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Bon Noël à tous fidèles du blog Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

A l’occasion de la fête de Noël, le temps est venu de chasser les chagrins, les soucis et les douleurs et pour laisser place à l’amour, la joie et la bienveillance ! Je vous souhaite un Joyeux Noël ! Avec entre autre un cocktail de joie et bouchées surprises, un Velouté d’amitié et tartines de santé, un filet d’amour à la sauce folie douce, et pour finir une bûche d’harmonie et mignardises 100% tendresse…
Régalez-vous !!! sans souffrance animale, en un mot comme en cent, vivez votre vie...et surtout VIVA BB !

Bruno Ricard

Bon Noël à tous fidèles du blog Brigitte Bardot...
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Les souffrances des cobayes de plus en plus disséquées...

Publié le par Ricard Bruno

Des pistes alternatives aux expériences sur les animaux émergent et sont encouragées par la loi. Mais la transition tarde.

«Nous ne voulons pas être cette génération qui ressemblerait à celle qui a participé à la célèbre controverse de Valladolid où on se posait la question : "Est-ce que les Indiens ont une âme ?"» Cette phrase, entendue en octobre dans les locaux du Parlement européen à Paris, n’est pas sortie de la bouche d’un militant antispéciste radical, mais de celle du député européen Younous Omarjee (LFI). Le jeune élu introduit alors, au côté de son homologue Pascal Durand (EE-LV) une conférence intitulée «Comment accompagner la transition vers une recherche sans expérimentation animale ?» Cet objectif de remplacement total des animaux de labo par des méthodes substitutives est tout ce qu’il y a de plus officiel. Il est inscrit dans une directive européenne adoptée en 2010, qui assure que plus aucun animal vivant ne sera employé «dès que ce sera possible sur un plan scientifique» et qui a été transposée dans le droit français en 2013. En attendant, des millions d’animaux subissent chaque année des expériences. Souris (60 %), poissons (16 %), rats (9 %), lapins, volailles, et autres : 1,9 million de vertébrés et autres céphalopodes ont par exemple été utilisés en France en 2016, selon les derniers chiffres du ministère de la Recherche.

Alors que la validité même du modèle animal pour certaines recherches en santé humaine fait l’objet de débats, des spécialistes ont présenté leurs pistes de travail : solutions in vitro, organoïdes, microfluidiques, bio-impression, organes sur puces… Insuffisant aujourd’hui, assurent les tenants du modèle animal. Mais, ainsi que l’a pointé Laurence Parisot, actuelle administratrice de la fondation Brigitte Bardot, des actions peuvent être menées à «plus court terme» pour «mettre fin à la souffrance des animaux qui sont l’objet d’expérimentations». Sur le papier, la stratégie fixée par la directive est triple : rechercher et développer des méthodes alternatives, réduire le nombre d’animaux utilisés, et limiter les contraintes imposées aux cobayes. Les procédures doivent être autorisées par le ministère de la Recherche, qui s’appuie sur l’avis de comités d’éthique. «Aujourd’hui, la souffrance est prise au sérieux. Bien plus, soit dit en passant, que dans d’autres secteurs comme la gastronomie où on a le droit d’envoyer des animaux vivants dans l’eau bouillante, note le neurobiologiste Georges Chapouthier, directeur de recherche émérite au CNRS. Les chercheurs sont tenus de respecter des règles, et je dirais que pour une forte minorité d’entre eux la souffrance animale est un sujet important.»

Evaluation.Si la sensibilité des animaux est désormais scientifiquement et légalement établie, la définition et l’évaluation de leur souffrance reste un important sujet de controverse.

De la simple réaction à un stimuli (nociceptif) à la douleur voire à la souffrance qui implique une forme de conscience, la gradation est complexe. Chaque expérimentation fait l’objet d’une évaluation préalable lors de laquelle est annoncé le «niveau estimé de douleur». Ces expériences sont classées en quatre degrés de gravité selon «la douleur, la souffrance, l’angoisse» générées : légère (39 % des procédures), modérée, sévère (17 %) ou sans réveil (6 %). Dans ce dernier cas, l’animal qui a été anesthésié ne reprend pas conscience.

Sont par exemple considérés comme «légères» des «biopsies de l’oreille et de la queue», l’«implantation sous-cutanée non chirurgicale de pompes miniatures», le confinement pendant moins de vingt-quatre heures… Dans la catégorie «modérée» : des actes de chirurgie sous anesthésie comme «thoracotomie, craniotomie […] transplantation d’organes avec gestion du rejet». Les procédures «sévères» doivent, elles, faire l’objet d’une appréciation rétrospective, et renvoient à «une douleur, une souffrance ou une angoisse intense», ou «modérée» mais «de longue durée». On parle là par exemple de «chocs électriques auxquels l’animal ne peut échapper», d’un «stress d’immobilisation en vue de provoquer des ulcères gastriques ou une défaillance cardiaque chez le rat» ou d’«essais de toxicité dont le point limite est la mort».

Contravention.Au quotidien, les scientifiques fixent la marche à suivre au moment où la douleur doit être arrêtée ou diminuée : arrêt du processus, traitements destinés à réduire la douleur ou euthanasie si le bien-être futur des animaux est compromis. La directive précise néanmoins qu’une procédure ne doit pas être exécutée «si elle implique une douleur, une souffrance ou une angoisse intense susceptible de se prolonger sans rémission possible». Théoriquement, les manquements aux consignes peuvent être détectés par des contrôles et la directive réclame des peines «dissuasives». Dans les faits, le non-respect des règles peut entraîner la fermeture d’un établissement et une contravention de la quatrième classe, ne pouvant dépasser 750 euros. «Il y a des contrôles, et il pourrait y en avoir plus, mais c’est très difficile de mettre un inspecteur derrière chaque expérience. Il n’y a guère que le chercheur lui-même qui peut savoir si ce qu’il fait est légitime ou pas», développe Georges Chapouthier, qui estime que la priorité est de développer «la formation éthique qui reste très insuffisante».

Pour entamer la transition, de nouvelles règles pourraient permettre d’améliorer le bien-être des animaux, notamment avant et après les expérimentations. «Ils souffrent autant qu’en 2010, dénonce Muriel Obriet, membre de la commission condition animale d’EE-LV. Or de nombreuses méthodes alternatives ont émergé. Elles doivent être développées et devenir obligatoires.» Une commission d’enquête parlementaire sur l’expérimentation animale, réclamée de longue date par les associations, pourrait être mise en place début 2019. 

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L214 obtient l'annulation de l'implantation d’un poulailler industriel

Publié le par Ricard Bruno

L214 obtient l'annulation de l'implantation d’un poulailler industriel

L’association basée à Lyon a obtenu en référé, l’annulation provisoire de l’implantation d’un poulailler situé dans l’Allier qui devait permettre l'élevage de 160 000 poulets et de 12 000 dindes par an.

L'association lyonnaise de lutte contre la souffrance animale a obtenu la suspension d'un projet  d’exploitation d’un poulailler industriel sur la commune de Bressolles, dans l’Allier. Un projet qui devait permettre l'élevage de 160 000 poulets et de 12 000 dindes par an.

 

L214 et l'association Bressolles Bien Vivre, se sont associées pou lutter contre ce projet “compte tenu des conditions de vie effroyables qu’implique ce type d’élevage pour les animaux, des atteintes à l’environnement, des nombreuses nuisances à l’égard des riverains ainsi que de la fermeture au dialogue de la préfecture et du maire de Bressolles”, expliquent-elles. 

En plus du référé validé par le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, les deux associations ont attaqué l'arrêté préfectoral autorisant le projet. Ce mardi, le juge des référés a décidé de suspendre en urgence l’exploitation de cet élevage, en raison notamment de la proximité de zones protégées Natura 2000. Pour autant, le projet n'est pour le moment pas encore annulé. Il faudra attendre la décision de la justice administrative sur la validité de l'arrêter préfectoral. 

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La France chrétienne, racines et traditions

Publié le par Ricard Bruno

La France chrétienne, racines et traditions
La France chrétienne, racines et traditions

En cette fin d'année, Valeurs actuelles a demandé à des personnalités ce qu'évoque pour elles la Nativité.

Intellectuels, artistes, politiques : nous avons demandé à des personnalités éminentes ce qu'évoque pour eux la Nativité. Pour commencer, le sociologue Mathieu Bock-Côté explique en quoi la fidélité à nos racines chrétiennes lui paraît vitale pour la civilisation française. Puis, Fabrice Luchini, Marion Maréchal, Luc Ferry, Philippe de Villiers, Brigitte Bardot, Laurent Wauquiez et Eric Zemmour, entre autres, nous confient leur vision d'un Noël chrétien.

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Walt Disney, Brigitte Bardot, Mata Hari et de nombreuses têtes couronnées sont passées par la Plaine

Publié le par Ricard Bruno

Des grands noms sont passés dans L’Ouest vosgien. Et on ne le sait pas toujours. C’est le cas du grand Walt Disney , resté dix mois à Neufchâteau de fin 1918 à septembre 1919 et qui dessina (le début) d’un avenir radieux. Deux ans plus tôt, la belle et envoûtante Mata Hari était séduite par Vittel. Tentative d’espionnage durant la Première Guerre mondiale ? Amour trop fort ? L’espionne a emporté avec elle une partie de ses secrets. L’amour est justement ce qui a amené Brigitte Bardot dans les Vosges. À Bocquegney pour être précis. Ce village de 131 âmes près de Dompaire ne vous dit rien ? C’est par ici que « BB » retrouvait l’un de ses amants dans les années 1968-1969. Mais l’amour ne fait pas tout. Encore moins en géopolitique. Qui aurait cru croiser à Contrexéville le Shah de Perse Mozaffaredin Shah et la grande-duchesse Wladimir au même moment ?

Walt Disney a quand même bien changé. Sur ce camion de la Croix-Rouge à Neufchâteau, il a même dessiné un petit personnage. Un dessin qui vaudrait de l’or aujourd’hui…

Walt Disney a quand même bien changé. Sur ce camion de la Croix-Rouge à Neufchâteau, il a même dessiné un petit personnage. Un dessin qui vaudrait de l’or aujourd’hui…

Un mensonge. C’est ce qui a permis au jeune Walter Elias Disney de venir en France, fin 1918. Alors âgé de 16 ans, le jeune Walter ment sur son âge pour rentrer dans la Croix-Rouge. Enfin, il falsifie son passeport et fait croire qu’il est né en 1900. Et ça marche. Il est alors accepté dans la division des ambulances de la Croix-Rouge américaine. Walt Disney arrive au Havre… juste après l’Armistice. Le dessinateur est installé dans un premier temps au centre d’instruction des ambulanciers américains à Saint-Cyr-l’École, puis est envoyé à la conduite d’ambulances pour l’hôpital d’évacuation n° 5 à Paris. Finalement, il est affecté à un camp de la Croix-Rouge à Neufchâteau. Et voilà que commence son périple de quasiment dix mois en terres néocastriennes.

Neufchâteau est un des principaux nœuds ferroviaires de l’époque. Bien que les Américains commencent à quitter le secteur, la Croix-Rouge doit rester pour porter secours aux nombreuses victimes arrivant en train. Walt Disney doit même être un des derniers Américains à quitter la cité des Goncourt !

« Ses tâches consistaient notamment à conduire Alice Howell, une employée de la cantine de la Croix-Rouge, dans divers hôpitaux pour livrer des beignets et de la crème glacée aux patients », apprend le site de la Croix-Rouge américaine.

Et il ne fait pas que cela. Avant d’arriver en France, Walt Disney était dans une des classes du Chicago Art Institute. Le dessin l’animait déjà. « Pendant son séjour à l’étranger, Disney a trouvé le temps de développer ses compétences artistiques », insiste le site de la Croix-Rouge américaine. Il a décoré de nombreux véhicules avec de petits dessins (photo ci-contre). Le jeune Walt illustrait également des affiches pour la Croix-Rouge et dessinait des dessins de guerre pour le magazine Life et Judge. « Je passais l’après-midi à aller à l’hôpital. Il dessinait déjà à l’époque », indique d’ailleurs Alice Howel au Daily Nebraskan, un journal étudiant de l’Université d’Omaha.

Reste-t-il des croquis du célèbre dessinateur à Neufchâteau ? Certains parlent notamment de « dessins détruits ». Mais la légende de Walt Disney reste et restera.

1918 C’est à la fin de la Première Guerre mondiale que Walt Disney est arrivé à Neufchâteau.

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Brigitte Bardot en couverture du journal Marianne n° 1136 du 20 décembre 2018

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot en couverture du journal Marianne n° 1136 du 20 décembre 2018
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Brigitte Bardot Larmes de combat en format poche...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot Larmes de combat en format poche...
Larmes de combat

«Que garderez-vous de moi? Une danse lascive au son d'un mambo endiablé? Une petite Parisienne devenue star par hasard? Une idéaliste qui a voulu un jour consacrer ce qui lui restait de temps à la cause animale? Si aujourd'hui j'accepte de parler de moi, même très intimement, si j'accepte de publier ce dernier livre, c'est parce que j'en ai besoin, je veux balayer toute ambiguïté concernant ma vie et mes intentions, dans un souci d'honnêteté et de transparence.»

À plus de 80 ans, l'icône du cinéma français verse des larmes de combat et s'interroge sur la puissance de son action, elle qui, avant-gardiste, milite depuis près d'un demi-siècle pour une éthique animale. Pour la première fois, B.B. explore sa part sauvage, douce et féroce, expliquant bien des choix, inspirations et révoltes qui Lire la suite

AUTOBIOGRAPHIES, MÉMOIRES, TÉMOIGNAGES

Récit (n° 12515)

À paraître le 16/01/2019

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30 000€ requis contre un couple qui gérait un abattoir clandestin à Orgueil

Publié le par Ricard Bruno

30 000€ requis contre un couple qui gérait un abattoir clandestin à Orgueil

Le tribunal correctionnel de Montauban a jugé ce mardi après-midi un couple et un salarié qui ont géré un abattoir de volaille clandestin durant trois ans à Orgueil. Aucune réglementation sociale, fiscale ni vétérinaire n'était respectée. Près de 500 poulets étaient écoulés sur le marché toulousain et le nord de la Haute-Garonne chaque semaine.

C'est à la suite d'une dénonciation pour concurrence déloyale que les services vétérinaires du Tarn-et-Garonne et la DDCSPP ont mis à jour un abattoir clandestin dont l'activité a duré trois ans, de janvier 2014 à février 2017. Les suspects, un couple franco-marocain, abattait dans la ferme familiale d'Orgueil jusqu'à 500 poulets par semaine. "Les poulets étaient achetés vivants à la coopérative Qualisol 5€ puis revendus entre 7 et 10€ sur le marché toulousain et de la Haute-Garonne", décrit la juge Vanessa Maury. "Les transactions se faisaient en espèce et rarement par chèque". Les carcasses étaient enterrés dans le jardin du couple et les effluents jetés dans un fossé. L'abattage rituel se faisait par l'intermédiaire d'un homme qui était embauché au noir et rémunéré entre 100 et 200€ par semaine. Les poulets étaient électrocutés puis égorgés avant d'être transformés. 

260 000€ DE BÉNÉFICES EN TROIS ANS

Durant l'audience, seule la gérante s'est présentée à la barre. Face aux juges, elle reconnaît avoir été dépassé par les événements : "Je ne savais pas que j’exerçais une activité illégale. J’ai commencé par une petite activité avec quelques poussins que j'élevais et que je vendais ensuite. J’avais de plus en plus de commande. On est parti là-dedans la tête baissée. Je faisais des heures impossible. On voulait se mettre en conformité. Franchement, je n’y connais rien en papier". Depuis, la prévenue s'est mise en conformité et exerce désormais son activité en tant que gérante d'une SAS, uniquement pour la commercialisation de poulets. L'abattage se fait désormais dans un abattoir agréé.

Son mari, un agent administratif  au sein du ministère de la Défense dont les revenus sont de 1600€ nets par mois, avait pour mission de gérer la comptabilité et de l'aider dans cette activité. En trois ans, le couple a généré un bénéfice de 260 000€ qui ont échappé à toute déclaration fiscale. Les gérants de abattoir clandestin touchaient également des aides au logement sur la base de revenus sous-déclarés.

LA FONDATION BRIGITTE BARDOT ET LA SPA, PARTIES CIVILES

Dans ses réquisitions, le procureur de la République Philippe Clarissou décrit une "entreprise qui échappe à toute obligation fiscale, sociale et vétérinaire. Imaginez un peu, 500 poulets par semaine avec les entrailles déversés dans les fossés. Il y a un risque sur la santé humaine et la pollution des eaux." 15 000€ d’amende sont requis pour chaque membre du couple dont 7000€ avec sursis et la confiscation des 3500€ saisis lors des perquisitions. Pour l’homme chargé de l'abattage, il requiert une amende de 1500€. 

Dans cette affaire, la Fondation Brigitte Bardot et la SPA se sont portés parties civiles. Selon leur avocate Me Nathalie Marques, "une volaille est un animal. Cet abattage illégal porte atteinte au sort des animaux. Il y a des règles en France. Il faut les respecter." Du côté de la défense, Me Krimi-Chabab, avocate de la gérante, souligne qu'on en a trop fait dans cette affaire qui repose avant tout sur une dénonciation d'un concurrent. Elle rappelle que sa cliente s'est mise en conformité et a fait l'objet d'un redressement fiscal de 25 000€.

Les juges ont mis leur décision en délibéré au 29 janvier.

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Rémi Gaillard interpelle Emmanuel Macron pour interdire la chasse

Publié le par Ricard Bruno

L'humoriste a interpellé le président de la République au sujet des morts liés à la chasse.

L'humoriste a interpellé le président de la République au sujet des morts liés à la chasse.

L’humoriste Rémi Gaillard, très engagé dans la défense de la cause animale, a interpellé le président de la République sur Twitter pour lui demander d’interdire la chasse, ce dimanche 16 décembre. En mai dernier, il s’était déjà joint à Brigitte Bardot pour dénoncer la maltraitance dans les abattoirs.

Quand il ne prépare l’une des vidéos dont il a le secret, Rémi Gaillard s’engage pour défendre la cause animale. La preuve une nouvelle fois ce dimanche 16 décembre puisque l’humoriste a interpellé Emmanuel Macron sur Twitter en lui demandant d’interdire la chasse.

« Je vous relance pour arrêter la chasse »

Tout est parti d’un tweet posté par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner au sujet des « Gilets jaunes ». « La nuit dernière, une 8e personne est décédée du fait de ce conflit. Les ronds-points doivent être libérés et la sécurité de tous redevenir la règle », a posté le ministre samedi 15 décembre.

Le lendemain, Rémi Gaillard a réagi en interpellant le président de la République. « Bonjour Emmanuel Macron, Le ministre compte les morts pour tenter d’arrêter le conflit (des Gilets jaunes, ndlr). Du coup, je vous relance pour arrêter la chasse. À moins qu’il y ait des pertes humaines qui comptent moins pour vous ? Et on divise par deux le prix du permis de conduire. Merci ».

 

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