Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Brigitte Bardot : Emmanuel Macron "n'a pas beaucoup d'empathie pour les animaux"

Publié le par Ricard Bruno

Partager cet article
Repost0

EXCLU E1 - Brigitte Bardot : Emmanuel Macron "n'a pas beaucoup d’empathie pour les animaux"

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot juge sévèrement l'action d'Emmanuel Macron sur la protection des animaux

Brigitte Bardot juge sévèrement l'action d'Emmanuel Macron sur la protection des animaux

Invitée exceptionnelle de la Matinale d'Europe 1 samedi, Brigitte Bardot a tiré à boulets rouges sur Emmanuel Macron.

EXCLUSIF

Elle avait l'oreille de tous les présidents de la République. Mais aujourd'hui, Brigitte Bardot se dit "désespérée". Invitée exceptionnelle de la Matinale d'Europe 1 samedi, la défenseuse la plus emblématique de la cause animale a confié à Wendy Bouchard sa tristesse et son incompréhension face au silence de l'actuel chef de l'Etat. "J'ai écrit quatre lettres à Emmanuel Macron et je n'ai jamais eu de réponse. C'est la première fois qu’un président ne répond pas à mes courriers", déplore-t-elle.

"Un président en marche arrière". Alors que le chef de l'Etat a entamé samedi un marathon de douze heures au Salon de l'agriculture, l'iconique "BB" juge sévèrement son action. "Pour moi, c'est un président en marche arrière pour ce qui est de la protection animale. Il a de nouveau mis à l'honneur les chasses présidentielles à Chambord, alors que Jacques Chirac les avait abolies. Je pense que malheureusement, on a un président qui n'a pas beaucoup d’empathie pour les animaux", dénonce Brigitte Bardot.

"Nicolas Hulot est très décevant". Le ministre de la Transition écologique aussi en prend pour son grade. "Nicolas Hulot est très décevant, il n’a rien dit, il n’a pas réagi vis-à-vis de la reprise de ces chasses présidentielles. Et il continue à vouloir faire tuer des loups", accuse-t-elle, en référence au "Plan loups" du gouvernement, qui confirme un plafond d'abattage de 40 loups en 2018. "Tout ça est fait à tort et à travers, sans réfléchir, et ce n'est pas bien", estime l'ancienne actrice de 83 ans.

"Pas la moindre victoire" en 45 ans de combat. Déplorant le retard de la France quant à l'interdiction de la chasse à courre, ou au contrôle accru des usines de vison, Brigitte Bardot s'agace. "Malheureusement, après 45 ans de combat, je n'obtiens pas la moindre victoire des gouvernements successifs. C'est quelque chose qui me désespère", conclut-elle.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot : Interview exclusive !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : Interview exclusive !
Partager cet article
Repost0

NÎMES Protection animale : les 4 pattes sur les rotules !

Publié le par Ricard Bruno

Au refuge animalier Au bonheur des 4 pattes, Catherine Bourdin se démène pour conserver ses emplois aidés dont la disparition programmée menace la pérennité de l'association.

 
Le refuge abrite 65 chiens et quelques 200 chats. Concernant ces derniers, seule une centaine est adoptable

"Nous ne pouvons plus accueillir d'animaux. Ni chiens, ni chats. Mais vous pouvez venir nous aider." Le message d'accueil du répondeur téléphonique du refuge animalier Au bonheur des 4 pattes résonne comme une funeste prophétie. Car, avec ses 65 chiens et plus de 200 chats accueillis, au-delà du fait d'être surpeuplée, la structure que dirige depuis plus de quinze ans Catherine Bourdin doit maintenant faire face à la disparition programmée de ses contrats aidés.

 
Catherine Bourdin a ouvert le refuge il y a une quinzaine d'années

Mis en place par l'État dans le but de faciliter le retour à l'emploi des jeunes de moins de 25 ans, des plus de 50 ans et des personnes handicapées, ces emplois, financés à hauteur de 70% par les deniers de la République, permettaient jusqu'alors à l'association créée en 2002 de faire face à la prise en charge et aux soins dispensés aux animaux. Hélas !... "D'ici trois ou quatre mois, les trois contrats aidés à mi-temps dont nous bénéficiions jusqu'alors vont arriver à leur terme consécutivement", se désespère la responsable. "Dans le même temps, nous avons de plus en plus d'animaux au refuge et je vais me retrouver sans salarié. À moi seule je ne peux pas y arriver et financièrement l'association n'est pas en mesure de pouvoir assumer l'embauche de quelqu'un dans le cadre d'un contrat lambda."

 

 

Appuyé et soutenu sur le plan de la logistique par la fondation 30 millions d'amis et par la fondation Brigitte Bardot, qui apportent aide pour la nourriture et pour les frais de vétérinaires, le refuge nîmois a surtout besoin de main-d'oeuvre et...d'argent ! "On va se serrer la ceinture et tenter de faire des économies supplémentaires sur la nourriture et sur les soins vétérinaires. Et si on peut, on essaiera de trouver les fonds pour financer un emploi... En attendant, toute les bonnes volontés sont les bienvenues ainsi que les dons en nourriture pour animaux et en litière."

 

 

Mais avant de se contenter de ce pis aller, la responsable associative espère surtout infléchir la décision de l'État : "J'espère que nous pourrons obtenir une dérogation comme celle dont ont pu bénéficier certaines associations. Il est urgent d'alerter les pouvoirs publics sur le déficit d'aide qui touche les associations engagées dans le soutien de la cause animale." Dans l'attente, déterminée comme jamais, Catherine Bourdin campe fermement sur ses positions : "Pas question que je baisse les bras et les bénévoles non plus..."

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Où en est l'élevage d'animaux à fourrure en France ?

Publié le par Ricard Bruno

Alors que 86% des Français souhaitent la fermeture des élevages d'animaux à fourrure selon un sondage Ifop, Sciences et Avenir fait le point sur cette pratique dans l'Hexagone.

La souche Orylag a été créée par l'Inra dans les années 70.

La souche Orylag a été créée par l'Inra dans les années 70.

Un sondage Ifop pour la Fondation 30 Millions d'amis indiquait en février 2018 que 86% des Français réclament la fermeture des élevages d'animaux à fourrure. "Près de 285.000 personnes ont déjà signé la pétition de la Fondation réclamant la fermeture des fermes à fourrure en Europe", rappelait 30 Millions d'amis. Interrogé par Sciences et Avenir, le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, en charge de ces élevages, s'est montré particulièrement évasif...

Le ministère refuse de fournir les chiffres actuels

Ainsi, personne n'a été en mesure de répondre aux questions de Sciences et Avenir. Seul document nous ayant été délivré par la rue de Varenne : un tableau indiquant le "nombre d'exploitations avec élevage d'animaux à fourrure (visons, castors...)" en... 2010. Il y a donc 8 ans, la France comptait 285 élevages dont le plus grand nombre se situait dans les Midi-Pyrénées (36), en Bretagne (26) et en Aquitaine (25). Selon Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot - dont la campagne contre la fourrure s'affiche depuis le 23 janvier 2018 sur les cars et des murs parisiens - une quinzaine d'élevages, uniquement dédiés à la fourrure, subsisteraient encore en France. Malgré ses requêtes auprès du gouvernement, l'association n'a pas non plus réussi à obtenir les chiffres réels. Cependant, "le nombre d'élevages est à la baisse et ne concerne que la production de visons bien qu'on ne parle pas ici des élevages de lapins ; ils concernent les filières viande et fourrure", explique le porte-parole de l'association.

C'est d'ailleurs des élevages de lapins que l'association L214 a épinglé en décembre 2017, et plus particulièrement, des lapins Orylag, une souche créée par l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) dans les années 70 et dont le pelage est particulièrement doux. l214.com/communications/20171219-lapins-orylag-dior-fendi-dolce-gabbana">Dans un communiqué, L214 indiquait que ces animaux sont en "cage collective au début de leur vie, puis isolés dans des cages individuelles pendant plus de deux mois pour éviter tout accroc à leur fourrure" et qu'"ils ne voient jamais la lumière du jour". "Ce mode d'élevage est à l'origine de restrictions comportementales sévères, de blessures et de comportements stéréotypiques", poursuivait l'association. "L'Orylag n'est pas un lapin de garenne, ni un animal de compagnie (...). Il a des caractéristiques qui lui sont propres. On ne peut pas en effet le mettre dehors ou en extérieur. A partir d'un certain âge, il faut le mettre en cage individuelle sinon ils se battent, il a un caractère agressif", avait réagi Jean Boutteaud, le président de la coopérative Orylag à Surgères (Charente-Maritime).

Selon la Fondation Brigitte Bardot, les visons élevés pour leur fourrure vivent à peu près dans les mêmes conditions que les lapins Orylag. "Ils sont élevés dans des conditions qui ne répondent nullement aux besoins biologiques de cette espèce semi-aquatique. Les visons sont enfermés dans des cages grillagées dépourvues de tout enrichissement, sans accès à l’eau", s'insurge Christophe Marie qui a réussi à photographier un élevage situé à Emagny, dans le Doubs.

 

Où en est l'élevage d'animaux à fourrure en France ?
"La fourrure s’est démocratisée avec l’apparition des cols et capuches en fourrure"

Qui sont les clients ? Pour les lapins Orylag, on retrouve des marques de luxe (Dior, Fendi, Dolce & Gabbana). Mais le marché des vêtements avec de la fourrure a muté selon l'association. "Ce n’est plus réservé qu’à une catégorie 'privilégiée' avec des manteaux inabordables (même si ce marché existe toujours). La fourrure s’est démocratisée avec l’apparition des cols et capuches en fourrure et autres accessoires et vise une clientèle plus jeune". Par exemple, dans 

un article publié le 14 novembre 2016, Peta dénonçait l'utilisation de la fourrure par la marque de vêtement Canada Goose. Celle-ci propose des tenues spécialement confectionnées pour les "endroits les plus froids de la planète, là où la peau du visage peut geler instantanémentcomme l'indique la marque sur son site. Cependant, les produits Canada Goose sont désormais devenus un accessoire de mode notamment en France.

Selon la Peta, "les coyotes, (dont la fourrure sert à la confection de la capuche de la célèbre parka, produit phare de la marque) qui sont attrapés grâces à des pièges barbares, perdent leur sang, sont choqués, déshydratés, subissent des engelures, la gangrène et sont attaqués par des prédateurs". Des accusations démenties par la marque qui affirme être adepte du "piégeage sans cruauté". Elle défend également son choix en arguant que le coyote est utilisé "en raison de son abondance" et qu'en outre celui-ci est "considéré comme un animal nuisible dans de nombreuses régions d'Amérique du Nord parce qu'il s'attaque au bétail, à des espèces-proies en voie de disparition, aux animaux de compagnie et parfois même aux humains". 

Vers une interdiction des élevages d'animaux à fourrure ? Le gouvernement répond "non"

En octobre 2017, le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation avait été interrogé par le député Joël Giraud (LREM) au sujet de l'élevage d'animaux à fourrure en France. "L'enfermement de ces animaux peut mener au cannibalisme, à l'obésité, à l'automutilation, à des comportements stéréotypiques ou encore à une prostration totale, signe de détresse. Pourtant il semblerait que des élevages reçoivent un accord favorable pour tripler leur capacité d'élevage", s'étonnait l'élu. Celui-ci demandait alors la fermeture de ces établissements : "Cette avancée éthique serait un symbole fort en faveur du bien-être animal et donnerait à la France un statut de pionnier en la matière".

Quelques jours plus tard, le ministère indiquait qu'"il n'est pas envisagé d'interdire les élevages d'animaux destinés à la production de fourrure" ajoutant que "les services du ministère chargé de l'agriculture sont particulièrement vigilants quant au respect des règles de protection animale dans ces élevages". Précisons à cet effet que la condition animale est portée comme une grand cause de 2018 par Nicolas Hulot, numéro 3 du gouvernement. Une tâche qui s'avère kafkaïenne car le ministère de la Transition écologique et solidaire, dont il a la charge, a fait valoir auprès de Sciences et Avenir que la question des élevages d'animaux à fourrure "n'était pas de son ressort".

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

STOP ! à l'expérimentation animale !

Publié le par Ricard Bruno

STOP ! à l'expérimentation animale !

Article ce matin dans le journal le Parisien !

Bruno Ricard

Partager cet article
Repost0

Pour une avenue "Brigitte Bardot" à Saint-Tropez !

Publié le par Ricard Bruno

Pour une avenue "Brigitte Bardot" à Saint-Tropez !

Cela fait une année que j'ai lancée cette pétition, je ne lâche RIEN ! je compte sur vous pour continuer à mobiliser autour de vous, n'hésitez pas à publier, partager sur les réseaux sociaux, à en parler aux médias...la première pétition avait recueillie 1874 signataires...mille mercis à celles et ceux qui avait signé et partagé !

Je relance donc la même pétition avec les compteurs remis à zéro...

POUR SIGNER LA PETITION C'EST ICI

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot : La retraite ? Jamais de la vie !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : La retraite ? Jamais de la vie !

A un âge, 83 ans, où la plupart des femmes goûtent un repos bien mérité, Brigitte Bardot, elle, est hyperactive.

Dès 9 heures, à peine réveillée, la star s’occupe de ses neuf chiens et chats, à la Madrague.

Ensuite, Bernard, son mari, lui remet ses mails et ses fax (Brigitte ne possède ni ordinateur ni téléphone portable).

Elle passe sa matinée à répondre aux lettres qui la touchent le plus, parmi les 70 reçues chaque jour.

A 13 heures, départ pour sa ferme, la Garrigue, où l’attendent une cinquantaine d’animaux, dont un poney, un âne, sept cochons, huit chèvres, autant de moutons, une tortue, des oies, des canards, sans oublier dix-sept matous et toutous. Une vraie arche de Noé !

C’est là que la plus grande amie des bêtes travaille pour sa fondation, qui lui prend de plus en plus de temps. Un peu fatiguée, elle reprend le chemin de la Madrague vers 18 heures, dîne avec Bernard et passe des coups de fil avant d’aller se coucher. Presque avec les poules…

Plus question pour elle d’aller faire un tour au centre de Saint-Tropez : « Non seulement pour ne pas risquer de provoquer d’émeute ou me mettre en danger, mais parce que ça n’a plus rien du petit port que j’ai connu. C’est devenu une vitrine du luxe, sans âme. »

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Interview de Brigitte Bardot qui est à Genève pour le tournage du film Vie Privée de Louis Malle....Très rare document...

Publié le par Ricard Bruno

Interview de l'actrice française Brigitte Bardot qui est à Genève pour le tournage du film Vie Privée de Louis Malle....Très rare document...

Partager cet article
Repost0