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ETE - Retrouvez le temps qu'il va faire à travers La Madrague de Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Rétrospective Brigitte Bardot

Le soleil, mon grand copain, sera présent sur toute la France ce lundi 19 juillet.

Sur la plage abandonnée à cause des algues vertes de Bretagne, vous aurez du ciel bleu et 23 degrés. Des Coquillages et des crustacés, vous en trouverez sur la côte de la Méditerranée sous une chaleur de 28 degrés.

Mais dans le sud de l’Aquitaine, il ne me brûlera que de loin, à cause de petits nuages. Et d’encore plus loin dans les Alpes-Maritimes, avec des averses à prévoir en fin d’après midi. Mais aux premiers jours d'été en Franche-Comté il fera 29 degrés. Tous les ennuis oubliés en Bourgogne avec la maximale de 31.

Nous reviendrons faire la fête aux crustacés demain, de la plage ensoleillée.

 Source : http://www.20minutes.fr/article/585589/Insolite-Meteo-le-soleil-mon-grand-copain-sera-present-sur-toute-la-France-ce-lundi.php

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CRAC : Courrier très important!

Publié le par Ricard Bruno

Chers amis de combat,
 
ce samedi 17 juillet les associations One Voice et CRAC Europe organisaient à Nîmes avec 24 associations représentant 9 pays d'Europe et d'Amérique Latine, un cercle de silence pour dénoncer la torture tauromachique et lancer le manifeste "pour Nîmes réconciliée avec le taureau". Vous pourrez dans les prochains jours télécharger et signer ce manifeste sur les sites des associations organisatrices et partenaires. L'objectif est de recueillir le plus grand nombre de signatures pendant une année afin de les remettre en juillet 2011 au maire de Nîmes, Jean-Paul Fournier. A cette occasion, un grand événement festif sera organisé à Nîmes. Nous comptons sur la présence de personnalités et notamment de députés abolitionnistes.
 
Lors de notre cercle de silence qui regroupait près de 80 personnes (un grand merci à tous les participants) des messages de soutien de quatre députés ont été lus en début de manifestation : Jean-Marc Roubaud (Gard), Gérard Bapt (Haute-Garonne), Muriel Marland-Militello (Alpes-Maritimes) et Geneviève Gaillard (Deux-Sèvres).  Ces dernières viennent de déposer une nouvelle proposition de loi (n° 2735 – 13 juillet 2010) pour l’abolition de la corrida en France, déjà cosignée par 57 députés. La liste des députés signataires sera disponible dans le courant de la semaine.

 

La préfecture du Gard avait autorisé notre manifestation fixe et silencieuse. Ce ne fut pas le cas du maire de Nîmes qui le 30 juin nous écrivait un courrier d’interdiction :

 

« Nîmes étant une cité profondément marquée par le fait taurin, je me vois dans l’obligation de répondre par la négative à votre requête. Ainsi le 17 juillet de 17h30 à 20h00, aucun manifestation de votre association, même silencieuse et fixe, ne pourra être autorisée sur le parvis de la Maison Carrée. » Courrier signé par Christophe Madalle, directeur de cabinet de Jean-Paul Fournier, maire de Nîmes.

 

Ce courrier d’intimidation n’a aucun valeur légale. D’ailleurs aucun arrêté municipal n’est venu compléter cette interdiction. Aucun policier municipal n’est venu nous interdire de nous réunir.  La mairie de Nîmes est-elle entrée dans une nouvelle ère : celle de la dictature tauromachique totale, celle de l’état d’urgence pour faire taire les opposants à la torture des arènes, même lorsqu’ils se taisent ? Cela signifierait, au regard du fameux « fait taurin » que plus aucune manifestation anticorrida ne pourrait avoir lieu à Nîmes. Cette situation est très grave. Il est vrai que tauromachie et démocratie ne font pas vraiment bon ménage.

 

Ce matin même, Radio France Bleu Gard Lozère, très écoutée sur Nîmes et sa région, rend compte très honnêtement de notre action. Des cercles de silence vont être mis en place un peu partout en France dans les mois à venir. Le prochain est à Montpellier le 24 juillet (voir annonce ci-dessous). Vous êtes les bienvenus!

 

Et si vous souhaitez signer et faire signer le manifeste, nous pouvons vous envoyer des exemplaires par voie postale (un manifeste format A5 = une signature).

 

A bientôt pour la suite! Très prochainement un reportage sur notre action dans les arènes de Céret va être diffusé sur une chaîne de télévision au niveau national. Dès que nous en connaîtrons la programmation, nous ne manquerons pas de vous en informer.

 

Bien à vous

 

Pour le CRAC Europe

Jean-Pierre Garrigues

Vice-président

Tél. 06 75 90 11 93

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Stand et cercle de silence anti-corrida One Voice et CLAM à Montpellier 

Suite aux manifestations de Céret et de Nîmes dans le cadre de la campagne d'un an lancée par One Voice et le CRAC pour l'abolition de la corrida et soutenue par 24 associations internationales, One Voice et le CLAM tiendront un grand stand d'info à Montpellier le 24 Juillet ainsi qu'un cercle de silence si nous sommes assez nombreux.

Le thème principal sera la corrida mais d'autres sujets de l'exploitation des animaux dans les loisirs seront couverts :
chasse, courses de lévriers et de chevaux, cirques, delphinariums, zoo.  
Nous disposons de nombreux stands et panneaux d'affichage, d'une sono et d'un écran pour les vidéos.

L'action aura lieu Place Paul Bec (tram Antigone en dessous du Polygone) de 15h à 22h.
Pour ceux qui ne peuvent venir aussi longtemps, nous proposons 2 groupes :
15h - 18h30
18h30 - 22h
Ou bien passez à l'heure et pour la durée qui vous convient.

Bruno Ricard

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Quand Nourissier célébrait Brigitte Bardot "BB"

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot

L’été, c’est le soleil, des lunettes noires, un bikini, la plage.

L’été, c’est Bardot, son apparition sur le port de Saint-Tropez dans Et Dieu créa la femme, toutes ses apparitions depuis, « sur l’écran noir de nos nuits blanches ». Dans Le Mépris bien sûr – « Et mes fesses ? Tu les aimes, mes fesses ? » – ; dans Les femmes, merveille tournée en 1969 par Jean Aurel, scénarisée par Cécil Saint-Laurent, avec Maurice Ronet.

L’été, c’est B.B. quand elle chante « Coquillages et crustacés », « La Madrague » ou les bonbons sensuels offerts par Gainsbourg.

L’été, enfin, c’est B.B. dans les mots légers et profonds de François Nourissier.

A la fin des années 50, Nourissier considère qu’il n’a encore rien publié de bon. Un petit bourgeois, premier de ses romans qu’il appréciera quelque peu, viendra plus tard, en 1963. En attendant, il dirige la rédaction de La Parisienne et traîne son spleen de jeune éditeur à la foire de Francfort. Perdue au milieu des livres insipides, une couverture le cogne. Etalé sous ses yeux : « Le corps négligé, impudique et rieur (mais oui, rieur) de Brigitte Bardot ». Le texte de cet ouvrage italien est signé Simone de Beauvoir. De retour à Paris, Nourissier la contacte pour lui proposer une réédition en français. Beauvoir est gênée, bafouille, parle d’impôts, fuit. Nourissier demande alors à Roger Vaillant, à Pieyre de Mandiargues et Paul Morand si le sujet Bardot les intéresse. Tous refusent, laissant à notre seule imagination le plaisir d’esquisser leurs mots sur la silhouette de BB. C’est donc Nourissier qui, en quelques pages, va sculpter Bardot telle qu’elle est à jamais dans nos mémoires : une mythologie française, c’est-à-dire une Star, ce claquement de langue qui évoque une étoile pendue au cou d’une nuit de pleine lune.

La beauté, ce beau souci…

La grande question de l’époque, à la Une des magazines, est : « Faut-il brûler B.B. ? »

Avec la classe infinie du styliste, Nourissier répond d’entrée en amoureux des courbes sensuelles et en puncheur précis : « De toutes les armes que nous offre la vie quotidienne pour régler ses comptes à la sottise, la jeunesse et l’impudeur d’une femme sont les plus douces. » L’air de rien, il ne lâchera plus, ni B.B., ni ceux qui ne voient en elle qu’une écervelée insignifiante. A sa jolie héroïne de France, il réserve ses émerveillements et son oeil bleu délicat ; aux autres, il dit l’urgence de la grâce qu’ils ne connaîtront jamais, eux qui préfèrent celles que Paul Gégauff nommait « les bonnes femmes ». Pourquoi Bardot, hier comme aujourd’hui ? Lire et relire Nourissier, se mettre en bouche les lignes de beauté qu’il trace : « Que l’on caresse du regard, vite, les images innombrables de Bardot ; que l’on profite vite d’un plaisir innocent, car, sitôt les yeux relevés, on les posera sur un monde de lèvres et de visage clos. L’énorme bêtise des hommes d’Occident devant le sexe et devant leur désir éclate en de certaines occasions. L’aventure Bardot en est une. S’il n’existait aucune autre raison de l’aimer et de bavarder un peu librement sur le compte de cette belle personne, la seule envie de faire acte de présence y suffirait. J’entends la seule envie d’être parmi ceux qui l’auront dit : la beauté n’est pas honteuse, la beauté a des droits, nous devons respecter en elle une dignité d’avant la faute, joueuse et familière. »

Et à la fin de l’envoi, B.B. ancrée dans les coeurs battants et Nourissier terriblement vivant loin de cette Miss P. qui le fait crever lentement, se souvenir que : « Sous la mythologie, sous l’entreprise et le triomphe publicitaires, il existe ce miracle gratuit et parfaitement injuste : les privilèges d’une petite fille née belle. »


B.B.60 – Beauvoir-Bardot
François Nourrissier
Le Dilettante
Acheter chez Amazon.fr
Source : http://www.causeur.fr/b.b.-60,6912

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Quand Nourissier célébrait Brigitte Bardot "BB"

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot

L’été, c’est le soleil, des lunettes noires, un bikini, la plage.

L’été, c’est Bardot, son apparition sur le port de Saint-Tropez dans Et Dieu créa la femme, toutes ses apparitions depuis, « sur l’écran noir de nos nuits blanches ». Dans Le Mépris bien sûr – « Et mes fesses ? Tu les aimes, mes fesses ? » – ; dans Les femmes, merveille tournée en 1969 par Jean Aurel, scénarisée par Cécil Saint-Laurent, avec Maurice Ronet.

L’été, c’est B.B. quand elle chante « Coquillages et crustacés », « La Madrague » ou les bonbons sensuels offerts par Gainsbourg.

L’été, enfin, c’est B.B. dans les mots légers et profonds de François Nourissier.

A la fin des années 50, Nourissier considère qu’il n’a encore rien publié de bon. Un petit bourgeois, premier de ses romans qu’il appréciera quelque peu, viendra plus tard, en 1963. En attendant, il dirige la rédaction de La Parisienne et traîne son spleen de jeune éditeur à la foire de Francfort. Perdue au milieu des livres insipides, une couverture le cogne. Etalé sous ses yeux : « Le corps négligé, impudique et rieur (mais oui, rieur) de Brigitte Bardot ». Le texte de cet ouvrage italien est signé Simone de Beauvoir. De retour à Paris, Nourissier la contacte pour lui proposer une réédition en français. Beauvoir est gênée, bafouille, parle d’impôts, fuit. Nourissier demande alors à Roger Vaillant, à Pieyre de Mandiargues et Paul Morand si le sujet Bardot les intéresse. Tous refusent, laissant à notre seule imagination le plaisir d’esquisser leurs mots sur la silhouette de BB. C’est donc Nourissier qui, en quelques pages, va sculpter Bardot telle qu’elle est à jamais dans nos mémoires : une mythologie française, c’est-à-dire une Star, ce claquement de langue qui évoque une étoile pendue au cou d’une nuit de pleine lune.

La beauté, ce beau souci…

La grande question de l’époque, à la Une des magazines, est : « Faut-il brûler B.B. ? »

Avec la classe infinie du styliste, Nourissier répond d’entrée en amoureux des courbes sensuelles et en puncheur précis : « De toutes les armes que nous offre la vie quotidienne pour régler ses comptes à la sottise, la jeunesse et l’impudeur d’une femme sont les plus douces. » L’air de rien, il ne lâchera plus, ni B.B., ni ceux qui ne voient en elle qu’une écervelée insignifiante. A sa jolie héroïne de France, il réserve ses émerveillements et son oeil bleu délicat ; aux autres, il dit l’urgence de la grâce qu’ils ne connaîtront jamais, eux qui préfèrent celles que Paul Gégauff nommait « les bonnes femmes ». Pourquoi Bardot, hier comme aujourd’hui ? Lire et relire Nourissier, se mettre en bouche les lignes de beauté qu’il trace : « Que l’on caresse du regard, vite, les images innombrables de Bardot ; que l’on profite vite d’un plaisir innocent, car, sitôt les yeux relevés, on les posera sur un monde de lèvres et de visage clos. L’énorme bêtise des hommes d’Occident devant le sexe et devant leur désir éclate en de certaines occasions. L’aventure Bardot en est une. S’il n’existait aucune autre raison de l’aimer et de bavarder un peu librement sur le compte de cette belle personne, la seule envie de faire acte de présence y suffirait. J’entends la seule envie d’être parmi ceux qui l’auront dit : la beauté n’est pas honteuse, la beauté a des droits, nous devons respecter en elle une dignité d’avant la faute, joueuse et familière. »

Et à la fin de l’envoi, B.B. ancrée dans les coeurs battants et Nourissier terriblement vivant loin de cette Miss P. qui le fait crever lentement, se souvenir que : « Sous la mythologie, sous l’entreprise et le triomphe publicitaires, il existe ce miracle gratuit et parfaitement injuste : les privilèges d’une petite fille née belle. »


B.B.60 – Beauvoir-Bardot
François Nourrissier
Le Dilettante
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Source : http://www.causeur.fr/b.b.-60,6912

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Brigitte Bardot : Et Lancel créa le BB ou le sac bio ...

Publié le par Ricard Bruno

 


On ne peut que reconnaitre que la maison Lancel a un don pour choisir ses égéries et y associer des sacs qui deviennent les sacs d'une génération au delà du it bag (concept que son pdg Marc Lelandais réprouve d'ailleurs) Sa dernière égérie française fut la somptueuse Isabelle Adjani et son sac fut un gros succès pour la marque qui créa ainsi un sac à la fois fonctionnel et élégant correspondant parfaitement à la working girl d'aujourd'hui ...

Aujourd'hui Lancel atteint véritablement l'excellence avec la sortie de son dernier sac. En effet ils ont choisi l'égérie la plus reconnue de France, la française dans toute sa splendeur ... Celle qui fut à la fois femme enfant et femme fatale : la belle et ingénue Brigitte Bardot. 

La recherche conception pour le sac qui lui est associé est allé très loin. Tout d'abord dans la forme : Le sac BB représente l'image de Brigitte Bardot en se rapprochant le plus près possible par sa forme des courbes parfaites de la femme que la jeune femme incarnait alors dans les années 60 tel que la sensualité de ses courbes : son décolleté et sa lanière évoquant une chevelure libre ...



 
La mode que la belle a inventé en son époque est aussi évoquée : tout d'abord le vichy rose de ses jupons est repris en doublure du sac et la bandoulière gipsy brodée (certainement la partie la plus travaillée du sac) reprend l'esprit hippie bohème de la belle ...

Enfin l'âme de Brigitte Bardot a été non seulement considérée mais plus encore véritablement pri comme source d'inspiration par Lancel pour l'essence même de ce sac. En effet fait assez extraordinaire pour un sac de cette qualité exceptionnelle : Il n'est pas fait de cuir. Non pas qu'il puisse en être autrement vu la caractère affirmé de celle çi qui a toujours été reconnu comme fervente militante de la cause animale. Le sac sans peaux ni procédé chimique de coloration ou de tannage est donc fait de tweed ou d'alcantra. Ce sac ne cause donc aucun dommage aux êtres vivants et à la nature ... 


A ce jour de mon avis personnel c'est certainement la réalisation la plus belle et la plus aboutie de la maison Lancel. Ce sac est en effet exceptionnel et ses finitions sont véritablement splendides !  
La soirée BB Party organisée en juin dernier dans un somptueux hotel particulier à Paris a permis de révéler le sac BB de Lancel et surtout de le voir porté ...

   Source : http://chloehandbagaddict.blogspot.com/2010/07/tendance-look-brigitte-bardot-et-lancel.html

Publié dans Lancel

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Tendance look Brigitte Bardot : Et Lancel créa le BB ou le sac bio ...

Publié le par Ricard Bruno

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On ne peut que reconnaitre que la maison Lancel a un don pour choisir ses égéries et y associer des sacs qui deviennent les sacs d'une génération au delà du it bag (concept que son pdg Marc Lelandais réprouve d'ailleurs) Sa dernière égérie française fut la somptueuse Isabelle Adjani et son sac fut un gros succès pour la marque qui créa ainsi un sac à la fois fonctionnel et élégant correspondant parfaitement à la working girl d'aujourd'hui ...

Aujourd'hui Lancel atteint véritablement l'excellence avec la sortie de son dernier sac. En effet ils ont choisi l'égérie la plus reconnue de France, la française dans toute sa splendeur ... Celle qui fut à la fois femme enfant et femme fatale : la belle et ingénue Brigitte Bardot. 

La recherche conception pour le sac qui lui est associé est allé très loin. Tout d'abord dans la forme : Le sac BB représente l'image de Brigitte Bardot en se rapprochant le plus près possible par sa forme des courbes parfaites de la femme que la jeune femme incarnait alors dans les années 60 tel que la sensualité de ses courbes : son décolleté et sa lanière évoquant une chevelure libre ...




 
La mode que la belle a inventé en son époque es...

Source : http://www.news-de-stars.com/mode/tendance-look-brigitte-bardot-et-lancel-crea-le-bb-ou-le-sac-bio_mrm101870.html

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Les coups de foudre de Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Elle est Saint-Tropez. Sa beauté, sa liberté de ton, de moeurs, son corps dansant sur une table hypnotisant Jean-Louis Trintignant dans " Et Dieu créa la femme " font s'étrangler les bourgeois des années 60. BB aime les hommes et ne s'en cache pas. Un soir de 1966, Bardot dîne dans un joli resto avec son beau fiancé Bob Zaguri, à quelques tables se trouve Gunter Sachs, l'over-séducteur, le playboy absolu, fils d'une von Opel (famille qui possède l'une villas les plus prestigieuses et les plus chères de la presqu'île). Vavava ! Le courant passe à la vitesse de l'éclair entre les deux icônes. L'un suivant la Rolls-Royce de l'autre, même modèle, même couleur (quel signe !), ils descendent passer le reste de la nuit au Papagayo, LA boîte à la mode. Le lendemain, douze douzaines de roses (" pas des pétales, comme il a été souvent dit, mais des roses entières sublimes ", précise Henry-Jean Servat, le journaliste ami de Brigitte) volent au-dessus de La Madrague. Gunter a de gentilles attentions pour faire sa cour : petits tours en hors-bord, orchestre sur un canot Riva pour que BB puisse danser sur la mer. Au bout de quinze jours, la demande en mariage, très simple : il arrive en hélicoptère chez sa chérie, balance ses deux valises recouvertes de protection étanche à la mer et saute à l'eau en smoking. Classe. BB adore danser, tout le temps, partout. Lorsqu'elle rencontre les Gypsy Kings (photo) au Club 55, le groupe de guitaristes qui chante " Djobi Djoba ", elle les embarque à sa suite. Les GK, grâce à elle, deviennent célèbres, on les veut dans toutes les soirées : OK, disent-ils, on viendra avec notre danseuse. Les invités sont ravis, ce groupe est formidable, et leur danseuse, vraiment belle et sexy, elle ressemble à Bardot, c'est fou, mais... ce serait elle ? Eh oui, BB dansait incognito et s'amusait comme une folle

Exposition " BB à Saint Tropez ", d'Henry-Jean Servat. Espace rendez-vous des Lices, place des Lices, jusqu'au 31 octobre. 0.892.68.48.28.
Mon commentaire : Rendons à César ce qui est à César : L'exposition BB est née à Boulogne Billancourt j'en suis l'initiateur, le député maire de la ville de Boulogne Billancourt : Pierre Christophe Baguet, le maire adjoint à la culture : Pascal Fournier et Jean Marc Philippe on permis entre autre que cette magnifique exposition se réalise, exposition qui se poursuie aujourd'hui à Saint Tropez, la production de cet évènement est assuré par la société Akouna et a comme commissaire d'exposition Henry jean Servat.
 
affiche exposition brigitte bardot saint tropez-copie-1
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Brigitte Bardot et la Madrague contre le Golfe de Saint-Tropez

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot adore la Madrague, mais elle n'en peut plus des milliardaires et des touristes qui pullulent dans la baie de Saint-Tropez. Dans une lettre à Gala cette semaine, l'ancienne pin-up donne son avis, bien tranché, sur ce qu'est devenu le Golfe de Saint-Tropez : "Insidieusement, les milliardaires se sont infiltrés, les stars, les producteurs, les chanteurs, les palais de marbre ont remplacé les bastides et les maisons de pêcheurs ont atteint des prix faramineux. Les Tropéziens ont déserté pour aller s'installer plus loin." Elle explique vivre désormais vivre "retranchée" et déplore que "[s]a Madrague [soit] devenu le but des visites des bateaux touristiques". Installée dans l'ancien port de pêcheurs depuis près de 50 ans, elle décrit la transformation du Golfe : "Les pointus ont été remplacés par des yachts somptueux avec hélicoptères, les petites boutiques ont été chassées par les grandes marques de la mode internationale, les restaurants servent dans des plats d'argent la cuisine nouvelle sans goût."

Source : http://www.varmatin.com/article/people/brigitte-bardot-et-la-madrague-contre-le-golfe-de-saint-tropez

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L'atelier Repetto...

Publié le par Ricard Bruno

L'atelier Repetto : on personnalise ses ballerines à la rentrée!

 

repetto

Vous êtes fan des ballerines Repetto ? Vous serez fan de L'atelier Repetto, qui permet de personnaliser les ballerines Repetto pour se créer une paire de chaussures uniques. Le hic ? Il faut attendre la rentrée pour visiter L'atelier Repetto... A vos agendas ! à partir du 28 septembre 2010!

  • L'atelier Repetto : des ballerines uniques à personnaliser

 

En 2010, la Maison Repetto lève le rideau sur son nouveau projet : L'atelier Repetto.

 

L'atelier Repetto offre la possibilité de personnaliser ses ballerines. On a alors un large choix entre les modèles mythiques des ballerines Repetto qui peuvent se décliner dans plus de 250 couleurs de cuirs.

 

Un choix aussi étendu des bordures et des lacettes des ballerines Repetto permet d'obtenir une chaussure vraiment unique, parfaitement adaptée aux désirs des fashionista qui veulent se sentir unique jusqu'au bout des pieds.

 

Et pour parfaire à cette personnalisation, un logo siglé d'un R doré, à la fois discret et raffiné, est incrusté dans le talon de la ballerine Repetto.

 

  • Histoire de l'atelier Repetto

 

En 1947, Rose Repetto crée dans son petit atelier situé à deux pas de l'Opéra de Paris, ses premiers chaussons de danse selon la technique du « cousu retourné ».

 

Très vite, des danseurs du monde entier viennent lui passer commande et Repetto devient une référence dans le monde de la danse.

En 1956, c'est au tour de Brigitte Bardot, ancien petit rat et icône du cinéma, de pénétrer dans L'atelier Repetto.

 

Brigitte Bardot commande à Madame Repetto une chaussure de ville aussi souple et confortable qu'un chausson de danse et choisit la plus sensuelle des couleurs, le rouge carmin.


La première ballerine voit le jour, la légende Repetto est née.

 

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