Brigitte Bardot dénonce la fourrure à Cannes...

Publié le par Ricard Bruno

 

Alors que le gratin du grand écran se retrouve sur la croisette pour célébrer l’un des plus grands festivals de cinéma, la Fondation Brigitte Bardot rappelle que strass et paillettes riment encore trop souvent avec cruauté et luxe inutile.

En-dehors de leur rôle au service du septième art, les vedettes jouent également un rôle de modèles dans la société française. Or, encore trop souvent, il est d’usage de voir le port de la fourrure animale banalisé à l’écran comme sur les tapis rouges.

Les créateurs les plus imaginatifs n’ont pas besoin de recourir à un matériau digne de l’âge de pierre pour faire preuve de leur talent.

" Les plus grands partisans de la fourrure animale nous ont même montré lors de la dernière Semaine de la Mode qu’ils pouvaient exercer leur savoir-faire avec de la fourrure synthétique tellement celle-ci est devenue de qualité égale, voire supérieure à cette fourrure qui rime avec la souffrance de millions d’animaux chaque année, " se réjouit la fondation dans son dernier communiqué avant de nous rappeler que pas moins de "85% des animaux tués pour leur fourrure proviennent de fermes d’élevage dans lesquels ils sont détenus dans des conditions contraires à leurs besoins naturels. De plus en plus, la fourrure provient de Chine où aucune loi ne protège les animaux de la cruauté et où de nombreuses enquêtes montrent des animaux écorchés vifs.

" La situation n’est pas plus clémente en France où une poignée d’élevages de visons existe encore, pratiquant une activité polluante et menaçant la biodiversité dans le seul but de produire un matériau dont personne n’a besoin.

Alors que le gratin du grand écran se retrouve sur la croisette pour célébrer l’un des plus grands festivals de cinéma, la Fondation Brigitte Bardot rappelle que strass et paillettes riment encore trop souvent avec cruauté et luxe inutile.

En-dehors de leur rôle au service du septième art, les vedettes jouent également un rôle de modèles dans la société française. Or, encore trop souvent, il est d’usage de voir le port de la fourrure animale banalisé à l’écran comme sur les tapis rouges.

Les créateurs les plus imaginatifs n’ont pas besoin de recourir à un matériau digne de l’âge de pierre pour faire preuve de leur talent.

" Les plus grands partisans de la fourrure animale nous ont même montré lors de la dernière Semaine de la Mode qu’ils pouvaient exercer leur savoir-faire avec de la fourrure synthétique tellement celle-ci est devenue de qualité égale, voire supérieure à cette fourrure qui rime avec la souffrance de millions d’animaux chaque année, " se réjouit la fondation dans son dernier communiqué avant de nous rappeler que pas moins de "85% des animaux tués pour leur fourrure proviennent de fermes d’élevage dans lesquels ils sont détenus dans des conditions contraires à leurs besoins naturels. De plus en plus, la fourrure provient de Chine où aucune loi ne protège les animaux de la cruauté et où de nombreuses enquêtes montrent des animaux écorchés vifs.

" La situation n’est pas plus clémente en France où une poignée d’élevages de visons existe encore, pratiquant une activité polluante et menaçant la biodiversité dans le seul but de produire un matériau dont personne n’a besoin.

 

Source : http://www.fashionunited.fr/News/Leads/Brigitte_Bardot_dénonce_la_fourrure_a_Cannes_201005247754

Publié dans le web en parle

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