Scoop : Brigitte Bardot sur RTL le 08 09 2010 à 8h15
Scoop !
Brigitte Bardot sur RTL le 08 09 2010 à 8h15 dans l'émission d'Yves Calvi.
Bruno Ricard
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Scoop !
Brigitte Bardot sur RTL le 08 09 2010 à 8h15 dans l'émission d'Yves Calvi.
Bruno Ricard
Un classement des plus belles blondes (vraies ou fausses) du show business de tous les temps vient d’être réalisé. Et la plus belle est Marilyn Monroe et Brigitte est classée en 3ème position!
Dans le classement, on retrouve aussi : Grace Kelly, Brigitte Bardot, Cameron Diaz, Scarlett Johansson, Madonna, Gwen Stefani, Charlize Theron.
Depuis des siècles et au moins une fois par an, des centaines de globicéphales (des dauphins) sont massacrées au large des îles Féroé, dans les eaux danoises, dans une tradition festive dénoncée depuis une vingtaine d’années par l’association Sea Shepherd et la Fondation Brigitte Bardot. Cet été, toutes deux ont uni leurs forces pour une opération de quatre semaines sur le terrain ; une expédition houleuse que nous a racontée Christophe Marie, directeur du bureau Protection animale de la Fondation.
Quand la fête et la cruauté se rencontrent. Régulièrement, la mer des îles Féroé (territoire danois autonome, cf encadré) est le théâtre d’un massacre de globicéphales (une variété de dauphins, aussi appelés baleines-pilotes), une chasse traditionnelle remontant à la fin du XVIe siècle. A chaque fois que des groupes de globicéphales se présentent à l’horizon, les Féringiens sont autorisés à quitter leur travail, ou même l’école, pour se rendre en mer et participer à cette barbarie. D’un naturel très solidaire, ces cétacés se déplacent en bande et sont facilement appâtés par le sang des leurs. A chaque fois, plusieurs centaines d’animaux sont ainsi rabattus sur la côté, à l’aide souvent d’un morceau de cadavre (comme cette tête ci-contre) avant d’être tués à coups de crochet planté dans l’évent (orifice qui leur permet de respirer, ndlr). La douleur est certaine, le spectacle immonde. Les femelles prêtes à mettre bas sont éventrées.
Copyright © Peter Hammarstedt / Sea Shepherd Conservation Society
Et tout cela sans aucune autre raison que la tradition. Car si à l’époque, cette fête du «grindadanzur» était de nécessité alimentaire, il ne s’agit aujourd’hui pas d’une chasse de subsistance. Une recommandation de 2008 proscrit même la consommation de la viande et de la graisse de globicéphale qui présentent des taux très élevés de mercure, et autres polluants provoquant notamment des problèmes nerveux -des cas de parkinson ont ainsi été relevés sur des enfants de moins de 10 ans. Il ne s’agit pas non plus d’une chasse commerciale: les pêcheurs ne vendent pas sa viande et sa graisse n’est pas non plus recyclée en rouge à lèvre ou autres cosmétiques. Si les Féringiens assurent néanmoins consommer la chair de l’animal, la Fondation Brigitte Bardot, qui s’est rendue sur place lors d’une expédition en mer du 31 juillet au 24 août aux côtés de l'association écologiste Sea Shepherd, certifie que cette vérité n’est que toute relative. «Les cadavres entiers que l’on a retrouvés en témoignent», relate Christophe Marie, le directeur du bureau Protection animale de la Fondation. Selon leurs recherches, seuls quelques morceaux sont prélevés et distribués dans certaines écoles et hôpitaux.
Après vingt ans de combat mais un rite qui perdure, la Fondation Brigitte Bardot s’est associée à l’ONG fondée par Paul Watson (cf encadré), finançant une opération de quatre semaines en mer. Un groupe formé d’une quinzaine de personnes au total, s’est ainsi rendu dans les eaux danoises pour constater, analyser, mais aussi et surtout sensibiliser l’opinion et installer des balises pour faire fuir les animaux. Comme lors de l’opération menée par François-Xavier Pelletier, en 1987, au cours de laquelle l’éthno-cétologue avait risqué sa vie pour observer et filmer ces pratiques, le danger était de tous les instants. Leur bateau, le «Golfo Azzuro», a fait l’objet de fouilles musclées de la part de la police de la mer féringienne, soutenue par l’armée danoise. Il a été suivi par la Navy durant quatre jours consécutifs, traqué par hélicoptère, des appels étaient même lancés vie Internet exhortant les pêcheurs à faire couler leur embarcation. «C’était très éprouvant», avoue Christophe Marie, qui garde en tête les tirs qu’avait essuyés François-Xavier Pelletier il y a dix ans, faisant couler son bateau. Le spécialiste et passionné, qui avait passé trois mois à se à créer un réseau local d’informateurs pour le prévenir en cas de chasse, était parvenu à tourner ces images, qui firent plus tard l’objet d’un documentaire Ushuaia (TF1), en 1988. «Il avait eu l’autorisation de prendre des photos, rappelle Christophe Marie, ce qui ne l’avait empêché de passer sept semaines en détention», en résidence surveillée. A noter que François-Xavier Pelletier faisait une fois de plus et malgré tout partie de l’aventure.
Trois personnes se sont succédé à terre dont l’une a été informée d’un grind (le nom de cette chasse), le 5 août… trop tard. Après des essais préalables concluants sur des dauphins, l’équipe a ensuite installé les fameuses balises-son à basse fréquence, dans quelques unes des 23 baies qu’abrite l’archipel. Là encore, il s’agissait de ne pas se faire repérer par les Féringiens à l’affût. Quand tel était le cas, des foules entières étaient amassées sur la côte avec des jumelles ; l’embarcation devait alors fuir au plus vite, et se faire oublier pendant un temps. Or, il y a eu des fuites. La presse locale a informé la population du fait que s’il n’y avait eu qu’un abattage au mois d’août, -alors que c’est la période la plus propice- c’était à cause de balises émettant des «cris d’orques», posées par deux associations. Une fois, après avoir eu vent d’un rabattage imminent, ils se sont rendus au lieu dit, dans des conditions terribles, en pleine tempête. Mais ce n’était qu’un traquenard. Le «Golfo» a dû rebrousser chemin contre vents et marée et se réfugier dans un Fjord le temps que la situation se tasse et que la mer se calme. Le dernier jour, l’équipe est allée dans les sept baies qui n’avaient pas encore accueilli cette «fête» locale -car comme nous l’a expliqué Christope Marie, les Féringiens se répartissent assez égalitairement ce «privilège»- pour y installer leurs sondes, accompagnés de petits messages à l’attention des Féringiens. L’un d’eaux reprend la célèbre phrase de Gandhi: «The greatness of a nation can be judged by the way people treat their animals», c'est-à-dire «La grandeur d’une nation peut-être évaluée à la manière dont les gens traitent leurs animaux».
Celui-ci fait référence à la première mission que Brigitte Bardot et Paul Watson ont menée ensemble, au Canada (cf encadré).
Le 20 août dernier, au lendemain de la découverte d’un charnier marin par François-Xavier Pelletier (photo François-Xavier Pelletier), Brigitte Bardot et Paul ont envoyé une lettre ouverte à la reine Margrethe II du Danemark, dans laquelle ils l’appellent à faire pression sur les îles Féroé, via les subventions que le pays lui verse, afin «d’abolir enfin une pratique aussi cruelle qu’inutile», à défaut de quoi les deux organisations «ont décidé de s'unir pour mener une campagne internationale contre le Danemark, coupable et complice d'actes de barbarie». Car ils réfutent la position de Copenhague, qui se réfugie derrière l’autonomie du territoire, pour se dédouaner de toute responsabilité. «Un député danois pourrait tout à fait déposer une déclaration écrite demandant à la Commission européenne d’agir par exemple», souligne Christophe Marie. «D’ailleurs notre prochaine mission sera de convaincre la Commission d’elle-même faire pression sur le Danemark, qui bénéficie également de subventions européennes.»
Leur lettre a été publiée dans le «Metroxpress» et le «Jyllands-Posten», deux quotidiens Danois, et devrait l’être dans L’«European Voice» en septembre. La prochaine étape de leur lutte sera le Parlement européen en novembre. Leur action est rendue d’autant plus difficile que le globicéphale n’est ni considéré comme en voie d’extinction, ni ne fait l’objet d’un commerce international (donc la Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées d’extinction, ou Cites, n’est pas applicable), et que les îles Féroé ne sont pas signataires de la convention de Bernes sur la protection de la vie sauvage. (Pour en savoir plus, cliquez ici) En outre, les globicéphales sont considérés comme des petits cétacés, donc la Commission baleinière internationale (CBI) n’a pas compétence pour statuer en la matière. Mais «la bataille ne s’arrête pas là», conclut Christophe Marie dans son journal de bord (consultable ici), «bien au contraire, elle commence. Et nous la mènerons (…) jusqu’à l’abolition de cette ‘tradition’ barbare qui fait honte aux féroé, honte au Danemark, honte à l’humanité entière».
Source : http://www.parismatch.com/Actu-Match/Environnement/Actu/Iles-Feroe-La-tradition-du-sang-210986/
inspiré le couple de cette semaine:
Brigitte Bardot et Serge Gainsbourg.
En 1967 s'ils s'affichent ensemble, rien ne laisse suspecter une liaison: pas de gestes tendres ni amoureux. Et pourtant ...
Leur histoire d'amour fut donc autant confidentielle que dévoilée car Serge Gainsbourg a toujours évoqué au grand jour sa liaison avec Bardot et plus tard elle évoquera ce coup de foudre:
"Ses yeux rejoignirent les miens et ne les quittèrent plus : nous étions seuls au monde! […] De cette minute qui dura des siècles et qui dure encore, je ne
quittai plus Serge, qui ne me quitta jamais".
Un soir, Brigitte demande à Serge de lui écrire la plus belle chanson d'amour. En une nuit, Serge écrit et compose les plus belles chansons pour elle, en 10 heures d'affilée: "Bonnie & Clyde" et " Je t'aime moi non plus"
entre autres.
La passion qui unit Bardot à Gainsbourg sera aussi intense que brève et c'est finalement vers son mari, le milliardaire Gunther Sachs qu'elle choisira.
"[Brigitte] c'est comme une corde de guitare qui se brise, c'est très dangereux. Moi ça m'a balafré, c'était hyper speedé et assez
court […] Brisure nette. Cette fille-là m'a marqué au fer rouge. Rien à ajouter".
Source : http://lalieblog.canalblog.com/archives/2010/09/04/18901462.html
Mon commentaire : On devrait enfermer cet illuminé, comment peut on laisser mourir des vaches de cette horrible façon, quelle honte...
Bruno Ricard
Étienne Bourrie, 56 ans habitant entre Plazac et la région parisienne, prévenu pour travail dissimulé, non attribution de congés annuels et mauvais traitements infligés à un animal domestique (des vaches), s'est présenté muni d'un foulard et d'un gilet spéciaux lui permettant de « résister aux ondes ». Car cet homme, ancien expert-comptable, affirme depuis trois ans « être électrosensible et avoir failli mourir à cause des ondes électromagnétiques ». Séparé de ses « protections » pour entrer dans la salle d'audience à 14 heures, Étienne Bourrie s'est écroulé, entraînant l'intervention du service de sécurité. Esclandre, hurlements et gesticulations, le prévenu a même menacé de « sauter par la fenêtre ».
Délibéré le 6 octobre
En juillet 2002, Étienne Bourrie a acheté une propriété de 70 hectares et un troupeau de 132 vaches au lieu-dit La Dauge à Plazac, pour s'éloigner des ondes. « Ma philosophie, c'est de laisser mourir les vaches de vieillesse dans le champ », explique le prévenu, qui n'a pas d'avocat. Mais en mars 2009, le huitième ouvrier agricole qui travaille pour lui porte plainte pour travail clandestin et heures non rémunérées. « Il a été payé pour tuer mes vaches », est la seule réponse du prévenu, qui dénonce « un complot pour (lui) nuire ». « Douze vaches étaient mortes avant son arrivée », relève le président.
Un autre ouvrier agricole se joint à la plainte et fait valoir 153 jours de congés non payés. Alertés par la divagation de certains animaux et un fort taux de mortalité, les services vétérinaires ne constateront pas de « mauvais traitements ». « Les litières étaient en mauvais état avec plus d'un mètre de fumier, a rappelé un agent des services vétérinaires à la barre. Mais les mesures demandées ont ensuite été respectées. »
La fondation Brigitte Bardot, partie civile dans ce dossier, relève « des conditions de détention du bétail inacceptables » et réclame 1 000 euros de dommages et intérêts. 5 000 euros de dommages et intérêts seront demandés par la défense des anciens ouvriers. Le parquet a requis un total de 4 250 euros d'amende pour les trois infractions.
Le jugement sera rendu le 6 octobre à 14 heures.
Source : http://www.sudouest.fr/2010/09/02/c-est-un-complot-174564-1980.php
Quick se moque de la souffrance animale en ouvrant d'autres restaurants HALAL. La Fondation Brigitte Bardot ne va pas en rester là.
En annonçant la généralisation du tout halal chez Quick, Jacques-Edouart Charret affiche son mépris vis-à-vis des consommateurs non musulmans et des lois républicaines qui
imposent l’étourdissement des animaux avant leur saignée.
Pour mémoire, l’exception prévue dans le cadre de l’abattage rituel (halal et casher) entraine une souffrance extrême aux animaux égorgés en toute conscience, laissés à l’agonie durant de longues
minutes (jusqu’à 14 minutes pour les bovins selon un récent rapport d’expertise de l’INRA).
En mars 2010, la Fondation Brigitte Bardot dénonçait l’abattoir SOCOPA de Cherré qui alimente les restaurants Quick en viande halal. Dans cet abattoir en effet, les vaches laitières de réforme,
épuisées d’avoir donné leur lait pendant des années, sont égorgées sans étourdissement. Les constats effectués en début d’année montrent que des électrodes sont placées au niveau de leur
mâchoire, non pas pour les insensibiliser mais pour provoquer un spasme qui, en raidissant leurs pattes, facilite leur suspension… Ces bêtes sont donc toujours conscientes, sensibles à la
douleur, alors qu’elles sont déjà sur la chaîne de découpe !
Puisque le PDG de Quick se moque de la souffrance animale comme il se moque des consommateurs non musulmans, la Fondation Brigitte Bardot mènera, avec l’ensemble des associations françaises de
protection animale, une vaste campagne d’information auprès du public pour faire connaître toute la cruauté des abattages rituels et la généralisation de la commercialisation des viandes halal et
casher dans les circuits classiques, sans indications pour le consommateur.
Quick veut banaliser l’abattage rituel en France, faire d’une exception la règle générale en contradiction avec les lois nationales et européennes, les associations de protection animale sauront
le rappeler à leurs très nombreux sympathisants qui devraient dorénavant boycotter l’enseigne.
Source : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40274
Vous pourrez suivre le débat de l'émission "C dans l'air" ce soitr sur la 5ème chaîne à partir de 17h45 (rediffusion à partir de 22h30). La corrida est au programme avec du côté des amateurs de torture tauromachique l'inévitable Simon Casas, ainsi que François-Xavier Gauroy, écrivain. Du côté des abolitionnistes, Henry-Jean Servat sera présent en tant que membre du comité d'honneur de l'Alliance anticorrida, ainsi que Jean-Pierre Garrigues.
Bruno Ricard
Paris, le 30 aout 2010
Lettre ouverte à Denis Longuépée, Président de l’Association des chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine
Monsieur,
Vos récentes déclarations concernant les tueurs des îles Féroé sont mensongères. Vous déclarez : "Ils savent qu’ils ont besoin de tous les revenus imaginables. Que ce soit pour la chasse aux phoques ou la pêche, c’est un tout qui fait leur rémunération à la fin de l’année".
En quoi le massacre des globicéphales, dans des conditions d’extrême cruauté, participe à la rémunération des Féringiens ?
C’est vraiment mal connaître le sujet que dire de telles stupidités. Je reviens d’une mission de 4 semaines au large des Féroé, au nom de la Fondation Brigitte Bardot et en partenariat avec l’organisation Sea Shepherd, et je peux vous assurer que l’unique objectif de cette tuerie est d’assouvir la soif de sang de certains dégénérés qui tentent d’affirmer leur "virilité" en tuant des mammifères marins (globicéphales et autres cétacés) dans les pires conditions.
Après avoir rabattu des groupes entiers de globicéphales vers la côte, après leur avoir enfoncé un crochet dans l’évent, les avoir achevés à coups de couteau, tous ces animaux sont rejetés à la mer où ils pourrissent dans des charniers que nous avons découverts et que nous allons dénoncer, notamment auprès des autorités européennes qui doivent sanctionner la complicité du Danemark.
Cet effroyable gâchis, cette insulte à la vie sauvage, nous rappelle les cadavres dépiautés de phoques empilés sur la banquise, abandonnés sur place par leurs assassins.
Vous annoncez partir en bataille contre les "animalistes", Brigitte Bardot et sa Fondation en tête, qui veulent abolir toutes les chasses. Mais renseignez-vous Monsieur Languépée sur la barbarie de ces tueries, les globicéphales se font rares au large des îles Féroé et lorsqu’un groupe apparaît, il est décimé dans sa totalité : adultes, femelles gestantes, juvéniles... Ce n’est pas une "chasse" mais bien un génocide animalier !
"Ces gens-là sont comme nous autres" dites-vous, c’est bien possible en effet car les îles Féroé comptaient, il n’y a pas si longtemps encore, une population de phoques qui a été exterminée. En 4 semaines de mission au large des côtes, nous n’avons vu qu’un seul phoque, rescapé des tueries organisées aux Féroé !
Les Canadiens sont aujourd’hui très nombreux à dénoncer l’inhumanité de la chasse aux phoques, ils sont nombreux à avoir honte des massacres organisés aux îles de la Madeleine, ils ne se reconnaissent pas en vous, d’autant moins lorsque vous affichez vos sympathies pour les actes barbares perpétrés aux îles Féroé.
Monsieur, vous nous qualifiez "d’animalistes" probablement en opposition aux "humanistes", mais NOTRE démarche est, précisément, de veiller à ce que l’homme fasse preuve d’humanité envers l’ensemble des espèces et cela passe par l’abolition de la barbarie. La chasse aux phoques, le massacre des globicéphales, les corridas, le gavage des palmipèdes, etc., il est de notre devoir "d’humanistes/animalistes" de les dénoncer, de nous y opposer... Soyez certain que nous le ferons jusqu’à la victoire !
Christophe Marie Directeur Bureau Protection Animale http://www.fondationbrigittebardot....
M. Christophe Marie Directeur Bureau Protection Animale Fondation Brigitte Bardot 28 rue Vineuse 75116 Paris
B R A V O Israël !
Israël est sur le point de rejoindre le petit cercle des pays exemplaires en matière de législation contre la fourrure. Le 2 septembre prochain, le parlement israélien doit examiner un projet de loi visant à interdire le commerce de la fourrure sur son territoire. Si la loi est votée, Israël serait, avec l’Angleterre et l’Autriche, parmi les trois pays les plus avant-gardistes en matière de législation pour la protection et le respect des animaux.
Les lobbies pro-fourrure en action
Toutefois, il semblerait que les lobbies pro-fourrure mènent actuellement campagne contre cette loi, aidés notamment par un membre de la Knesset lié à l’ambassadeur du Danemark par son
mariage. En tant que plus grand producteur de fourrure au monde, le Danemark a tout intérêt à ce qu’une telle loi ne voit pas le jour. Ce nouvel exemple pourrait conduire d’autres
pays à adopter des textes de loi prohibant ce que beaucoup considère comme « une offense à la morale publique ». Et remettrait en cause non seulement l’attitude danoise en matière des droits des
animaux mais aussi ses intérêts économiques au détriment de la vie animale.
Un commerce cruel et meurtrier
Pour rappel, près de 70 millions d'animaux sont tués chaque année pour leur fourrure, soit plus d'un animal exécuté chaque seconde, jour et nuit, durant pendant 365 jours… Ces animaux sont
capturés dans la nature ou élevés dans des conditions dramatiques : cages exiguës ne disposant d’aucun des éléments nécessaires au développement normal des animaux, ce qui entraine de nombreux
comportements stéréotypés et anormaux, tel le cannibalisme et l’automutilation.
Agir vite
Le temps presse, il ne reste plus qu’une poignée de jours avant le vote de la loi. Mobilisons-nous et écrivons !
Exemple de courrier à adresser à :
Binyamin Ben-Eliezer
Minister of industry, trade and employment
5 Bank Israël street
Jérusalem - Israël
Binyaminb@Knesset.gov.il
Lishka.sar@moital.gov.il
Monsieur le Ministre,
J’apporte mon soutien le plus total à l’interdiction du commerce de la fourrure en Israël. Le commerce de la fourrure est cruel et inutile. Il est responsable de la souffrance et de la mort de
plus de 70 millions d’animaux chaque année.
Si la loi interdisant le commerce de la fourrure passe, Israël sera l’exemple à suivre par toutes les autres nations. Vous serez vu par le monde entier comme le pays de la compassion et de la
bonté.
Je suis certain(e) que les lobbies pro-fourrure internationaux travaillent d’arrache-pied pour protéger leur commerce. Mais il s’agit là d’intérêts de groupes privés peu scrupuleux qui ont eu
maintes fois l’occasion d’être mis face à leurs responsabilités en matière de cruauté.
Le fait est que la cruauté est inhérente à la production de fourrure et seule son interdiction peut mettre fin à cette inutile souffrance.
Au nom de tous ceux qui défendent le droit des animaux dans mon pays, je vous demande d’agir dans le bon sens et d’apporter votre soutien à l’interdiction du commerce de la fourrure et de faire
en sorte que cette loi soit mise en application le plus rapidement possible de façon à ce que beaucoup d’autres pays suivent votre exemple.
Avec tous mes remerciements, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l’expression de ma haute considération.