La Fondation Brigitte Bardot va porter plainte contre le footballeur Kurt Zouma, filmé en train de frapper son chat
La Fondation demande la suspension du footballeur de l'équipe de France de foot. Défenseur de West Ham, il risque également jusqu'à cinq ans de prison, la loi britannique ne plaisantant pas avec la maltraitance animale.
La Fondation Brigitte Bardot annonce sur Twitter mardi 8 février qu'elle va porter plainte contre le footballeur Kurt Zouma, alors qu'une vidéo publiée par le journal britannique The Sun le montre en train de frapper son chat, rapporte France Bleu Saint-Etienne Loire. Le footballeur est un ancien de Saint-Étienne entre 2011 et 2014 et évolue comme défenseur de West Ham.
La Fondation demande la suspension du footballeur de l'équipe de France de foot, dans laquelle il évolue aussi. Dans la vidéo, Kurt Zouma jette un de ses chats par terre et lui met un coup de pied. Il cherche ensuite l'animal, visiblement très énervé. Quelques secondes plus tard dans la vidéo, Kurt Zouma frappe à nouveau un chat, qu'un de ses enfants vient de poser sur le plan de travail.
De son côté, ajoute France Bleu, le club de West Ham assure traiter l'affaire en interne en ajoutant ne tolérer aucun cas de maltraitance animale. Kurt Zouma encourt jusqu'à cinq ans de prison, la législation britannique ayant été durcie en ce qui concerne les actes de maltraitances envers les animaux, précise France Bleu.
Maltraitance animale : une éleveuse récidiviste incarcérée en Saône-et-Loire
Une femme de 48 ans a été interpellée le 27 janvier dernier, puis placée en détention provisoire, dans le cadre d'une enquête pour mauvais traitements à animaux. Sur place, les gendarmes ont découvert 28 bergers allemands vivant dans des conditions déplorables. Les chiens ont été confiés à des associations de protection animale.
Une femme de 48 ans, suspectée de mauvais traitements à animaux, a été interpellée à son domicile, à Saint-Didier-sur-Arroux, en Saône-et-Loire (71), le 27 janvier dernier, par les gendarmes de la brigade d’Étang-sur-Arroux (71). Sur place, les enquêteurs ont retrouvé pas moins de 28 bergers allemands, « élevés dans des conditions innommables ».
Cette opération faite suite à une enquête initiée par la brigade de gendarmerie de Luzy, dans la Nièvre, à laquelle un vétérinaire avait signalé, le 11 janvier dernier, des faits présumés de maltraitance animale. C'est à l'occasion d'une visite à domicile pour examiner un chien à l'agonie, que le praticien avait pu constater la présence de plaies ouvertes, de nécroses, de brûlures et d'abrasions sur l’ensemble du corps de l’animal. Celui-ci, dont la propriétaire avait alors refusé l’euthanasie, décédera plus tard d'une septicémie, causée par une dermatite infectieuse généralisée non soignée.
Les premières investigations menées par les gendarmes permettent rapidement d'établir que la propriétaire pratique l'élevage de bergers allemands, et ce dans des conditions incompatibles avec cette activité : « dans une maison d’habitation à l’état sanitaire déplorable, les chiens étaient enfermés dans des cages de 4 m², sans eau, ni nourriture. »
Récidiviste, la propriétaire a été placée en détention
Au regard de la compétence territoriale et après avis des magistrats, le dossier est transmis à la brigade d’Étang-sur-Arroux. En lien avec le parquet du tribunal judiciaire de Chalon-sur-Saône, les gendarmes décident de déclencher une opération judiciaire le 27 janvier, avec le concours des personnels de la Direction départementale de la protection des populations de Saône-et- Loire (DDPP71), d’un vétérinaire, de la Société protectrice des animaux (SPA) et de l’Association Brigitte Bardot, afin de procéder au retrait de la totalité des animaux.
Lors de la perquisition, les gendarmes constatent que l'ensemble de son élevage, composé de 28 bergers allemands, vit à l'intérieur même du domicile, où règne une forte odeur de déjections canines. Les chiens sont répartis dans l'ensemble des pièces, dont chaque accès est fermé par des grilles de 60 cm à 1,5 m de haut, afin que les animaux ne puissent pas sortir. Dans d'autres pièces, les chiens sont détenus dans des enclos, dont la hauteur atteint plus de 1,80 m de haut. Dans tous les cas, les chiens sont enfermés et n'ont pas d'accès direct à l'extérieur sans l'intervention de leur propriétaire. Des déjections jonchent tous les espaces extérieurs, probablement depuis de nombreuses semaines, ainsi que le sol de certains enclos à l'intérieur du domicile. La quadragénaire, quant à elle, dort dans une pièce insalubre, avec cinq bergers allemands continuellement présents.
La mise en cause reconnaît que les conditions de détention ne sont pas optimales mais réfute les accusations concernant les sévices, arguant tout mettre tout en œuvre pour apporter bien-être à ses animaux, et justifiant la détention au sein de son domicile par la volonté de développer la sociabilisation et l'altération avec l'humain.
Placée en garde à vue, la propriétaire a été déférée le 28 janvier au Parquet de Chalon-sur-Saône. Dans l’attente de son jugement pour ces derniers faits, qui interviendra notamment après l’établissement du rapport de la DDPP, elle a été incarcérée pour deux mois à la maison d’arrêt de Dijon, dans le cadre de la mise à exécution d’un jugement de 2021 pour des faits similaires.
Les 28 chiens lui ont été retirés en vertu de l’article 99-1 du Code de procédure pénale, et confiés à la SPA et à l’Association Brigitte Bardot.
Statue de Brigitte Bardot à Saint-Tropez vandalisée: comment la protéger?
Après un lifting luxueux entrepris la saison dernière, la représentation de l’icône tropézienne, Brigitte Bardot, doit-elle être entourée de garde-fous?
Adulée. Statufiée. Et aujourd’hui dorée. L'effigie en bronze érigée sur la place Blanqui en hommage à Brigitte Bardot suscite toujours de multiples réactions, d'admiration en premier lieu. Ce qui est devenu, bien malgré elle, une source de soucis.
Sa présence a pris une tournure plus délicate depuis qu'à l'été 2021, il a été décidé de la recouvrir de feuilles d’or. Une parure esthétique qui, au regard de son caractère onéreux, nécessite que, sur son piédestal en forme de coquille, elle reste à l'abri des effusions tactiles.
Un sujet qui demeure non réglé selon l'élue d'opposition (groupe Blua), Fanny Briffa: "La statue a été protégée par une barrière pendant la saison estivale depuis qu'elle est recouverte d'or. Ces barrières ont disparu à la basse saison: son mari, Bernard d’Ormale aurait exprimé son inquiétude sur la protection de la statue en leur absence. Et ce malgré qu’un engagement lui aurait été fait pour l’installation de caméras de vidéo-surveillance après les fêtes. Si cette protection s’avérait insuffisante, la mairie pourrait se re-diriger vers une protection plus formelle, avec des barrières".
Un choix qui ne serait guère plus judicieux selon l’élue: "Or, leur mise en place ne manquerait pas de défigurer l’harmonie de ladite place et par là même, l’œuvre. Par ailleurs, il semble difficile que les barrières soient présentes ad vitæ aeternam sur la place dans le seul but de protéger une sculpture. Quelles sont les intentions de la commune?".
La statue victime d’une signature-graffiti rouge vif...
Des barrières de type Vauban "avaient été installées autour de la statue de Brigitte Bardot pour la saison estivale en effet", au plus fort de la fréquentation touristique, commente en préambule, la maire Sylvie Siri.
Dans un second temps, "la presse locale s’étant faite l’écho du risque de dégradation opéré par les personnes ayant des gestes inappropriés vis-à-vis de l’œuvre, nous avions pensé à la protéger de manière durable par un entourage en fer forgé", précise-t-elle ensuite.
"Toutefois, compte tenu du déploiement de caméras très prochainement, notamment sur la place Blanqui, nous avons privilégié le côté artistique de l’œuvre en la laissant comme telle. Il va de soi que si des dégradations importantes étaient commises, nous serions à même de pouvoir réviser notre position."
Visiblement, celle-ci devra certainement être revue plus rapidement qu’imaginé: sur la carapace étincelante, ont été griffonnées à l’encre rouge les initiales de B. B., ainsi qu’un gribouillage dégradant sur ses cuisses dorées...
Adieu Demeter ! ET TANT MIEUX !
Je soutien à 100% L214, il ne faut RIEN lâcher !
Bruno Ricard
L214 réduit à néant la cellule Demeter
« Demeter ».
Un nom qui fait trembler les lanceurs d’alerte. Une épée de Damoclès, bientôt levée !
Demeter, c'est le nom donné à une cellule de la gendarmerie nationale dont l'objectif prioritaire est de renforcer la surveillance et la répression de celles et ceux qui critiquent ou remettent en question le modèle agricole intensif. Elle est issue d’une convention signée entre le ministère de l’Intérieur, la gendarmerie nationale et les deux syndicats agricoles majoritaires (FNSEA et Jeunes Agriculteurs), ouvertement hostiles aux associations de défense des animaux et de l'environnement.
Une victoire pour la liberté d'expression
Le tribunal administratif de Paris a rendu ce mardi sa décision concernant le recours déposé par L214 contre la cellule Demeter : les juges demandent au ministre de l'Intérieur « de faire cesser les activités de la cellule nationale de suivi des atteintes au monde agricole qui visent à la prévention et au suivi "d’actions de nature idéologique” dans un délai de 2 mois », sous astreinte de 10 000 € par jour à expiration du délai.
Les juges ont considéré que ses missions, telles que « la prévention [...] des actions de nature idéologique », y compris les « simples actions symboliques », constituent une erreur de droit. Je me réjouis de cette victoire importante pour la liberté d’expression, pour les lanceurs d'alerte et pour la défense des animaux. J’espère que cette excellente nouvelle vous réjouit aussi, et booste votre envie d’agir à nos côtés !
Un soulagement et des intimidations en moins
La cellule Demeter ne vise pas seulement la prévention d'actes illégaux, mais également (surtout ?) la surveillance et la dissuasion de toute critique formulée à l'encontre du modèle agricole intensif.
Les cas d'intimidation sont nombreux et font froid dans le dos. Beaucoup de militants sont dissuadés de s'exprimer publiquement : convoqués par la gendarmerie pour avoir donné une interview, interrogés lors d'une réunion associative, appelés à maintes reprises... Un déploiement de moyens démesuré vécu par L214, tout particulièrement visée à cause de ses enquêtes : auditions à répétition, accès aux relevés téléphoniques, bornage de téléphone, pour ne citer que quelques exemples.
Nous vous avions promis que nous ne nous laisserions pas intimider ou traiter comme des criminels. Aujourd’hui, grâce à votre soutien, une partie de cette pression va cesser pour les lanceurs d'alerte et les associations de défense des animaux et de l'environnement !
Votre soutien est essentiel
Mener nos enquêtes ne va pas devenir simple pour autant. Juste un peu moins risqué.
Je reste convoqué au tribunal pour violation de domicile et atteinte à l’intimité de la vie privée. On me reproche d’avoir filmé des entrepôts d’élevages agricoles sans consentement en 2019. Je risque jusqu’à 1 an de prison et 45 000 € d’amende. L’association, elle, est convoquée pour la diffusion de ces images, et risque notamment jusqu’à 225 000 € d’amende. Je vous en avais déjà parlé. L’audience est prévue le 1er avril.
Votre présence à nos côtés est réellement décisive pour défendre les animaux. Vous êtes notre plus grande force, et vous agissez concrètement avec votre don, quel que soit son montant : vous financez nos enquêtes, nos actions en justice et tout notre travail.
Je vous remercie par avance pour votre précieux soutien !
Sébastien Arsac |
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P.-S. Votre don à L214 vous permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu de 66 % de son montant. Un don de 50 € vous coûte réellement 17 € après la réduction d'impôt. Faites-en profiter les animaux !
La Fondation Brigitte Bardot se mobilise pour trouver une famille à un chien bientôt séparé de sa maîtresse
La maison de retraite n’accepte pas les chiens
La Fondation Brigitte Bardot lance un appel pour aider Fidji à trouver une nouvelle famille. La maîtresse de ce petit toutou de 11 ans, va bientôt partir en maison de retraite.
Cette future séparation est un déchirement pour le duo car la maison de retraite n’accepte pas les chiens. La nonagénaire se voit donc dans l’obligation de se séparer de son animal de compagnie.
« Son bien-être est en jeu, sa situation est difficile, il va la vivre comme un abandon…Evitez-lui d’être malheureux », explique dans un tweet la Fondation.
Il appartient au directeur d’accepter ou refuser un animal
Si la présence des animaux a un impact positif sur les personnes âgées, les maisons de retraite refusent majoritairement les chiens. Généralement, il appartient au directeur de la maison de retraite d’accepter ou de refuser un animal.
Récemment, un octogénaire de la Résidence Aquarelle à La Bazoche-Gouet dans l’Eure-et-Loir a pu retrouver son chien qui avait été laissé dans un refuge le temps de son hospitalisation. C’est le directeur de l’Ehpad qui a remué ciel et terre pour réunir le maître et son animal de compagnie.
Pour obtenir des renseignements complémentaires sur Fidji : contactez le service adoption de la Fondation Brigitte Bardot au 01 34 86 23 70.
Un casting pour trouver les prochains acteurs de la série inspirée de la vie de Brigitte Bardot à Saint-Tropez
Alors que les contours de la nouvelle série inspirée de la vie de Brigitte Bardot se précisent, la production est à la recherche d'acteurs.
Vous avez toujours rêvé d'être comédien? Vous habitez le Var ou les Alpes-Maritimes? Alors ce casting est fait pour vous.
Dans le cadre du tournage d'une adaptation de la vie de Brigitte Bardot en série, la production recherche plusieurs profils: ado, jeune femme et jeune homme.
- Une jeune fille entre 12 et 14 ans résidant en région PACA, blonde, les yeux très bleus, pétillante, n’ayant peur de rien. 7 cachets
- Une jeune femme entre 18 et 21 ans résidant en région PACA, blonde, les yeux très bleus. solaire, pétillante. 2 cachets
- Un homme de 22/28 ans originaire de Pologne ou d’Europe de l’Est, accent naturel, résidant en région PACA. 1 cachet
La production met en garde: "La série se passant dans les années 1950/1964, pas de frange, pas d’appareil dentaire, de bagues dentaires ou de coupe trop moderne".