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"Un serial tireur" de chats bientôt devant la justice dans l'Ain

Publié le par Ricard Bruno

"Un serial tireur" de chats bientôt devant la justice dans l'Ain

Baptisé "le serial tireur" de chats, un

habitant du Val de Saône a été

interpellé

par les gendarmes suspecté d'avoir

volontairement tiré sur des chats

depuis 3

ans. La SPA et la Fondation Brigitte

Bardot

se sont constituées parties civiles.

Un habitant du Val de Saône a été interpellé par les gendarmes alors qu'il prenait les chats pour cible. Ses tirs duraient depuis 3 ans. Coupable de maltraitance animale, cet homme d'une quarantaine d'années sera prochainement entendu par la justice.

Trois plombs bien visibles sur les radios du chat visé par les tirs. Blessé fin septembre il n'a pu remarcher qu'un mois après

Trois plombs bien visibles sur les radios du chat visé par les tirs. Blessé fin septembre il n'a pu remarcher qu'un mois après

Il devra répondre de sévices graves et actes de cruauté.

Ses victimes sont des chats, comme Pilgrim, un Main Coon de 2 ans et demi qui a bien failli mourir… En racontant l'état dans lequel elle l'a retrouvé, Barbara Tortochaut, sa propriétaire ne cache pas son émotion. Au bord des larmes elle se souvient avoir vu rentrer son chat en traînant sur ses pates arrières. "J'ai pensé à une voiture qui l'aurait percuté mais quand on a passé les radios on a vu les plombs....Je me suis effondrée et n'arrivais pas à comprendre pourquoi on avait tiré sur notre chat."

C'est pourquoi, elle n'a pas voulu en rester là et a porté plainte.  7 autres habitants du secteur de Reyrieux ont fait le même choix d'engager une procédure

Grâce à ce boîtier GPS retrouvé dans le jardin d'un voisin, le suspect a pu être retrouvé par la gendarmerie

Grâce à ce boîtier GPS retrouvé dans le jardin d'un voisin, le suspect a pu être retrouvé par la gendarmerie 

L'auteur présumé des faits risque 3 ans d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende.
Il a été confondu par le collier GPS que portait Pilgrim . "On a fait une enquête de voisinage, après analyses balistiques nous avons pu retrouver l'auteur. Ensuite un collier GPS a été retrouvé dans le jardin du mis en cause"  explique Lucille Toumelin, gendarme à Trévoux. 

La SPA et la Fondation B.Bardot parties civiles


Depuis 2015, la loi considère les animaux comme des êtres sensibles, à ce titre les autorités prennent les atteintes au sérieux.

La SPA et la Fondation Brigitte Bardot se sont constituées parties civiles à l'audience qui devrait se tenir à Bourg-en-Bresse fin juin 2022. 

A Reyrieux, chez Barbara Tortochaut, les deux félins de la maison n'ont plus le droit de sortir… Ils restent à l'intérieur tant que l'affaire n'est pas jugée.

Source de l'article : Cliquez ICI

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ESSAI RÉTRO Rolls-Royce Silver Cloud II : La Rolls de Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

Dans les années soixante, la Rolls-Royce Silver Cloud II était l’incarnation même de la voiture de luxe. Un luxe très british, qui en impose par sa classe et son élégance, deux particularités partagées avec une certaine « BB », qui elle aussi est tombée sous le charme de l’Anglaise…

Le métier de journaliste-essayeur réserve parfois de belles surprises, notamment quand l’occasion vous est donnée de vous installer au volant d’un des plus beaux fleurons de l’industrie automobile. Comment rester de marbre lorsqu’on vous tend les clés du cabriolet Rolls-Royce Silver Cloud II que Charles Aznavour a offert à son amie Brigitte Bardot en 1970 ? Sur le coup, le fait d’apprendre qu’il n’y a eu qu’une vingtaine d’exemplaires construits (en version européenne avec conduite à gauche, pour être précis) relève vraiment de l’anecdote !

 

ESSAI RÉTRO Rolls-Royce Silver Cloud II : La Rolls de Brigitte Bardot !
ESSAI RÉTRO Rolls-Royce Silver Cloud II : La Rolls de Brigitte Bardot !ESSAI RÉTRO Rolls-Royce Silver Cloud II : La Rolls de Brigitte Bardot !
ESSAI RÉTRO Rolls-Royce Silver Cloud II : La Rolls de Brigitte Bardot !ESSAI RÉTRO Rolls-Royce Silver Cloud II : La Rolls de Brigitte Bardot !ESSAI RÉTRO Rolls-Royce Silver Cloud II : La Rolls de Brigitte Bardot !

Votre esprit est ailleurs : sur une plage de Saint-Tropez, avec la sublime Brigitte qui donne la réplique aux légendaires Curd Jürgens et Jean-Louis Trintignant dans « Et Dieu créa… la femme ».

Cuir d’origine, pas la peinture

Du haut de l’impressionnante calandre chromée qu’elle domine avec grâce, Emily (l’un des surnoms de la célèbre statuette officiellement baptisée Spirit of Ecstasy) demeure, elle, impassible. Pourtant, elle a dû en voir des choses en soixante ans, depuis sa sortie des usines de Crewe, fief historique de Rolls-Royce (et de Bentley) !

Si d’importants travaux ont été effectués sur l’auto depuis son acquisition, en 2014, par son actuel propriétaire, ce dernier a veillé à ce que cette restauration n’entache en rien l’aura exceptionnelle de cette Rolls et que son authenticité soit préservée. Le cuir Connolly bleu qui recouvre ses sièges est celui d’origine. Pour pouvoir être gardé, il a subi un traitement spécifique avant d’être recousu de main de maître. La patine naturelle, véritable témoin du vécu de l’auto, a ainsi été conservée.

Omniprésentes dans l’habitacle délicieusement cosy, les boiseries alternant ronce de noyer et loupe d’orme n’ont réclamé qu’une légère couche de vernis pour retrouver leur lustre d’antan. En fait, seule l’épaisse moquette Wilton en laine bleu ciel (donc très salissante) a été changée, tout comme l’imposante capote qui, elle, avait apparemment bien souffert des affres du temps.

Petite anecdote concernant la peinture extérieure : Aznavour, le deuxième propriétaire du véhicule, avait fait repeindre son auto en blanc, alors qu’elle était bleue à sa sortie d’usine cinq ans plus tôt. Charles Jourdan, célèbre chausseur français de renommée internationale, rachètera la Rolls en 1972 à Brigitte Bardot dont il est, lui aussi, une relation proche. En homme de goût, il considère que la teinte originale était bien plus élégante. Du coup, la Rolls repart chez le carrossier pour revêtir cette magnifique robe bleu nuit qu’elle n’a plus quittée depuis.

Ni vibration, ni bruit mécanique…

Refermons l’album de famille pour nous concentrer sur les qualités intrinsèques de cette Silver Cloud II, dont certains spécialistes s’accordent à dire qu’il s’agit ni plus ni moins de la « meilleure Rolls-Royce jamais construite ». Florent Moulin, directeur d’Art&Revs à Luxembourg, est de ceux-là : « A sa sortie en 1955, la Silver Cloud I est une voiture extraordinaire mais qui pêche par son six cylindres d’avant-guerre qui, lui, manque de puissance. En 1959, Rolls-Royce développe un nouveau moteur pour en équiper la Silver Cloud II :  il s’inspire du meilleur V8 américain de l’époque, le Buick.

Les ingénieurs anglais construisent un bloc moteur tout en aluminium, ce qui est remarquable pour l’époque. D’une cylindrée de 6.230cc, il développe à peu près 200 chevaux et offre un confort et un silence de fonctionnement absolument incroyables. Une publicité de l’époque montrait un verre d’eau posé sur le tableau de bord ou sur le capot de la voiture. Même au démarrage, l’eau ne bougeait pas, ce moteur n’émettant ni vibration ni bruit mécanique, si ce n’est un léger souffle… »

Aujourd’hui encore, l’effet est saisissant. Il suffit de tourner la clé de contact d’un quart de tour pour que le majestueux V8 s’éveille dans un silence… de cathédrale. My god, quel moteur !

Situé à droite de la colonne de direction, le sélecteur de la boîte de vitesses automatique permet de déterminer le nombre de rapports auxquels on compte faire appel : de un à quatre, sans oublier la marche arrière et la position neutre. Si l’on se place en position « 3 », la boîte n’utilisera que trois rapports, et ainsi de suite.

Merci Emily !

Malgré ses dimensions impressionnantes – près de 5,4 mètres de long pour une largeur de 1,9m et un peu plus de deux tonnes sur la balance – cette Silver Cloud II Cabriolet est plus facile à conduire qu’il n’y paraît. Au bout de l’interminable capot, la bienveillante « Emily » vous aide à délimiter la partie avant de l’auto à laquelle il ne faudra toutefois pas oublier d’ajouter une marge d’une bonne dizaine de centimètres correspondant à la largeur des imposants pare-chocs chromés.

Sur les côtés, ce rôle de « jauge » incombe aux ailes dont on ne se lasse d’admirer la perfection des galbes. Bravo en tout cas aux artisans du célèbre carrossier londonien HJ Mulliner, auquel Rolls-Royce avait confié la métamorphose de « notre » Rolls en cabriolet. Quelle maestria, sachant que tout a été façonné à la main !

Sur un nuage d’argent

En l’espace de quelques kilomètres seulement, la Silver Cloud II, à la manière d’un majordome aguerri, vous donne l’impression qu’elle vous accompagnera jusqu’au bout du monde en veillant sur vous à chaque instant. Aussi massive soit-elle et malgré son âge plus que respectable, notre forteresse anglaise ne rechignera pas à croiser le fer avec d’autres prétendantes bien plus jeunes qui auraient la mauvaise idée de venir la défier… A titre indicatif seulement, sachez que l’aiguille du magnifique compteur de vitesse Smiths peut très facilement rester pointée sur le chiffre 180 !

Bien plus que cette aptitude à atteindre des vitesses élevées, c’est la manière d’y arriver qui fait de cette Rolls un véhicule vraiment exceptionnel. Comme promis par le constructeur, la puissance, synonyme de capacité d’accélération, se révèle « suffisante » en toutes circonstances. Mais c’est bien le confort de cette auto qui laissera aux passagers un souvenir impérissable. Une voiture de luxe dotée d’une suspension adaptative dernier cri ne sait pas mieux faire. Les aspérités de la route sont gommées comme par enchantement par des solutions techniques (leviers triangulés combinés à des ressorts hélicoïdaux et essieu rigide à l’arrière) imaginées il y a plus d’un demi-siècle… et l’on a vraiment l’impression d’être sur un nuage !

Certaines choses ont bien moins vieilli même si, à l’époque, elles faisaient référence. C’est notamment le cas du système de freinage confié à quatre tambours. De conception très complexe, il offre certes une assistance mais celle-ci dépend de la vitesse du véhicule. Plus on roule doucement, moins l’aide au ralentissement est efficace et il faut donc augmenter la pression sur la pédale au fur et à mesure.

« Je l’ai tant aimée ! »

En 2015, la Rolls Silver Cloud II participe au concours d’élégance de Chantilly et sera primée dans la catégorie réservée aux « voitures des stars ». Mise au courant de cette bonne nouvelle, BB enverra un mot au nouveau propriétaire pour le remercier de s’être si bien occupé de celle qu’elle a « tant aimée ».

Un grand merci à Art & Revs pour la mise à disposition de cette Rolls Royce Silver Cloud II ainsi qu’au Domaine Thermal de Mondorf qui nous a accueillis pour notre séance photos.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Info Journal fondation Brigitte Bardot 4ème trimestre 2021

Publié le par Ricard Bruno

n°119 du 4ème trimestre 2021

n°119 du 4ème trimestre 2021

Info Journal fondation Brigitte Bardot 4ème trimestre 2021
Info journal junior n°69 du 4ème trimestre 2021

Info journal junior n°69 du 4ème trimestre 2021

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Tarn : la Fondation Bardot sauve 57 chèvres sauvages qui risquaient l'abattage à Montredon-Labessonnié

Publié le par Ricard Bruno

L'opération était d'envergure, mais elle s'est déroulée dans le calme. La Fondation Brigitte Bardot est intervenue ce mardi matin à Montredon-Labessonnié dans le Tarn pour récupérer 57 chèvres sauvages. Ces bêtes domestiques, abandonnées par leur propriétaire il y a quelques années, sont aujourd'hui en totale liberté et s'invitent partout dans le village. Cette prolifération a suscité de vives tensions suite aux dégâts importants générés sur les cultures de certains agriculteurs du secteur. 

Ce mardi 21 décembre, c’est au lever du jour, à quelques pas des monts de Lacaune encore givrés, que des membres de la Fondation Brigitte Bardot (FBB), se sont rendus à Montredon-Labessonnié (Tarn), au hameau Granquié, pour récupérer 57 chèvres sauvages, qui ont récemment pu être capturées et installées en toute sécurité dans l’un des bâtiments du site agricole.

Ces bêtes domestiques, abandonnées par leur propriétaire il y a quelques années, sont depuis plusieurs mois, en totale liberté et s’invitent partout sur cette vaste commune sud tarnaise. Elles étaient une dizaine au début, elles sont une centaine aujourd’hui. Et cette prolifération a suscité de vives tensions à Montredon-Labessonnié. « Elles sont en train de détruire plus d’une centaine d’hectares de sous-bois, et elles font aussi d’énormes dégâts sur les cultures », avait confié, en mars dernier, le maire de la commune Jean-Paul Chamayou, qui à l’époque, pour « rétablir la paix sociale » avait pris un arrêté municipal en demandant l’abattage et l’évacuation de ces chèvres.

En parallèle, pour trouver une solution moins radicale, il avait contacté la Fondation Brigitte Bardot, qui n’a pas hésité une seule seconde à se saisir du dossier et à se déplacer pour repérer les lieux et réfléchir à une éventuelle opération de sauvetage. C’est chose faite aujourd’hui. Et ce, grâce à un vrai travail collectif, réalisé étape par étape. « Il fallait prendre le temps de construire l’enclos, de laisser les chèvres se familiariser avec l’humain et qu’elles viennent d’elles-mêmes dans cet endroit. Il faut rappeler que ce sont des animaux qui ont totalement été réensauvagés, et qui ne sont pas facilement manipulables. Il fallait y aller en douceur », a expliqué Lorène Jacquet, responsable campagnes et plaidoyer pour la Fondation Brigitte Bardot.

L'opération était d'envergure, mais elle s'est déroulée dans le calme.

 

« L’enclos a été construit dans un endroit de passage. On avait repéré qu’elles prenaient ce chemin pour descendre à une rivière qui se situe un peu plus bas. Ensuite, il y a eu un vrai travail de mise en confiance en attirant les chèvres avec des pierres de sel et de la nourriture », a ajouté Lorène Jacquet. Ce travail de mise en confiance quasi quotidien a principalement été assuré au niveau local par Guy Pages, le propriétaire du hameau : « La famille Delsaux, du GAEC de la Houlette, a également été très efficace dans la récupération des bêtes dans l’enclos de la Fondation, pour les remonter ici dans mon bâtiment. Voilà, c’était logique de jouer le jeu et pour les autres chèvres, on sait comment s’y prendre maintenant, alors s’il faut redonner un coup de main, on le fera. »

« C’est une réelle satisfaction pour la Fondation »

À ce sujet, d’ici quelques mois, une autre surveillance devrait se mettre en place pour identifier les chèvres restantes, réitérer ce système d’enclos de capture et potentiellement, leur trouver également des places dans une pension partenaire de la Fondation. « On va garder un contact avec le maire, le propriétaire des lieux et voir comment la situation évolue. Le but, c’est de toutes les récupérer et que les problèmes de prolifération et de divagation soient totalement réglés », a complété Lorène Jacquet.

En attendant, après cinq longues heures de route, ces 57 chèvres vont être transférées et accueillies en Ardèche, dans l’une des pensions partenaires de la Fondation, gérée par d’anciens éleveurs. « Elles seront mises en quarantaine pendant six mois, et elles pourront ensuite sortir au pâturage dès le retour des beaux jours », a confié Damien Wolff, responsable logistique du sauvetage. « C’est une réelle satisfaction pour la Fondation de pouvoir sauver ces chèvres qui étaient destinées à un abattage. Évidemment, pour nous c’est une réussite et nous sommes très heureux que le maire ait accepté de négocier. Ça montre aussi que, malgré un arrêté d’abattage, il y a toujours la possibilité de trouver des solutions. Dans ce sens, on assure la vie de ces animaux jusqu’à leur belle mort, en les confiant à nos partenaires qui leur apporteront les meilleurs soins possible », a conclu Lorène Jacquet.https://www.ladepeche.fr/2021/12/21/tarn-la-fondation-bardot-sauve-57-chevres-sauvages-qui-risquaient-labattage-a-montredon-labessonnie-10006399.php

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Un maire fait exécuter un troupeau de chèvres, coupables d'avoir mangé... des fleurs du cimetière communal

Publié le par Ricard Bruno

Un troupeau de chèvres a été abattu ce week-end dans la Loire, suite à la décision d'un maire qui reprochait aux animaux d'avoir mangé des fleurs dans le cimetière communal. 

C’est une décision radicale qui ne passe pas !

Le dimanche 19 décembre, Gérard Tardy, maire de Lorette (Loire), a fait abattre un troupeau de chèvres au motif que ces dernières avaient grignoté des fleurs déposées dans le cimetière de la commune.

Suite à la publication d’un arrêté municipal en ce sens autorisant la tenue d’une battue, neuf bovidés ont ainsi été exécutés sans ménagement par des chasseurs.

 

Un maire fait exécuter un troupeau de chèvres, coupables d'avoir mangé... des fleurs du cimetière communal

Un maire fait exécuter des chèvres qui avaient mangé des fleurs dans le cimetière communal, une décision qui ne passe pas

Une action qui a provoqué la colère d’associations écologistes et d’un certain nombre d’habitants.

« C’est particulièrement lâche. Dans ce genre de situation, il faut solliciter une organisation comme la nôtre », a déploré Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot.

« Il y avait d’autres solutions. En plus, les chèvres, on peut les capturer facilement. Les pompiers ont tout le matériel nécessaire pour cela. On ne peut pas laisser passer ça, sinon c’est la porte ouverte à toutes les dérives. On ne se met pas à tirer dans sa commune à tout va ! Ça ne se fait pas », a pour sa part pester Pierre Portelat, président de la SPA de la Loire, qui envisage de porter plainte tout comme la fondation Brigitte Bardot.

Du côté de la préfecture, c’est un sentiment d'incompréhension qui prédomine. « Dans la forme, c’est correct, mais pas sur le fond », a ainsi déclaré cette dernière.

Il faut savoir que le code rural permet en effet au maire d’une commune d’organiser une battue pour faire abattre des animaux errants, mais à la seule condition qu’ils représentent un danger et ne soient pas domestiqués.

Or, les chèvres demeurent des animaux domestiques et le fait qu’ils aient dévoré des chrysanthèmes ne représente pas une menace pour la sécurité des habitants.

La préfecture avait donc envoyé un courrier à Gérard Tardy pour le dissuader d’organiser cette battue, mais rien n’y a fait !

 

Chose plus surprenante, les chasseurs eux-mêmes ont fait part de leur surprise quant à cette décision d’abattre le troupeau.

« Personne ne sait comment cela s’est organisé. J’ai échangé avec Gérard Aubret, notre président. Il est surpris lui aussi », a ainsi confié à nos confrères d’Actu.fr Christine Lovaglio, assistante de direction de la Fédération départementale des chasseurs.

« Il faudrait aussi comprendre comment ces bêtes ont pu causer ces nuisances. Normalement, un cimetière est un lieu clos », s’est encore interrogé Christophe Marie.

De son côté Gérard Tardy rejette la faute sur… SFR, propriétaire d’un terrain entourant le cimetière.

Selon l’AFP, le premier édile affirme ainsi avoir demandé à l’opérateur téléphonique « d’installer à ses frais une clôture esthétique et de grande résistance et de prendre en charge les dégâts constatés dans le cimetière ».

« On n’a rien à voir avec ces chèvres. On ne peut pas être responsable. Des chèvres se baladent donc ici, comme ailleurs (…) on ne grillage pas tous les terrains en pleine nature comme ça (…) les chèvres peuvent se balader ici, comme partout ailleurs », a immédiatement rétorqué Cyrille-Frantz Honegger, directeur régional d’Altice, lequel se dit toutefois prêt à travailler avec la municipalité pour arranger les choses.

Malgré la polémique, le maire Gérard Tardy persiste et signe, assumant sa décision. Mais ceci pourrait lui valoir des poursuites si jamais les propriétaires du troupeau se manifestaient et venaient à porter plainte.

Affaire à suivre !

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Des mesures présidentielles pour les animaux...

Publié le par Ricard Bruno

Des mesures présidentielles pour les animaux...

Parce que la cause animale préoccupe les Français, 28 ONG se sont rassemblées pour créer la plateforme «Engagement Animaux 2022» afin de mobiliser les candidats à l’élection présidentielle autour de 22 mesures et d’informer les électeurs sur leurs engagements.

«Jamais nous n’avons enfermé et tué autant d’animaux qu’aujourd’hui en France dans des conditions souvent épouvantables». Dans une tribune parue le 8 décembre dans «Le Monde», 28 ONG s’unissaient pour rappeler la nécessité de défendre les bêtes et lancer une plateforme baptisée Engagement Animaux 2022 à l’attention des candidats à l’Elysée.

Largement présente dans le débat sociétal depuis plus d’une décennie grâce au travail de terrain des associations, la cause animale a enfin atteint les politiques, chacun allant jusqu’à semer de-ci de-là quelques bonnes paroles ou photos avec son chat/son chien sur les réseaux. Sauf que les citoyens demandent désormais bien plus qu’un selfie ou une mesurette : selon un sondage IFOP pour Woopets daté du 21 septembre, 84% des Français considèrent en effet la protection des animaux comme une cause importante, et 47% des électeurs se disent prêts à voter en fonction des propositions d’un candidat sur le bien-être animal.

Afin d’interpeller les candidats et de permettre aux électeurs de savoir quels sont ceux qui vont s’engager, les 28 ONG (Fondation Brigitte Bardot, One Voice, SPA, Code Animal, ASPAS…) ont élaboré 22 mesures prioritaires pour jauger tout au long de la campagne «le score d’engagement» de chaque prétendant. Parmi elles : mettre fin aux élevages en cages d’ici 2027, soutenir financièrement et rendre obligatoire la stérilisation des chats errants par les communes, interdire la chasse au moins deux jours par semaine dont le dimanche ainsi que les jours fériés et les vacances scolaires, abroger l’exception ouverte par l’article 521-1 du code pénal pour que la corrida ainsi que les combats de coqs ne puissent plus exister, ou encore encourager l’utilisation et le développement des modèles non-animaux en expérimentation.

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BB : France 2 lance une mini-série signée Danielle Thompson sur l'icône Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

BB : France 2 lance une mini-série signée Danielle Thompson sur l'icône Brigitte Bardot

Les fans de Brigitte Bardot peuvent se réjouir : selon Closer, l'icône du cinéma français va faire l'objet d'un biopic. Histoires d'amour, rôles iconiques... Toute la vie de la star sera dévoilée en quelques épisodes.

 

Selon une exclusivité signée Closer, la star du cinéma français connue à l'international, Brigitte Bardot, va faire l'objet d'un biopic sous forme de mini-série qui sera diffusée sur France 2. Nos confrères rapportent que cette personnalité iconique a en effet été choisie pour être au cœur d'une mini-série qui sera réalisée par Danièle Thompson mais aussi par son fils, Christopher Thompson, également acteur et scénariste. Toujours selon Closer, la série biographique serait simplement intitulée "BB", des intitiales de Brigitte Bardot qui ont également été un de ses surnoms, et reviendrait sur tous les grands événements de sa vie.

Romances enflammées, enfance parisienne, rôle titre dans Et Dieu... créa la femme, premier mariage à 18 ans avec Roger Vadim, amants iconiques parmi lesquels ont compte Jean-Louis Trintignant, Gilbert Bécaud ou encore Sacha Distel... Plusieurs aspects de la vie mouvementée de cette icône des années 60 seront explorés par la réalisatrice Danielle Thompson. Closer dévoile également que "BB" devrait voir son tournage débuter d'ici le mois de février 2022. Le gros mystère reste cependant de savoir quelle actrice aura l'honneur mais aussi la lourde tâche d'incarner Brigitte Bardot à l'écran.

Qui jouera la mythique Brigitte Bardot dans la série de France 2 ?

Si Closer explique que l'actrice a déjà été castée et qu'une comédienne de 22 ans a obtenu le rôle, la production tient pour le moment à garder le secret sur son identité. Et ce n'est pas la seule à bénéficier de ce traitement puisque, pour l'instant, aucune information sur le casting n'a été dévoilée. Il faudra donc patienter jusqu'à début 2022 pour en savoir un peu plus sur "BB". En attendant la série, tous les fans de Brigitte Bardot peuvent toujours revoir son tout premier film de 1952, Le Trou normand de Jean Boyer, ou se replonger dans quelques classiques dans lesquels elle a tourné après avoir acquis son incroyable notoriété, parmi lesquels La Vérité ou encore Le Mépris.

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Adieu Jacques....tu vas beaucoup me manquer...

Publié le par Ricard Bruno

Mes amis Bonjour

Je viens d’avoir un appel du côté de Saint-Tropez…

j’ai appris une bien triste nouvelle, le décès de mon ami et ami de Brigitte Bardot, Jacques Héripret, photographe de talent il avait travaillé en tant que photographe auprès de Brigitte Bardot sur le film Shalako, photographe hors pair et reporter de guerre...

Adieu Jacques....tu vas beaucoup me manquer...
Adieu Jacques....tu vas beaucoup me manquer...

Leïca : une marque d’appareil photo qui évoque des clichés de légende, immortalisés par l’objectif de photographes de renom qui ont autant contribué à sa popularité comme André Kertész, Robert Capa, Henri Cartier-Bresson, Raymond Depardon, William Klein, mais aussi Jacques Héripret.

Ce photo-reporter s’est rendu célèbre par son audace à réaliser des clichés des plus grandes personnalités de l’époque, du Général de Gaulle à Brigitte Bardot, et également des moments forts de l’histoire.

Et pourtant, rien ne le prédestinait à cette profession-passion si ce n’est un tempérament de feu. Auparavant, ouvrier-tourneur chez Renault, il devient un jeune photographe chassant l’exclusivité et réalisant des clichés anticonformistes.

Alors qu’il débute, à peine âgé de 22 ans, comme assistant auprès de Luc Fournol, le photographe des stars, il réalise son premier « scoop » photographique en 1963 en shootant le plafond de l’Opéra de Paris fraîchement peint par Marc Chagall. On sait que ce décor suscita la polémique, car il rompait avec le style Second Empire du bâtiment réalisé par Charles Garnier.

On sait moins que le premier cliché de cette fresque a été pris par Jacques Héripret qui nous a confié les dessous de son coup de maître. « Le problème de l’Opéra de Paris reposait sur une survivance policière accrue en raison des menaces d’attentats de l’OAS contre De Gaulle. Le plafond devait être inauguré en présence du général de Gaulle en personne et d’André Malraux alors ministre de la Culture qui l’avait commandé à Chagall et qui avait été aussi visé par une tentative d’attentat : il y avait donc un grave problème de sécurité comme aujourd’hui… » nous a confié Jacques Héripret.

Il ajoute : « Mon journal, Paris presse l’intransigeant, m’avait demandé de réaliser le cliché même si Match avait l’exclusivité. Je me suis alors baladé à côté de l’Opéra et j’ai remarqué qu’il y avait un endroit où les décors étaient livrés et qui coïncidait avec la sortie des artistes en même temps. À midi pétant, j’ai vu des flics sortir pour déjeuner les uns après les autres. À deux heures, tout le monde rentrait. J’ai alors dit à ma rédaction qu’il me fallait une tenue d’ouvrier et une corbeille avec des papiers au-dessus pour dissimuler mes appareils photo. Le lendemain, à midi passé, après avoir vu les 50 flics sortir de l’Opéra, j’ai sonné au local du gardien qui m’a laissé entrer. »

Déjouant la surveillance policière à l’Opéra Garnier, le photo-reporter réussit donc à entrer, mais le plus difficile reste à faire : photographier un plafond dissimulé par un velum rouge tenu par 150 fils. « Avec la boîte à outils d’un ouvrier, j’ai attaqué les ficelles au burin et au marteau, le velum est alors tombé s’étalant sur les fauteuils. Mais sa chute a dégagé une telle poussière que je n’ai pas pu shooter. J’ai dû monter dans une mezzanine pour faire la photographie avant de repartir en appuyant sur la sonnette et le mec m’a laissé partir… »

Jacques Héripret continue son récit incroyable : « Paris presse l’intransigeant sortait à 14 heures, et ma photo devait paraître pour le lendemain. Le problème de l’époque était que tous les journaux apportaient les morasses, la dernière épreuve, à l’Élysée. Quand l’Élysée l’a appris, on est venu me chercher et on m’a embarqué avec les menottes rue des Saussaies, le bureau de la sécurité intérieure de l’État. J’ai reçu des beignes parce qu’on ne croyait pas à mon histoire. Pendant ce temps, le journal a appelé, et Pierre Lazareff de France Soir aussi, car il appartenait au même groupe. Les flics se sont aperçus que je disais la vérité et on m’a libéré. Match n’a pas plus eu l’exclusivité. La photo s’est vendue dans le monde entier. Et en raison de la faille importante dans la sécurité, beaucoup de flics ont sauté. »

Après cette exclusivité, les photographies de Jacques Héripret, bourlingueur, touche à tout, curieux professionnel, continuent de faire le tour du monde.

Adieu Jacques....tu vas beaucoup me manquer...
Adieu Jacques....tu vas beaucoup me manquer...
Adieu Jacques....tu vas beaucoup me manquer...
Adieu Jacques....tu vas beaucoup me manquer...
Adieu Jacques....tu vas beaucoup me manquer...
Adieu Jacques....tu vas beaucoup me manquer...

Et puis, en mai-juin 1967, le photographe se rend en Israël. Une nouvelle fois, un concours de circonstances est à l’origine de ce voyage ainsi qu’il nous le raconte. « Je travaillais pour l’agence de presse P.I.P., et je suis partie en Israël quinze jours avant la guerre. Plusieurs éléments m’avaient mis la puce à l’oreille. Le premier est le fait que le roi Hussein de Jordanie, neutre depuis longtemps, avait été pris en photo au Caire avec le président égyptien Nasser, qui lui était très belliqueux contre Israël. Par ailleurs, le gouvernement soviétique avait envoyé 150 techniciens pour réviser les avions MIG égyptiens. Enfin, j’avais lu dans un journal suisse que le roi Hussein avait rappelé ses généraux à la retraite, et à cela s’ajoutait la Syrie qui emmerdait Israël avec le Golan. »

Jacques Héripret qui ne connaissait rien d’Israël si ce n’est qu’il savait « que le Christ avait été crucifié à Jérusalem » décide de se documenter avant de partir. La situation des Juifs qui ne pouvaient plus se rendre à l’est de Jérusalem, et donc au mur Occidental, pour prier depuis près de 2 000 ans l’interpelle.

« En atterrissant à Tel Aviv, le point presse m’a demandé où je voulais aller et j’ai répondu à Jérusalem. On est alors parti à deux ou trois photographes accompagnés d’un officier. La veille du 7 juin 1967, on venait d’apprendre que l’aviation israélienne avait calciné les 400 MIG égyptiens. À l’aube du 7 juin, Tsahal a libéré le quartier est de Jérusalem et je suis resté le seul photographe au mur [Occidental]. J’ai commencé à bosser le matin vers 6 heures et je suis resté jusqu’au soir. J’ai vu arriver un rabbin, puis un autre, et le soir il y avait devant moi une marée humaine. J’ai fait des clichés selon tous les cadrages possibles et imaginables en espérant donner une représentation de cette ferveur extraordinaire à laquelle j’assistais. »

Le mur Occidental, en juin 1967. Jacques Héripret : « Ces photos ont paru dans le monde entier : elles ont fait l’actualité, aujourd’hui, elles font l’histoire. » (Crédit : Jacques Héripret)

Le mur Occidental, en juin 1967. Jacques Héripret nous a confié : « A l’aube de ce matin-là, un vieil homme s’est approché, tirant une chaise trouvée je ne sais où. Près du Mur, il s’est assis et a commencé sa prière. » (Crédit : Jacques Héripret)

Le mur Occidental, en juin 1967. Jacques Héripret : « Ils furent trois, cinq, vingt, bientôt cinquante. Certains faisaient une ronde et dansaient. C’était la liesse. Ils venaient de partout par milliers. » (Crédit : Jacques Héripret)

 

Tu es parti mon ami Jacques rejoindre les étoiles, toi et Patricia se faisait à chaque fois une joie de venir à la maison, chevauchant ta 125cm3, je suis vraiment très triste aujourd’hui que tu ne sois plus là, sache d’où tu es, si Patricia à besoin de moi, je serais toujours là pour elle…

Bruno ton ami

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Landes : le procès pour diffamation de la Fondation Bardot reporté à février

Publié le par Ricard Bruno

Landes : le procès pour diffamation de la Fondation Bardot reporté à février
La Fondation Brigitte-Bardot et la société Clear Channel devaient être jugées, ce mardi 14 décembre. Les avocats ont obtenu un renvoi au 8 février 2022

« Diffamation par parole, écrit, image ou moyen de communication au public », voici l’infraction reprochée à la Fondation Brigitte Bardot et la société Clear Channel France pour l’installation de panneaux d’affichage anti-chasse en avril dernier.

L’audience devait se tenir ce mardi 14 décembre. Les avocats ont demandé un renvoi de l’affaire. Le procès se tiendra donc mardi 8 février 2022, à partir de 13 h 45. La Fédération départementale des chasseurs des Landes avait déposé plainte pour diffamation, dénonçant « une incitation à la haine ».

Source de l'article : Cliquez ICI

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