis en place par la municipalité. 

Ce programme interdit expressément de nourrir les chats errants et permet aux services de fourrière de capturer pour "euthanasie" tout chat qui ne paraîtrait pas clairement identifié. Il autorise même aux agents d'emporter dans le désert tout chat qui serait rentré dans une cage-piège, comprenant des chats qui ont pourtant des propriétaires et ont des puces électroniques pour le prouver.

Avec environ 100 000 chats errants dans la ville d'Abu Dhabi et des dizaines de milliers en plus dans les rues de Dubaï, ce sont des milliers de vies qui sont en train d'être sacrifiées, via des méthodes pour le moins cruelles. 

Instauré en octobre 2020, probablement en vue de "nettoyer" les rues pour l'Exposition Universelle d'octobre 2021, ce programme soulève les protecteurs des animaux aux quatre coins du globe.

Avec Brigitte Bardot et Michel Drucker, une femme s'attaque à la ville de Dubaï qui extermine les chats errants

Une pétition qui rassemble déjà 50 000 signatures

Révoltée et réactive, Tomi Tomek a créé une pétition en ligne et a déjà obtenu le soutien de plusieurs grands noms, et agit d'ailleurs main dans la main avec la Fondation Brigitte Bardot qui avait également dénoncé cette situation dramatique. 

La militante suisse a notamment obtenu le soutien de Michel Drucker et de son épouse Dany Saval, qui malgré l'opération cardiaque récente de l'animateur de France 2, sont toujours prêts à monter au créneau pour défendre la cause des animaux délaissés. 

Elle a également pu compter sur la signature et le soutien du célèbre pianiste Alain Morisod, qui encourage les actions de Tomi Tomek depuis plusieurs années. 

Une ville riche, qui applique les méthodes d'une ville défavorisée

Le constat de Tomi Tomek soulève ce violent paradoxe : les Émirats Arabes Unis ne manquent objectivement pas de moyens financiers, et il serait tout à fait possible, a priori, de mettre en place des campagnes plus respectueuses de la vie animale, comprenant notamment la stérilisation de la population de chats errants. 

Les contacts sur place qui lui transmettent des images de chats malades et dénutris n'osent pas agir directement, de peur de représailles de la part des autorités, comme elle l'a rapporté au journal suisse Le Matin.

N'écoutant que son cœur et sa détermination, Tomi Tomek est bien décidée à faire changer les choses depuis son pays helvétique qui, s'il n'est pas grand en taille, possède une grandeur toute particulière en ce qui concerne les droits des animaux, grâce à de nombreuses mesures qui devancent la plupart de ses voisins européens. 

>> Pour soutenir la pétition, cliquez ici 

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Maltraitance animale : comment les députés veulent mettre fin à l’impunité

Publié le par Ricard Bruno

La maltraitance animale à l'étude à l'Assemblée.

La maltraitance animale à l'étude à l'Assemblée.

Depuis lundi et jusqu’à ce mercredi 27 janvier, l’Assemblée nationale examine en première lecture la proposition de loi contre la maltraitance animale. Un texte qui marque la prise de conscience des Français sur ce sujet.

« Rien n’est plus puissant qu’une idée dont le temps est venu », disait Victor Hugo, celui-là même qui estimait que « l’enfer n’existe pas pour les animaux, ils y sont déjà ». Dès lors, l’examen par l’Assemblée nationale en première lecture de la proposition de loi « visant à renforcer la lutte contre la maltraitance animale » démontre que ce sujet, longtemps porté par les seules associations de défense des animaux et quelques personnalités médiatiques comme Brigitte Bardot et sa fondation éponyme ou Allain Bougrain-Dubourg, recueille aujourd’hui l’adhésion d’une très large majorité dans l’opinion.

L’été dernier, alors que l’on prenait connaissance de la proposition de loi, un sondage Ifop montrait que 95 % des Français estimaient que les animaux avaient des droits. De son côté, le référendum d’initiative partagée, porté par une vingtaine d’associations, les entrepreneurs Xavier Niel, Jacques-Antoine Granjon, Marc Simoncini et le journaliste Hugo Clément, a lui aussi contribué à la prise de conscience. Il n’était toutefois signé mardi 26 janvier que par près de 915 000 personnes et 146 parlementaires, loin des 4,7 millions et 185 nécessaires…

 

Une charte pour les sites de vente en ligne

Les sites internet de petites annonces ont souvent été pointés du doigt pour l’hébergement d’annonces de dons ou vente de chiens ou de chats qui sont les faux-nez d’abandons d’animaux. Si les plateformes ont le droit pour elles, les organisations professionnelles vétérinaires sont utilement montées au créneau en proposant une charte d’engagements en faveur de la protection et du bien-être des animaux.
« Nous vivons dans un monde connecté dans lequel acheter ou adopter un chiot ou un chaton via une plateforme de vente en ligne est devenu un acte simple, souvent non réfléchi à la suite d’un coup de cœur. Ces achats impulsifs, sans exactement savoir en quoi engage de s’occuper et de prendre soin d’un animal de compagnie, aboutissent à des déceptions fréquentes qui conduisent à un grand nombre d’abandons, ce qui est inacceptable », écrivent les organismes.
Cette charte, préparée avec le site LeBonCoin, propose aux sites « des messages visant à sensibiliser les vendeurs/donneurs en rappelant leurs obligations en termes de santé et de protection animale lorsqu’ils recourent à une plateforme de vente en ligne pour céder à titre gratuit ou onéreux un animal », et « des messages à visée pédagogique pour que les acquéreurs s’interrogent sur les conditions d’accueil responsable d’un animal dans leur foyer et sur leurs obligations sur le long terme. »

Améliorations conséquentes

Cosignée par des parlementaires de tous bords politiques, la proposition de loi, rapportée par les députés Loïc Dombreval (LREM), Dimitri Houbron (Agir) et Laëtitia Romeiro Dias (LREM), offre en quatre grands chapitres des améliorations conséquentes au bien-être des animaux domestiques : améliorer les conditions de détention des animaux de compagnie et des équidés, renforcer les sanctions dans la lutte contre la maltraitance des animaux domestiques, mettre fin à la maltraitance d’espèces sauvages utilisées à des fins commerciales, dans des cirques notamment, et enfin mettre fin à l’élevage de visons d’Amérique élevés pour leur fourrure. « Ce texte marquera l’histoire de la protection animale en France du point de vue législatif », assure Loïc Dombreval. Il vient compléter le plan gouvernemental de protection des animaux, qui avait été présenté fin décembre.

A lire aussi : Maltraitance animale : les mesures clés de la proposition de loi examinée à l'Assemblée

Du côté des associations, on salue évidemment l’initiative.  « Des dispositions de ce texte sont précieuses », estime Jacques-Charles Fombonne, président de la Société protectrice des animaux (SPA), qui cite comme exemple « la stérilisation obligatoire des chats errants », faite aujourd’hui seulement à la demande des maires. Il regrette en revanche que la proposition de loi n’interdise pas la vente des animaux sur internet, qui « favorise les élevages clandestins », et dans les animaleries, qui « encourage l’achat impulsif », pour la réserver aux élevages.

La SPA a d’ailleurs dénoncé la hausse d’abandons d’animaux après les confinements. 30 millions d’amis salue également des « avancées » portées par la proposition de loi, mais demande aussi la fin de ces ventes sur internet, « réclamée par l’ensemble des associations de protection animale ».

Encore du travail

Si cette proposition de loi constitue incontestablement une avancée, il reste encore du travail car elle ne concerne ni la chasse ni les élevages intensifs, deux sujets clivants et explosifs à un an de la présidentielle…

Certains s’inquiètent aussi des amendements qui vont être discutés jusqu’à demain et qui pourraient amoindrir la portée du texte. « On espère que les promesses de Barbara Pompili seront tenues et que cette proposition de loi sera une vraie avancée, mais c’est loin d’être garanti pour l’instant », estime Hugo Clément.

A lire aussi : "Il faut travailler par étapes sur le bien-être animal", estime le président de l'ordre des vétérinaires

Reste que pour l’exécutif, cette proposition de loi tombe à pic : elle concerne directement les Français dans leur vie quotidienne et est très consensuelle, elle permet d’empêcher la captation de la cause animale par certains - le Rassemblement national en a fait un de ses sujets de prédilection - et, enfin, elle permet de parler d’autre chose que de l’épidémie de Covid-19.

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Yvelines : 450 poules d’élevage sauvées de l’abattoir par des particuliers

Publié le par Ricard Bruno

La vente organisée ce samedi par Poule pour tous à Gazeran offre une seconde vie à ces bêtes d’élevage, qui étaient promises à une mort certaine. Novices du poulailler ou fins connaisseurs, les clients étaient au rendez-vous.

Gazeran, ce samedi. Après 18 mois de ponte en élevage, les poules sont normalement abattues, alors qu’elles peuvent pondre encore plusieurs années.

Gazeran, ce samedi. Après 18 mois de ponte en élevage, les poules sont normalement abattues, alors qu’elles peuvent pondre encore plusieurs années.

« Elles seront bien mieux à se balader librement dans le jardin. On est très contents de les sauver de l'abattoir. » Sabine et Jean viennent d'adopter deux poules pour rejoindre celle qu'ils élèvent déjà dans leur pavillon à Orgeval. Un geste qui permet de sauver ces bêtes de l'abattoir auquel elles étaient normalement destinées. Ce samedi, la vente organisée par l'entreprise Poule pour tous à Gazeran à ainsi permis d'offrir une seconde vie à 450 volailles.

Détenues 18 mois en Bretagne dans des conditions de vie difficiles liées au confinement qui leur est imposé par l'épidémie de grippe aviaire, la plupart de ces poules sont en partie déplumées, l'air tantôt hagard, tantôt triste. « Il y en a qui sont surpris de les voir dans cet état mais on leur explique que dans un mois elles seront remplumées et pleines de vie », indique Lucille, qui assure la distribution.

Dans un mois, les poules déplumées auront repris du poil de la bête. LP/Julie Ménard
Dans un mois, les poules déplumées auront repris du poil de la bête.

Sur le parking de l'animalerie Tom & Co où se déroule l'événement, une longue file d'attente s'est constituée. Les acheteurs sont venus munis de cartons ou de caisses ajourées pour le transport. Karine, 49 ans, s'apprête à adopter sa toute première poule. « On y pensait depuis un moment, surtout pendant le confinement, car on vit à la campagne et on a des voisins qui en ont, explique cette mère de famille d'Autouillet. Ça mange de tout : les épluchures, le pain, ça permet de réduire les déchets. On sait ce qu'on leur donne donc on aura des bons œufs. »

7 euros la poule, six pour le prix de 5

Ali a décidé d'ouvrir un poulailler dans son hôtel Villa Rambouillet. Il repart avec 12 cocottes dans ses cartons. « On a une clientèle qui vient pour la nature, ça peut faire une attraction pour les enfants. On pourrait aussi se servir des œufs pour proposer des omelettes à nos clients. »

Les poules sont distribuées aux acheteurs sur le parking du centre commercial. LP/Julie Ménard
Les poules sont distribuées aux acheteurs sur le parking du centre commercial. LP/Julie Ménard  

Comme lui, certains cherchent à acheter des poules depuis plusieurs mois déjà. Mais l'épidémie de grippe aviaire rend impossible la vente en animalerie. La bonne affaire proposée par Poule pour tous (7 euros la poule, plus une offerte toutes les 5 poules) a donc largement séduit le public. D'autant que toutes les bêtes sont vaccinées et en quarantaine depuis octobre. « Ce sont des animaux très sympas, c'est un contact de tous les jours, sourit Isabelle de Bonnelles. Et c'est très gratifiant d'aller chercher ses œufs dans le jardin. » « Sur le plan économique ça coûte très peu cher de les nourrir et ça nous rapporte des œufs de très bonne qualité », ajoute son amie Mélodie de Chevreuse.

Catherine, elle, est venue de Forges-les-Bains (Essonne) motivée par la bonne action. « Je déteste acheter les animaux en animalerie, indique cette quinquagénaire. J'ai pris six poules pour les sauver car on connaît leur destinée… » Après 18 mois de ponte en élevage, les volailles sont en effet envoyées à l'abattoir. Pourtant elles peuvent encore pondre des œufs pendant trois à quatre ans. En trois années d'action, l'entreprise, qui était auparavant une association, a ainsi secouru près de 60 000 poules en France.

Si chaque opération rencontre un franc succès, celle de ce samedi se termine cependant sur une petite note d'amertume. « On aurait pu en vendre 1 000 poules mais on a eu 450 réservations, lance Thomas Dano, le dirigeant de Poule pour tous. On ne pourra rien faire pour les autres malheureusement, c'est comme ça. Avec la grippe aviaire, le couvre-feu, la neige, la pluie… Il y a plein de choses qui font que ce n'est pas le bon moment pour les vendre. L'important c'est que 450 poules sont sauvées. »

Source de l'article : Cliquez ICI

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A la fondation Bardot, Aurore Bergé annonce des avancées sans précédent pour la cause animale

Publié le par Ricard Bruno

A Bazoches-sur-Guyonne qui abrite la maison et la fondation Bardot, Aurore Bergé a annoncé des avancées sans précédent pour la cause animale.

Aurore Bergé a annoncé à la Fondation Bardot le vote de mesures pour la cause animale. Notamment la fin de la vente des chats et des chiens dans les animaleries.

Aurore Bergé a annoncé à la Fondation Bardot le vote de mesures pour la cause animale. Notamment la fin de la vente des chats et des chiens dans les animaleries.

À l’ombre de la chaumière de Brigitte Bardot intacte, la Fondation Bardot accueille des centaines d’animaux dans son refuge de Bazoches-sur-Guyonne (Yvelines). Un don de Brigitte Bardot pour les animaux. C’est ici, qu’Aurore Bergé aux côtés de la députée, Laetitia Romeiro Dias a choisi d’annoncer les propositions de loi qui seront adoptées aussitôt à l’Assemblée nationale cette semaine.

La maison de Brigitte Bardot. Aujourd'hui, seuls les chats et les chiens peuvent y entrer.

La maison de Brigitte Bardot. Aujourd’hui, seuls les chats et les chiens peuvent y entrer. 

 

Fin de la vente des chats et des chiens en animalerie

Du jamais vu. Une avancée sans précédent pour la cause animale portée par les politiques.

« Beaucoup, on en rêvait, nous l’avons fait ! », s’est exclamée Aurore Bergé. Fin des ventes dans les animaleries des chiots et chatons, des animaux sauvages dans les cirques, certificat de connaissance pour tout acquéreur.

« On ne peut pas acheter dans une jardinerie, un chien ou un chat comme une tondeuse à gazon ! »

Aurore Bergé, députée

Sanctions pénales plus sévères

La députée, d’évoquer la maltraitance par méconnaissance : « C’est pourquoi, le certificat permettra de faire prendre conscience aux personnes qui achètent un cheval de mesurer la charge. Souvent, des équidés recueillis à la Fondation sont laissés par des personnes qui ne peuvent plus assumer la charges financières ».
La loi sur la maltraitance animale va sérieusement augmenter les peines pour maltraitance animale. Jusqu’à 3 ans d’emprisonnement. 5 ans si la maltraitance a entraîné la mort de l’animal.
« Si nous avons pu aboutir, c’est grâce à la mobilisation citoyenne et aux combats des associations comme la fondation Bardot », a souligné Aurore Bergé.

Fin des cirques avec animaux sauvages

La cause animale est une des convictions profonde de la députée : « Je tiens cette passion de ma grand-mère. Mes parents ont adopté un chien ici à la Fondation Bardot », a confié Aurore Bergé.
Laëtitia Romeiro Dias s’est battue sur le volet animaux sauvages pour aboutir à la fin des montreurs d’ours, de l’élevage des visons en 2024 et des dauphins et orques dans les delphinariums.

« Même certains professionnels du cirque le comprennent. Bouglione va lancer un éco-cirque sans animaux remplacés par des hologrammes », a annoncé la députée rapporteure du projet de loi.

Laetitia Romeiro Dias députée

Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Bardot a salué « des avancées concrètes qui se traduisent dans le quotidien. Vous avez entendu les attentes de la société. Jusqu’alors les réponses politiques étaient nulles. On passe à une autre étape ! »

La responsable du refuge raconte l'histoire du sauvetage de ce chien tibétain à Aurore Bergé.
La responsable du refuge raconte l’histoire du sauvetage de ce chien tibétain à Aurore Bergé.

Les collectivités piloteront la stérilisation des chats

D’ores et déjà, les collectivités pourront agir dans les campagnes de stérilisations de chats. « Pour les associations comme Nala chats libres basée à Raizeux (Yvelines), cela coûte 25 000 euros/ an sans compter 8000€ pour les frais d’alimentation. Nous allons les aider ! » a souligné Aurore Bergé qui a rendu visite à cette association qui recueille les chats abandonnés. Le plan de relance prévoit une aide de 20M d’euros pour aider associations et refuges.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Puy-de-Dôme : des vaches laissées dans le froid

Publié le par Ricard Bruno

Puy-de-Dôme : des vaches laissées dans le froid

Plusieurs personnes se sont insurgées de voir des vaches encore dans des champs dans le Puy-de-Dôme, près de Pontgibaud, comme le rapporte le site d’informations France Bleu. En effet, inquiets pour la santé des bovins, ces témoins armés de bonnes intentions ont contacté à plusieurs Claire Baranger, vétérinaire dans la région. La praticienne explique :

 

Il n’y a pas de quoi alerter la fondation de Brigitte Bardot pour autant. Il faut éviter de faire de l’anthropomorphisme. Un bovin si il est bien nourri et abreuvé peut supporter des températures de -15° voire -20 degrés.

 

 

Pourtant, les promeneurs ne sont pas les seuls à dénoncer cette situation. Plusieurs éleveurs s’inquiètent aussi du sort des animaux et pointent du doigt les agriculteurs qui les abandonnent dans des conditions climatiques difficiles. Guy Goyon, éleveur et maire de la commune Saint-Alyre-ès-Montagne, située à 1200 mètres d’altitude, s’insurge :

 

Les vaches n’ont pas assez de fourrage et les plus fortes mangent tout, il ne reste plus rien pour les autres qui meurent au bout d’un moment.

parle même de maltraitance, en évoquant des abreuvoirs gelés et des étables délabrées. Guy Goyon dénonce également ce qu’il estime être du laxisme de la part de la Direction Départementale des Territoires et la Direction Départementale de la Protection des Populations :

 

Par contre, ils ne sont pas laxistes pour des broutilles, si on commet une légère infraction, comme perdre un document sanitaire, ils vont vous sanctionner, en revanche, la souffrance des animaux ne les dérange pas trop. Les agriculteurs en permanence en infraction au niveau sanitaire, là par contre, ils ferment les yeux, c’est inadmissible.

 

Même son de cloche chez Didier Cardenoux, maire d’Egliseneuve-d’Entraigues :

 

Le premier janvier dernier, j’ai été obligé de faire venir une fraise pour déneiger l’accès d’un pré où se trouvait un troupeau de vaches qui n’avaient pas mangé depuis plusieurs jours. Je l’ai signalé aux gendarmes qui ne sont même pas intervenus.

Claire Baranger indique, de son côté, que même si les vaches peuvent survivre en temps de froid, elles doivent quand même recevoir des soins réguliers. La quantité de fourrage disponible doit  notamment être accrue de 30 %;

Source de l'article : Cliquez ICI

 

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