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Exposition Brigitte Bardot dans le "Figaro"

Publié le par Ricard Bruno



Figaro n°20 261 Cahier n°3 du 21 09 2009

Magnifique Interview de Brigitte Bardot sur deux pages, à ne manquer sous aucun prétexte!

Bruno Ricard
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Scoop exposition Brigitte Bardot : Exclusif et jamais vu : Un portrait de Brigitte Bardot par "Christo"

Publié le par Ricard Bruno

A tout ceux qui s'impatiente de découvrir la magnifique exposition Brigitte Bardot cliquez sur le lien ci dessous et découvrez en avant première et avant tout le monde sur le Blog de Pascal Fournier maire adjoint à la culture de Boulogne Billancourt ce MAGNIFIQUE tableau de CHRISTO

Bruno Ricard

Lien :  http://blogpfournier.typepad.fr/

Tout simplement "S U B L I M E!"
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Studio Ciné Live – Hors-Série N°3 : Les légendes du cinéma

Publié le par Ricard Bruno


Le magazine Studio Ciné Live nous présente son dernier hors-série présentant les légendes du cinéma, ces personnes, ces stars qui ont fait l’âge d’or du 7ème art…

20 portraits de stars, tel est le sommaire de ce hors-série, tiré de la rubrique Mythe Parade – qui fête ses 11 ans d’existence – de Studio Ciné Live.
20 étoiles, 20 personnalités, 20 « gueules » du cinéma. Elles ont fait la une de tant de magazines, tant d’affiches, tant d’émissions qui leur ont été consacrées. Des films qui sont entrés dans le classement des plus grands de tous les temps. On vous les présente ici.

Marilyn Monroe, Paul Newman, Elizabeth Taylor, James Dean, Romy Schneider, Natalie Wood, Robert Redford, John Wayne, Sophia Loren, Marcello Mastroianni, Audrey Hepburn, Cary Grant, Lino Ventura, Jean Gabin, Greta Garbo, Marlon Brando, Brigitte Bardot, Charlie Chaplin, Humphrey Bogart, Fred Astaire.

Des étoiles, qui pour la plupart, se sont brûlées les ailes bien trop vite mais qui resteront à jamais gravées dans nos coeurs.
90 pages de biographies, filmographies et autres anecdotes succulentes qui vous fera traverser le temps et revenir au moment le plus fort du cinéma : celui du temps des légendes.

Et rien que pour cela, chapeau bas Studio Ciné Live : www.studiocinelive.com

Bruno Ricard

Publié dans le web en parle

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Interview exclusive de Brigitte Bardot !

Publié le par Ricard Bruno



P_bb
Libre, sensuelle, insolente, consacrée en Marianne, canonisée par Vadim, Gainsbourg, Godard, Clouzot… Elle est la star absolue. Sex-symbol puis ambassadrice des animaux, ce trésor national qui fête ses 75 ans inspire toujours d’incandescentes passions. En cadeaux d’anniversaire : l’exposition-événement (1) à Boulogne-Billancourt et le livre de l’écrivain-journaliste Henry-Jean Servat (2), qui l’ a aussi débusquée le temps d’une conversation à… Saint-Tropez.

Paru le 17.09.2009 , par Henry-Jean Servat

(1/5)

MadameFigaro. – S’il vous fallait, aujourd’hui, à la veille de votre anniversaire, gratifier Brigitte Bardot d’un qualificatif particulier, quel serait-il ?
Brigitte Bardot. - « Révoltée ». Je suis une révoltée. Je suis toujours révoltée. Je suis révoltée contre les injustices permanentes qui règnent sur la terre, contre ces misères humaines et animales que les dirigeants de notre pays ne parviennent pas à éradiquer.

Est-ce que, au moins, vous êtes heureuse ?
Comment voulez-vous l’être en sachant les horreurs qui se passent ! Je suis trop lucide pour être heureuse, bien trop lucide pour avoir jamais pu être heureuse. Parfois, un air de guitare me rattrape, je trouve cela bien. Et je me sens bien. Mais cela ne dure pas. Il m’arrive, bien sûr, d’avoir des moments, des petits moments trop courts, de beauté et de rigolade, mais un grand bonheur, le vrai bonheur, je ne l’ai jamais connu.

Vous avez quand même connu, récemment, un dernier grand bonheur…
Non.

Est-ce à dire que vous êtes habitée par des sentiments négatifs ?
Absolument pas. Bien au contraire. Je suis très occupée, et cela ne me laisse pas le temps de penser à des trucs négatifs. J’ai une force qui ne me quitte pas. C’est ma Fondation. Grâce à elle, je me dis que j’ai fait et que je continue à faire quelque chose d’intelligent de ma vie, avec ma vie. Vous me voyez chez moi, patraque, avec mes cannes, mais je m’occupe – regardez la pile de lettres et de dossiers sur ma table – à batailler pour faire en sorte que s’arrête la maltraitance à l’encontre des êtres vivants en général et des animaux en particulier.

C’est une occupation de chaque seconde ?
Et ce sera mon occupation jusqu’à mon dernier souffle. Et je me sers de mon nom pour me battre.

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« Le public m'a toujours soutenue et aimée »

(2/5)

Vous êtes donc consciente de l’aide essentielle que vous a apportée le cinéma pour en arriver là ?
Bien sûr. Le cinéma m’a aidée à y arriver. Mais c’est ensuite l’amour des animaux qui m’a maintenue en vie. Souvent, je réalise que si je ne m’étais pas occupée d’animaux, je me serais foutue en l’air, comme l’ont fait et Marilyn et Romy.

Il y a encore et toujours des gens qui vous critiquent ?
Ça, je m’en fiche… pour ne pas dire autre chose. S’il y a des gens qui ne m’aiment pas ou qui se moquent, moi, je me sens responsable de milliers, de milliers de petites vies que je prends en charge. Et je sais que des milliers de gens, en France ou de par le monde, m’envoient leur force, car je reçois des lettres de partout – du Japon, du Brésil et de quantité d’autres pays. Cela me tient et cela m’empêche de tomber. Je peux même dire que cet amour des gens va en grandissant. Le public m’a toujours soutenue et aimée. Et j’en ai bien besoin, tellement j’ai été salie. Et tellement j’ai souffert d’un acharnement qui s’est exercé contre moi.

Vous avez quand même pris des positions radicales et excessives…
Peut-être. Mais je n’ai jamais pris de positions politiques. Je n’ai jamais fait partie d’un parti. Moi, je ne suis que d’un seul parti, celui des animaux, des animaux martyrisés, méprisés, battus, torturés. Je déteste les gens qui maltraitent les animaux. Qui les mangent et qui ne sont même pas foutus de respecter ce qu’ils vont avaler et qu’ils vont se mettre dans le corps. Lorsque j’étais jeune et belle – je n’avais même pas 28 ans en 1962, je suis allée à la télévision pour protester contre les conditions d’abattage des animaux de boucherie. Vingt-sept années plus tard, on pratique toujours en France un abattage rituel qui est le même qu’au Moyen Âge, aussi barbare et aussi cruel. Et je ne comprends pas que les dirigeants de mon pays ne parviennent pas à imposer un étourdissement préalable à ces malheureux animaux égorgés avant une longue et lente agonie.
Bb2

« Je sais que mon combat est juste »

(3/5)

Sur cette histoire-là, vous êtes montée au créneau avec véhémence et violence !
Parce que vous ne croyez pas qu’il s’agit là d’un traitement inhumain, véhément et violent ? Je sais que mon combat est juste, et, malheureusement pour moi et heureusement pour les animaux, je dis ce dont j’ai envie et ce qu’il faut dire, avec mon intégrité et ma franchise. Clairement, ce genre de tuerie m’écœure.

Vous vivez au milieu d’horreurs difficilement racontables…
Je passe mon temps, à travers ce que je lis, ce que je vois, ce que j’entends, à vivre dans la douleur, dans le sang, dans la mort. Je finis par en être lasse et écœurée, je viens de vous le dire, et mes nerfs parfois craquent. Je ne supporte pas que les êtres humains, soi-disant mes semblables, se foutent de la souffrance animale.

Est-ce à dire que vous vous désintéressez des misères humaines ?
Je sais qu’il y a des imbéciles qui ne comprennent rien et qui me le reprochent, comme si les gens avaient un cœur pour aimer les animaux et un cœur pour aimer les hommes. J’aime tout ce qui vit et tout ce qui souffre. J’ai choisi mon combat, et je n’empêche personne de choisir le sien, différent du mien. Donc, à chacun son combat.

Étiez-vous consciente, au temps de votre gloire cinématographique, de ce que vous viviez et que vous deviendriez, plus tard, une femme engagée dans de tels combats ?
J’aimais déjà les animaux, puisque, gamine, je voulais vivre dans une ferme, entourée d’animaux sauvés de la maladie et de la mort. Cela m’a toujours occupée et préoccupée. Ensuite, pour ce qui était de mon avenir, je n’étais consciente de rien du tout. Je faisais ce que j’avais envie de faire, j’étais ce que j’avais envie d’être. Je ne faisais pas les choses exprès. Mais je savais que je voulais faire quelque chose de ma vie, ne pas me contenter de réussir dans la vie mais, surtout, réussir ma vie.

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« Je ne suis pas comédienne pour un rond »

(4/5)

En attendant cette réussite de vie, pourquoi cette gloire est tombée sur vous et pas sur une autre fille ?
Je ne me suis jamais posé la question. La chance ou le destin ont fait que, à un certain moment, j’ai été ce que j’ai été au moment où il fallait l’être et où je ne le cherchais pas. C’est tout. Je n’avais rien demandé. Je ne cherchais pas à obtenir la gloire à tout prix.

Quand vous pensez à cette époque de votre vie, éprouvez-vous des remords ou des regrets ?
Je ne pense pas beaucoup à cette période et je ne m’occupe pas du passé. Je suis plus tournée vers l’avenir… si, quand on a bientôt 75 ans, on peut encore se tourner vers l’avenir. Je ne me pose donc pas trop de questions au sujet d’histoires anciennes. Je ne m’en posais pas hier, et je m’en pose encore moins aujourd’hui. Mais je sais, avec certitude, que je n’ai pas à rougir de ce que j’ai fait. Mon grand-père disait : « Vos actes vous suivent ! » Eh bien, ils me suivent, et je conserve un grand sens du bien. Tout ce que je dis ou fais n’existe qu’en fonction de la cause animale. Je pense n’avoir jamais rien fait d’autre.

Quel regard portez-vous sur votre passé de comédienne ?
Je n’étais pas comédienne. Je ne suis pas comédienne pour un rond. Je jouais simplement ce qu’on me demandait d’interpréter. Et je souhaitais bien le faire. Je donnais donc le meilleur de moi-même, parfois jusqu’à l’épuisement physique et moral, et c’est bien pour ça que j’ai tenté de me foutre en l’air après avoir tourné La Vérité.

Précisément, quand vous voyez vos films, que pensez-vous de la fille sur l’écran ?
D’abord, je ne regarde pas mes films. Je ne veux pas les regarder, ou alors, si je les vois, c’est par hasard. Cela ne me fait pas plaisir, j’ai peu de goût pour la nostalgie et pour les souvenirs, c’est trop négatif. De toute façon, je ne me souviens plus des histoires.


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« Les Années insouciance »

(5/5)

Il y a quand même actuellement un motif de bonheur ou de satisfaction avec cette exposition qui vous est consacrée et qui restera pendant quatre mois à Boulogne-Billancourt avant qu’elle fasse le tour du monde…
Je ne dirais pas qu’il s’agit de bonheur ou de satisfaction, mais de fierté. Je suis, en effet, très fière de cette exposition que j’ai approuvée, mais que je n’ai pas sollicitée. Pareil hommage n’est arrivé à personne.

Vous pouvez le dire. À personne. Pas même à Marilyn…
J’ai connu, ces temps derniers, une assez longue traversée du désert au long de laquelle j’ai été boycottée et maltraitée. Et je pense que c’était une injustice de m’avoir ainsi mise au ban de tout. S’il y a donc, aujourd’hui, une autre façon de me reconsidérer, tant mieux. Et je ne vais pas m’en plaindre. Car la reconnaissance et la renaissance qu’implique cette exposition, d’une certaine manière – je le dis sans aucune prétention –, je les mérite.

Cette exposition s’appelle Les Années insouciance, mais elle aurait pu s’appeler « Les Années scandaleuses ». Comment réagissez-vous, des décennies plus tard, au qualificatif de « scandaleuse » dont vous avez été et restez affublée ?
J’ai simplement été ce que j’avais envie d’être. C’est-à-dire être moi, franche, claire, nette. Je n’étais pas « scandaleuse ». Je n’étais que naturelle et vraie. C’est pourquoi je peux vous annoncer que la visite de cette exposition me fera fondre en larmes – pourquoi le cacher ?

On constatera, en visitant cette exposition, que vous avez passé votre vie à aller contre le qu’en-dira-t-on et, en fait, à changer la société. Vous êtes maintenant un précis d’histoire de France et un manuel de sociologie à vous toute seule, plus que n’importe quelle actrice ou n’importe quel autre politicien…
Si j’ai chamboulé les codes de la société, si j’ai bousculé les choses et les gens, si je suis allée à l’encontre des règles établies par les bien-pensants, cela ne faisait pas partie de ce que j’avais envie de faire. C’était dans l’air du temps. Je n’ai jamais fait semblant. Je ne regrette rien. J’ai été là. Je le suis encore. Et si donc, aujourd’hui, se profile pour moi une sorte de retour ou de recours en grâce, tant mieux.

(1) Brigitte Bardot, les années « insouciance », du 28 septembre 2009 au 31 janvier 2010, MA 30-Espace Landowski à Boulogne-Billancourt. Henry-Jean Servat est le commissaire d’exposition.
Rens. sur www.expobrigittebardot.com.

(2) Brigitte Bardot, la légende (éd. Hors-Collection).

Source : http://madame.lefigaro.fr/culture/enquetes/618-brigitte-bardot-bardot


Bruno Ricard


















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Brigitte Bardot dans madame Figaro le 19 09 2009! à ne pas rater!

Publié le par Ricard Bruno

Quand Mélanie Thierry et Christa Theret ont quelque chose de... Bardot ! C'est beau !

Elle a été l'idole de toute une génération et aujourd'hui ce sont les actrices de... la nouvelle génération qui ont tenu à lui rendre hommage. Qui n'a jamais rêvé de se glisser dans la peau de Brigitte Bardot dans ses grandes années ?

Photos/Vidéos liées

 
Quand Mélanie Thierry et Christa Theret ont quelque chose de... Bardot ! C'est beau !


Dans le nouveau numéro de Madame Figaro qui sort demain, Christa Theret, Lolita Chammah, Sara Forestier ou encore Mélanie Thierry se sont prêtées à une séance de photo particulière censée reproduire une scène d'un film dans lequel jouait Brigitte Bardot. Et le résultat est magnifique. La jeune héroïne de LOL pense que B.B a permis aux actrices d'acquérir une "certaine liberté, dans la façon d'être et de parler". Quant à Mélanie Thierry qui la représente dans une scène du film En cas de malheur de Claude Autant-Lara dans lequel Brigitte Bardot partageait l'affiche avec le magnifique Jean Gabin, elle admire entre autre "ses choix de carrière".

Brigitte Bardot, à qui une exposition rendra hommage du 28 septembre au 31 janvier 2010, à Boulogne Billancourt, se livre à Henry-Jean Servat, le comissaire de l'exposition, dans les colonnes de Madame Figaro. Toujours aussi "révoltée" à 75 ans, elle s'exprime sur ses "années d'insouciance" avec l'honnêteté qu'on lui connaît : "J'ai été simplement ce que j'avais envie d'être. C'est-à-dire être moi, franche, claire, nette. (...) Je n'étais que naturelle et vraie. (...) Je n'ai jamais semblant. Je ne regrette rien."

De Laetitia Casta, qui l'incarne dans le biopic de Serge Gainsbourg, à Mélanie Thierry et Christa Theret, espérons que toutes les actrices qui tentent un temps soit peu de lui ressembler aient ce même tempérament signé... B.B.

Retrouvez l'intégralité des propos de Brigitte Bardot et les photos des autres actrices dès demain dans Madame Figaro.

Source : http://fr.news.yahoo.com/51/20090918/ten-quand-mlanie-thierry-et-christa-ther-0111c6b.html
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Les icônes Loren et Bardot vont fêter leurs 75 ans!

Publié le par Ricard Bruno


Sophia Loren, la brune Italienne aux yeux de biche, et Brigitte Bardot, la blonde Française à la moue boudeuse, qui vont avoir 75 ans le 20 septembre pour la première et le 28 septembre pour la seconde, ont incarné l'archétype des stars de l'après-guerre à la sensualité explosive.
 
Et c'est peu dire que ces deux icônes européennes ont fait rêver la planète entière.
 
Woody Allen, dans son film "Anything else" (La vie et tout le reste", 2003), raconte par exemple - via le personnage qu'il interprète - un fantasme très érotique dans lequel il se trouve seul chez lui avec Marilyn Monroe et Sophia Loren. Et Roger Vadim, premier mari de Bardot et réalisateur de "Et dieu créa la femme" (1956), lui a dit qu'elle serait "un jour le rêve impossible des hommes mariés".
 
Pour le reste, tout ou presque les oppose. Sophia, fille illégitime, connaît une enfance difficile près de Naples. Brigitte est issue d'un milieu bourgeois fréquentant le Tout-Paris et reçoit une stricte éducation. La première tente de sortir de sa condition par le cinéma. La seconde fait la couverture de "Elle". Sa mère était une grande amie de la fondatrice du magazine Hélène Lazareff.
 
L'une et l'autre séduisent en premier par leur plastique de rêve. Toutes deux subissent les foudres de la censure, en Italie pour la Loren ("Si, si era lui" par exemple), aux Etats-Unis pour BB lors de la sortie de "Et Dieu créa la femme".
 
Ces deux femmes ont aussi marqué le cinéma grâce à plusieurs rôles - "La Ciociara" ou "Une journée particulière" pour Loren, "Le mépris" ou "La vérité" pour Bardot.
 
Mais si Sophia Loren a fait un crochet par Hollywood, Brigitte Bardot a toujours refusé de franchir le pas.
 
Et si BB a choisi de quitter tôt le monde du cinéma et du rêve pour la réalité du combat pour la défense des animaux, ne corrigeant pas l'usure du temps sur son physique, Sophia Loren s'affiche toujours à bientôt 75 ans, des robes de stars au profond décolleté.

Source : http://www.7sur7.be/7s7/fr/1528/Cinema/article/detail/997737/2009/09/18/Les-icones-Loren-et-Bardot-vont-feter-leurs-75-ans.dhtml

Publié dans le web en parle

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Brigitte Bardot demande l'interdiction des animaux dans les cirques

Publié le par Ricard Bruno

Mon commentaire : Brigitte à 100 fois raison, oui aux cirques mais sans animaux!

*Stress, ennui et souffrance, voilà le quotidien des animaux en captivité
La place de l'animal sauvage n'est ni sur une piste,
ni dans un zoo ni en cage chez vous !
Laissons l'animal dans son habitat naturel !

Bruno Ricard
*(extrait du site de la fondation Brigitte Bardot)



Brigitte Bardot a demandé au ministre de l'Ecologie d'interdire les animaux dans les cirques, au lendemain de la saisie par les services vétérinaires de Gironde d'un tigre à l'état de santé dégradé.
"Le ministre de l'Ecologie doit agir et interdire la présence d'animaux dans les cirques car ça n'a pas de sens de faire de belles déclarations sur la biodiversité, sur la préservation des espèces, si à côté de cela on laisse des centaines d'animaux sauvages crever dans des cirques indignes", estime la présidente de la Fondation Bardot. 

Source : http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Brigitte-Bardot-demande-l-interdiction-des-animaux-dans-les-cirques_-1073390_actu.Htm

INFORMATION FONDATION BRIGITTE BARDOT :
CAPTIVITE

Depuis sa création, la FBB se bat contre la captivité des animaux. L’animal a le droit de vivre en liberté dans un habitat naturel adapté à ses besoins physiologiques.

Cirque LE CIRQUE

Enfermé les trois-quarts de sa vie dans une cage étroite, souvent brutalisé par les dresseurs, l'animal ne sort que pour exécuter des numéros contre nature. Bien que les gens du cirque affirment haut et fort que leurs animaux sont heureux, on ne peut que constater la détresse dans laquelle se trouvent ces animaux qui adoptent rapidement des comportements pathologiques et stéréotypés.

Cirque 2 Parallèlement à son travail d’enquête (la FBB se porte partie civile et fait retirer des animaux qui sont maintenus dans des conditions de vie lamentables), la Fondation sensibilise l’opinion publique sur la réelle situation des animaux de cirque.
Ainsi en 2003, nous avons mené dans toute la France une grande campagne contre l'exploitation des animaux de cirque. VIVE LE CIRQUE SANS ANIMAUX !

Ce que vous pouvez faire :

N'emmenez pas vos enfants dans les cirques utilisant des animaux.
Préférez les cirques qui développent leur art en inventant de nouveaux numéros de jongleurs, de trapézistes et de clowns… Par ailleurs, vous pouvez signer notre pétition (lien) réclamant l'interdiction progressive de l'utilisation des animaux sauvages dans les cirques, l'interdiction de la reproduction en captivité des animaux, le renforcement des contrôles et l'instauration d'un plan de route obligatoire.

Zoo LES ZOOS

Il suffit de visiter la plupart des zoos français pour voir dans les yeux des animaux qui y sont enfermés la détresse et la résignation.
Des fauves qui "tournent" dans leurs cages, des gorilles inexpressifs et résignés, voilà ce que l'on peut constater dans ces lieux carcéraux.
Si les zoos se veulent éducatifs, ils ne font que reproduire de manière caricaturale le monde sauvage en exploitant des animaux qui n'ont rien à faire sous notre climat. Pis, certains, peu scrupuleux, n'en prennent pas soin.

L'étroitesse des enclos, l'inadéquation des conditions de vie avec leurs besoins physiologiques (l'habitat naturel d'un ours ou d'un fauve est de plusieurs dizaines d'hectares…), sont autant de facteurs qui participent au développement de comportements stéréotypés et pathologiques.

LA MODE DES " Nouveaux Animaux de Compagnie" (NAC)
Depuis une dizaine d'années, s'est développée en France la mode des nouveaux animaux de compagnie. Serpents, chiens de prairie, autant d'animaux sauvages qui nécessitent des soins spécifiques et n'ont rien à faire chez des particuliers.
Ces animaux exotiques ont en effet des besoins physiologiques très spécifiques auxquels leurs acquéreurs ne peuvent répondre.
Ainsi, lorsqu'ils constatent que l'animal a souillé leur maison ou devient agressif, ils décident de l'abandonner, soit dans la nature (l'animal "domestiqué" ne survivra pas ou bien mettra en péril l'écosystème français, comme ce fut le cas avec les tortues de Floride), soit à une association de protection animale débordée par le nombre de nouveaux arrivants. A noter que le furet est considéré comme un NAC mais ce n'est pas un animal sauvage car issu d'un croisement volantaire entre différentes espèces(putois,fouine,vison).

Ce que vous pouvez faire :

N'achetez jamais un animal sauvage exotique (oiseau, reptile, mammifère…) ! Ne cédez pas à l'effet de mode actuel car aquérir ces animaux signifie cautionner la mort de milliers d'autres, décédés lors de leur capture dans leur habitat naturel.
Par ailleurs, même les animaux nés en France requièrent des soins spécifiques et, pour certains, de grands espaces que vous ne pourrez jamais leur offrir…

Stress, ennui et souffrance, voilà le quotidien des animaux en captivité
La place de l'animal sauvage n'est ni sur une piste,
ni dans un zoo ni en cage chez vous !
Laissons l'animal dans son habitat naturel !

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Exposition Brigitte Bardot: nature jusqu’au bout

Publié le par Ricard Bruno

BB a 75 ans
     
Brigitte Bardot: nature jusqu’au bout

Sexe-symbole absolu du cinéma français, BB aura 75 ans le 28 septembre. Une exposition de 1000 m2 va célébrer le mythe, à Paris. La star, elle, ne vit plus que pour défendre les animaux. Férocement authentique, elle refuse tout lifting ou toute opération, contrairement à certaines autres grandes actrices. Poignant.

A la fin de sa vie, Marlène Dietrich ne sortait plus qu’à la tombée du jour. Après qu’elle eut quitté les plateaux de cinéma, personne n’a plus vu la divine Greta Garbo, vivant recluse et fuyant les miroirs.

Brigitte Bardot, on la voit encore, plein champ. Vernir son icône ne l’intéresse pas. Elle existe, parle haut et clair quand elle a quelque chose à dire, avec des mots souvent très verts et parfois intolérants, et se montre si cela lui chante.

A chacune de ses apparitions, à chacun de ses anniversaires, BB quinquagénaire, BB septuagénaire, les gazettes s’agitent et dévoilent l’avancée des rides sur son visage, l’orage fou de ses cheveux gris et l’outrage du temps qui craquelle sans pitié sa chair autrefois si désirable. Elle s’en moque avec la même moue qu’elle avait quand on lui disait qu’elle était belle, admirable, irrésistible.

Le mambo et la cow-girl

Mais pourquoi ne pas accepter un petit lifting, comme tant d’autres beautés flétries? «Jamais! Je suis un être vivant, j’aime gesticuler, bouger les mains. Les mains, on ne peut pas les lifter, pas les cacher. Elles trahiront toujours mon âge. Je vis très bien avec mes rides, elles m’appartiennent. J’en connais, des femmes liftées. Elles n’ont pas l’air plus jeunes, mais elles ont l’air plus ridicules.» Ou se faire opérer de cette double arthrose des hanches qui gagne du terrain et l’oblige à se déplacer avec des béquilles, à coups d’antidouleurs? «J’ai la trouille. Mon opération des hanches et mon traitement contre le cancer du sein m’ont suffi. Et nous, les femmes, devons apprendre à vivre avec notre âge.»

Affaire classée et qui ne fera qu’empirer. Alors il faut vieillir avec Brigitte Bardot et la regarder encore. Continuer à l’aimer ainsi, en BB du XXIe siècle. Sans que cette réalité d’aujourd’hui n’efface la danseuse de mambo d’Et Dieu créa la femme (1956), la sauvageonne couchée sur le ventre du Mépris (1963) ou l’énergique cowgirl des Pétroleuses (1971). Et aussi la fille au naturel hallucinant qui dansait sur les tables dans la rédaction de Paris Match, que les journalistes allaient faire rire au café du coin, puis qui s’endormait blottie dans un canapé. La petite sœur, la fiancée sans complexe d’une France un peu cul-bénit, qui s’effarouchait d’une peau laiteuse derrière un manteau clair ou d’une fesse sur une plage cannoise.

BB, au début, fut la chose de son premier mari, Roger Vadim, metteur en scène fou amoureux des femmes. Elle en sourit: «La Brigitte Bardot d’autrefois n’existait pas, elle portait un appareil dentaire et des lunettes. Vadim a transformé en cygne un vilain petit canard. Il a fait teindre mes cheveux, car je ne suis pas blonde au naturel. Il m’a forcée à porter des bikinis trop petits et il m’a fait poser.»

Fini le cinéma

Suivirent plus de 80 chansons, des images de Harley Davidson et de Sous le soleil exactement, une langueur, une fraîcheur qui collait à son époque. Et 48 films jusqu’à ce qu’elle plaque le cinéma d’un coup, en 1973. «Je m’en souviens bien. Je tournais dans le Périgord L’histoire très bonne et très joyeuse de Colinot Trousse-Chemise. Entre deux scènes, je me suis vue, passant devant une glace, chapeautée d’un hennin et costumée en châtelaine moyenâgeuse. Je me suis trouvée tellement cruche. Le cinéma me gonflait depuis longtemps déjà et, en une seconde, j’ai décidé d’arrêter. J’ai fini le film, mais j’ai dit à mon agent que je ne voulais plus jamais faire de cinéma et que je ne voulais plus jamais lire un scénario.»

Elle l’a pris comme une libération, elle n’était pas Signoret ou Deneuve. A son avis, cette décision a sauvé sa peau. «J’ai réalisé, au long des jours qui suivirent la mort de Romy (ndlr: l’actrice Romy Schneider, décédée en 1982), qu’en arrêtant le cinéma, j’avais préservé ma vie. Si je suis là, aujourd’hui, c’est que j’ai su quitter le cinéma à temps et prendre du recul.»

Bardot, c’est aussi l’amour. Les hommes qui passent. Comptabilisons? «Si je calcule, j’ai eu 17 hommes, dont mes quatre mariages.» Le premier époux fut décisif: elle a 15 ans quand elle rencontre Vadim, lui 19. Ils attendent impatiemment sa majorité pour se marier, en 1952. Perturbés par l’idolâtrie soudaine vouée à BB, ils divorcent en 1957. Ils resteront amis jusqu’à la mort de Vadim, en 2000.

Des roses sur la Madrague

Puis Jacques Charrier, jeune acteur que BB impose dans Babette s’en va-t-en guerre. Ils se marient à la fin du tournage, divorcent en 1963. La garde de leur enfant échoit à Charrier, qui quitte le cinéma en 1970. La relation se détériore jusqu’à la brouille finale: il intente un procès à Bardot après la parution de sa biographie.

Et le millionnaire allemand Gunther Sachs, rencontré en 1966. Follement épris et chevaleresque à souhait, il fait déverser cent douzaines de roses par hélicoptère sur sa propriété de la Madrague. Ils se marient à Las Vegas, en huit minutes. Se quittent tout aussi vite et divorcent en 1969. Pour célébrer les dix ans de leur séparation, il lui offre un immense diamant.

Et celui d’aujourd’hui, moins glamour: Bernard d’Ormale. Rencontré en juin 1992, épousé en août. Proche de Jean-Marie Le Pen, sympathisant des idées d’extrême droite, cet industriel a travaillé dans le bureau du Front national de Nice. Il soutient ardemment son épouse dans son combat pour les animaux. «Il sera mon mari pour le reste de ma vie», jure-t-elle.

D’Ormale, aux antipodes de Serge Gainsbourg: en octobre 1967, leur liaison est aussi brève qu’intense. Dans une fièvre amoureuse et créatrice, il lui écrit huit chansons mythiques, dont Harley Davidson et Comic Strip, et fait exploser sa carrière musicale. «Bardot est la Rolls de ma vie. Cette fille m’a marqué au fer rouge», écrira-t-il.

Elle a un seul enfant, Nicolas, fils de Jacques Charrier, né en 1960 après une grossesse de cauchemar. «Les deux premiers mois, j’ai pensé avorter. Mes parents m’en ont empêchée. Puis je suis restée enfermée deux mois au septième étage, chez moi, rue Paul-Doumer, cernée par 200 journalistes qui planquaient. Les volets fermés, avec mon gros ventre, j’ai tourné en rond sous la menace de téléobjectifs sortant de toutes les chambres de bonne, louées depuis des semaines. » Il en est resté des traces profondes, elle n’a jamais été une bonne mère. «Je n’ai jamais ressenti le moindre sentiment maternel. Après la naissance, je suis devenue dépressive. J’ai même tenté de me suicider.»

Elle ne voit plus ce fils, qui a épousé une fille de diplomate et vit en Norvège. Ne connaît même pas ses deux petites-filles, âgées de 17 et 21 ans. Dit le prendre avec indifférence. «Les liens du sang ne m’intéressent pas.»

Les animaux d’abord

Il reste les animaux, fidèles, et pour lesquels elle a tout vendu en 1986 pour créer sa fondation. Déjà dans les années 80, les visiteurs de sa maison tombaient sur ses vingt chats, ses huit chiens, son âne. Les bêtes lui ont donné une raison de continuer à vivre. Elle s’est battue pour eux. Avec des grandes joies, comme celle d’avoir gagné cette année une bataille de trente-deux ans pour empêcher la chasse aux phoques. Avec quelques dérives ignobles comme quand elle est condamnée pour la cinquième fois en onze ans pour «incitation à la haine raciale» à la suite de propos sur les musulmans. Au sujet de la fête de l’Aïd el-Kebir, elle a écrit: «Il y en a marre d’être menés par le bout du nez par toute cette population qui nous détruit, détruit notre pays en imposant ses actes.»

Oui, vieillir avec BB, bon an mal an.

L'expo «Brigitte Bardot, les années insouciance» a lieu du 29 septembre 2009 au 31 janvier 2010, à Boulogne-Billancourt. Infos: www.expobrigittebardot.com

Source : http://www.illustre.ch/brigitte_bardot_nature_bout_2570_.html
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Six mois de prison ferme pour avoir brûlé Mambo (tant mieux et ce n'est pas assez!)

Publié le par Ricard Bruno

Le jugement est tombé dans le procès « Mambo ». Selon René Goize, l'époux de la nouvelle maîtresse du chien, la jeune fille, qui a aidé un mineur de 17 ans à mettre le feu à l'animal en août dernier, a été condamnée par le tribunal correctionnel de Perpignan à un an de prison dont six mois ferme, avec mise à l'épreuve de 18 mois. Elle devra également payer une amende de 6 000 euros aux six parties civiles, parmi lesquelles figure la Fondation Brigitte Bardot. Durant les cinq prochaines années, il lui sera interdit de posséder un animal domestique.

Sur lepost.fr, l'avocat de la fondation 30 Millions d'Amis s'est exprimé. « Cette jeune fille de 22 ans n'a pas l'air d'avoir saisi la mesure de son geste », a déclaré Maître Xavier Bacquet. «
Elle a été placée en contrôle judiciaire assez strict.» Elle ne devra pas rencontrer le jeune homme impliqué dans cette affaire, « qui se trouve être son petit ami ».

En août dernier, à Espira-de-l'Agly (P.-O.), tous deux avaient mis le feu à ce petit chien sans raisons apparentes. Mambo avait été brûlé au 2e et 3e degrés sur 60 % de son corps. Cette histoire a soulevé un élan d'émotion exceptionnel. D'abord dans le village - où une soixantaine de personnes étaient descendues dans la rue pour clamer leur indignation quelques jours après l'agression - ensuite sur internet. Sur Midilibre.com, le récit des tortures infligées au petit chien avaient également donné lieu à des dizaines et des dizaines de commentaires outrés.

Le jeune homme, âgé de 17 ans, sera quant à lui jugé le 17 décembre

Source : http://www.midilibre.com/articles/2009/09/15/Affaire-du-chien-martyr-Mambo-6-mois-de-prison-ferme-pour-avoir-brule-Mambo-920518.php5
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