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Vénus, anti-fourrure et contre la maltraitance des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Laurent Blanchard et Didier Talou (© Association Vénus)

Laurent Blanchard et Didier Talou (© Association Vénus)

Créée en 2007 et baptisée du nom d’une chienne adoptée par Laurent Blanchard et Didier Talou à la fondation Brigitte Bardot, Vénus est une association qui fait le lien entre les animaux abandonnés et les familles d’accueil. Pour la 6e année consécutive, elle organise ce samedi 9 janvier, la journée « Sans fourrure » à Bordeaux.​

Vénus, anti-fourrure et contre la maltraitance des animaux

De la tortue au lapin, en passant par des animaux sauvages (chevreuil, fouine…), l’association Vénus, initiée par Laurent Blanchard et Didier Talou, se démène pour trouver des familles d’accueil à des animaux abandonnés. Soutenue par la fondation Brigitte Bardot et 30 millions d’amis, l’association apporte tous les traitements nécessaires aux animaux qu’elle récupère : puce électronique, vaccin, stérilisation…

Ce samedi 9 Janvier, Vénus organise pour la 6e année consécutive une Journée « Sans fourrure », initiée par Fourrure Torture en 2004. En partenariat avec la Fondation Brigitte Bardot et l’Association de lutte contre les maltraitances animales, un stand d’information est installé place Saint-Projet à Bordeaux de 10h à 17h30 pour sensibiliser le public Bordelais contre le lobby de la fourrure. Entretien avec Didier Talou.

Rue89 Bordeaux : Qu’avez-vous prévu pour la journée « Sans fourrure » à Bordeaux ?

Didier Talou : En plus de notre stand place Saint-Projet, une manifestation défilera dans les rues de Bordeaux sous la forme d’un cortège funèbre, avec un cercueil d’un mètre et une couronne mortuaire. L’objectif est de sensibiliser le public à la souffrance animale, notamment aux animaux à fourrure.

Dans les années 90, Brigitte Bardot avait lancé un appel contre l’industrie de la fourrure qui avait été entendu. Cette dernière est aujourd’hui repartie en force avec pour préférée de cette industrie les jeunes. Réservée auparavant à ceux qui en avaient les moyens, aujourd’hui, la fourrure se trouve dans les cols, les doudounes, et à des prix pas forcément très élevés.

Vous avez appelé au boycott du Salon du Chien qui se déroulait du 7 au 8 janvier, pourquoi ?

C’est l’industrie du chiot… Je n’ai rien contre les éleveurs, il y en a qui sont corrects, mais nous recueillons beaucoup, beaucoup de chiens qui proviennent de ces salons.
Mais je pense qu’il faut aussi boycotter les centres équestres. Ceux qui envoient leurs chevaux à l’abattoir, où ceux qui les exploitent d’une manière incroyable. On a souvent déposé plainte pour maltraitance de chevaux. Ces centres s’occupent très mal des animaux.

Avez-vous une idée du nombre d’abandons ou de maltraitance ?

Nous n’avons pas de chiffres. Mais nous recevons énormément d’appels. Cet été il eut beaucoup d’abandons, tout comme pour les fêtes de Noël. Nous n’avons pas un refuge et nous ne pouvons pas garder tous les animaux. Le temps de s’en occuper et il faut leurs trouver une famille d’accueil.

Comment sensibilisez-vous les gens ?

Nous avons de la documentation pour les enfants. Nous avons aussi des documents avec des images très dures comme celles d’un génocide de chiens qui a eu lieu en Roumanie. Nous avons organisé une journée nationale de mobilisation autour de cet événement et certains ont été choqués par l’image d’un chien avec une balle dans la tête et du sang.

Effectivement, c’est choc, il faut le reconnaître. Le père d’une fille était très mécontent par notre méthode et ne trouvait pas les mots pour rassurer sa petite. Ça m’a fait mal au cœur.

Une autre était également très choquée mais voulait comprendre. Je lui ai expliquée, avec des mots simples. Elle est repartie rassurée, parce qu’elle a eu des réponses.

Ce jeudi 14 janvier, vous serez encore une fois devant le cirque Arlette Gruss place des Quinconces. Qu’allez-vous faire ?

Sensibiliser, distribuer des tracts. Le cirque Arlette Gruss, c’est la Rolls-Royce du cirque. Mais je pense qu’un éléphant ou un lion n’a pas sa place dans une cage. C’est contre nature.

J’ai vu des cirques avec des chiens, des chats, et ça ne me dérange pas. On sent qu’il y avait de l’amour entre le chien et le propriétaire. Mais quand un éléphant balance sa tête, c’est un trouble du comportement. Ce n’est pas normal.

Est-ce que vous ciblez des entreprises ou des personnes avec vos actions ?

Non, pas du tout. S’il y a un problème, on s’adresse à la Police. On dépose plainte mais la justice est lente… Il nous arrive aussi d’avoir des problèmes avec les policiers eux-mêmes.

Récemment, nous avons été contacté par une femme qui avait vu un chien se faire renverser au Cap Ferret. Elle a appelé la police et celle-ci a enterré le chien. C’est illégal ! On a du faire pression pour que la police déterre le chien et le porter à une clinique vétérinaire. Le personnel de la clinique nous a informé que ce n’était pas la première fois. Nous avons alors adressé un courrier au maire de Cap Ferret.

En août 2014, j’ai participé à une action citoyenne dans une arène pour empêcher le déroulement d’une corrida. J’ai été agressé et eu une fracture du bassin et une fracture de la tête radiale. C’était d’une violence extrême.

Quels sont vos liens avec la fondation Brigitte Bardot ? Partagez-vous les prises de position politiques de sa fondatrice ?

Nous sommes bénévoles à la fondation Bardot et nous sommes souvent accusés d’être des extrémistes du Front National ou autre. Je tiens à souligner que nous sommes apolitiques, même si la protection animale peut être un sujet politique. Les Verts de Bordeaux devaient s’associer à nous pour l’événement, mais se sont désistés à cause de la présence de la fondation Brigitte Bardot. On a également été boycotté à Bordeaux par des associations dans le cadre d’une journée vegan pour les mêmes raisons.

Pourtant la Fondation en elle-même est apolitique, elle accueille des personnes de tous bords. Les prises de position politiques de Brigitte Bardot sont en son nom. Personnellement, j’aime beaucoup Brigitte Bardot et ce qu’elle fait, mais je n’adhère pas à ses idées politiques.

Source de l'article :Cliquez ICI

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Le trimaran "Brigitte Bardot" ouvert au public

Publié le par Ricard Bruno

Le trimaran "Brigitte Bardot" ouvert au public
Le trimaran "Brigitte Bardot" ouvert au public
Le trimaran "Brigitte Bardot" ouvert au public
Le trimaran "Brigitte Bardot" ouvert au public
Le trimaran "Brigitte Bardot" ouvert au public
Le trimaran "Brigitte Bardot" ouvert au public
Le trimaran "Brigitte Bardot" ouvert au public
Le trimaran "Brigitte Bardot" ouvert au public

En escale technique dans la darse du MuCEM, l'impressionnant "Brigitte Bardot" de la Sea Sheperd Conservation Society est ouvert gratuitement au public aujourd'hui et demain, de 14h à 17h. Ce trimaran de type monocoque stabilisé de 35 m de long, capable de filer 24 nœuds (près de 45 km/h), revient d'une campagne aux îles Féroé où il s'est opposé aux navires qui pêchent les globicéphales.

Source de l'article cliquez ICI : http://www.laprovence.com/diaporama/3744235/le-trimaran-brigitte-bardot-ouvert-au-public.html#

Publié dans ACTUALI, Brigitte Bardot

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Exposition Philippe Halsman au Musée du jeu de paume

Publié le par Ricard Bruno

Exposition Philippe Halsman au Musée du jeu de paume

Durant cette exposition de Philippe Halsman au Musée du jeu de paume, vous pourrez voir un visuel de Brigitte Bardot...

Musée du jeu de paume

Exposition Philippe Halsman

Étonnez-moi !

du 20 octobre 2015

au 24 janvier 2016

Concorde, Paris

Le photographe Philippe Halsman (Riga, Lettonie, 1906 – New York, 1979) mène pendant une quarantaine d’années une carrière exemplaire, depuis ses débuts à Paris dans les années 1930 jusqu’à l’immense succès de son studio new-yorkais entre 1940 et 1970. Cette exposition met en lumière l’ensemble de son travail à travers près de 300 œuvres.

En 1921, Philippe Halsman découvre le vieil appareil photo de son père, et parle de « miracle » lorsqu’il développe ses premières plaques de verre dans l’évier de la salle de bain familiale. Il a 15 ans , et c’est le premier contact avec la photographie de celui qui va devenir l’un des plus grands photographes du XXe siècle.

Arrivé à Paris grâce au soutien du ministre français Paul Painlevé, (dont le fils Jean, cinéaste scientifique, lui offre à son arrivée l’un des meilleurs appareils photographiques du moment), Philippe Halsman y restera dix ans, jusqu’en 1940.
Une décennie pendant laquelle il collabore avec les magazines Vogue, Vu et Voilà et réalise les portraits de nombreuses célébrités comme Marc Chagall, Le Corbusier ou André Malraux. Il expose plusieurs fois à la galerie avant-gardiste de la Pléiade, aux côtés de photographes comme Man Ray, André Kertész, Brassaï ou Laure Albin Guillot.

En 1940, l'invasion allemande met un terme à la carrière prospère de Halsman, qui trouve refuge à New York avec sa famille. Il y travaille pour de nombreux magazines américains dont Life, le premier magazine illustré uniquement par la photographie, qui l’entraînera à la rencontre des célébrités du siècle — Marilyn Monroe, Rita Hayworth, Duke Ellington, le duc et la duchesse de Windsor, Richard Nixon, Albert Einstein pour n’en citer que quelques-unes — et dont il réalisera 101 couvertures.

Loin d’être uniquement un photographe de célébrités, Philippe Halsman n’aura de cesse, toute sa vie, d’expérimenter et de repousser les limites de son médium.
Il collabore notamment pendant plus de 30 ans avec Salvador Dalí et invente la « jumpology », qui consiste à photographier des personnalités en train de sauter, offrant ainsi un portrait plus naturel et spontané de ses sujets.
Philippe Halsman se distingue par l’étendue de son champ d’activité : portraits, mode, reportages, publicité, projets personnels, commandes privées et institutionnelles.

La photographie de Philippe Halsman se caractérise par une approche directe, une parfaite maîtrise technique et un soin du détail, et son œuvre révèle aussi une grande diversité animée par une constante exploration du médium.
Au final, près de 300 images exclusives et documents originaux (planches et tirages par contact, épreuves préliminaires, photomontages, originaux et maquettes) sont présentés pour cette exposition rétrospective, apportant un éclairage unique sur l’œuvre et le processus d’un photographe exceptionnel et atypique.


Commissaires : Anne Lacoste, conservatrice, Musée de l’Elysée ; Sam Stourdzé.

Partenaires : Exposition produite par le Musée de l’Elysée, Lausanne, en collaboration avec les Archives Philippe Halsman, New York, et organisée à Paris par le Jeu de Paume

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Le renard retiré de la liste des nuisibles, sa chasse interdite

Publié le par Ricard Bruno

Si certains agriculteurs voient dans le renard un “auxiliaire” efficace pour vider les champs des campagnols, les chasseurs s’inquiètent de l’exclusion du goupil de la liste des nuisibles en Savoie.

Si certains agriculteurs voient dans le renard un “auxiliaire” efficace pour vider les champs des campagnols, les chasseurs s’inquiètent de l’exclusion du goupil de la liste des nuisibles en Savoie.

Le sujet a du mal à passer dans les rangs des porteurs de fusils : le renard sortira le 1er juillet de la liste des espèces nuisibles dans le département. L’association de chasse au féminin L’Chasse faisait de cette question le thème de l’assemblée générale de ses 10 ans, vendredi soir à Bourgneuf. « Il est nécessaire d’en parler car le renard n’est pas sans impact sur nos territoires », alerte Fernande Nantois, la présidente de L’Chasse.

La surprise de la “communauté chasse” vient surtout du cheminement administratif et technique qui aboutit à l’exclusion du “Vulpes vulpes” de la “liste 2” des espèces nuisibles en Savoie, devenu le seul département en France continentale, avec la Corse, à libérer le goupil.

À l’origine de cette mesure, réside en fait une réglementation qui remet régulièrement en question les espèces nuisibles. Trois listes coexistent : la première est annuelle, décidée par le ministère de l’Environnement et opposable sur la France entière. La deuxième est annuelle également, adoptée par le préfet donc calquée à la particularité du département.

La troisième, à laquelle appartient le renard, est adoptée par arrêté ministériel sur proposition du préfet, au motif de la protection de la faune et de la flore, de la prévention de dommages agricoles et forestiers, de dégâts à la propriété ajoutés d’un intérêt de santé et de sécurité publique.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Pamela Anderson : ses étonnantes confidences sur son statut de sex-symbol Read more at http://www.non-stop-people.com/actu/mode/pamela-anderson-ses-etonnantes-confidences-sur-son-statut-de-sex-symbol-95594#BysOzZxADuC1oSOy.99

Publié le par Ricard Bruno

Pamela Anderson : ses étonnantes confidences sur son statut de sex-symbol Read more at http://www.non-stop-people.com/actu/mode/pamela-anderson-ses-etonnantes-confidences-sur-son-statut-de-sex-symbol-95594#BysOzZxADuC1oSOy.99

Alors qu'elle fait actuellement grimper la température sur Instagram en se dénudant, Pamela Anderson a accordé un entretien exclusif au magazine Paris Match dans lequel l'ex-star de la série "Alerte à Malibu" a rendu hommage à Brigitte Bardot. La blonde en a également profité pour se confier sur sa carrière et sur son statut de bimbo. Non Stop People vous en dit plus.

Ces derniers mois, Pamela Anderson a beaucoup fait parler d'elle dans les médias. Après avoir fait la couverture du magazine FHM en octobre dernier, l'actrice annonçait une très bonne nouvelle à ses fans en posant totalement nue sur Instagram. En effet, cette dernière fêtait sa guérison, elle qui avait contracté il y a plus de dix ans une hépatite C après avoir partagé une aiguille de tatouage avec son ex-mari Tommy Lee.

"Il y a vingt ans, quand ils m'ont annoncé que j'avais l'hépatite C, ils m'ont dit qu'ils me restait dix ans à vivre. Finalement, dix ans après, ils m'ont dit que je pouvais vivre avec, mais que je risquais de mourir de tout un tas d'autres choses horribles, comme le cancer du foie", expliquait-elle à Entertainment Tonight. En décembre dernier, Pamela Anderson s'illustrait à la date du 3 décembre du LOVE Advent 2015 dans une vidéo très sexy. Enfin, pour son dernier numéro avec des nus, le magazine Playboy a choisi l'ex-bimbo de la série "Alerte à Malibu", plus hot que jamais sur la Une où elle n'a pas hésité à dévoiler sa poitrine généreuse en premier plan.

"Je ne suis pas mieux qu'une vache ou qu'une poule"

Dans une interview inédite accordée au magazine Paris Match, Pamela Anderson a rendu un bel hommage à Brigitte Bardot et à l'action de sa Fondation, elle qui est devenue une activiste de la cause animale et environnementale. Elle s'est également confiée sur sa carrière et sur son statut de bimbo. "Je ne me suis jamais trouvée jolie. En revanche, je me suis toujours sentie et ressentie femme. Profondément", a-t-elle commencé. Et de poursuivre : "Je ne suis pas mieux qu'une vache ou qu'une poule". Pamela Anderson en a dévoilé un peu plus sur sa vie privée. "Je suis très romantique et un peu traumatisée aussi. Je prends donc mon temps. En ce moment, je vis recluse. Je cuisine, je vis sur ma plage, mais j'ai quelques fers au feu". Et de conclure sur son statut de maman. "Mes enfants m'ont sauvé de tout, notamment des drogues dures".

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Publié dans Le web en parle

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Yves Vincent, acteur dans "Les Gendarmes" et "Hibernatus", est mort

Publié le par Ricard Bruno

Il avait joué en 1959 avec Brigitte Bardot dans Babette s'en va-t-en guerre de Christian-Jaque , le rôle" du Capitaine Darcy"...

Yves Vincent, acteur dans "Les Gendarmes" et "Hibernatus", est mort

L'acteur Yves Vincent, qui a joué aux côtés de Louis de Funès dans Hibernatus ou Le Gendarme en balade, est mort mercredi à l'âge de 94 ans.

Le comédien Yves Vincent, connu pour ses seconds rôles au cinéma dans les années 60, d'Hibernatus au Gendarme se marie, est mort mercredi à l'âge de 94 ans, a annoncé jeudi sa famille.

Aux côtés de grands noms du cinéma. Cet homme au visage familier et au brushing souvent impeccable avait notamment joué le colonel dans Le Gendarme se marie (1968) et Le Gendarme en balade (1970) de Jean Girault, aux côtés de Louis de Funès et Michel Galabru, décédé lundi. Il avait aussi interprété le rôle d'Edouard Crépin-Jaujard, le père de la jeune fille dans Hibernatus (1969) d'Edouard Molinaro, également avec Louis de Funès.

Bardot, Bergman et Sartre. Né le 5 août 1921, Yves Vincent avait commencé sa carrière au théâtre et au cinéma dans les années 40 avant de jouer aux côtés d'Arletty, Brigitte Bardot ou Ingrid Bergman. Sur les planches, il avait notamment été vu dans La Putain respectueuse et Morts sans sépulture de Jean-Paul Sartre lors de leur création en 1946, dans Un Tramway nommé désir de Tennessee Williams avec Arletty à la fin des années 40, dans Constance de William Somerset Maugham avec Edwige Feuillère ou dans L'Aigle à deux têtes mis en scène par Jean Cocteau en 1960.

Au cinéma, il avait joué dans une cinquantaine de films, partageant l'écran avec Brigitte Bardot dans Babette s'en va-t-en guerre (1959) de Christian-Jaque ou Renée Saint-Cyr dans Capitaine Ardant (1951) d'André Zwoboda. Il avait également travaillé avec les réalisateurs André Hunebelle (Méfiez-vous des blondes), André Cayatte (Jean-Marc ou la Vie conjugale) Roger Vadim (Surprise Party) ou Georges Lautner (La Maison assassinée).

A la télévision, Yves Vincent avait joué dans de nombreux feuilletons ou téléfilms, incarnant notamment le rôle principal de la série Tribunal diffusée sur TF1 à la fin des années 80, celui du juge Garonne. Il avait également été vu dans Les Cinq dernières minutes ou Les Enquêtes du commissaire Maigret. L'acteur avait publié en 2013 un livre de souvenirs, Voulez-vous en sourire avec moi ?

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Publié dans Le web en parle

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Accusé de maltraitance, le cirque Bouglione retire son numéro avec une éléphante âgée

Publié le par Ricard Bruno

Une représentation du cirque Bouglione au cirque d'hiver à Paris le 23 octobre 2014

Une représentation du cirque Bouglione au cirque d'hiver à Paris le 23 octobre 2014

Le cirque Bouglione a annoncé mardi sa décision de retirer un numéro qui mettait en scène une éléphante âgée, après des accusations de maltraitance portées par une association de défense des animaux.

"Par application du principe de précaution, +le Cirque Bouglione en tournée+ a pris la décision unilatérale de retirer ce numéro", a annoncé le directeur de la compagnie de cirque, Francesco Bouglione, dans un communiqué.

Le dompteur et la danseuse qui participaient au numéro "ont été congédiés", a précisé un porte-parole de la compagnie.

Dimanche, une trentaine de militants de l'association Animalsace avaient manifesté à Strasbourg devant le chapiteau du cirque Bouglione pour demander la mise à la retraite de l'éléphante âgée de 43 ans, aux cris de "Libérez Vana Mana!", nom de l'animal.

Animalsace avait déclenché une polémique en diffusant une vidéo tournée en 2009, montrant l'éléphante se faire maltraiter et frapper dans un cirque anglais par un employé du dompteur de Bouglione congédié.

L'association affirme que l'éléphante a subi de nombreuses maltraitances durant ses 38 ans de carrière et qu'elle souffre aujourd'hui d'arthrite, de problèmes pour se déplacer, d'une paralysie de la trompe et d'abcès aux épaules.

Francesco Bouglione a catégoriquement rejeté mardi les accusations portées par Animalsace, en rappelant que les différents services vétérinaires des préfectures avaient validé la présentation de l'éléphante au public.

"Les conditions d'hébergement, le suivi vétérinaire par les services de la préfecture et l'âge de l'éléphante, invalident totalement la thèse de la moindre maltraitance", a déclaré Francesco Bouglione.

Examiné récemment par les services vétérinaires à Strasbourg, ainsi qu'à Nancy en novembre, ceux-ci ont "constaté que l'animal était en excellente santé" et "aucunement maltraité", a souligné M. Bouglione.

"Le cirque Bouglione a toujours protégé les animaux. Monsieur Bouglione père était lui-même dresseur d'éléphants", a-t-il ajouté.

Mardi, hormis la suppression du numéro, le cirque Bouglione n'avait pas pris de décision concernant le devenir du pachyderme: la décision finale pourrait revenir au dresseur à qui il incombe de trouver une solution.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Californie: La tragique histoire de Smurf, chaton utilisé comme jouet pour chiens

Publié le par Ricard Bruno

MALTRAITANCE Le petit animal ne mesurait que 25 centimètres et ne pesait que 800 grammes lorsqu’il a été retrouvé dans un carton avec des chiffons et des pelures de citron…

Capture d'écran d'une vidéo de la fondation Nine Lives, montrant Smurf, un chaton maltraité. - Facebook/Nine Lives Foundation

Capture d'écran d'une vidéo de la fondation Nine Lives, montrant Smurf, un chaton maltraité. - Facebook/Nine Lives Foundation

A peine huit semaines et déjà une vie horrible. Un chaton teint en bleu et atteint de multiples morsures et lacérations a été retrouvé par le San Jose Animal Care Center et ensuite secouru par la fondation Nine Lives, en Californie.

Le petit animal, qui ne mesurait que 25 centimètres et ne pesait que 800 grammes lorsqu’il a été retrouvé dans un carton avec des chiffons et des pelures de citron, a été prénommé Smurf (Schtroumpf en anglais).

« L’acte d’un criminel »

Il a été immédiatement pris en charge, et opéré de l’abdomen samedi en urgence. Monica Rudiger, la vétérinaire qui l’a soigné, a expliqué à ABC News que les maltraitances faites au chaton avaient dû être de l’amusement pour son ou ses propriétaires. « Je pense que Smurf était utilisé comme un jouet à mâcher pour un chien. » Elle a ajouté que c’était là « l’acte d’un criminel » qui en plus « a du trouver drôle de le teindre en bleu ».

Heureusement, l’animal récupère bien, comme on peut le voir sur les photos postées sur la page Facebook de Nine Lives. « Il est très actif et se nourrit bien », a ajouté le médecin.

Source de l'article et vidéo : Cliquez ICI : http://www.20minutes.fr/insolite/1760187-20160105-californie-tragique-histoire-smurf-chaton-utilise-comme-jouet-chiens

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2017 : la grande année H.-G. Clouzot

Publié le par Ricard Bruno

Henri-Georges Clouzot trinque avec Brigitte Bardot pendant le tournage (difficile pour l'actrice) de « La Vérité », en 1960. - (Photo archives NR)

Henri-Georges Clouzot trinque avec Brigitte Bardot pendant le tournage (difficile pour l'actrice) de « La Vérité », en 1960. - (Photo archives NR)

En 2017, la Cinémathèque rendra un hommage national à Henri-Georges Clouzot. L’occasion pour Niort de distinguer, enfin, l’enfant du pays ?

Henri-Georges Clouzot est né à Niort en 1907. Il est décédé en 1977. C'est donc l'année 2017 que la Cinémathèque française a choisie pour rendre un hommage institutionnel à l'un des plus grands cinéastes français. Les célébrations s'ouvriront en mai, à l'occasion du Festival de Cannes, par la projection de deux films primés dans cette manifestation : « Le Salaire de la peur » (grand prix 1953) et « Le Mystère Picasso » (prix spécial du jury en 1956). Un deuxième hommage cinématographique sera rendu à Clouzot en octobre, lors du Festival Lumière de Lyon (dont le délégué général est le même que celui de Cannes : Thierry Frémaux).

Avant cela, les films de Clouzot auront été restaurés. En novembre 2017, une grande exposition sera dévoilée, à la Cinémathèque. Serge Toubiana, dont le mandat de directeur général s'achève jeudi prochain, a choisi Noël Herpe pour en assurer le commissariat. Cet historien du cinéma, qui fut commissaire de l'exposition Guitry en 2007 à la Cinémathèque, sera secondé par un critique d'art d'origine niortaise, Damien Airault.

Contact avec la municipalité niortaise…

Mercredi dernier, ils étaient tous deux à Niort avec Ghislaine Gracieux qui dirige la société Cinepatrimoine Concept (société qui gère les intérêts de la succession Clouzot). En compagnie de Chloé Folens, qui publiera, courant 2016, une biographique sur Henri-Georges Clouzot, ils ont pris leurs marques dans la capitale des Deux-Sèvres.
Ils ont rencontré le directeur des bibliothèques de la communauté d'agglomération, Éric Surget, qui les a menés sur les lieux où vécurent les membres de la famille Clouzot. Jacques Morel, le « Monsieur cinéma » du Moulin du Roc (par ailleurs secrétaire général) a pu évoquer avec eux la possibilité d'un cycle Clouzot. L'ancien journaliste de La Nouvelle République Michel Lévèque, qui a mené un travail de recherche remarquable sur Clouzot et compte bien le publier, leur a confié de précieux documents, dont l'enregistrement d'un entretien avec la propriétaire de « La Colombe d'Or » à Saint-Paul-de-Vence. Car après sa découverte du prestigieux restaurant, à l'occasion du tournage du « Salaire de la peur », Clouzot y est très souvent revenu.
Enfin, Ghislaine Gracieux, Noël Herpe, Damien Airault et Chloé Folens ont rencontré le maire de Niort, Jérôme Baloge, et son adjointe à la culture, Christelle Chassagne. La municipalité a évoqué la possibilité de rendre hommage à l'illustre Niortais lors d'une prochaine édition de « Regards noirs » (peut-être en créant un « Prix Clouzot ») et d'accueillir une partie de l'exposition Clouzot dans une structure municipale (Agesci, le Pilori, etc.) qui reste à désigner.

Source de l'article : Cliquez ICI : http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Loisirs/Cinema/n/Contenus/Articles/2016/01/04/2017-la-grande-annee-H.-G.-Clouzot-2582257

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