C'était il y a un an jour pour jour une lettre de Brigitte Bardot...
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Jets d'eaux qui augmentent, calme absolue, musique romantique. Marc Jacobs met en avant dans ce défilé le charme de la femme à l'aide de décolletés pigeonnants et de femme plus sensuelle que
d'habitude ! Comment choisir meilleur mannequin que Laeticia Casta pour ouvrir ce défilé, rendant hommage implicitement à Brigitte Bardot ! Elle défile dans une robe noire très classique avec un
décolleté carré, des gants en cuir et un petit sac, le classique prend déjà le dessus !
Les formes
Des robes très fifties, un décolleté carré ou en V, une ceinture en velours nouée à la taille et la robe se finit évasée avec des plis ou simplement froncée. Mais quand ce n'est pas une robe,
c'est une jupe et c'est là, d'après moi, que Marc Jacobs effectue son coup de maitre : des jupes évasées en cuir avec des grands plis à la taille, quelles soient grises, beiges ou marrons, elles
ont tout pour faire tourner la tête ! On remarque aussi des petits pulls en laine à manches courtes, très élégants et casual ! Mais bien sûr, il y avait des manteaux en laine noir très
classiques, des vestes noires ou grises...
Les couleurs
Des tons très Marc Jacobiens ! On les voyait déjà dans
son défilé pour l'automne prochain, des couleurs pastel, classiques comme des verts anisés, des gris perles, des noirs profonds, des bruns, des bruns et encore des bruns ! Le tout pour mettre en
valeur plus la forme que la couleur pour attirer l'œil vers les plis, les longueurs...
Avec la star mythique, la célèbre marque de maroquinerie crée son premier modèle "green"
En juin prochain, Lancel présentera le Bardot. En avant-première, nous vous racontons une petite histoire de ce sac pas tout à fait comme les autres.
Après Isabelle
Adjani, Lancel nous bluffe une fois de plus en choisissant comme ambassadrice une autre star emblématique.
Pourquoi Bardot? La réponse de Leonello Borghi, directeur artistique, fuse: «parce que chaque femme veut posséder quelque chose de Bardot et qu’il y a du Bardot dans toutes les femmes. Et quoi
de mieux que le côté libéré de B.B. pour incarner notre French légèreté!»
Mais pour convaincre l’icône, il ne suffisait pas de lui susurrer à l’oreille le mot écolo…. Il fallait raconter une histoire, son histoire, et pour cela retrouver tous les codes de Brigitte Bardot. D’abord et surtout, les matières sont 100% biologiques, éthique oblige. Ensuite, la forme du sac «Quand on le regarde, on pense immédiatement au corps de B.B. : on retrouve son décolleté, sa taille fine, sa souplesse et même ses cheveux», précise Leonello. La star mythique a donné son avis sur chaque détail, y compris sur les noms donnés à chaque poche.
L'ancienne actrice Brigitte Bardot a reçu le soutien d'une autre star du cinéma français, Alain Delon, pour "dénoncer" l'abattage d'environ 400.000 phoques au Canada "dans des conditions ignobles", a annoncé jeudi la fondation Bardot.
Dans une lettre au Premier ministre canadien, Alain Delon estime que "cette surenchère dans l'horreur est une provocation, après la fermeture du marché européen aux produits issus de cette boucherie".
"Mais c'est surtout une attitude irresponsable car la mortalité des jeunes phoques est très élevée cette année en raison du manque de glace", poursuit-il.
"Sortir l'artillerie lourde +avion de repérage, navires de pêche+ pour aller traquer les quelques survivants est une honte !", s'indigne l'acteur.
Dans son courrier, Alain Delon demande au Premier ministre canadien Stephen Harper "d'intervenir personnellement et de mettre un terme immédiat à cette saison de chasse qui a déjà fait bien trop de victimes", indique la Fondation dans un communiqué.
"Les Français sont très attachés au Canada mais ils ne comprennent pas cette politique d'extermination, alors qu'il est urgent de mener une politique de préservation", estime Alain Delon.
La chasse au phoque, ouverte depuis le 28 mars sur la côte atlantique canadienne, est très controversée, en particulier en Europe. Quant à Brigitte Bardot, elle a fait de la défense des animaux le combat de sa vie.
L'Union européenne a interdit la vente des produits dérivés du phoque à l'intérieur de ses frontières, à compter de cette année. Le texte concerne notamment la viande, l'huile, la graisse, les organes ou la peau de ces mammifères marins.
Cette interdiction vise à empêcher les méthodes de chasse cruelles qui ne garantissent pas une mort instantanée.
Source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gWSoGmC_WQUH5HxPVlzvWnZNpfZA
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Captivité
Brigitte Bardot, pour qui la présence d’animaux en captivité dans les cirques est insoutenable, espère que tous les amis des animaux choisiront de ne pas regarder le « Grand
Gala des Artistes », diffusé ce soir sur France 2.
Anciennement appelé le « Gala de l’Union des Artistes », ce spectacle de cirque réunit des comédiens, des chanteurs et des comiques de tous horizons au profil des artistes en difficulté.
La Fondation Brigitte Bardot, à l’écoute de la cause défendue par ce spectacle souhaite bien évidemment que les cirques puissent vivre, mais sans animaux !
Des conditions de vie déplorables pour les animaux de cirques
Derrière les lumières et les paillettes du spectacle, la réalité des conditions de détention, de dressage et de transport des animaux de cirque est insoutenable. Certaines espèces, à l'évidence, sont particulièrement exposées à d'inacceptables conditions de vie, comme par exemple les éléphants qui en milieu naturel parcourent des dizaines de kilomètres chaque jour ou encore les tigres, seule espèce de félins à être solitaires, habitués à disposer d’un territoire de plusieurs dizaines de km². Ces animaux, qui en état de liberté ont besoin de beaucoup d’espaces se retrouvent dans les cirques enfermés près de 95% de leur temps dans des cages exigües.
Prisonniers à vie, dressage (fouet, gourdin, instruments électriques…), obligation d’exécuter des tâches imposées, voilà la réalité qui est cautionnée par le spectateur qui choisit de regarder des numéros de dressage à la télévision ou de se rendre dans des cirques utilisant des animaux. C’est naturellement que les animaux de cirque deviennent agressifs, frustrés, névrosés et les risques d’accidents sont potentiellement plus élevés. Derniers malheurs en date, la mort samedi 10 avril d’un soigneur, écrasé par un éléphant dans un cirque américain ou encore la mort d’une dresseuse tuée par un orque en Floride.
Le combat de Fondation Brigitte Bardot
Depuis sa création, la Fondation Brigitte Bardot se bat contre la captivité des animaux et pour que l’animal puisse vivre en liberté, dans un habitat naturel et adapté à ses besoins physiologiques. Les conditions de détention des animaux de cirque sont incompatibles avec leurs besoins biologiques et comportementaux.
Bien que les gens du cirque affirment haut et fort que leurs animaux sont heureux, on ne peut que constater la détresse dans laquelle se trouvent ces animaux qui adoptent rapidement des comportements pathologiques et stéréotypés.
La Fondation Brigitte Bardot recommande aux parents de ne pas emmener leurs enfants dans des cirques utilisant des animaux et de préférer les cirques qui développent leur art en inventant de nouveaux numéros de jongleurs, de trapézistes et de clowns…
Source : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40254
On aurait pu croire que la récente exposition sur Brigitte Bardot, organisée à Boulogne, serait l’occasion pour la presse de lâcher les chiens, comme c’est devenu l’habitude quand il est question de la plus grande vedette du cinéma français.
Rien de tel, finalement. Certes, une personnalité de cette envergure aurait sans doute mérité plus qu’un éclair de chez Fauchon à son effigie. Si l’événement n’a guère suscité qu’un assez long entretien dans Valeurs actuelles, quelques émissions par ci par là (notamment à Radio Courtoisie) et une mise en accusation sur Europe 1, il a, de manière plus étonnante, permis à un journaliste d’un organe d’extrême-gauche de déclarer sa flamme :
« Niveau. Au fait, Brigitte Bardot, me direz-vous ? Notre BB nationale qu’on célèbre à l’envi pour ses 75 ans. Eh bien, regardez-la, cette friponne au corps parfait qui fit fantasmer des millions d’hommes (et sans doute aussi de femmes), voyez comme elle était fraîche et belle et naturelle ; et comparez donc avec les bimbos d’aujourd’hui, ces "velines" siliconées qui peuplent les écrans italiens (pas seulement) et agrémentent les fêtes du "papounet". Comme dit l’autre, le niveau monte ! » (« Bloc-notes » de Bernard Langlois, Politis, 1er octobre 2009, p.34).
Et le Nouvel Observateur s’est lui aussi fendu d’une brève plutôt élogieuse dans son édition du 29 octobre 2009 (p.118, « En hausse : Bardot pour tous », par Sophie Delassein) :
« Née artistiquement en 1956 avec "Et Dieu créa la femme" de Roger Vadim, Brigitte Bardot est aussitôt devenue sulfureuse, mais avec candeur. Cinquante ans après, elle l’est toujours. L’exposition qui la célèbre s’arrête à sa période faste, aux années "insouciance" (Musée des Années 30, Boulogne-Billancourt, jusqu’au 31 janvier). En ouverture du catalogue très illustré de cette manifestation dont l’auteur n’est autre que le commissaire de l’expo, Henry-Jean Servat, figure une préface de la comédienne. BB résume ces années-là avec lucidité : "Portée par un courant que je n’ai pas maîtrisé, ma vie a basculé, bousculant tout ce qui fut mon enfance et mon éducation." Sur les photographies, qu’elle pose avec Micheline Presle, Michèle Morgan, Michèle Mercier, Claudia Cardinale ou Isabelle Adjani, elle reste de loin la plus époustouflante. »
C’est peu ; mais au moins n’est-ce pas venimeux, ce que l’on aurait pu attendre de la part de ces magazines. Heureusement, Marianne y est allé de son coup de pied de l’âne, dans le cadre d’un dossier sur les faux iconoclastes (14-20 novembre 2009, p.27, « Brigitte Bardot, la Tatie Danielle de Saint-Trop ») :
« L’ermite de "La Madrague" a renoncé à vivre en société. Sous couvert de liberté de ton, Bardot déverse désormais l’aversion qu’elle éprouve pour ses contemporains. L’art est "devenu de la merde", les chômeurs "sont des paresseux planqués", les homosexuels "sont des phénomènes de foire", les sans-papiers, des "gueux qui profanent nos églises"… Le mépris. Théoricienne d’un adage cher aux personnes âgées aigries, selon lequel "il y a des bêtes qui valent bien certains hommes", la Tatie Danielle de Saint-Trop est devenue une figure muséale que seuls les journalistes en mal de scoop visitent encore. »
Ouf, l’honneur de la presse française fut sauf, Marianne s’étant dévoué !
Source : http://mister-arkadin.over-blog.fr/article-fraiche-et-belle-et-naturelle-47021619.html