Haute-Saône : la chienne Pantoufle tuée par une balle de 9 mm
Avrigney-Virey (70). Plus loin dans l’innommable. Depuis quelques mois, la petite commune d’Avrigney-Virey, à cinq kilomètres de Marnay, cherchait à résoudre un mystère nauséabond : la disparition de chats. Six selon certains habitants, « un ou deux, de sûr » pour le maire, Didier Rollet. Depuis la fin de semaine dernière, on a atteint un caractère « intolérable, à ce niveau de barbarie », toujours selon le jeune édile.
Nous sommes jeudi dernier. Il est presque 16 h 30 et Nicolas Rouby, 29 ans, sort son chien comme à chaque retour de boulot. Le militaire à Valdahon a l’habitude de laisser partir cette jeune chienne de 14 mois, beau staff croisé labrador. « Elle pouvait impressionner comme ça, mais les gens la connaissaient. Elle était gentille. Quand je sifflais, elle arrivait. » Cette fois, Pantoufle (« en référence au bout blanc de ses pattes ») ne répond pas. « Et puis, il y a eu ces cris. Comme si un cochon était égorgé ». La chienne de 27 kg arrive, tant bien que mal, au domicile.
Le jeune père de famille se lance dans le douloureux récit. « Elle pleurait terriblement. J’ai vu qu’elle avait un trou au train arrière gauche. J’ai alors pensé qu’elle s’était fait croquer, mais ça ne saignait pas. Il y avait comme cet effet cautérisant immédiat d’un impact de balle ».
Mal en point et apeuré, le chien est vite amené par le couple chez le vétérinaire, à Pirey. L’impression d’une morsure est confirmée par le spécialiste, qui tâte la bête et lui pose deux points. « Elle a vomi toute la nuit, n’a pas pris ses antibiotiques. On a alors cru qu’elle avait été empoisonnée. » Le malheur survient après le départ des enfants à l’école, « comme si elle avait voulu leur épargner ça », glisse Marielle Gury, la jeune maman de 30 ans. Pantoufle était partie se laisser mourir. Noué, le jeune homme raconte. « Je l’ai vue dehors, comme ça, l’ai vite ramenée au chaud. Le temps d’appeler le vétérinaire, elle vomissait son sang, ne respirait plus. Son cœur s’était arrêté. » La chienne était morte, victime d’une hémorragie. Au lendemain du choc, l’autopsie est formelle. Une balle de 9 mm a transpercé son intestin et l’estomac. Hier après-midi, l’image était glaçante pour ce jeune couple regardant le projectile recueilli, posé à côté du portrait de Pantoufle.
Au village, l’avis est fait. Quelqu’un a tiré volontairement. Mais qui ? Certains visent un septuagénaire. La gendarmerie arrive à son domicile le samedi matin. Le chasseur n’est pas là. L’épouse est alors avisée de la convocation de son mari, lundi matin. « Je sais que je suis soupçonné. Les gendarmes m’ont dit que le chien venait de chez moi, mais c’est faux. Il venait de l’autre côté », nous confiait, hier soir, l’intéressé, qui prétend néanmoins, plus tard, n’avoir « rien entendu ». L’homme se dit « très tranquille, car je n’ai jamais tiré sur un chien, et n’ai pas de 9 mm ». « Je l’ai dit aux gendarmes, ils perdent leur temps avec moi. Je ne connaissais ni ces personnes, ni leur chien. »
En cours, l’enquête de gendarmerie connaît un obstacle qui pourrait prochainement faire débat. « On nous a expliqué que tirer sur un animal domestique ne constituait pas un délit, susceptible d’entraîner une perquisition administrative. » Le couple, qui attend de porter l’affaire devant le tribunal de grande instance, a écrit à la Fondation Brigitte Bardot et 30 Millions d’Amis.
Et avec ce climat au village, il n’est pas près de reprendre un compagnon pour Gribouille, cette chatte « qui ne sort plus ». « Pantoufle, c’était le cadeau de Noël de nos deux enfants l’année dernière. On leur a dit qu’elle était partie avec son chéri… ».
Maxime CHEVRIER
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Malgré l’interdiction, le Japon s’en va chasser la baleine En savoir plus sur : http://www.toolito.com/bio/japon-chasse-baleine/
Au nom de la « recherche scientifique », le Japon prend la décision de reprendre la chasse à la baleine dans l’Antarctique. Dure semaine pour les baleines: alors qu’on vient d’apprendre que plus de 300 baleines se sont échouées en Patagonie, le Japon s’est attiré de vives critiques de la part d’autres pays et groupes de conservation, après avoir annoncé qu’il reprenait ses activités de chasse à la baleine dans l’océan Antarctique, sous prétexte de collecter des « données scientifiques ». Dans de nouveaux documents soumis à la Commission baleinière internationale (CBI), Joji Morishita, commissaire de la CBI pour le Japon, a déclaré que son pays allait débuter un nouveau programme de chasse à la baleine dans l’océan Antarctique, dans le but d’attraper 333 baleines de Minke par an à compter de début 2016. Ceci représente un tiers de la quantité d’animaux capturés chaque année dans le précédent programme de chasse à la baleine du Japon dans cette région.
« Afin d’assurer la conservation des ressources de l’Antarctique, tout en poursuivant leur utilisation durable et de comprendre et prédire les effets de facteurs tels que le changement climatique, il est scientifiquement impératif d’obtenir une compréhension exacte de nombreux aspects de l’écosystème marin de l’Antarctique, y compris ses animaux et leur dynamique grâce à la collecte, l’accumulation et l’analyse des données scientifiques », précise le plan de recherche (lien en anglais) de chasse à la baleine du Japon.
Les précédentes opérations de chasse du Japon dans l’océan Antarctique avaient pris fin après une décision rendue par la Cour internationale de Justice (CIJ) en mars 2014. Le Japon avait affirmé que sa chasse à la baleine dans la région était justifiée par des raisons de recherche en vertu de la Convention internationale de 1946 pour la réglementation de la chasse, mais le tribunal en avait jugé autrement, constatant que la somme de ses résultats de recherche en presque une décennie (seulement deux études basées sur la recherche sur les neuf spécimens de baleines) était en fort décalage avec la quantité d’animaux abattus.
« Nous n’acceptons pas, en aucune manière ou forme, le concept de tuer des baleines pour de soi-disant « recherches scientifiques », » a déclaré Greg Hunt, Ministre australien de l’environnement. « Le Japon ne peut pas décider unilatéralement s’il a traité adéquatement la question scientifique. Il n’y a pas besoin de tuer des baleines au nom de la recherche. Les techniques de recherche non létales sont la méthode la plus efficace et efficiente pour l’étude de tous les cétacés ».
S’exprimant dans le Japan Times, Jeff Kingston, historien du Japon basé à Tokyo, a déclaré que cette chasse à la baleine bafoue l’état de droit et va avoir des répercussions dramatiques sur l’image du Japon auprès de la communauté internationale.
« Les partisans de la chasse à la baleine au gouvernement japonais justifient ce massacre pour des raisons culturelles et culinaires, mais en harponnant les baleines, ils harponnent la réputation du Japon par la même occasion. Deux panels d’experts ont examiné les prétendues recherches scientifiques au nom de la chasse à la baleine et ont conclu qu’’il n’y avait aucun argument pour justifier le massacre », écrit-il.
« En outre, en termes d’image publique mondiale du Japon, la chasse à la baleine est une mauvaise affaire. C’est un signal diplomatique qui influe négativement sur l’opinion publique en Europe, en Amérique du Nord et en Australie sur un programme qui se sert de l’argent des contribuables pour tuer quelque chose dont presque personne ne raffole, tout cela au nom d’une identité nationale que peu embrassent. »
À ce stade, on ne sait pas quelles pourraient être les éventuelles conséquences juridiques de la décision unilatérale du Japon de reprendre la chasse baleinière, mais il est peu probable que nous ayons fini d’en entendre parler.
Crédit photo principale : Sea Shepherd
Source de l'article : Toolito.com
Anonymous combat la chasse aux baleines en piratant les sites du gouvernement islandais En savoir plus sur : http://www.toolito.com/bio/anonymous-chasse-baleines-islande/
Le groupe d’activistes Anonymous a attaqué des sites Web du gouvernement Islandais pour agir contre la chasse à la baleine, pratiquée par le pays. Les hackers d’Anonymous ont été très occupés ces derniers temps. Au début du mois de novembre, les membres du groupe ont commencé à dévoiler en ligne l’identité de membres présumés du Ku Klux Klan. Puis, après les attentats terroristes à Paris, les Anonymous ont tourné leur cyber-activité vers l’Etat Islamique, lançant une action mondiale visant à exposer et restreindre les communications numériques obscures du groupe terroristes. Et tout récemment, pour la troisième fois en un peu plus d’un mois, les membres du réseau « hacktiviste » ont piraté une série de sites du gouvernement Islandais en signe de protestation contre la chasse à la baleine permanente pratiquée par ce pays.
Le 25 novembre, une vidéo mise en ligne sur une chaîne YouTube affiliée à Anonymous a annoncé le lancement de l’opération #OpWhales, un effort mené en ligne afin « d’exposer la cruauté que cache l’industrie baleinière de l’Islande. »
« L’intensification de la chasse à la baleine de l’Islande est une violation claire et délibérée du moratoire de la CBI [Commission baleinière internationale], ainsi que de l’interdiction du commerce international de produits issus de baleines », explique l’orateur masqué dans la vidéo. « L’Islande vend au Japon de la viande de baleine pour répondre aux besoins insatiables de ce pays. De la viande de baleine a même été découverte dans des croquettes pour chiens. » L’Anonymous poursuit en accusant la société islandaise Hvalur H/F d’abattre et de vendre de la viande de plus de 500 rorquals communs pour un bénéfice d’environ 50 millions de dollars, avant d’appeler à une « tempête de tweets pour répandre la sensibilisation » ainsi que des « attaques combinées sur des sites Web et des bases de données. » Le même jour que la vidéo a été postée, Reuters a rapporté qu’un certain nombre de sites du gouvernement Islandais ont été attaqués, certainement par les hackers participant à l’initiative #OpWhales. Ces sites sont restés hors ligne jusqu’en milieu d’après-midi samedi. L’Islande, pourtant membre de la Commission baleinière internationale, ne s’est pas conformée au moratoire de 1986 de cet organisme sur la chasse commerciale à la baleine, résultant des affrontements répétés avec la CBI, ainsi que diverses organisations anti-chasse à la baleine, comme Sea Shepherd. « Les baleines n’ont pas de voix », proclame le locuteur masqué dans la vidéo #OpWhaling d’Anonymous. « Nous allons leur donner une voix. »
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Elle dénonce les traitements infligés aux animaux de laboratoire
Journaliste et philosophe, Audrey Jougla vient de sortir un livre réquisitoire sur la condition des animaux de laboratoire. Elle l’a dédicacé deux fois à Angers, où elle vient régulièrement.
Audrey Jougla dénonce "le confinement et la privation de liberté : pour des souris, ça va, pour des primates, des chiens, des chats, être dans des cages en sous-sol sans voir la lumière du jour, c’est particulier. Parfois, on les rend fous ou malades pour le besoin des expériences. Avec des maladies extrêmement douloureuses comme la polyarthrite. Certains animaux sont génétiquement modifiés pour naître malades ou on les intoxique".
"Rien ne justifie cette souffrance"
Selon elles, certes, les expérimentations concernent notamment la recherche contre le cancer mais aussi "les brûlures, les crèmes solaires, l’entretien ménager, les pesticides, les décapants pour four… Les armes nucléaires, bactériologiques et chimiques sont évidemment testées sur les animaux".
Elle poursuit : "Il y a des méthodes alternatives à l’utilisation des animaux mais les chercheurs sont peu formés à ces méthodes, qui sont très peu financées"
Elle conclut : "De mon point de vue, rien ne justifie cette souffrance. Sauf peut-être pour les expériences absolument nécessaires pour le bien-être supérieur de l’humanité".
Source de l'article : Cliquez ICI: http://www.courrierdelouest.fr/actualite/angers-elle-denonce-les-traitements-infliges-aux-animaux-de-laboratoire-20-12-2015-249839
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Une Parisienne
- Réalisateur : Boisrond, Michel
- Acteurs : Brigitte Bardot, Charles Boyer, Henri Vidal, André Luguet
- Genre : Comédie
- Editeur : TF1 Vidéo
- Nationalité : Français, Italien
- Date de sortie : 16 décembre 1957
- Durée : 1h26mn
Sortie DVD : le 18 novembre 2015
Une bulle de savon à la gloire de Brigitte Bardot.
L’argument : Jeune fille butée et capricieuse, Brigitte Laurier tente de séduire en vain Michel Legrand, directeur de cabinet de son père. Après avoir échafaudé un plan des plus machiavéliques, la jeune femme réussit à épouser Michel. Mais quand ce dernier l’ignore complètement, Brigitte décide alors de le rendre jaloux en ayant une aventure avec un prince. Un acte qui pourrait bien mettre en péril son mariage.
Le film : Lointaine variation sur la comédie américaine dite « de remariage », ce petit vaudeville vaut surtout pour ses seconds rôles et, évidemment, pour l’omniprésence radieuse de Brigitte Bardot, toutes moues dehors, dont l’abattage amuse parfois.
Les suppléments :
Autour du film est une discussion à bâtons rompus entre Éric Libiot et Guillemette Odicino qui évoque le contexte, les influences et Brigitte Bardot (10 minutes 40). A quoi s’ajoute la bande-annonce.
L’image :
La copie impeccable respecte l’image lisse et colorée, avec netteté et précision. Quelques rares plans en-deçà.
Le son :
Musique, dialogues et bruitages revivent en une clarté et une fraîcheur inédite dans la seule piste présentée (2.0 mono). Une possibilité de sous-titrages pour les malentendants.
Source de l'article : Cliquez ICI : http://www.avoir-alire.com/une-parisienne-le-test-dvd
La Fondation Bardot lance une nouvelle campagne choc contre la fourrure
La Fondation Brigitte Bardot lancera lundi une nouvelle campagne d'affichage contre la fourrure, montrant des loups ensanglantés au côté d'une jeune femme tout sourire protégée par une grande capuche bordée de fourrure.
Les affiches de la nouvelle campagne de la Fondation Brigitte Bardot seront présentes à Marseille à partir de lundi. Cette nouvelle campagne d'affichage contre la fourrure montre des loups ensanglantés au côté d'une jeune femme tout sourire protégée par une grande capuche bordée de fourrure.
Fourrure: le look qui tue",
est le nouveau slogan de la Fondation, qui dénonce le massacre de "ressources naturelles de plus en plus rares" pour satisfaire "aux caprices d'une société de consommation déconnectée de toute éthique et de tout respect pour l'environnement et les animaux". Plus de mille panneaux seront ainsi installés du 21 au 31 décembre, à Paris mais aussi à Bordeaux, au Havre, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes ou Strasbourg.
Non, la fourrure n'est pas écologique !",
souligne la Fondation Bardot, qui relève que les déjections des élevages engendrent des pollutions et que les produits des tanneries sont toxiques. "Depuis le Moyen Âge, qui a encore besoin de fourrure pour se protéger du froid ?", interroge l'association, poursuivant "le combat historique" de l'actrice.
Bardot demande une faveur à Poutine
On peut tous aider Brigitte Bardot en envoyant via le formulaire ci dessous un courrier à Mr Vladimir Poutine pour l'encourager à accéder à sa demande :
htt://eng.letters.kremlin.ru/send
Mille mercis pour votre mobilisation
Bruno Ricard
Brigitte Bardot a demandé vendredi au président russe Vladimir Poutine de libérer la militante de la protection animale Victoria Pavlenko "persécutée pour avoir secouru des chiens en détresse" et condamnée à un an et demi de prison pour le vol d'un chien d'aveugle.
"Vous connaissez mon attachement à la Russie, à son peuple, mais mon coeur est aujourd'hui déchiré par l'injustice qui touche Victoria Pavlenko", a écrit l'ancienne actrice dans une lettre ouverte adressée au président russe.
"Cette femme généreuse est condamnée à un an et demi de prison pour avoir sauvé un seul labrador perdu... Comment un tel jugement a-t-il pu être rendu dans votre pays?", demande BB. "Je vous supplie de faire libérer" la militante de la cause animale, insiste Brigitte Bardot en invoquant "une injustice". "Agir pour le bien-être animal n'est pas un délit mais un devoir", estime-t-elle en faisant appel "au président et à l'homme dont le coeur ne reste pas froid et indifférent face à la souffrance des animaux, des chiens en particulier". "Réagissez, je vous en supplie, c'est mon espoir... Ne le brisez pas", demande Brigitte Bardot qui conclut sa lettre en assurant le président Poutine de sa "profonde amitié".
Militante connue de la cause animale, Victoria Pavlenko a été arrêtée en août dernier, accusée d'avoir volé un chien guide d'aveugle à Moscou. Pour sa défense, Mme Pavlenko avait expliqué qu'elle avait trouvé ce chien perdu et qu'elle l'avait conduit dans un abri pour qu'il ne soit pas maltraité. Elle a été condamnée à un an et demi de prison le 23 novembre.
Source de l'article : Cliquez ICI : http://www.7sur7.be/7s7/fr/1527/People/article/detail/2561167/2015/12/18/Brigitte-Bardot-demande-a-Poutine-la-liberation-d-une-militante-de-la-cause-animale.dhtml