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Brigitte Bardot : "Nous vivons dans un monde pourri par le fric!"

Publié le par Ricard Bruno

INTERVIEW - Dimanche, c’est pile poil son anniversaire. Pour fêter ses 80 ans en beauté, la belle Brigitte nous a accordé un entretien bien tonique.

Brigitte Bardot : "Nous vivons dans un monde pourri par le fric!"

Qu’est-ce qui vous ferait plaisir pour votre anniversaire? Que vous deveniez végétarien! Sur cette planète, tout le monde vous connaît. Mais sur une autre? Si vous deviez vous présenter à un extraterrestre, ça donnerait quoi "BB pour les nuls"? Au lieu de lui parler, je lui demanderai de m’emmener avec lui, loin d’un monde cruel qui s’entretue, ravage tout, pollue tout, défigure tout. Je lui demanderai de m’emmener loin d’un abattoir à ciel ouvert qui massacre sans états d’âme tant de vies animales. Loin du cannibalisme qu’est devenue notre société : un monde pourri par le fric ! Vous avez lancé un appel à François Hollande pour obtenir l’abolition de l’abattage rituel et la fermeture des abattoirs de chevaux. L’a-t-il entendu? J’ai rencontré tous les présidents de la Ve république, de Pompidou à Sarkozy. Je n’ai obtenu que des promesses non tenues. J’attends maintenant que François Hollande réponde à mon appel officiel, lancé le 8 septembre dans la presse nationale. On ne vit que d’espoir… Que répondez-vous à ceux qui vous ont reproché de plus vous intéresser aux animaux qu’à votre fils? Je leur réponds : "Et vous, à quoi vous intéressez-vous à part votre nombril?" J’ai remarqué que ceux qui me critiquent sont souvent ceux qui ne font rien pour les autres.

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Brigitte Bardot. Et la star sublima la marinière...

Publié le par Ricard Bruno

Ce dimanche, Brigitte Bardot aura 80 ans. Comme ses chats, elle a eu sept vies, mais c'est dans son rôle d'actrice qu'elle a stupéfait le monde entier par sa beauté et son art de lancer des modes. La marinière, aujourd'hui très identifiée à la Bretagne, lui doit beaucoup. Remontons le fil du temps en tirant sur la pelote... Drôle de spectacle cette semaine. Des pilotes de ligne en grève avaient, à leur tour, adopté la marinière, désormais symbole du Made in France. Avec leur veste et leur casquette, certains avaient de faux airs de capitaine Haddock qui se serait rasé la barbe pour protester contre le projet Transavia. Le vêtement de marin habillant pour un jour des pilotes de ligne : le tricot rayé a décidément colonisé tous les espaces. Et B.B. créa le mythe Mais au fait, d'où sort-elle cette marinière ? Du décret du 27 mars 1858 qui, pour la première fois, établit la liste officielle de la tenue de la Marine française. Elle détaille avec une rigueur toute militaire « le tricot bleu de service courant » que les matelots et quartiers-maîtres devront porter sous leur vareuse et qui devra « compter 21 rayures blanches, chacune deux fois plus large que les 20 à 21 rayures bleu indigo ». Le décret ajoute bien d'autres détails millimétrés sur les rayures des manches ou l'encolure de ce tricot censé permettre de repérer plus facilement un homme tombé à la mer ou manoeuvrant dans la mâture. Ainsi naît la marinière qui restera exclusivement masculine avant que l'icône française de la mode, Gabrielle Chanel, alias Coco, ne convertisse ce vêtement masculin et militaire en tricot civil et féminin, dans le sillage de la mode du vêtement marin qui gagne tous les bords de mer de la France de la Belle Époque. Le tricot rayé est, dès lors, bien installé. Mais c'est Brigitte Bardot qui va lui donner une renommée mondiale et une french touch avant l'heure en adoptant la rayure, tantôt moulante tantôt flottante, dans des tenues à faire tomber raides les jules de l'époque. Et à entraîner les femmes dans son sillage vestimentaire, de l'agricultrice au champ à l'estivante traînant sa nostalgie de fin d'été sur des plages pas encore abandonnées aux coquillages et crustacés. Mais on ne sait pas très bien d'où vint ce tropisme de Bardot pour la marinière, sauf, bien sûr, à penser qu'il y eut tout de même quelques privilégiés pour recueillir quelques-unes de ses confidences sur le rayé. Jean Paul Gaultier au rayon rayures Des robes vichy aux cuissardes, en passant par la chevelure en choucroute, B.B. fut à l'origine de bien d'autres modes. Et aucun homme ne pouvait rester insensible à un tel charme. Pas même le Général qui, face à Bardot ou Jackie Kennedy, ne put refréner quelques oeillades admiratives. Tante Yvonne, son épouse, ne cultiva aucune jalousie, n'ayant probablement jamais imaginé, même dans ses pires cauchemars, son grand homme fuguant de l'Élysée, de nuit et en scooter, pour une rencontre non inscrite au protocole. D'ailleurs, en ce temps-là, la politique et le show-biz savaient garder leurs distances. De Picasso à l'Américaine Jean Seberg, craquante en marinière dans « À bout de souffle », le tricot rayé fit son bonhomme de chemin en traversant toutefois difficilement les modes hippie puis disco, dont les arabesques psychédéliques et les chemises à jabot n'étaient pas vraiment profilées pour la rayure à la traçabilité militaire. Et il fallut les délires et les fulgurances du couturier Jean Paul Gaultier pour le second rebond de la marinière, dans les années 80. Il en fit même sa marque de fabrique en la déclinant sous toutes les coutures, y compris sur ses parfums. La marinière était relancée au point même de s'inviter plus tard sur les maillots de l'équipe de France de football, donnant soudain à nos Bleus des airs de plagistes. Et c'est vrai qu'à ce moment-là, ils étaient vraiment sur le sable, ce qui renvoya vite les rayures aux vestiaires, au grand dam de Noël Le Graët, patron de la Fédération française de football et tenant de ses origines bretonnes, une appétence naturelle pour le tricot rayé. Obama en marinière Et puis bien sûr, il y eut Montebourg en marinière Armor-Lux et en couverture du Parisien Magazine, tenant dans les bras un robot Moulinex pour symboliser le Made in France. Une photo devenue presqu'aussi célèbre que celles de B.B. en tricot rayé et à laquelle le magazine anglais The Economist envoya une version boomerang. Pour symboliser les dérives budgétaires à l'européenne de Barack Obama, ils habillèrent le président américain d'un tricot rayé et d'un béret en Une du magazine. Les sagouins ! Et voilà que maintenant, à l'instar du bonnet rouge, la marinière est devenue un accessoire de contestataires se réclamant du Made in France, comme l'ont prouvé les pilotes de ligne en décidant de ne pas quitter le plancher des vaches. Entourée justement de ses animaux, B.B. est aujourd'hui bien loin de tout cela. Elle qui a connu les fêtes les plus délirantes va passer demain le cap des 80 ans, dans la plus grande discrétion. Et le premier paparazzi qui se pointe, elle l'envoie aux moules ! Marinières, bien sûr.

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BB : l'anniversaire d'un mythe...

Publié le par Ricard Bruno

BB à 44 ans, au sommet de sa carrière.

BB à 44 ans, au sommet de sa carrière.

Loin derrière Simone Veil et juste après Bernadette Chirac, Brigitte Bardot, entre aujourd'hui, à 80 ans, à la 10e place du classement (BVA) des «personnalités âgées préférées des Français». Cela ne fera ni chaud ni froid à celle qui depuis les premières années de son immense célébrité, se moque de ce qu'on pense d'elle. Retirée à La Garrigue, sa deuxième adresse tropézienne où elle se rend chaque jour, hors de portée de la Madrague (la maison où rien n'a bougé depuis les années 70, assaillie en permanence par les porte-voix des bateaux à touristes), l'ancienne actrice et infatigable militante de la cause animale revient sous les feux de l'actualité à l'occasion de son anniversaire. C'est là, près d'une petite chapelle, qu'elle a reçu Laurent Delahousse pour une émission suivie par près de 5 millions de téléspectateurs. C'est aussi là qu'elle a répondu à une interview de La Dépêche, en lettres rondes, transmise par fax, son moyen de communication préféré. BB nous redit ce qu'elle souhaite, au nom des animaux, des chevaux et des agneaux, pour son anniversaire (lire page suivante). Brigitte Bardot, la Parisienne «châtain et aux dents de lapin» qui avait fait ses débuts dans «Si Versailles m'était conté» (avant de passer au blond platine dans le bac d'un coiffeur du Carlton) a tourné le dos au cinéma il y a quarante ans. Les télévisions le lui rendent bien : pas un de ses films n'est programmé ce dimanche. On aurait vu ou revu avec intérêt «Vie Privée» ou «Viva Maria», de Louis Malle, qui montrent qu'elle n'était pas seulement une «ravissante idiote». Mais comme elle fut aussi chanteuse, notamment pour Gainsbourg lors de leur rencontre passionnée («Il n'est pas beau, il est pire», disait-elle), on reverra ses émissions de variétés (sur Melody.TV). «J'ai offert ma jeunesse et une certaine beauté aux hommes, j'offre ma sagesse, mon expérience, et j'espère le meilleur de moi-même, aux animaux», a-t-elle affirmé en vendant ses souvenirs pour financer la fondation qui porte son nom. Ses deux moitiés de vie allaient se réconcilier pour cet anniversaire. Mais ses violentes prises de position contre la société d'aujourd'hui continuent de casser le mythe. Et elle s'en contrefiche. Son dernier film à Sarlat En 1973, à 39 ans, Brigitte Bardot commence en Dordogne, à Sarlat, le tournage d'une comédie, sans savoir encore que ce sera son dernier film. Fantaisie médiévale à la mode de l'époque, dirigée par Nina Companeez, «L'histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise» réunit un casting à succès : Bardot, Nathalie Delon, Ottavia Piccolo, Bernadette Lafont, Alice Sapritch, Francis Blanche, et un jeune premier repéré au théâtre : Francis Huster. Devant la caméra, la rencontre entre le débutant de cinéma de 26 ans et l'actrice à l'apogée de sa beauté qui a tourné 47 films (de ses premières apparitions jusqu'à «Don Juan 73») se fait dans le plus simple appareil. Francis Huster bondit tout nu dans le lit de Bardot. Francis Huster lui a rendu hommage trente ans plus tard : «Brigitte bandante, vivante, nature, touchante et drôle… Brigitte espiègle, effrontée, rusée, chatte et capricieuse.»

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Bon anniverssaire Brigitte...

Publié le par Ricard Bruno

Bon anniverssaire Brigitte...
Bon anniverssaire Brigitte...

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Brigitte Bardot: « J’ai vécu ma vie à mes risques et périls »

Publié le par Ricard Bruno

Vie privée, carrière, enga­ge­ments… l'icône s'est confiée à la rédac­tion de Gala

Brigitte Bardot: « J’ai vécu ma vie à mes risques et périls »

Elle parle peu. Mais c’est souvent de manière « cash ». Pour preuve, cette inter­view « par écrit » (via mail) accor­dée à Gala, à laquelle la Femme que Dieu créa (avec l’aide non négli­geable de Roger Vadim en 1956) répond sans détour. Sur Cathe­rine Deneuve, comme sur François Hollande et sur le livre qui selon elle le salit, mais aussi sur Alain Delon, sur le mariage, mais aussi sur ce qui « l ‘émeut et ce qui l’étouffe ». Et puis sur ce « temps qui passe », pour elle, toujours, « sans nostal­gie ».

~~A quelques jours de l’an­ni­ver­saire de ses quatre-vingts ans (le 28 septembre), Gala a eu l’oc­ca­sion de parta­ger un peu de l’in­ti­mité d’une person­na­lité qui aura marqué le XXe siècle à tout jamais. Un échange rendu possible par les éditions Hugo et Cie, qui viennent de publier Bardot-Gains­bourg, Passion fulgu­rante. Gala: Qu’est-ce qui vous avait conduit à arrê­ter votre carrière à 39 ans? Brigitte Bardot: Une soudaine envie de donner à ma vie un sens moins super­fi­ciel. Gala: Quel était le sens de cette retraite? B.B.: Comme l’amour des animaux était depuis toujours profon­dé­ment ancré en moi, j’ai décidé en 1973 de leur dévouer le restant de ma vie. Gala: Rien à voir avec Greta Garbo qui, elle, ne voulut lais­ser que la meilleure image d’elle-même sur pelli­cule? B.B.: Mais vous m’avez déjà vue copier quelqu’un? Greta Garbo ou une autre…? Gala: Quels films impor­tants avez-vous, peut-être, refu­sés à la suite de cette déci­sion de dispa­raître des écrans? B.B.: Oh, beau­coup qui furent d’ailleurs ensuite des grands succès, surtout des projets améri­cains, notam­ment un film avec Marlon Brando pour lequel on me propo­sait des sommes astro­no­miques… Gala: Aujourd’­hui, nombre d’ac­trices avec moins de noto­riété que vous se voient propo­ser des contrats. Quel fut votre rapport au monde du luxe et de la mode? B.B.: Je fuis le monde du luxe et de la mode. Gala: Que vous a procuré de prêter votre visage et votre silhouette à Marianne? B.B.: Une fierté immense car je fus la première person­na­lité à incar­ner la Répu­blique. Gala: Que vous « doivent » peut-être les femmes françaises? Pensez-vous avoir fait évoluer, malgré vous, leur condi­tion vers plus de liberté person­nelle ? B.B.: Personne ne me doit rien, j’ai simple­ment vécu ma vie comme j’en avais envie, à mes risques et périls. Gala: Juliette Gréco, Jeanne Moreau, Cathe­rine Deneuve furent elles aussi des égéries françaises aux yeux de l’étran­ger. Avec le temps, comment les obser­vez-vous? B.B.: Je pense qu’elles ont eu le talent de durer. Je déplore cepen­dant que Cathe­rine Deneuve soit deve­nue la « Cruella » de la four­rure! Gala: Un livre passion­nant revient sur votre histoire avec Serge Gains­bourg. Si c’était à refaire, vous revi­vriez cette histoire de la même manière? B.B.: J’ai déjà tout dit sur cette histoire fulgu­rante, et il suffit de lire le livre qui vient de paraître. Et puis, j’ai aimé d’autres hommes que lui et Bernard d’Or­male, mon mari actuel, en prio­rité. Gala: Quel souve­nir gardez-vous de Jean Gabin? Étiez-vous plus impres­sion­née par l’homme ou par l’ac­teur? B.B.: J’ai été impres­sion­née par les deux: l’homme et l’im­mense acteur. Gala: Et Alain Delon? B.B.: Nous sommes extrê­me­ment proches. Nous avons des rapports très tendres et chaleu­reux. Gala: Qui sont les acteurs avec qui vous avez préféré tour­ner? B.B.: Je ne sais et puis je m’en fiche. C’est le passé et je ne reviens jamais en arriè­re… Gala: Vous venez de tenir des propos de recon­nais­sance envers François Hollande, vous êtes l’une des rares à le faire d’ailleurs ce qui ne manque pas de surprendre « les obser­va­teurs » comme on dit. B.B.: J’ai simple­ment eu la cour­toi­sie de le remer­cier de l’at­ten­tion qu’il porte en géné­ral à mes demandes. Nous allons d’ailleurs voir ce qu’il répon­dra à ma dernière lettre ouverte que j’ai adres­sée au gouver­ne­ment le 8 septembre dernier… Gala: Que pensez-vous de ce que provoque le livre de son ancienne compagne? Pour amour, ou par désa­mour, vous auriez pu aller aussi loin? B.B.: Je ne l’ai pas lu et ne le lirai pas. Le contenu des poubelles ména­gères me dégoûte. Gala: Qu’a repré­senté le mariage pour vous? Fut-il syno­nyme de épanouis­se­ment? Ou l’in­verse? B.B.: J’ai toujours adoré me marier. Gala: Beau­coup de livres sortent pour célé­brer votre anni­ver­saire. Ça vous amuse, vous flatte, ça vous ennuie ou cela vous indif­fère? B.B.: Cela m’émeut mais cela m’étouffe aussi un peu… Gala: C’est une photo de vous en couver­ture de Elle qui vous fit remarquer et permit de faire votre premier film. Quel rapport main­te­nez-vous avec la presse? B.B.: Je lis très rare­ment des maga­zines car j’ai des choses plus impor­tantes à faire notam­ment avec la gestion de ma fonda­tion. Gala: La cause des animaux reste la vôtre. Que reste-t-il à conqué­rir? B.B.: Il reste encore tant à faire, tant d’hor­reurs. La vie des animaux n’est pas prise en consi­dé­ra­tion ni leurs souf­frances. Ils sont toujours consi­dé­rés comme des objets de rapports et sont massa­crés quoti­dien­ne­ment pour du fric dans la plus grande indif­fé­rence. Gala: Et si vous deviez vous réin­car­ner en un animal? B.B.: Un cheval sauvage, libre et indé­pen­dant.

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Exécution d'Hervé Gourdel : Brigitte Bardot "a pleuré"

Publié le par Ricard Bruno

INVITÉE RTL - Brigitte Bardot, qui fête ses 80 ans dimanche 28 septembre, a réagi à l'assassinat de l'otage français en Algérie.

Exécution d'Hervé Gourdel : Brigitte Bardot "a pleuré"

Je vais vous dire, cette histoire m'a fait pleurer". Comme la plupart des Français, Brigitte Bardot n'est pas restée insensible à l'exécution d'Hervé Gourdel par des terroristes en Algérie. "J'ai trouvé l'égorgement de cet homme tellement ignoble, infâme, scandaleux", a expliqué l'actrice sur RTL. L'icône surnommée "BB", qui fait désormais plus parler d'elle pour son soutien à Marine Le Pen que pour ses films, se "demande pourquoi on n'interdit pas à jamais aux jihadistes qui sont partis de France, pour se battre avec ces troupes sans aucun état d'âme, de revenir en France".

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Brigitte Bardot dans Vogue Homme International

Publié le par Ricard Bruno

Elle fête ses 80 ans ce mois-ci. Brigitte Bardot est un mythe. Elle dit détester ce mot. Ne pas le comprendre. Elle reste un mythe. Plus qu’une actrice malgré les chefs-d’œuvre (La Vérité, Le Mépris, Vie privée…). Une équation unique. Les Beatles l’adulaient, Warhol voyait en elle la première femme moderne, Duras la surnommait "la reine Bardot", Julien Green saluait son "cœur pur", Barthes la décortiquait, et Cocteau lui attribuait un je-ne-sais-quoi d’inconnu qui "attire les idolâtres d’un âge privé des dieux". Des centaines de millions d’hommes ont fermé les yeux en rêvant à Bardot. Rare, il y a deux ans, elle se confiait à Vogue Hommes, rencontre.

14 pages pages sur BB avec des visules tous plus ou moins connus...

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Brigitte Bardot, fan des confiseries de Francis Miot

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot, fan des confiseries de Francis Miot

~~Brigitte Bardot vient de fêter des 80 printemps. À cette occasion, le confiturier Francis Miot rappelle que, depuis 1994, Brigitte Bardot fait partie de la clientèle du Béarnais. Ainsi des petits paquets prennent la direction de la Madrague, le domicile de l'actrice. Brigitte à une préférence pour les préparations allégées en sucre, comme "le coeur d'amour" à base de fruits exotiques, ou la "Bisous" pêche et jus de clémentine corse. Pour les douceurs chocolatées, Brigitte aime "les galipettes" et la "Pitchounette" une noisette enrobée de gianduja. Quant à Francis Miot, il aime bien tout ce qui lui donne une occasion de faire parler de lui et de ses produits ! C'est fait.

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Exposition photographique Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

La galerie de l’instant ( Paris ) propose une exposition de photographies consacrées à Brigitte Bardot du 26 septembre au 18 novembre.

Entrée libre du 26 septembre au 18 novembre du mardi au samedi de 11 à 19h et le dimanche de 14h30 à 18h30 La galerie de l’instant (site) 46, rue de Poitou 75003 Paris

Exposition photographique Brigitte Bardot...
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