"Un biopic à la con": Brigitte Bardot pas tendre avec la série de France 2 consacrée à sa vie
France 2 diffusera cette année une mini-série consacrée à Brigitte Bardot. Une initiative pas franchement du goût de la défenseuse de la cause animale.
Il n'est pas certain que Brigitte Bardot regardera le biopic que France 2 s'apprête à lui consacrer.
Celle qui vient d'intégrer pour la première fois le Top 50 des personnalités préférées des Français s'est montrée peu tendre avec la série qui racontera les coulisses du mythe Bardot, de ses débuts à 15 ans jusqu'à la naissance de son fils.
"Je ne suis même pas au courant de ce truc!"
"Je ne suis même pas au courant de ce truc! Mais je m'en moque: la seule chose qui importe, c'est ma vraie vie avec moi dedans, et pas des biopics à la con!", a-t-elle ainsi déclaré à nos confrères du Journal du Dimanche.
Co-écrit et réalisé par Danièle Thompson et son fils Christopher, le biopic sera diffusé cette année sous la forme de 6 épisodes de 52 minutes.
Julia de Nunez dans la peau de Brigitte Bardot
"Ce sera romanesque et librement inspiré de la réalité. C’est à la fois le portrait d’une jeune femme de 15 à 26 ans au destin insensé, et à travers elle, celui d’une époque, les années cinquante-soixante et de la condition féminine", pitchait la fille de Gérard Oury dans nos colonnes en mai dernier, alors que le tournage s'est déroulée dans le Var.
Pour rappel, la jeune comédienne choisie pour incarner le mythe Brigitte Bardot aujourd'hui devenue défenseuse de la cause animale se nomme Julia de Nunez.
Elle est la première star française dont l’image franchit toutes les frontières et influence toutes les modes. "Bardot", votre mini-série événement, avec Julia de Nunez, bientôt sur France 2 !
“Il ne fait rien pour…” : Brigitte Bardot pas tendre avec Emmanuel Macron
Alors qu’elle a fait son entrée dans le classement des personnalités préférées des Français du Journal du dimanche paru ce 31 décembre, Brigitte Bardot a accordé une interview au journal et s’en est pris à Emmanuel Macron.
Alors que Brigitte Bardot a intégré le Top 50 des personnalités préférées des Français du Journal du dimanche, cette dernière s’est confiée dans les colonnes du journal. Si elle a reconnu volontiers qu’elle n’avait "jamais compris pourquoi, jusqu'à maintenant", elle n’apparaissait pas dans ce classement car elle reçoit "plein de lettres de gens merveilleux" qui lui "déclarent leur amour", l’ancienne actrice a avoué : "Ça me fait très plaisir."
Mais elle ne s’est pas arrêtée là puisque la militante des droits des animaux en a profité pour attaquer le président de la République. Et ce n’est pas la première fois qu’elle fait part de ses récriminations envers Emmanuel Macron. À la question de savoir ce qu’elle attendait pour 2023, Brigitte Bardot a répondu cash : "Que Macron ne soit plus là. Il ne s'occupe de rien. Il ne fait rien pour les gens, ni pour les animaux. Et encore moins pour la France."
"On n’avance jamais"
Début décembre déjà, celle qui a joué dans le film culte de Jean-Luc Godard, Le Mépris, s’en était déjà pris au chef de l’État dans Le Parisien, à propos de la loi qui doit interdire le broyage des poussins mâles dès le 1er janvier. Une loi qui devrait connaître quelques exceptions, ce qui a le don d’exaspérer Brigitte Bardot : "Oh non, ce n’est pas possible. Voilà, c’est ça le gouvernement. Ils disent 'oui, oui', et après il y a toujours des dérogations, et on n’avance jamais."
La créatrice de la Fondation Brigitte-Bardot qui a pour mission de protéger les animaux avait aussi admonesté Emmanuel Macron concernant l’hippophagie : "Il pensait qu’on ne mangerait plus de cheval depuis longtemps, mais il n’a rien fait pour autant", avait-elle indiqué. Très active sur les réseaux, en octobre, elle s’était émue sur Twitter d’un mutisme généralisé concernant le traitement des animaux : "Chaque jour, trois millions d’animaux sont égorgés dans les abattoirs en France, qui s’en soucie ?" À 88 ans, Brigitte Bardot poursuit son combat et continue d’interpeller jusqu’aux plus hautes sphères de l’État.
PLUS QU'UN ZOO, UN REFUGE "La Tanière" !
LE REFUGE : Présentation
En France, il existe de nombreux parcs zoologiques qui constituent un lieu privilégié pour aller à la rencontre de nombreuses espèces animales, pour la plupart sauvages ou exotiques. La Tanière développe un concept tout à fait différent. Ni but lucratif, ni enrichissement d’un plan de collection animalière, ni reproduction ou recherche du plus beau spécimen d’une espèce pour valoriser le refuge. Le refuge n’accueille pas un animal « parce qu’il l’intéresse » mais parce qu’aucune autre solution de survie ne s’offre à lui.
Qu’il s’agisse d’un écureuil, d’un félin ou d’un animal domestique, tout est mis en œuvre pour lui apporter soin, protection, bien-être et dignité. Ici, tous les animaux ont une histoire et un passé souvent chaotique : maltraités, détenus illégalement, issus de trafics, retraités des cirques ou des laboratoires, ils sont recueillis pour vivre enfin une existence paisible. Tous, à l’exception des animaux inscrits dans le programme de conservation des espèces (EEP), sont des animaux issus de sauvetages. Ce sont ce constat, l’urgence et la rencontre d’individus ayant pour dénominateur commun cet amour sans borne voué à un monde animal en détresse, qui ont fait naître La Tanière.
Contactez le refuge : Cliquez ICI
Au départ, il y a Patrick & Francine Violas, un couple d’entrepreneurs. Il y a dix ans, ils créent la ferme pédagogique La Renaissance. 300 à 400 bêtes y sont accueillies… déjà toutes délaissées ou maltraitées. La ferme est ouverte aux établissements scolaires et aux enfants en difficulté.
Des soigneurs et vétérinaires deviennent familiers des lieux. En 2015, ils rencontrent Lisa et Paolo, un couple qui se produit dans des cirques avec ses animaux sauvages et souhaite arrêter son activité.
Quelques mois plus tard, la famille au grand complet pose ses valises à Chartres. C’est ainsi que La Renaissance devient La Tanière, en s’ouvrant aux animaux sauvages.
Notre équipe d’experts, dévoués aux animaux, est reconnue pour son professionnalisme et son indépendance d’esprit. Notre volonté est de tout mettre en œuvre pour offrir la solution adaptée, sur-mesure pour chacun de nos pensionnaires.
Nous sommes engagés dans la conservation des espèces menacées et collaborons à des programmes d’élevage internationaux par notre contribution scientifique. Nous nous impliquons également dans l’éducation et la pédagogie afin de favoriser la prise de conscience de la dette des hommes vis-à-vis des animaux qu’ils ont déracinés (prélèvement dans la nature, trafics), qui les ont divertis (animaux de spectacles) ou qui ont fait progresser la recherche sur la santé humaine (animaux de laboratoire). Nous souhaitons éveiller les consciences sur les conséquences de l’adoption et la détention d’animaux non domestiques et de leur abandon, sur la maltraitance passive et le nécessaire respect du bien-être animal, et enfin sur la nécessité de préserver les espèces et leur environnement.
En complément des nombreux sauvetages effectués chaque année, les équipes de La Tanière s’emploie au titre de la zoologie à participer activement à la conservation et la sauvegarde des espèces menacées en s’inscrivant dans les programmes européens d’élevages (EEP) et de gestion des individus ex-situ (hors milieu naturel).
Ainsi à ce jour, La Tanière soutient les programmes éléphants d’Asie et babouins de Guinée
UNE EXPÉRIENCE VISITEUR ORIGINALE
Une fois l’accueil-boutique franchi, les visiteurs peuvent découvrir une multitude d’enclos et volières réservés successivement aux animaux domestiques, aux fauves, aux daims, aux oiseaux, aux chameaux, aux wallabies, etc. Les ours sont observables dans leur tanière, les otaries nagent et jouent dans leurs bassins, progressivement des groupes de lémuriens vont coloniser des petites îles et les visiteurs pourront se balader au milieu d’oiseaux dans la volière immersive…
Loin du concept de zoo stéréotypé, La Tanière ne propose pas simplement de voir des espèces mais des individus. Ici chaque animal a une identité, un nom en signe de reconnaissance individuelle. On ne vient pas voir un ours, on vient voir Tonito. On n’entend pas rugir un lion, on entend rugir Nale. On ne rigole pas des mimiques d’un singe, on rigole des mimiques de Cannelle…
La Tanière ne propose pas non plus de spectacles au public. Ici les animaux sont chez eux et sont libres d’exprimer sans aucune contrainte leurs attitudes naturelles, de se montrer au public ou de choisir de se cacher de la foule.
Les visiteurs chanceux pourront assister à des nourrissages, enrichissements et des séances de médical-training qui ponctuent quotidiennement le travail de nos soigneurs.
Vous l’aurez compris, à La Tanière, le visiteur est invité avant tout à observer, écouter et à apprécier à leur juste valeur ces pensionnaires pas comme les autres dont ils pourront aussi découvrir les histoires grâce à un parcours jalonné de panneaux didactiques.
Enfin la mini ferme, lieu idéal pour un premier contact avec le monde animalier, est un espace de découverte où nos adorables pensionnaires attendent petits et grands pour une séance de câlins, rires et émerveillement.
Et Brigitte Bardot rencontra Pelé..
Et Brigitte Bardot rencontra le roi Pelé...
Le 31 mars 1971, le stade Yves-du-Manoir à Colombes est le théâtre de la rencontre de deux monstres sacrés : Pelé, le meilleur footballeur du monde, est présenté à l’étoile du cinéma Brigitte Bardot.
C’est à l’occasion d’un prestigieux match amical au stade de Colombes que Brigitte Bardot a rencontré Pelé. Le magazine Télé 7 Jours avait en effet obtenu que le Santos FC puisse venir disputer un match exhibition sur le sol français au profit de la recherche pour le cancer. Le magazine opposa au club brésilien une équipe composée des meilleurs joueurs des deux clubs phares du championnat de France de l’époque : l’AS Saint-Etienne et l’Olympique de Marseille.
L’ours et la Poupée
Mais le clou de la soirée était bien le coup d’envoi donné par Brigitte Bardot. L’actrice se dirige vers le rond central dans une tenue aussi patriote que sexy : un léger pull bleu, un mini-short blanc et des bottes rouges. Assaillie par les journalistes, elle jure “adorer” le football et avoir suivi la Coupe du Monde 1970. Quand à Pelé, elle le trouve “extraordinaire“.
S’en suit une présentation des joueurs dans une cohue qui ne semble pas inquiéter la star, laquelle garde son sourire en toute circonstance. Ce n’est pas le cas du roi Pelé, dont les photos trahissent un certain agacement. Le Stéphanois Robert Herbin quand à lui avoue être tout chose après la bise que lui a accordé l’actrice.
Le match, diffusé en direct par le télévision française, est plutôt décevant. Les deux équipes se séparent sur le score de 0-0. Alors que les joueurs se saluent et commencent à échanger leurs maillots, l’arbitre Michel Kitabdjian leur rappelle qu’il faut désigner un vainqueur et donc procéder aux tirs au but.
Pelé voulait tirer les cinq
Dans une certaine confusion, le terrain étant déjà envahi par les spectateurs et les journalistes, Pelé tire le premier et marque avec le maillot de la sélection française sur les épaules. Après l’égalisation de Salif Keita, Pelé se prépare à tirer le deuxième tir au but de son équipe. L’arbitre s’y oppose. Pelé voulait tirer lui-même les cinq tirs ! Finalement les trois coéquipiers de Pelé manquent leur tir, et la sélection française l’emporte 3-1.
Brigitte Bardot revient sur le terrain, où elle est chargée de remettre un trophée. L’actrice a ajouté à sa tenue une écharpe de fourrure du meilleur effet. Colombes garde le souvenir d’une belle soirée pleine de mondanités avec un peu de football dedans.