Brigitte Bardot : le jour où elle a mis fin à sa carrière d’actrice...
Il y a 60 ans exactement, le 20 décembre 1963, « Le mépris » de Jean-Luc Godard sortait en salles. Un film qui a confirmé le statut de sex-symbol de Brigitte Bardot. Dix ans plus tard, en 1973, BB a mis fin à sa carrière d’actrice, à cause d’une chèvre. Explications.
« Tu les trouves jolies mes fesses ? - Oui, très. - Et mes seins, tu les aimes ? - Oui, énormément. - Qu’est-ce que tu préfères, mes seins ou la pointe de mes seins ? » C’est du Godard dans le texte, du Bardot dans la sensualité, et ça fait une scène culte.
En 1963, Brigitte Bardot confirme son statut de star et de sex-symbol en jouant Camille, l’épouse de Paul, incarné par Michel Piccoli, dans « Le mépris » de Jean-Luc Godard. Elle est au sommet de sa carrière, débutée 10 ans seulement auparavant.
Brigitte Bardot et Michel Piccoli sur le tournage du « Mépris », de Jean-Luc Godard
Fin de carrière
Dix ans après « Le mépris », en 1973, Brigitte Bardot décide d’arrêter définitivement le cinéma. Une décision - à laquelle elle se tiendra - précipitée par sa rencontre avec une chèvre sur le tournage de « L’histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse chemise ».
Brigitte Bardot et Michel Piccoli sur le tournage du « Mépris », de Jean-Luc Godard
En Dordogne, sur le tournage du film de Nina Companeez, avec Francis Huster et Francis Blanche, il y avait en effet plusieurs chèvres et notamment une chevrette destinée à être tuée qui a attendri BB, déjà sensible au sort des animaux.
Brigitte Bardot dans « L’histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise » (1973), de Nina Companeez
Brigitte Bardot, une voiture décapotable et une chèvre
« Ma maman était figurante dans le film, et son rôle était de garder ses chèvres. Elle était venue avec cette chevrette. C’était une toute petite chèvre, qui pleurait tout le temps », a raconté Didier Bourdet au micro de France Bleu Périgord.
Brigitte Bardot s’inquiétait du sort de la chevrette et l’éleveuse lui a répondu : « Dimanche, c’est la communion de mon plus jeune fils, donc nous allons faire un méchoui. » L’actrice s’y est opposée et a proposé d’acheter la « pauvre bête » pour la sauver.
« Le lendemain, elle est arrivée [à la ferme], avec un homme, dans une voiture de sport décapotable », a confié Didier Bourdet. Brigitte Bardot est repartie avec la chèvre, qu’elle a amenée dans sa chambre d’hôtel sous le regard médusé du personnel.
En une seconde, j’ai décidé d’arrêter
Une fois le tournage terminé, Brigitte Bardot, âgée de 38 ans seulement, a choisi de consacrer sa vie à la protection des animaux. « Je devais apporter aux autres, aux animaux, ce que l’on m’avait offert toute ma vie », a-t-elle expliqué au « Monde », en 2021.
Brigitte Bardot visite un refuge pour chien en 1980
Il faut dire qu’elle ne trouvait plus de sens à son métier. Sur le tournage de « Colinot trousse chemise », elle se sentait « ridicule » et « cruche ». « Le cinéma me gonflait depuis longtemps déjà et en une seconde, j’ai décidé d’arrêter », a-t-elle ajouté.
« Et oui je me retire ! Il n’y a pas de quoi faire tant d’histoires. J’ai tourné 48 films en 21 ans et je trouve que ça suffit », a-t-elle donc annoncé à « France Soir », en juin 1973. « Je ne peux plus assumer le fait de me consacrer à un métier qui ne me touche pas personnellement. Je veux vivre. »
Echecs et mat
Si la passion de Brigitte Bardot pour les animaux est la raison officielle de sa prise de distance avec le cinéma, il peut également s’expliquer par le ralentissement de sa carrière. Au début des années 1970, elle a en effet enchaîné les échecs et les propositions se sont peu à peu raréfiées...
Après avoir accepté de jouer dans « Colinot trousse chemise », Brigitte Bardot, bien consciente de sa situation, aurait même dit à la réalisatrice Nina Companeez : « Je ne vaux plus rien, vous ne me payez pas, on verra après. » Elle a préféré arrêter avant qu’on ne l’arrête.
scoop ! Brigitte Bardot
Scoop, uniquement ICI sur le blog Brigitte Bardot
La ville de Saint-Tropez en accord avec Brigitte Bardot, va rebaptiser le cinéma "La renaissance", par le cinéma "Brigitte Bardot ! à cette occasion il sera rénové entièrement...
D'ici 48h00 cela sera annoncé dans la presse locale et Nationale!
Brun Ricard
Destinée, La Passionata, Moi je suis Tango... Retour sur les chansons cultes de Guy Marchand....
Passionné de jazz, joueur de clarinette, Guy Marchand a mené, en parallèle de sa carrière d’acteur, une vie de chanteur de charme dont les titres restent inoubliables.
Le chanteur et acteur est décédé à 86 ans, ont annoncé ses enfants vendredi. Il laisse derrière lui des grands titres de la chanson de charme à la française.
Guy Marchand est âgé de neuf ans quand son père, passionné de jazz, lui donne une clarinette. Voilà comment naît sa passion pour la musique. Pendant près d’un demi-siècle, le chanteur a exploité tous ses talents, publiant au total dix-neuf albums. Il n’était pas seulement clarinettiste, mais aussi pianiste et saxophoniste. Mais son plus bel instrument reste cette voix de crooner dont il ne cessa de jouer pour imposer son style de macho sensible. À travers son amour pour le jazz, le blues et le tango, le petit gamin de Paname devenu chanteur de charme voulait, comme il le susurrait au micro, «toucher le cœur des dames». Voici cinq chansons Guy Marchand qui resteront à jamais gravées dans l’histoire de la musique française.
- La Passionata (1965)
La Passionata est un hommage à la culture espagnole avec un titre italien. Cette chanson, tube de l’été 1965, marque le premier succès musical de l’artiste. Dans le 45 tours où figure cette chanson entêtante, on trouve aussi notamment les titres Chanteur de charme et Ça vous laisse perplexe.
Cette chanson est interprétée en duo avec Brigitte Bardot en 1971 pour la bande originale de Boulevard de Rhum, dans lequel Guy Marchand et l’actrice partagent l’affiche. Dans ce film de Robert Enrico, l’acteur y joue même l’amant de Linda Larue alias Brigitte Bardot.
- Moi je suis Tango (1975)
Dans cette chanson, l’artiste déclare son amour pour le tango. Ce titre sur l’air célèbre d’Astor Piazzolla fait partie de ses plus grands succès.
- Hey Crooner (1977)
Guy Marchand a toujours navigué entre les rythmes argentins des hidalgos et le Hollywood des «chanteurs gominés», comme il les désigne dans ce titre, Hey Crooner, dont il a écrit les paroles. Un bel hommage à Sinatra, Dean Martin et consorts.
- Destinée (1982)
On a gardé le meilleur pour la fin. Écrite en collaboration avec Philippe Adler pour le film Les Sous-doués en vacances de Claude Zidi, sorti en 1982, elle a également été utilisée la même année dans Le père Noël est une ordure. Et, promis, si vous la (ré)écoutez, elle ne vous quittera pas de la soirée...
VICTOIRE de BOURGES, dont le Maire est anti corrida !
Bonjour à toutes et à tous,
Comme vous pourrez le constater grâce à ce lien, Bourges vient d'être désignée Capitale européenne de la culture en 2028.
Il vous faut savoir que son Maire, Yann GALUT, anticorrida notoire et proche de la FLAC, est le seul, sur les 4 candidats finalistes, a avoir fermement refusé d'assimiler les corridas sanglantes à la culture. Symboliquement, c'est très fort !
Par conséquent, la mairie de Bourges est d'accord, vous pouvez envoyer un courrier de félicitation et d'encouragement aux deux adresses mails suivantes : yann.galut@ville-bourges.fr et maire@ville-bourges.fr
Un grand merci à l'avance !
Bien cordialement,
Thierry Hely
Président de la FLAC
www.flac-anticorrida.org>> retrouvez la FLAC sur Facebook
http://www.flac-anticorrida.org/agir/adherer/06 23 94 84 83
Vémars : 55 bovins retirés à un éleveur de 94 ans et confiés à la Fondation Brigitte Bardot
Plus de quinze heures ont été nécessaires pour rassembler les animaux vivant dans l’immense parc de leur propriétaire, qui a finalement accepté de les céder, débordé par la charge de travail. Les animaux paissent désormais dans des champs en Normandie.
Vémars (Val-d'Oise), mercredi 13 décembre. C'est la Direction départementale de la protection des populations qui est à l'initiative du sauvetage de ces 55 animaux.
À quelques pas du centre-bourg de Vémars (Val-d’Oise), un haut portail vert résolument clos. Aucune sonnette à l’horizon. À travers les interstices, les traces des camions ayant servi à transporter les bêtes sont toujours bien marquées dans la boue accumulée derrière les battants. Mercredi dernier, 55 bovins vivant dans cet immense parc entourant cette bâtisse historique plus que vieillissante ont été retirés à leur propriétaire par la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) du Val-d’Oise et confiés à la Fondation Brigitte Bardot. Une mesure pour « assurer leur protection ».
Une longue intervention pour les participants, dont les services de l’État et l’association de protection animale. Plus de quinze heures auront ainsi été nécessaires pour arriver à rassembler les animaux éparpillés sur la propriété et les faire monter dans les camions devant les emmener vers une nouvelle vie. « Ils ne devaient pas fermer la rue et finalement, ils ont été obligés. Cela fut un sacré truc qui a duré jusqu’à tard dans la nuit, au moins jusqu’à une heure du matin »,
Près de Cany-Barville. Des animaux maltraités retirés après enquête
Dans la matinée du vendredi 24 novembre, la gendarmerie, la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) et la SPA dieppoise sont intervenus chez un habitant d'un village proche de Cany-Barville.
Une enquête ouverte
Selon la procédure, après un signalement à l'office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP), une enquête judiciaire, sous l'autorité du parquet de Rouen, a été ouverte. Il a été décidé de procéder à une vérification sur place. Le contrôle opéré, ce vendredi-là, s'est révélé positif.
"Nous avons recueilli quatre Malinois, dont un est encore chez le vétérinaire en malnutrition sévère"
Les chiens, moutons, bouc, lapins et cochons d'Inde ont été retirés à leur propriétaire par les gendarmes de la brigade de Saint-Valery-en-Caux. Les investigations se poursuivent. "La lutte contre les maltraitances animales fait partie de nos missions prioritaires. Nous mettons tout en œuvre pour que les auteurs répondent de leurs actes devant la justice," indique le chef d'escadron Ludovic Dantec, commandant de la compagnie de Fécamp.
Contactée, la présidente de la SPA dieppoise, une association indépendante de la SPA nationale, Christine Bénet détaille : "Nous avons recueilli quatre Malinois, dont un est encore chez le vétérinaire en malnutrition sévère. Deux autres sont dans nos locaux. Nous les nourrissons plusieurs fois par jour, en petite quantité… Nous avons malheureusement retrouvé deux chiens morts." Un mouton et un bouc nain ont, dans un premier temps, été accueillis chez un particulier avant d'être confiés à la Fondation Brigitte Bardot. Le bouc souffrait d'une plaie au cou causée par la chaîne qui l'entravait.
Le maire de la commune concernée ne souhaite pas commenter les faits. "Ce dossier est maintenant entre les mains des autorités judiciaires qui donneront suite à cette affaire," souligne-t-il.