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Brigitte Bardot: ''Je ne veux pas décevoir... ''

Publié le par Ricard Bruno

BB et Serge Gainsbourg chantant Bonnie and Clyde, tube devenu culte.

BB et Serge Gainsbourg chantant Bonnie and Clyde, tube devenu culte.

INTERVIEW. Le mythe français sort un beau livre, Moi je joue (Flammarion), évoquant sa carrière musicale. À cette occasion, elle nous a accordé un entretien à son image.

Contrairement au cinéma, qui vous pesait, vous avez toujours aimé chanter. Pourquoi ?

Brigitte Bardot: Parce que c'était une récréation, après mes journées de travail assez strictes. J'enregistrais souvent le soir ou la nuit...

En 1961, vous gravez votre première chanson, Sidonie, et Dario Moreno interprète un Brigitte Bardot à votre gloire. Qu'est-ce qui vous a le plus touchée ?

Tout me touche. J'ai adoré chanter Sidonie, cette coquine qui me ressemble. Quant au thème du carnaval de Rio, repris par Dario, c'est un peu comme lorsque j'ai appris que je représenterais Marianne ! J'étais fière et heureuse.

De Sidonie, «qui a plus d'un amant», à Je me donne à qui me plaît, vos chansons vous ressemblaient ?

Ça, c'est sûr ! Je ne me serais pas vue chantant des complaintes.

On a l'impression que vous chantiez comme vous jouiez. Au naturel.

Je chante comme je suis, je danse comme je suis, je joue comme je suis et je suis comme je suis.

En 1962, vous enregistrez La Madrague. Pourquoi ce titre vous est-il à ce point associé ?

La Madrague, c'est ma maison, mon refuge, ma vie ! C'est moi. Avec ses joies, ses rires, ses nostalgies, son soleil, son mistral, sa célébrité qui me colle à la peau depuis soixante ans.

Puis arrive, fin 1967, la "révolution" Gainsbourg. Malgré la brièveté de votre relation, il a tant compté pour vous ?

La puissance des sentiments n'est pas fonction du temps passé à les vivre. Au contraire: la brièveté d'une passion rassemble en elle le meilleur et évite le pire.

Comment avez-vous abordé les enregistrements de Harley Davidson et de Bonnie and Clyde ?

Simplement; déchaînée ou lascive. J'adore les contrastes ! Ce qui est rigolo, c'est que ni Serge ni moi n'avons jamais conduit de moto, et que je suis devenue l'icône des Harley Davidson...

On imagine la souffrance d'imposer à Gainsbourg de ne pas sortir votre version brûlante de Je t'aime moi non plus ?

Quel déchirement ! J'étais piégée entre un divorce annoncé avec Gunter Sachs et l'abandon de la plus belle déclaration d'amour qu'il m'ait été donné de faire à un homme. Mon choix m'a fait perdre sur les deux tableaux.

Quels genres de musiques écoutez-vous au quotidien ?

La Callas, dans Casta Diva. Et de la musique classique, du matin au soir...

Le cinéma, lui, appartient à une autre vie. Mais y a-t-il des films de vous que vous aimez revoir à la télévision ?

Je ne risque pas une indigestion avec mes films. Et ils repassent toujours les mêmes. Celui que j'aimerais revoir est L'Ours et la Poupée, avec Jean-Pierre Cassel. Je l'ai adoré !

En parlant de télé, que pensez-vous de la décision de la chaîne Gulli de ne plus diffuser de spectacles mettant en scène des animaux sauvages ?

Je les ai félicités et remerciés. C'est formidable !

Vous n'êtes pas allée à l'inauguration de la très belle statue vous représentant, à l'entrée de Saint-Tropez. Pourquoi ?

Je fuis tous les trucs médiatiques et suis devenue sauvage, loin de la foule déchaînée qui m'a fait tant de mal. La statue est sublime. Je ne veux pas décevoir...

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Brigitte Bardot revient sur son aven­ture avec Serge Gains­bourg

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot revient sur son aven­ture avec Serge Gains­bourg
Pour la sortie de son nouveau livre, Brigitte Bardot s'est confiée sur son idylle avec Serge Gains­bourg.

Brigitte Bardot revient avec un nouveau livre Moi je joue (Flam­ma­rion) dans lequel elle évoque sa carrière musi­cale. Dans une inter­view accor­dée à Télés­tar ce dimanche 5 novembre à l'occa­sion de la sortie de ce livre, l'icône française en a dit davan­tage sur sa brève rela­tion avec Serge Gains­bourg. Une rela­tion semée d’em­buches qui n’a fina­le­ment pas duré très long­temps. Si leurs moments ensemble se sont avérés idyl­liques, la situa­tion a été diffi­cile à gérer pour l'actrice, tiraillée entre son époux et son amant.

Une cinquan­taine d'années après son histoire d'amour avec l'un des artistes les plus complets du monde musi­cal français, Brigitte Bardot en dit plus sur sa version du titre Je t'aime moi non plus, dont elle n'avait pas auto­risé la sortie par l'artiste : « Quel déchi­re­ment ! J'étais piégée entre un divorce annoncé avec Gunter Sachs et l'aban­don de la plus belle décla­ra­tion d'amour qu'il m'ait été donné de faire à un homme. Mon choix m'a fait perdre sur les deux tableaux », a-t-elle confié à nos confrères.

L’ac­trice n’a jamais caché son admi­ra­tion pour Serge Gains­bourg. Il y a quelques semaines, elle avouait dans les colonnes Jour­nal du dimanche qu’une chan­son en parti­cu­lier gardait une place spéciale dans son cœur : « Aucune ne peut prendre la place d’Ini­tial BB, écrite par Serge Gains­bourg (1968). Elle me donne les larmes aux yeux », avait-elle révélé, émue.

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Henri-Georges Clouzot, scandaleux...

Publié le par Ricard Bruno

 

Lors du dernier jour du Festival Lumière (Lyon, du 14 au 22 octobre derniers), nous avons assisté à la diffusion du Scandale Clouzot, un documentaire de Pierre-Henri Gibert, en clotûre du cycle consacré au réalisateur. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur l’œuvre d’Henri-Georges Clouzot.

Après avoir visionnés la quasi totalité des œuvres composant la filmographie d’Henri-Georges Clouzot, ce documentaire offre un éclairage nouveau sur le réalisateur mais aussi sur son œuvre.

Le scandale Clouzot (2017) de Pierre-Henri Gibert – ©Twaleg Production

Constitué d’archives et de témoignages de cinéastes ou de personnes ayant côtoyé le réalisateur, ce documentaire réalisé avec le soutien d’Arte nous raconte un morceau de l’histoire du cinéma français.

Clouzot sous l’occupation

On en apprend notamment plus sur la réalisation du Corbeau sous l’occupation nazie et l’accueil reçu par ce film. Il vaudra à Henri-Georges Clouzot son licenciement par Alfred Greven, à la tête de la société de production Continental-Films pour avoir découragé les délateurs.

À la Libération pourtant, le film fera scandale et l’interprétation qui en sera faites sera toute autre. Vu comme un film vantant les mérites de la délation, il sera censuré et Henri-Georges Clouzot se verra dans un premier temps interdit d’exercer à vie avant que sa peine ne soit alléger qu’à deux ans d’inactivité.

Clouzot, tyrannique

Mais dans ce documentaire, c’est surtout le rapport qu’Henri-Georges Clouzot entretenait avec ses acteurs dont parle Pierre-Henri Gibert.

Les violences faites aux acteurs lors des tournages n’étaient pas chose rare dans le cinéma d’Henri-Georges Clouzot. Ses compagnes, Suzy Delair (L’assassin habite au 21, 1942) et Vera Clouzot (Les Diaboliques, 1955) mais aussi Brigitte Bardot (La Vérité, 1960) et Bernard Blier (Quai des Orfèvres, 1947), personne n’échappait aux gifles et aux violences du réalisateur. Lui-même en témoigne. Pour lui c’était la meilleure façon de rendre les émotions plus réelles. Mettant ainsi ses acteurs sous tension, ils donnaient le meilleur d’eux-même.

Face à cette façon étonnante de voir le cinéma, Pierre-Henri Gibert aborde également la question du rapport dominant/dominé. Cette question, obsessionnelle chez Henri-Georges Clouzot, se retrouve dans bon nombre de ses films. Sachant cela, vous verrez chacun de ses films sous un autre angle.

Le mystère continu

Mettant en évidence le comportement violent du réalisateur, Pierre-Henri Gibert ne fait que nous rappeler une fois de plus qu’être une personne tyrannique n’empêche pas d’être une personne d’un grand talent. Le mystère Clouzot n’en est pas pour autant terminé. C’est un personnage qui intrigue et fascine et qui n’a pas fini de produire cet effet sur les spectateurs. Même si ce documentaire nous en apprends un peu plus sur lui, on n’aura jamais totalement les clefs de ses œuvres. Artiste tourmenté, il poursuivra la perfection sans jamais avoir l’impression de l’atteindre.

Véritable avant-gardiste, il s’accrochait à l’idée d’un cinéma du réel à une époque où la majorité des tournages se réalisaient en studio. Comme un réalisateur de la Nouvelle Vague avant la naissance de la Nouvelle Vague, voilà la façon dont on devrait se souvenir de Clouzot. Un homme en avance sur son temps.

Après la rétrospective Clouzot au Festival Lumière, l’hommage rendu au réalisateur français se poursuivra à la Cinémathèque française à Paris avec l’exposition “Le Mystère Clouzot”, visible du 8 novembre 2017 au 29 juillet 2018.

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Brigitte Bardot: «Je n’ai plus envie de chanter»

Publié le par Ricard Bruno

Le livre, superbement illustré, rappelle les liens entretenus par l’actrice avec la chanson. Brigitte Bardot refuse de parler de nostalgie, et lui préfère les « souvenirs joyeux ».

Brigitte dans le western parodique « Les pétroleuses », en 1971...

Brigitte dans le western parodique « Les pétroleuses », en 1971...

B rigitte Bardot 26 octobre 2017 La Madrague Saint-Tropez. C’est ainsi que BB comme on l’a longtemps appelée signe le courriel envoyé en réponse à nos questions. Car oui, Brigitte Bardot, 84 ans, ne sort plus trop de chez elle et en tout cas pas pour rencontrer la presse. Mais ce livre, Moi je joue, elle l’aime beaucoup et tient malgré tout à le défendre...

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Guyancourt : il livre son amour pour le Golf national en photos...et Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno

Guyancourt : il livre son amour pour le Golf national en photos...et Brigitte Bardot !

A 85 ans, le photographe professionnel Claude Rodriguez vient de publier un recueil de clichés pris depuis 23 ans au lever du jour sur le célèbre parcours.

Et dire qu’il n’a, selon ses propres termes, « jamais tapé dans une maudite balle blanche ! ». À 85 ans, Claude Rodriguez vient pourtant de compiler dans un livre ses plus belles photos du Golf national de Guyancourt où, depuis 1994, il aura passé de nombreuses heures à attendre que les plus belles lueurs du petit matin envahissent les courbes du parcours d’une douce ou étrange clarté.

« La lumière est plus belle et plus cristalline à ces heures-là », estime le professionnel qui habite Malakoff (Hauts-de-Seine) et a débuté dans le métier dans son pays d’origine, la Belgique, à l’âge de 13 ans. Après tant d’années de carrière, le Golf national fut donc le « deuxième coup de cœur » du photographe, le premier n’étant autre que Brigitte Bardot. Car c’est en tant que portraitiste des stars que Claude Rodriguez s’est fait connaître dans les années 1950. Free-lance, il doit effectuer un reportage sur l’acteur allemand Curd Jurgens, en tournage au studio de la Victorine à Nice. Il y croise BB, et ses clichés de celle qui n’est encore qu’une starlette lui ouvrent les portes des plus grandes vedettes et donc, des plus grands magazines.

Guyancourt : il livre son amour pour le Golf national en photos...et Brigitte Bardot !

 J’ai aussi réalisé des courts-métrages, des films publicitaires, des photos de pub, mais dans les années 1980 le métier a changé, j’ai dû changer de voie », explique l’intéressé, qui se rend alors en voyage au Québec (Canada). « Là-bas tout était en accès libre et un jour, je suis tombé sur une pancarte : « propriété privée, défense d’entrer ». » Il entre, bien entendu, et tombe sur un parcours de golf. « J’ai proposé mes clichés au directeur, il a adoré, les a achetées et en a fait des cartes postales. Et moi, j’ai commencé à me consacrer à ce genre de photos, il y avait de la demande. »

Depuis, l’homme a pris sous tous les angles plus de 150 parcours dans le monde, mais est toujours revenu à Guyancourt. « J’ai été très impressionné par l’architecture du Golf national, confie-t-il, je ne sais pas pourquoi, ce sont des choses qui ne s’expliquent pas. Une fois sur le parcours, je tourne, je tourne, et soudain il y a un déclic. Au début on me regardait un peu comme un barjot avec mon échelle. Au fil du temps, les gens du golf sont tous devenus des amis. »

Le livre vous permettra de découvrir plus d’une centaine de photos, conçues comme des tableaux, la plupart étonnantes car reflétant un paysage qu’on croirait sorti des brumes de l’Irlande ou d’une planète inconnue et qui semble s’étendre à l’infini. « Un golf est un endroit pourtant restreint, note Claude Rodriguez, mais le secret est d’en comprendre la personnalité, et alors il se révèle. »

Le livre est disponible sur le site www.parcoursdelumieres.com ou à la boutique du Golf national à Guyancourt. Prix : 55 €.

Guyancourt : un parcours créé par la Fédération française

Guyancourt. Le parcours de l’Albatros accueille chaque année l’Open de France suivi par près de 60 000 spectateurs.

C’est en 1985, devant le succès grandissant des épreuves de golf en France, que la Fédération française a pris la décision de faire construire « son » golf, celui-ci devant servir à l’accueil de l’Open de France, l’une des plus grandes compétitions européennes, chaque année. Architecte et président de la commission sportive nationale de la FFG à l’époque, Hubert Chesneau propose un premier projet de deux 18 trous (L’albatros et l’Aigle) - un 9 trous (L’Oiselet) viendra bientôt se greffer - puis, ayant déjà travaillé pour la Ville nouvelle, l’idée lui vient d’implanter le futur golf fédéral à Saint-Quentin-en-Yvelines.

L’agglomération, qui désire préserver des terrains de la pression urbaine, se montre favorable à cette installation dont les travaux débuteront à l’été 1987. Chaque jour, 400 camions apporteront la terre nécessaire à la création du relief général. Au total, 2,2 millions de m3 de terre, issus des terrassements des chantiers de l’ouest parisien seront amenés sur place. En 1989, les 9 ha de plans d’eau sont creusés et les premiers semis ont lieu en septembre. Malgré l’énorme orage qui en détruisit une partie le 27 juin 1990, la première épreuve prévue en octobre, la « Ford Classic » a bien lieu, avec, cerise sur le gâteau, l’immense Greg Norman en vedette. Depuis 1991, et à l’exception de 1999 et 2001, l’Open de France y a lieu chaque année, rassemblant près de 60 000 spectateurs. En attendant une foule plus considérable pour les Jeux olympiques de 2024.

Et maintenant, la Ryder Cup !

Montigny-le-Bretonneux. Un chronomètre décomptant le nombre de jours jusqu’au début de la Ryder Cup en septembre 2018 a été installé à la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines.LP/L. MT.

Tout est prêt. Le 28 septembre 2018, soit presque vingt-huit ans jour pour jour après son inauguration, le Golf national de Saint-Quentin-en-Yvelines accueillera, pour la première fois en France, la 42e Ryder Cup. Ce match entre les équipes des Etats-Unis et de l’Europe, qui se déroule tous les deux ans depuis 1927, n’est autre que le 4e événement mondial sportif en nombre de téléspectateurs. Le parcours de l’Albatros, qui accueillera donc les meilleurs golfeurs de la planète, a subi un an de travaux pour être remodelé aux normes de cette épreuve… hors-norme. Près de 200 000 spectateurs devraient affluer sur les trois jours, les hôtels et transports de l’agglomération s’attendent à être pris d’assaut. Tous les billets mis en vente le 28 septembre ont déjà trouvé preneurs, mais vous pouvez encore tenter votre chance sur différents sites dont l’officiel, www.rydercup.com.

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Brigitte Bardot offre des photos dédicacées à SOS-Chats à Noiraigue...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot soutient SOS-Chats et écrit régulièrement à la fondation.

Brigitte Bardot soutient SOS-Chats et écrit régulièrement à la fondation.

People - Qui veut une photo dédicacée de Brigitte Bardot? La star, amie de longue date du refuge SOS-Chats à Noiraigue, a fait cadeau de quelques images à la fondatrice, Tomi Tomek, pour qu’elle puisse en tirer profit pour ses protégés.

SOS-Chats, à Noiraigue, met en vente sur sa page Facebook quelques images de Brigitte Bardot. Une première série était en vente jusqu’à mardi. Une seconde a été proposée dès mercredi. «C’est un cadeau direct de Brigitte», explique Tomi Tomek, fondatrice du refuge.

Sollicitée, BB a répondu présent. Les photos sont mise à prix pour la somme minimale de 100 francs. Tomi Tomek pense pouvoir obtenir 1200 fr. ou plus de cette action. «Nous avons déjà vendu des photos de BB avec signature à la main à 400 ou 500 francs. Elle les signe toujours à ‘La Madrague’ ou elle habite avec ses animaux ou dans sa petite maison un peu plus loin dans la montagne de Saint-Tropez.»

SOS-Chats conserve plusieurs courriers autographes de BB, qui est une de leurs fans. Mais ces lettres ne sont pas à vendre.

L’argent récolté,  assure la fondatrice de SOS-Chats, sert uniquement à payer des factures vétérinaires, de la nourriture ou du sable. Les photos qui ne sont pas vendues sur Facebook seront proposées plus tard sur le site internet. La fondation, faut-il le rappeler, est d’utilité publique et tous les dons qu’elle reçoit sont déclarés.

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Conflits : des vétérinaires au secours des animaux...

Publié le par Ricard Bruno

Un commando vétérinaire spécialisé dans les zones de guerre a effectué une opération à Alep, en Syrie. Les animaux ont été exfiltrés vers un refuge, en Jordanie.

Le "Magic World" ressemble à un décor glaçant. Situé en pleine zone de combat, le zoo de la ville d'Alep (Syrie) a été déserté. Il contenait une dizaine de bêtes déshydratées et mal nourries, lorsque les sauveteurs d'une association sont arrivés sur place en juillet dernier. Eux aussi étaient épuisés par des années de guerre. Un ours brun assoiffé fait partie des 13 rescapés du zoo, qui comptait 140 pensionnaires avant la guerre.

14 animaux sauvés

Pour venir en aide aux animaux, ces hommes et ces femmes ont risqué leur vie. Le transport des animaux s'est déroulé sous la menace des bombes. L'opération commando a finalement été un succès et les animaux ont été transférés en 48 heures, de l'autre côté de la frontière. Ils ont trouvé refuge dans un sanctuaire, construit spécialement pour eux, en Jordanie. Parmi les nouveaux pensionnaires du centre, une tortue de Gaza, un ours d'Irak et des hyènes de Syrie. Un vétérinaire a tissé des liens avec Simba, le lion de Mossoul (Irak), rescapé d'un zoo tenu par Daech. "Au moment où j'allais l'endormir, une voiture suicide a explosé non loin de nous. J'étais sous pression, et lui aussi !" témoigne le Docteur Amir Khalil en souriant. En Syrie, beaucoup des animaux sont morts de faim, abandonnée par les djihadistes. Seul le lion Simba et Loula, une oursonne, ont survécu. Selon Amir Khalil, ce sont des habitants qui ont nourri les animaux en cachette. Douze heures après leur arrivée en Jordanie, un lionceau est né. Les soigneurs l'ont appelé "hajir", ce qui signifie "immigré" en arabe.

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Philippe Manoeuvre hier au salon du disque et de la BD...

Publié le par Ricard Bruno

Philippe Manoeuvre hier au salon du disque et de la BD Invité, Philippe Manoeuvre a captivé les visiteurs avec milles anecdotes dont il a le secret et le savoir.

Vinyle de Nougaro ou coffret collector de la saga Lanfeust de Troye sous le bras, les chineurs mélomanes et bédéphiles se sont croisés toute la journée, hier, à la halle au Blé.

Parmi la cinquantaine d’exposants, impossible de passer à côté de l’un des premiers stands, juste à droite après l’entrée : un étal d’une dizaine de mètres de long sur lequel trônaient fièrement des centaines d’articles à l’effigie de notre BB nationale.

Des centaines d’articles à l’effigie  de Brigitte Bardot

Disques, cartes postales, affiches, poupées et même le buste miniature de Marianne, que Brigitte Bardot incarna au sommet de sa gloire, en 1968.
De l’autre côté, un passionné, Bruno Bellanger, luthier à Saint-Menoux (Allier), exposait fièrement une vingtaine de guitares vintage dont une magnifique Nline, guitare entièrement réalisée à la main, évoquant Excalibur, fameuse épée du roi Arthur.


Venait ensuite le local de l’étape, Bernard Capo, tout sourire, attablé derrière la pile de ses ouvrages, dédicaçant sa dernière BD, le Saint et l’assassin, ajoutant un de ces petits croquis dont il a le secret pour le plus grand plaisir de ses fans.

De nombreuses anecdotes

Et juste à ses côtés, une légende, le journaliste et écrivain Philippe Manœuvre. Ray Ban vissées sur le nez, incontournable cuir de rocker sur le dos, celui qui a été popularisé par l'émission La nouvelle star multipliait les anecdotes, tout en grattant un petit mot rock’n’roll à ceux qui avaient envie de découvrir la Discothèque secrète ou les 111 trésors cachés du rock, titre de son dernier ouvrage.

Bernard Capo et Philippe Manœuvre en séances de dédicaces... 
 

Un livre dont le pape du rock’n’roll a révélé les secrets et la genèse à des visiteurs pendus aux lèvres de cette bible vivante de la musique, intarissable en matière d’anecdotes toutes plus étonnantes les unes que les autres.

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Âgée de 30 ans, la chienne la plus vieille du monde rend son dernier soupir...

Publié le par Ricard Bruno

Brian McLaren, un fermier, a perdu son âme-soeur ce Dimanche : sa meilleure amie, Maggie, une femelle berger australien kelpie. Maggie était âgée de 30 ans à sa mort. Elle était très probablement la chienne la plus vieille au monde.

 7 News
7 News

Brian a expliqué que Maggie ne faisait pas vraiment son âge, du moins jusqu’aux deux dernières années de sa vie. Il a raconté ceci au Weekly Times:

“Elle avait 30 ans, et elle se déplaçait encore sans trop de problèmes ; la semaine dernière, elle marchait de la ferme au bureau, elle grognait après les chats, et tout et tout.”

Dans une vidéo publiée par 7 News l’année dernière, Brian expliquait que Maggie passait naturellement la moitié de sa journée à dormir, et l’autre à le suivre un peu partout dans la ferme.

 7 News
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Brian avait aussi expliqué à 7 News qu’il rendait régulièrement visite à sa meilleure amie au beau milieu de la nuit, pour s’assurer qu’elle respirait encore. Il s’attendait presque à ce qu’elle lui survive.

Nos prières vont à Brian et à sa famille durant ce moment difficile et tandis qu’ils font le deuil de leur animal domestique préféré.

Vous pouvez voir Brian en train de parler de sa chère Maggie dans la vidéo ci-dessous :

Cliquez ICI pour voir l'article et lien de l'article

Publié dans le web en parle, ACTUALI

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