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Laurent Cabrol : Brigitte Bardot sera-t-elle enfin entendue ?

Publié le par Ricard Bruno

Laurent Cabrol : Brigitte Bardot sera-t-elle enfin entendue ?

Ce fut la surprise de cette fin juillet, hélas éclipsée par l’incessante affaire Benalla : la visite de Brigitte Bardot à l’Élysée.

Ses différents courriers au président Emmanuel Macron étant jusqu’alors restés lettre morte, en avril dernier, elle s’était énervée au micro de Wendy Bouchard sur Europe 1, dénonçant un « président en marche arrière sur la protection animale et sans aucune empathie ».
 
 
 
 
 

Elle se scandalisait notamment de la réouverture des chasses présidentielles, supprimées par Nicolas Sarkozy.

Cette invitation inopinée vient donc rassurer la présidente de la fondation éponyme, qui milite depuis quarante-cinq ans pour l’amélioration de la condition animale en France et dans le monde.

Mardi 24 juillet, accompagnée par Christophe Marie, le porte-parole de la fondation, et Laurence Parisot, l’ancienne patronne du Medef et membre du conseil d’administration de la fondation, Brigitte Bardot fut agréablement surprise en trouvant avec Emmanuel Macron, un interlocuteur « intéressé ».

 

Fin de l’hippophagie !

« Moi qui n’étais pas une fervente de Macron, j’ai été très étonnée et très surprise de voir l’attention, le sérieux et la bonne disposition qu’il a eus envers nous », a-t-elle indiqué par la suite à l’AFP.

Durant près d’une heure, ils ont abordé la question du broyage des poussins mâles vivants, de l’abattage rituel des animaux sans étourdissement préalable et de la consommation de viande de cheval, qu’elle combat depuis des décennies.

Sur ce dernier point, elle a paru plutôt positive à l’issue de la rencontre, Emmanuel Macron se disant « favorable à la fin de l’hippophagie » mais aussi prêt à rencontrer des représentants religieux « pour voir de quelle façon les choses peuvent évoluer » concernant l’abattage rituel.

« J’ai vu beaucoup de présidents, a indiqué BB. Le dernier, c’était Sarkozy. Il m’a promis monts et merveilles et n’a rien fait. »

Emmanuel Macron s’est engagé à faire un nouveau point à la fin de l’année.

Une perspective qui a réjoui la présidente. Nous serons évidemment là pour suivre ces promesses !

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Belgique : Vers un permis pour être autorisé à détenir un animal

Publié le par Ricard Bruno

Et nous en FRANCE?

Rien !

 Le nouveau code du bien-être animal adopté jeudi par le gouvernement wallon stipule notamment que l'animal est un être sensible...

Illustration d'un chien et son maître

Illustration d'un chien et son maître

Le gouvernement wallon a adopté définitivement jeudi le Code du bien-être animal,rapporte RTL.be. Il vise à assurer la protection et le bien-être des animaux, en tenant compte de leurs besoins physiologiques et éthologiques. Il statue également sur leur rôle au sein de la société et de l’environnement.

Le code est porté par le ministre wallon de l’Environnement, de l’Aménagement du Territoire, de la Mobilité et des Transports et du Bien-être animal, Carlo Di Antonio. Il traite « de la détention des animaux, des pratiques interdites et des interventions autorisées sur ces derniers, de leur commerce, de leur transport et de leur introduction sur le territoire wallon, de leur mise à mort, des expériences pratiquées sur eux ainsi que du contrôle, de la recherche, de la constatation, de la poursuite, de la répression et des mesures de réparation des infractions en matière de bien-être animal », rapporte le site.

Des êtres sensibles

Une fois la loi entrée en vigueur toute personne souhaitant devenir propriétaire d’un animal devra se doter d’un permis au préalable. Le code du bien-être animal stipule qu’il s’agit d’un être sensible. L’abandon, la négligence et la maltraitance seront interdits tout comme l’entrave de leur liberté de mouvements.

En Wallonie, le caractère criminel des faits pourra être retenu pour les cas de maltraitance les plus graves qui seront sévèrement punis. Un fonds de protection contre les abandons et la maltraitance animale sera alimenté à partir de la contribution demandée au propriétaire lors de l’enregistrement obligatoire de son chien ou son chat. Les bénéfices reviendront aux refuges. L’organisation de combat et l’exercice de tirs sur animaux ainsi que les hippodromes de kermesse seront proscrits.

Le texte devra être adopté par le Parlement de Wallonie avant d’entrée en vigueur.

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Lot-et-Garonne : un havre de paix pour les animaux maltraités

Publié le par Ricard Bruno

Les bénévoles s'affairent autour des 150 animaux pour faire découvrir le site, ses animaux et leurs histoires ce 15 août, à partir de 10 heure

Les bénévoles s'affairent autour des 150 animaux pour faire découvrir le site, ses animaux et leurs histoires ce 15 août, à partir de 10 heure

A Prayssas, depuis plus de 20 ans, l’association Au Bonheur des chevaux accueille des animaux pour leur assurer soins et amour. Tous les 15 août, l’association ouvre ses portes

Il y a Victor, Petit Bonhomme ou Merveille, tous, chevaux, ânes, mules, moutons, ont un nom qui sera, ce 15 août, accroché autour de leur cou afin que les visiteurs puissent les reconnaître et découvrir leurs histoire

Depuis 21 ans, l’association, sur les hauteurs de Prayssas, recueille des animaux maltraités, par cruauté ou négligence. Ce 15 août, Marie Deghilage, entourée d’une vingtaine de bénévoles comme Brigitte Rolland ouvre les portes de l’association au public toute la journée.

 

A 11 h 45 aura lieu la bénédiction des animaux. Et toute la journée, dans ce centre, reconnue par 30 millions d’Amis, la Fondation Brigitte-Bardot, parrainé par Henry-Jean Servat, le site d’une dizaine d’hectares proposera promenades en calèches, animations…

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Brigitte Bardot : «J'accepte d'être marraine du cimetière»

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot : «J'accepte d'être marraine du cimetière»

Les gens du cimetière des animaux Maurice-Massonnier - du nom de son fondateur - n'en espéraient pas tant. Ils viennent de trouver une marraine de poids à l'occasion des 50 ans de leur site. Dans un courrier qu'elle a adressé à Patrick Choyer, vice-président de l'association du cimetière, Brigitte Bardot en personne a décidé d'apporter sa caution morale à ce haut lieu de respect des animaux.

C'est avec émotion que j'accepte d'être la marraine de ce lieu de souvenirs et de recueillements, indispensable au repos de nos meilleurs amis chiens et chats…», indique Brigitte Bardot, dont le courrier, écrit de sa main, émane de sa fondation éponyme parisienne. La pasionaria des animaux, qui défraye la chronique actuellement avec un certain ministre de l'Écologie, reste sacrément active en cet été pourtant fort chaud. Elle poursuit ainsi sa lettre : «Sachez que je suis fière de ce que vous avez fait, et ce jour-là mon cœur sera avec vous tous.»

Un amour profond

Ce jour-là, dont parle Brigitte Bardot, c'est le 22 septembre, jour de la Saint-Maurice (un clin d'œil !) choisi pour le cinquantenaire du cimetière fondé un peu de manière hasardeuse un matin de 1968, quand Maurice Massonnier, homme au grand cœur, commença à enterrer des animaux pour des amis, sans aucune recherche financière mais par amour profond des animaux. L'histoire ne dit pas s'il connut à l'époque la plus belle femme du cinéma français… Mais sa descendance - il disparut en 1991- peut s'enorgueillir aujourd'hui d'avoir le soutien absolu de Brigitte Bardot.

Le cimetière de Beaumont est le second site de ce type le plus ancien de France (après celui d'Asnières en région parisienne), dans un pays qui en compte environ une vingtaine. Sa superficie représente un hectare, avec à ce jour une seule moitié utilisée, ce qui laisse encore pas mal de perspectives. Les principaux animaux enterrés sont des chiens et des chats, mais aussi des lapins, des oiseaux, des canaris, des colombes, et même une chèvre miniature !

Et si Brigitte Bardot n'est pas là en personne le 22 septembre pour couper le ruban des 50 ans, l'ombre de la superbe opiniâtre planera sans doute sur les coteaux de Beaumont

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Brigitte Bardot et la politique : «Je t’aime, moi non plus»

Publié le par Ricard Bruno

Le 10 octobre 1984, Brigitte Bardot (à droite) est reçue à l’Elysée par le Président de la République François Mitterrand (au centre) avec son compagnon de l’époque, Allain Bougrain-Dubourg (à gauche). Elle l’entretient de diverses questions liées à la cause animale.

Le 10 octobre 1984, Brigitte Bardot (à droite) est reçue à l’Elysée par le Président de la République François Mitterrand (au centre) avec son compagnon de l’époque, Allain Bougrain-Dubourg (à gauche). Elle l’entretient de diverses questions liées à la cause animale.

Tout au long de sa carrière d’actrice, et depuis qu’elle a fui les caméras pour se consacrer à son combat en faveur de la cause animale, Brigitte Bardot a entretenu un rapport particulier à la politique et aux hommes et femmes qui l’incarnent. Du Général de Gaulle à Nicolas Hulot, retour sur une vie de relations désabusées.

« Trouillard de première classe ». Au moment de qualifier le ministre de ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot, Brigitte Bardot n’y est pas allée de main morte, samedi. Dans toute sa véhémence, cette déclaration symbolise une vie d’engagements passionnés pour la défense de la cause animale qui aura souvent mené BB à regarder présidents, ministres et personnalités politiques droit dans les yeux.

De Gaulle, brandebourgs et élégance

Ses premiers flirts avec la classe politique remontent à la fin des années 1960. Elevée dans une famille patriote, par « un père et un grand-père qui se sont battus pour la France et qui [lui] ont inculqué l’amour de la patrie » confie-t-elle dans TV Magazine, Brigitte Bardot est une grande admiratrice du Général de Gaulle, qui l’invite à l’Elysée le 5 décembre 1967 pour la soirée annuelle des arts et lettres.

Elle y fera forte impression en prenant à contre-pied le protocole vestimentaire : alors que chignon et robe sont de rigueur, BB débarque cheveux détachés et veste de hussard à brandebourgs sur le dos. Une audace qui amuse le chef de l’Etat qui, au « Bonsoir général » de l’actrice, rétorquera « Madame, c’est le cas de le dire ». Quelques jours plus tard, elle apprend que le Général, son idole, l’a choisie pour incarner le visage de Marianne. « Française de « souche lointaine » et fière de l’être », Brigitte Bardot ne fait plus que fréquenter la sphère politique : elle incarne la République.

Brigitte Bardot et son mari Gunter Sachs à l’Elysée lors de la soirée des Arts et Lettres, le 5 décembre 1967

Brigitte Bardot et son mari Gunter Sachs à l’Elysée lors de la soirée des Arts et Lettres, le 5 décembre 1967

Sa tenue audacieuse de la soirée du 5 décembre 1967 lui a, d’ailleurs, été conseillée par un autre président français : Georges Pompidou, Premier ministre à l’époque. Une anecdote confiée par sa biographe Marie-Dominique Lelièvre à L’Express : « A l’initiative de son mari, elle répéta la veille avec Georges Pompidou et son épouse. Lorsqu’elle demanda à Pompidou comment s’habiller, il lui conseilla : « Comme ce soir. » Elle portait le petit costume à la Sergent Pepper ». Au sujet de Pompidou, BB dira d’ailleurs au Figaro, en mars 2017 : « Ah, lui, je l’ai adoré ! C’était un homme érudit et simple, bien élevé, élégant… L’élégance, c’est quelque chose qui manque chez les hommes politiques aujourd’hui. »

Espoirs déçus

Elle est bien placée pour le savoir : les présidents, les hommes politiques, elle les a presque tous rencontrés pour porter la cause qui lui est si chère : la défense des animaux. « Je juge les politiques à l’aune de ce qu’ils proposent pour la cause animale, révèle-t-elle au Monde en janvier 2018. Et j’ai donc navigué. J’ai soutenu Giscard, qui a été super ; Chirac, puis Jospin contre Chirac, puis Sarko. » Des interactions qui vont du fervent soutien, comme en 1974 lorsqu’elle s’affichait fièrement avec un t-shirt « Giscard à la barre », à la simple rencontre, comme celle qu’elle a eue fin juillet avec un Emmanuel Macron, contre qui elle appelait publiquement à voter en 2017, au second tour, alors qu’il faisait face à Marine Le Pen.

En mai 1974, Brigitte Bardot affiche publiquement son soutien au candidat Valéry Giscard d’Estaing

En mai 1974, Brigitte Bardot affiche publiquement son soutien au candidat Valéry Giscard d’Estaing

Et au moment de parler de ceux qui ont occupé la plus haute fonction de l’Etat, Brigitte Bardot, comme pour Nicolas Hulot, ne mâche pas ses mots. Valéry Giscard d’Estaing ? « C’est le seul qui ait fait quelque chose ! » disait-elle, encore dans Le Figaro, de celui qui avait fait arrêter les expérimentations pour les ceintures de sécurité avec des singes. Même s’il était « un peu… encombrant, il me courait après ! ». François Mitterrand ? Bien que ce soit lui qui lui ait remis la Légion d’honneur, qu’elle a refusée, il avait reçu son discours sur la cause animalière « d’un air hautain et prudent », assurant « qu’il s’en occuperait… Rien n’a suivi » (Paris Match, 18 janvier 2018).

 

Brigitte Bardot et la politique : «Je t’aime, moi non plus»

Jacques Chirac ? Celui qui l’appelait « ma petite biche » est pour Bardot « le roi des menteurs ». A ce niveau-là, « il fait la course avec Sarkozy », confiait-elle à Laurent Delahousse dans « Un jour, une histoire » en 2014. « Les deux m’ont promis énormément, ont été absolument charmants avec moi, et ne m’ont rien donné ». Ce dernier lui avait notamment assuré qu’il soutiendrait son combat pour étourdir les animaux qui font l’objet d’un abattage rituel juif ou musulman. « Sarkozy m’a fait mille promesses », regrettait-elle, encore dans Le Monde, sanctionnant même dans un hors-série de Nice-Matin paru en 2016 que « Sarkozy, c’est catastrophique. »

Marine et les communistes

Malgré sa proximité avec tous les présidents de la République, Brigitte Bardot entretient depuis bien longtemps une relation fusionnelle avec un parti : le Front national. Mariée en 1993 avec Bernard d’Ormale, conseiller de Jean-Marie Le Pen, elle côtoie le père avant de tomber sous le charme de la fille. « Je souhaite qu’elle sauve la France, elle est la Jeanne d’Arc du XXIe siècle ! » clamait-elle en 2014 dans les colonnes de Paris Match. La même année, « son » buste de Marianne est utilisé pour illustrer l’affiche de campagne du parti aux élections européenne.

« J’aime beaucoup Marine je l’affirme et je n’ai pas à m’en cacher, s’épanche-t-elle dans l’émission « Un jour, une histoire » en 2014. Je vais vous dire un truc rigolo : c’est la seule femme, mais elle a une paire de couilles. Dans l’ensemble ses idées me plaisent, c’est la vision de la France que je souhaiterais revoir apparaître. » Peu après, alors même qu’elle se fait de plus en plus rare devant objectifs et caméras, elle pose aux côtés de Florian Philippot, qu’elle avait reçu dans sa célèbre propriété tropézienne de La Madrague.

Une proximité avec le Front national qu’elle affiche de moins en moins vigoureusement et qui, surtout, ne l’empêche pas de saluer les décisions des uns ou de critiquer celles des autres, quel que soit leur positionnement sur l’échiquier politique. Un éclectisme qui l’avait menée, en 2016, à saluer dans Nice-Matin le leader de la France Insoumise Jean-Luc Mélenchon… Pour son changement de régime alimentaire : « Il veut faire quelque chose au sujet des abattoirs. Déjà il ne mange plus de viande et il ne supporte plus des images comme on a pu les voir… Donc Mélenchon, bravo ! Moi j’applaudis. » Plus globalement, BB assure ne plus vouloir voir la scène politique qu’à travers le prisme animal. « Si demain un communiste reprend les propositions de ma fondation, j’applaudis et je vote », affirmait-elle dans le Monde en janvier. « Mais je n’accorderai plus mon soutien à personne. »

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La Fondation Brigitte Bardot fait annuler une soirée "bébé fauve" à Bussière-Poitevine

Publié le par Ricard Bruno

Il avait prévu une soirée spéciale avec un bébé fauve pour inaugurer son futur cabaret, mais face au déchaînement des réseaux sociaux, le patron du Night 87 à Bussière-Poitevine, en Nouvelle-Aquitaine, fait marche arrière. Sur Twitter, la Fondation Brigitte Bardot avait dénoncé ce spectacle.

La discothèque Night 87, qui deviendra cabaret en octobre, voulait organiser une soirée avec un bébé fauve La discothèque Night 87, qui deviendra cabaret en octobre, voulait organiser une soirée avec un bébé fauve 

Le 5 octobre prochain, la discothèque Le Night 87 de Bussière-Poitevine va changer d'activité et proposer désormais des soirées cabaret. Pour l'occasion, le patron voulait une soirée un peu hors du commun : inviter un dresseur et son bébé fauve pour faire le spectacle entre les tables et au milieu du public, caresses et câlins avec la petite "peluche" garantis.

Les défenseurs de la cause animale réagissent immédiatement

Mais la Fondation Brigitte Bardot a eu vent de cette soirée et a immédiatement réagi lundi dans un tweet, dénonçant l'exploitation animale et demandant même aux pouvoirs publics d'intervenir pour empêcher le spectacle. Ce tweet a été suivi de vives réactions de la part des défenseurs de la cause animale.

Exploitation animale : le restaurant/discothèque @lenight87 organisera, le 5 octobre, une soirée avec "bébé fauve" pour amuser les consommateurs. M. le @Prefet87, nous comptons sur l'intervention de vos services pour ne pas laisser faire n'importe quoi dans cet établissement !

— FONDATION B. BARDOT (@FBB_PORTEPAROLE) 

Face aux critiques, le patron du Night 87, Lionel Gallien, se montre d'abord très énervé : " C'est juste un professionnel du spectacle qui viendra avec un bébé fauve, le bien-être du petit animal sera respecté"affirme-t-il. "Je subis des menaces tout ça parce qu'on fait venir un petit fauve ? alors que vous avez des discothèques avec des soirées "Jackie-Michèle" où il y a des filles qui suc.... des mômes de 15 ans, là je ne vois aucune association" ! Avant d'ajouter que la soirée était organisée en partie au profit du WWF pour lutter contre le braconnage des animaux sauvages en Afrique.

 

Je n'avais rien à me reprocher" - Lionel Gallien, gérant du Night 87

Mais finalement, face à l'ampleur de la polémique et après un échange avec les responsables de la Fondation Brigitte Bardot, le patron de discothèque s'est décidé à annuler sa soirée. "Je ne vais pas risquer une fermeture administrative s'il y a des esclandres dans mon établissement" regrette-t-il. "C'est dommage d'en arriver là, je n'avais rien à me reprocher..."

Pour l'inauguration de son nouvel établissement, Lionel Gallien va probablement organiser une soirée magie-hypnose. "Heu, il n'y a pas d'associations anti-hypnotiseurs ? " sourit-il...

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Humour...

Publié le par Ricard Bruno

Humour...

Merci Muriel S...

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"Il va pas bien je crois... Il se ridiculise": Brigitte Bardot a été réveillée par un Nicolas Hulot "hystérique" ce dimanche

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot et Nicolas Hulot

Brigitte Bardot et Nicolas Hulot

Le ministre de la Transition écologique a très modérément goûté l’interview de Brigitte Bardot dans laquelle elle demandait sa tête au président Macron. Ce qui a donné lieu à une petite explication téléphonique pour le moins électrique entre les deux parties, ce dimanche 12 août.

 

Brigitte Bardot relate cet entretien houleux dans un tweet posté ce dimanche après-midi avant de le commenter en direct de chez elle, à Saint-Tropez, pour Var-matin et Nice-Matin...

"Nous étions en train de prendre le petit déj’. Le téléphone sonne... D’habitude personne ne m’appelle le matin. Le plus extraordinaire c’est que Bernard (son mari, Ndlr) me dit en rigolant "Tiens ce doit être Nicolas Hulot!"".

 

"Je décroche et j’entends "Allô c’est Nicolas Hulot! J’en ai assez. Vous m’avez insulté!", etc. etc.. Il était hystérique. Je ne pouvais pas en placer une. Une horreur!", renchérit Brigitte, ce dimanche après-midi, mi-amusée mi consternée."IL SE RIDICULISE"

"Vous vous rendez compte, moi qui suis la reine des coups de gueule, il me traite de mielleuse et après il me traite de lâche... Il va pas bien je crois... Il se ridiculise."

"Bon, il faut dire qu’entre l’article dans vos colonnes, repris dans tous les médias, et l’affaire de Monsanto condamné aux États-Unis qui lui retombe indirectement sur le dos, évidemment il a pété tous les plombs!"

"C’est dommage... Il n’est pas payé et n’est pas ministre pour insulter Brigitte, mais au contraire pour aller dans le sens de Brigitte", conclut la Tropézienne alors que le cas du jardinier atteint d’un cancer à cause de l’herbicide Roundup a des répercussions dans le monde entier ce week-end...

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Un éleveur écroué, ses bêtes confiées à une association

Publié le par Ricard Bruno

Certains animaux ont été retrouvés en état d’extrême faiblesse. Photo OABA

Certains animaux ont été retrouvés en état d’extrême faiblesse. Photo OABA

Quatre-vingt-dix animaux d’élevage ont été pris en charge mercredi à Saint-Marcellin par une association de protection des animaux à la demande des services de l’Etat : le propriétaire des bêtes ayant été écroué le 1er août, ces dernières étaient quasiment livrées à elles-mêmes en pleine canicule, cinq cadavres d’ovins étant même trouvés sur place. Selon nos informations, l’éleveur a été interpellé par la gendarmerie en exécution d’un jugement du tribunal correctionnel de Grenoble datant de juin 2017 le condamnant pour travail dissimulé, non-remise d’animaux d’élevage à l’équarrissage et complicité d’abattage illicite d’animaux.

Condamné à quatre mois d’emprisonnement, le même homme avait déjà été condamné en 2014 à une peine de prison avec sursis pour des faits semblables. Selon une source judiciaire, le Juge d’application des peines l’a fait incarcérer après avoir estimé qu’il n’y avait pas matière à aménagement de la peine. La justice reproche à l’éleveur d’avoir vendu des animaux à des personnes pratiquant le culte musulman afin qu’ils procèdent à des abattages rituels dans un hangar situé sur ses terres, ce qui est illicite.

« Nous avons dû faire euthanasier quatre animaux qui se trouvaient dans un état très faible. Mais nous avons pris en charge sept bovins, neuf porcins, 66 ovins, six caprins. Une chienne patou sera également prise en compte rapidement”, note Frédéric Freund, directeur de directeur de l’Oeuvre d’assistance aux bêtes d’abattoir (OABA), association de protection spécialisée dans les animaux d’élevage. Les animaux ont été pris en charge sur trois sites d’accueil isérois, en attendant que la situation évolue.

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