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ADIEU MON AMI ...

Publié le par Ricard Bruno

ADIEU MON AMI ...

 

Tuckson

 

Tu t’en es allé ce matin sans avoir revue ceux qui t’aimaient, tu as partagé huit années de notre vie, tu était notre gros nounours, le nounours de notre famille.

Ton dernier regard hier sur les marches du vétérinaire où je t’ai laissé en disait long, j’en ai gros sur le cœur, toute la famille en a gros sur le cœur.

Nous t’aimions sincèrement, c’est une journée noire.

 

Toute la famille te dit adieux mon ami on se reverra au paradis des animaux où tu es allé rejoindre pt’it Bob qui nous a quitté l’année dernière ainsi qu’Eliot et Cobra qui furent au sein de notre famille tes frères.

 

Adieu mon ami  

SAM 0870SAM 0853

Bruno Ricard

Publié dans le web en parle

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Un homme jugé pour cruauté envers les animaux...

Publié le par Ricard Bruno

Privas/Lemps Un homme jugé pour cruauté envers les animaux

Ce matin devant le tribunal de grande instance de Privas, un habitant de Lemps, petite commune située dans le nord de l’Ardèche, sera entendu pour des faits d’actes de cruauté envers les animaux.

Le 20 avril dernier, il aurait abattu deux chiens qui s’étaient introduits dans sa propriété, dans des conditions qui restent à déterminer. Sylvain Vélasquez, le propriétaire de ces bêtes, avait alors fait appel à la fondation Brigitte Bardot, par le biais de Marie-Thérèse Dorel, enquêtrice auprès de cette association de défense des animaux.

« Je ne comprends pas pourquoi il a fait ça »

« Mon père est décédé il y a trois ans, se souvient l’habitant de Lemps. J’avais récupéré l’un de ses chiens, et un jour, ce chien est parti avec l’un des miens pendant plus d’une journée. Le lendemain, on a lu dans le journal que deux chiens avaient été tués dans la commune. J’ai réussi à retrouver ce voisin, je lui ai dit que je ne comprenais pas pourquoi il avait fait ça. Il faut qu’il soit puni pour cet acte », témoigne cet Ardéchois, qui réside à quelques centaines de mètres de l’homme qui les aurait abattus.

Sur le banc des victimes, Sylvain Vélasquez sera aujourd’hui défendu par M e Carole Muzi, dont les frais sont pris en charge par la fondation Brigitte Bardot.

Source : http://www.ledauphine.com/ardeche/2010/10/04/un-homme-juge-pour-cruaute-envers-les-animaux
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Repetto lance son atelier...

Publié le par Ricard Bruno

Repetto lance son atelier

Avis aux fans de Repetto !

La célèbre marque référence de tous les danseurs (et désormais de toutes les modeuses) lance un atelier dans sa boutique rue de la Paix.

 

IMG_3919.JPG

 

Le concept ? Customiser ses Repetto. Les couleurs des tiges, bordures et lacets s'accordent selon l'envie parmi un éventail de 250 nuances. Le must ? Un petit « R » doré est délicatement apposé sur la face extérieure du talon ... Symbole d'élégance et de raffinement de la marque ...

 

IMG_3921.JPG

 

Mais revenons sur le mythe Repetto...

L'histoire commence en 1947, Madame Rose Repetto crée sur les conseils de son fils, ses premiers chaussons de danse dans un minuscule atelier situé à deux pas de l'Opéra de Paris.

Très vite, Repetto devient la référence pour tous les danseurs.

En 1956, Brigitte Bardot, alors « petit rat », commande une paire de ballerines aussi souples et confortables que ses chaussons de danse et la fait réaliser dans la plus sensuelle des couleurs : le rouge carmin.

 

bbrepetto.jpg

 

La marque est lancée.

Aujourd'hui, avec son atelier, Repetto perpétue la légende et matérialise le rêve de porter une paire de ballerines uniques.

 

L'atelier Repetto, 22 rue de la Paix 75001 Paris. A partir du 06 octobre.

Source : http://dressingroom.blogs.nouvelobs.com/archive/2010/10/04/repetto-lance-son-atelier.html

Publié dans le web en parle

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France: La Fondation Brigitte Bardot et Sea Shepherd agissent contre le massacre des dauphins (globicéphales) aux Iles Féroé

Publié le par Ricard Bruno

France: La Fondation Brigitte Bardot et Sea Shepherd agissent contre le massacre des dauphins (globicéphales) aux Iles Féroé

01/10/2010

Plus de 200 sympathisants étaient présents le 30 septembre 2010 avenue Marceau à Paris pour soutenir l’action de la Fondation Brigitte Bardot et de Sea Shepherd contre le massacre des globicéphales aux Iles Féroé.

Afin d’informer les journalistes, une conférence de presse s’est tenue en amont à l’hôtel Intercontinental avec diffusion d’un clip montrant des images du massacre et la découverte d’un charnier sous-marin. François-Xavier Pelletier (Association Homme Nature), en charge de la stratégie de la mission, Christophe Marie, Directeur du bureau de protection animale à la Fondation Brigitte Bardot, Paul Watson, Lamya Essemlali, respectivement Fondateur et Présidente de Sea Shepherd (France) ont pris la parole pour relater le déroulement et les conclusions de 4 semaines de mission en mer dans les Iles féroé grâce à laquelle seul Grind (massacre de Globicéphales) a eu lieu.

Des balises, destinées à éloigner et protéger les dauphins, conçues par Stéphane Gilli, ont en effet permis de sauver un grand nombre de cétacés cette année. 950 victimes sont tout de même à déplorer pour 2010…

A l’issue de la conférence, le cadavre d’un jeune dauphin a été exposé dans un cercueil puis accompagné par tous les manifestants aux portes de l’ambassade du Danemark....


Source: France: La Fondation Brigitte Bardot et Sea Shepherd agissent contre le massacre des dauphins (globicéphales) aux Iles Féroé

 

Source : http://www.evana.org/index.php?id=60140

 

chantal

Montage et photographies Bruno Ricard (droits réservés)

Manifestation contre le massacre de globicéphales aux Iles Féroé le 01 10 2010

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Animaux : le trafic de la honte!

Publié le par Ricard Bruno

Ils viennent d'Europe de l'est, malades, et avec de faux documents. C'est devenu le troisième commerce illégal au monde, après la drogue et les armes.

On trouve en France aussi des élevages aux conditions déplorables. Photo DDM Xavier de Fenoyl
On trouve en France aussi des élevages aux conditions déplorables. Photo DDM Xavier de Fenoyl

INFOGRAPHIE -- Dans une jardinerie de Saint-Gaudens, un vendeur tente d'écouler ses chiens. Ils ont le poil terne et l'œil vitreux. Mais s'il paye en liquide le client a droit à une réduction. Cet argument imparable, on le retrouve sur les trottoirs toulousains. Là, ce sont des chiots que l'on vend sous le manteau. Une scène courante à Paris, qui commence à s'installer dans les grandes villes de province. Le plus souvent, les bêtes viennent d'Europe de l'est, munis de faux papiers d'identités.

Ils arrivent de Roumanie, de République Tchèque, de Slovaquie, via la Belgique, l'Espagne ou les Pays-Bas. Pour les trouver, il n'est même pas besoin de descendre dans la rue. Un clic sur internet suffit, comme de répondre à une petite annonce, ou même de pousser la porte d'une animalerie : beaucoup n'hésitent pas à vendre ces animaux entrés illégalement en France. Problème : leur santé est plus que douteuse, et il arrive fréquemment qu'ils tombent malades quelques jours seulement après l'achat.

Brigitte Piquetpellorce, responsable de la cellule anti-trafic de la SPA, est allée dans les pays de l'est. Elle y a vu des animaux élevés en batterie, des femelles reproductrices enchaînant portée sur portée. « On voit ça aussi en France », précise la responsable de la SPA, citant Francis Duprat, cet éleveur du Comminges (31), dont l'affaire n'a pas encore été jugée. Il aurait notamment fait venir des chiens de Slovaquie.

Les élevages d'Europe de l'est sont doublement rentables. Une première fois pour les éleveurs, qui vendent un Chihuahua, très en vogue, jusqu'à 350 euros. Une aubaine dans ces pays, qui rapporte nettement plus qu'un salaire à l'usine. L'opération est rentable une deuxième fois, pour le revendeur français, qui peut espérer toucher jusqu'à 3000€ pour le même animal. Ces derniers, qui multiplient leur mise par dix, touchent carrément le jackpot.

Les animaux arrivent en France munis de faux papiers. « Je me suis présentée comme une acheteuse potentielle en Slovaquie, on m'a même proposé un stock de fausses puces d'identité françaises » raconte encore Brigitte Piquetpellorce.

On s'aperçoit souvent par la suite que ces bêtes souffrent de toutes sortes de troubles du comportement. Séparés trop tôt de leur mère, bringuebalés des jours entiers dans des camionnettes à travers l'Europe, ils sont devenus des chiens mordeurs, hyperactifs…

Le plus grave est sans doute que ces chiens sont le plus souvent malades. Et dans leurs pays d'origine, la rage n'a pas été éradiquée. « Ma plus grande crainte est qu'un jour un enfant se fasse mordre et attrape la rage » s'alarme une responsable de la fondation Brigitte Bardot. Une interpellation qui a valeur d'avertissement pour les pouvoirs publics.


« Les services vétérinaires ne font pas leur travail »

Quelles images vous ont marqué, dans les élevages que vous avez visités ?

Des hangars, de véritables usines de reproduction, ouverts à tous vents. N'importe quel renard pouvait entrer et mordre les chiots, qui ont souvent les yeux collés par le pus. Je revois aussi leur nourriture collée dans le fond des gamelles… Et je me souviens être entrée dans un élevage en Slovaquie qui sentait tellement fort l'ammoniaque que j'ai dû sortir. Pourtant je ne suis pas une petite nature.

Les pays de l'est sont donc à l'origine de la filière ?

Pas uniquement ! On trouve de ces élevages en France aussi. Je dirais que c'est 80 % de la filière qui est pourrie. Seulement, c'est encore moins cher d'aller chercher les animaux dans les pays de l'est.

Comment luttez-vous contre le trafic ?

Nous sommes saisis de plaintes, on va sur le terrain. Puis on dépose plainte. Si ça concerne des élevages à l'étranger, les animaux sont le plus souvent saisis. Dans le cas d'élevages français, les plaintes sont souvent classées sans suite.

Pourquoi ?

Les services vétérinaires ne font pas leur travail en amont. Ils ne contrôlent pas, ou préviennent 15 jours à l'avance, ce qui laisse le temps aux éleveurs de prendre leurs dispositions. Donc ils ont toujours tendance à minimiser les faits. Avec la Brigade nationale des enquêtes vétérinaires et phytosanitaires qui intervient pour les élevages à l'étranger, c'est différent. Les choses avancent. Comme avec les gendarmes ou les douanes.


Dans des les rayons de revendeurs toulousains

Animaleries : l'origine n'est pas toujours contrôlée

Derrière une vitre, trois souris blanches se courent après sur une roue d'exercice. Un peu plus loin, des hamsters se reposent. Tout autour, les piaillements des oiseaux donnent à la boutique une atmosphère agréable. Nous sommes dans une animalerie du centre ville de Toulouse. Il n'est pas encore 11 heures, et l'unique client plaisante avec le patron.

Alors que nous interrogeons ce dernier sur l'origine de ses animaux, son visage s'assombrit. « Je ne peux rien dire, affirme-t-il. C'est à cause de la concurrence. » Il finira par nous révéler qu'il se fournit chez des grossistes, « tout ce qu'il y a de plus légaux ». En Belgique, principalement. Mais en refusant tout net de nous montrer le nom de ses fournisseurs. Filières louches ? Pas forcément, pour un autre professionnel, qui concède tout de même que la Belgique est considérée comme une plaque tournante du trafic d'animaux.

Animaux de la région

Autre animalerie, autre histoire. A Portet-sur-Garonne, au sud de la Ville rose. Amazonie est une grande boutique. On y trouve des rongeurs, des oiseaux, mais aussi des chiots. Cette enseigne avait fait l'objet d'un scandale il y a quelques années, alors qu'elle achetait des animaux à l'éleveur du Comminges Francis Duprat. Ce dernier est de nouveau mis en examen depuis 2008, pour avoir importé des chiens en mauvais état de l'Europe de l'est, et plus particulièrement de Slovaquie.

Chez Amazonie, il semble qu'on a retenu la leçon. Alors que nous nous présentons comme des clients, le responsable s'empresse de nous montrer la provenance de ses chiots, sur leurs papiers d'identité. Toulouse, Castelnaudary : des animaux de la région.

Un peu plus loin, une éleveuse qui arrive tout droit de Saint-Gaudens lui apporte de jeunes labradors. Tout est en règle. Mais bien sûr tout a un prix.

« En vivre ? C'est impossible, s'amuse l'éleveuse. C'est une passion. » Pour elle, les animaux venus de l'est ne peuvent lui faire de tort : les clients sont libres de choisir, en connaissance de cause. S'ils veulent des animaux de qualité, ils doivent se les procurer chez des éleveurs français.

Malgré ces garanties, Jocelyne, une cliente de 63 ans, n'est pas convaincue. « Si je veux acheter un chien, je ne viendrai pas dans une animalerie. Il y a toujours le risque de trafic. Je préfère aller chez un éleveur directement.


BB : « Ne soyez pas complices »

Brigitte Bardot réagit en exclusivité dans La Dépêche du Midi.

« Les animaux ne sont pas une marchandise que l'on produit, transporte et vend comme une vulgaire « denrée périssable »…

Ce triste commerce des animaux, souvent totalement illégal, provoque la souffrance et trop souvent la mort de milliers de chiens, de chats, d'oiseaux, de reptiles, et autres N.A.C. (nouveaux animaux de compagnie, ndlr) pour alimenter les animaleries, hélas de plus en plus nombreuses, et qui vendent n'importe quoi à n'importe qui. C'est un commerce juteux et souvent ignoble, dont les animaux sont une fois de plus les victimes silencieuses. De grâce, ne soyez pas les complices de ce trafic, n'achetez pas de chien ou de chat, il y en a tellement dans les refuges… Et surtout, ne vous laissez pas tenter par la nouvelle mode des N.A.C. La place d'un animal sauvage, si petit soit il, n'est pas dans une maison, un appartement et encore moins dans une minuscule cage ! Le considérer comme un animal domestique est une grave erreur. Par snobisme, caprice ou ignorance, vous le privez de sa liberté et le condamnez à une existence misérable !

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/13/776447-Animaux-le-trafic-de-la-honte.html
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Mon style B.B

Publié le par Ricard Bruno

La star inconstable de cette rentrée, c’est bien elle : Brigitte Bardot.

Tandis que Saint Tropez à été réhabillité capitale de la hype estivale par Karl L. himself et que le vichy était de toutes les tenues, la tendance mode de la rentrée est bien le retour des sixties et seventies. Capelines, silhouettes sobres, volants et jupes longueur midi ont illuminé les défilés automne hiver 2010-2011.
Celle qui incarna le mieux cet époque est donc bien Brigitte Bardot.

Souvenez-vous : il y a quelque temps Lilie assistait au lancement de sa collection pour Lancel : le B.B Bag à l’image des convictions de sa muse.

Aujourd’hui c’est au tour de l’Atelier Repetto, de proposer la personnalitation de ballerines BB selon vos désirs. Pour la petite histoire : en 1956, Brigitte Bardot demanda à Rose Repetto de lui concevoir une chaussure aussi agréable qu’un chausson de danse, mais beaucoup plus sexy et seyante. La ballerine Cendrillon apparaît dans le film Et Dieu créa la femme…

Repetto Mon style B.B

Avec un large choix de modèles mythiques déclinable dans plus de 250 couleurs de cuirs, ma Lilie a peut-être trouvé ballerines à son pied!

 

Source : http://www.news-de-stars.com/brigitte-bardot/mon-style-b-b_mrm139595.html

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Bon anniversaire Brigitte...

Publié le par Ricard Bruno

Que dire en ce jour si précieux à Brigitte tout simplement un merveilleux anniversaire "deiz ha bloaz laouen"

Plein de bonnes choses.

Affectueusement et tendrement

Bruno Ricard

Bruno Ricard

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Brigitte Bardot au secours des chats errants...

Publié le par Ricard Bruno

 

Brigitte Bardot vole au secours des chats errants
Le sex-symbol des années soixante signe la pétition d’une association sauveuse de minets.
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Brigitte Bardot s'engage pour les animaux depuis plusieurs décennies. (DR)

Après moins d’une semaine d’existence, la pétition contre la chasse aux matous errants lancée par l’association «SOS Chats» trouve déjà un soutien taille XXL. «Sex symbol» des années 60, la mythique Brigitte Bardot a signé, vendredi, le document. «Elle a réagi hyperrapidement», commente, ravie, Tomi Tomek, présidente de l’association pro-minous basée à Noiraigue (NE). Selon cette dernière, l’autorisation de chasser toute l’année les chats errants, qui figure dans la Loi fédérale suisse, conduit à un massacre inutile de félins. En effet, un animal muni d’une puce ne se distingue pas d’un chat sauvage, affirme-t-elle.

«Quand Brigitte a reçu la pétition, elle n’a pas hésité une seconde à la signer», explique Frank Guillou, secrétaire personnel de «BB». Le système de régulation suisse, précise-t-il, est étonnant de la part d’un pays qui n’est pas «sous-développé». Il évoque des campagnes de stérilisation auxquelles a parfois participé la «Fondation Brigitte Bardot», comme alternative efficace à l’autorisation de chasser. Egalement signataire de la pétition, le Conseiller national Luc Barthassat se réjouit de la signature de «BB». Il attendra de voir l’ampleur de la mobilisation pour décider d’une éventuelle intervention sur le sujet à Berne.

Source : http://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/Brigitte-Bardot-vole-au-secours-des-chats-errants-23513683

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Manifestation à Paris venez nombreux, c'est très important...

Publié le par Ricard Bruno

Manifestation à Paris venez nombreux c'est très important, je serait présent afin de vous rencontrez.

Manifestation contre le massacre des globicéphales, dauphins et autres cétacés aux iles féroé le 30 septembre avec la Fondation Brigitte Bardot et votre serviteur.

Rendez-vous : jeudi 30 septembre à 12h (midi)
70 Avenue Marceau
(Angle de la rue Galilée)
75116 Paris
Métro : Charles-de-Gaulle Etoile

Bruno Ricard

 

"POUR NE PLUS VOIR CELA"

 

massacre iles feroe

Nous comptons sur votre présence et vous invitons à faire passer le message autour de vous…

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