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NTRETIEN EXCLUSIF AVEC BRIGITTE BARDOT : « J’OBSERVE LA FRANCE AVEC DÉSOLATION. »

Publié le par Ricard Bruno

NTRETIEN EXCLUSIF AVEC BRIGITTE BARDOT : « J’OBSERVE LA FRANCE AVEC DÉSOLATION. »

Ce n’est pas la première fois que Brigitte Bardot s’attaque au gouvernement. Elle avait déjà sollicité le ministre de la Transition écologique, madame Barbara Pompili, afin que soit interdite la chasse en enclos. « La chasse en enclos sur des animaux captifs, dans l’incapacité de fuir, est d’une lâcheté plus effroyable encore, une honte pour les hommes qui s’y adonnent et pour nos dirigeants qui laissent faire. » L’ancienne actrice lutte bec et ongles pour une prise de conscience des souffrances animales, mais aussi face à l’indifférence de nos politiciens malgré leurs promesses qui, systématiquement, restent lettre morte une fois les élections gagnées. Cette tribune, publiée le 7 juillet sur le compte Twitter de la Fondation Brigitte Bardot, dénonce la lâcheté face à l’horreur ; et notre BB nationale de s’en prendre aux écologistes : « Aucun parti ne parle des animaux, même pas les écologistes dont ça devrait être la priorité », avant d’apostropher directement le Président de la République : « Vous avez fait de la France un monticule de douleurs animales et humaines qui vous sert de trône, Monsieur Macron. »

Notre dernière conversation remonte à juillet 2013 ; en huit ans, quelles sont les progrès notoires que votre fondation a obtenus en matière de protection animale ?
BB : Je ne prends jamais la parole pour évoquer les combats gagnés mais pour soutenir ceux en cours. C’est la raison de ma dernière tribune. Voilà presqu’un demi-siècle que je suis vent debout au bénéfice des animaux ; le dernier bilan de ma Fondation atteste que 75% de nos ressources vont à la protection animale directe. Je vais vous donner les chiffres pour que vous les transmettiez car nous sommes l’un des organismes qui redistribuent le plus à sa cause. Disons que, en huit ans, nous avons pris conscience qu’il était essentiel d’associer les jeunes dès l’enfance à notre combat, raison pour laquelle la fondation a créé un espace Internet Junior et un Instagram Junior… et tant d’actions parallèles que votre interview ressemblera à une liste si je les énumère toutes.

[La répartition des dépenses de l’année 2019 est de 75% pour la protection animale directe (66% France, 9% international) – 5% en frais de fonctionnement – 5% pour les actions de sensibilisation – 3% d’actions juridiques contre la maltraitance – 6% de frais de recherche de fonds – 5% de fonds dédiées – 1% en charges diverses.]

Évoquons alors les combats en cours…
BB : Idem. Ils sont très nombreux. Parmi lesquels l’interdiction de la corrida et, faute de l’obtenir, au moins son interdiction aux mineurs… le bannissement définitif des animaux sauvages dans les cirques… le stricte contrôle de ce qui se passe réellement dans les abattoirs… la fin de l’abatage rituel… tout cela et bien d’autres choses n’ont malheureusement pas été résolus depuis notre dernière conversation.

Quel est le pays le plus avancé en matière de protection animale ?
BB : Il n’y a pas de pays modèles. Pour autant, certains états font de petits efforts réguliers afin d’améliorer la cause animale ; j’observe avec désolation que ce n’est hélas ! pas le cas de la France.

A Tel Aviv et à Lisbonne, des gamelles d’eaux sont disposées à l’entrée des magasins pour que les chiens puissent boire, ils sont d’ailleurs acceptés presque partout sauf dans les boutiques alimentaires. Idem en Italie où une chaîne de supermarchés a conçu des Caddy pour recevoir les petits chiens. En France, impossible de faire ses courses avec un animal et la majeur partie des restaurants les refusent, même chose chez certains coiffeurs… La réduction des abandons ne serait-elle pas substantielle si les animaux n’étaient pas refusés quasiment partout ?
BB : Absolument. Comme je viens de vous le dire, la France n’a engagé aucun effort concret pour, non seulement la protection, mais aussi l’acceptation animale. Rien. Les animaux sont considérés comme des objets jetables ou/et corvéables à merci, pour l’essentiel dans le but d’en tirer un maximum de profit. Nous sommes la lanterne rouge de la protection animale des pays occidentaux. Les abandons sont la conséquence de toute cette indifférence.

Outre un sentiment de désolation, comment le ressentez-vous ?
BB : Pour moi qui suis considérée partout dans le monde comme la « fée des animaux », que mon pays soit si cruel et en retard m’attriste au-delà de tout. Chaque fois que j’y pense, j’ai les larmes aux yeux.

La ville d’Obernai, en Alsace, vient de passer la contravention de « non ramassage de crotte » à mille euros….
BB : Ces imbéciles me font rigoler avec leurs crottes de chien ! Il existe bien d’autres sujets de pollution autrement plus dommageables contre lesquels il serait préférable de lutter.

Par exemple ?
BB : Pas exemple ?! Les drogués qui « vomissent » leur seringues sur les trottoirs et dans les caniveaux. Il y a suffisamment d’argent gaspillé pour tous ces traine-savates – à qui on ne demande rien et contre lesquels on ne fait rien – pour que les services d’hygiène payés par nos impôts nettoient les crottes de nos chiens. Voilà encore une raison d’abandon !

Vous dénoncez « les lâches » qui nous gouvernent sans pourtant jamais vous être présentée à aucune élection…
BB : Mon combat est également politique dans la mesure où je lutte afin que soient modifiées les lois au bénéfice des animaux. Chacun ne pense qu’à son nombril, sa futur échéance électorale, son nombre de voix : être élu à tout prix, il n’y a que ça qui compte ; le reste, on n’en parle pas, surtout ne pas choquer par des propos intelligents qui pourraient se retourner contre vous. Alors oui ! Je n’ai jamais été candidate à des élections, précisément pour ne pas entrer en compétition avec ces Guignols qui détruisent la France. Éric Zemmour donne toutefois un peu d’espoir.

Y a-t-il quelques courageux parmi ces « lâches » ?
BB : La seule courageuse dans ce magma de connards, c’est moi, et c’est triste !

Pourriez-vous donner votre voix à un parti en désaccord avec vos obédiences s’il promettait de légiférer à l’avantage de la cause animale ?
BB : Ah, oui alors ! Je le bénirai ce parti, de quel bord qu’il soit ! Mais hélas…

Le coronavirus nous a privé de nos libertés pendant presque un an, chacun a donc pu se projeter sur ce qu’est l’enfermement. Pensez-vous que cette expérience ait fait comprendre ce que vivent les animaux enfermés toute leur vie ?

BB : Vous rêvez ? Peau de balle et balais de crin ! La connerie ambiante ne mène pas à réfléchir, et moins encore à l’essentiel ; en revanche, le superficiel, ça oui. Les animaux encagés le sont parce que certains acceptent de s’en nourrir, et parce que d’autres (souvent les mêmes) vont les voir dans des zoos en rigolant devant l’enclos des singes : ils se moquent de leurs pauvre désespérance. Voilà la vérité. Tant qu’il y aura une clientèle pour donner son argent à ce spectacle, les zoos existeront. Tiens ! Encore un combat à gagner.

 

Êtes-vous optimiste pour l’avenir de la protection animale, Brigitte Bardot ?
BB : Je ne suis optimiste pour rien du tout. La seule chose que je souhaite est de voir la planète retrouver l’équilibre qu’elle a perdu, victime d’une démographie incontrôlée, polluante, ravageuse et destructrice. Autant vous dire que ça n’aide pas à l’optimisme.

Pythagore débattait du droit des animaux dans l’Antiquité ; la première loi de protection animale du monde moderne – le Martins’s Act, du député irlandais Richard Martin – date de 1822 et « interdit les actes de cruauté à l’encontre du bétail » ; très récemment, Israël est devenu le premier pays à prohiber le commerce de la fourrure animal pour la mode… N’y a-t-il pas un peu d’espoir ?
BB : L’espoir fait vivre ! Mais il faut parfois plusieurs vies pour qu’il se concrétise…

Quelle est la première décision à prendre, la plus urgente, celle qui vous amènera des cauchemars tant qu’elle ne sera pas effective ?
BB : Ne plus se nourrir d’animaux. C’est impératif, urgent, vital.

« Honteux, écœurant et sordide » sont les trois adjectifs que vous avez utilisés pour définir la cérémonie des César 2021. Ce sont aussi des adjectifs que l’on retrouve dans votre qualification de la maltraitance animale. Le monde serait-il devenu ainsi ?
BB : Ne me parlez plus de cinéma, et surtout pas du cinéma actuel devenu sordide, social, vulgaire et violent ; il est le reflet de notre société décadente… On a tué le rêve et la beauté alors que ce sont eux qui ont toujours sauvé l’homme.

Je ne vous demanderai pas si vous êtes vaccinée contre le Covid-19, c’est un choix personnel, mais ces vaccins n’ont pu être élaborés que grâce aux essais sur les animaux. J’aimerais votre avis…
BB : Vous ne me le demandez pas mais je vais vous répondre : je ne me ferai jamais vacciner. Ce que vous appelez « essais sur animaux », je l’appelle vivisection. Quant à ces vaccins, précisément, j’en parle dans mon « Requiem pour les animaux », car des milliers de cobayes ont été victimes d’une mort lente et douloureuse afin de mettre au point des traitements qui enrichissent les laboratoires par milliards.

En fait, lorsque l’on observe votre vie, on constate que les animaux vous ont sauvée autant que vous essayez de le faire pour eux…
BB : Vous avez tout à fait raison.  C’est un curieux échange, et je leur dois ma survie car sans eux je ne serai plus là.

 Vous avez été mariée trois fois, mais votre plus belle histoire d’amour n’est-elle pas celle entre vous et les animaux ?
BB : Toutes les histoires d’amour sont belles et rares. Celle que je partage avec les animaux est unique, c’est ce qui en fait la précieuse valeur.

A propos d’amour et de valeur, accepteriez-vous de confirmer cette anecdote qui prétend que votre troisième mari, Günter Sachs, vous avait offert un magnifique diamant mis aux enchères par vous-même afin de récolter les fonds nécessaires pour créer votre fondation ; Günter Sachs aurait racheté le diamant pour vous le réoffrir ensuite…
BB : Mais c’est vrai ! Un geste d’une rare élégance. En revanche, Günter ne me l’a pas réoffert, il avait trop peur que je le revende pour les animaux. Sa générosité pour ma Fondation a été fidèle et grandiose jusqu’à sa mort.

La fille de ma voisine – Apolline, six ans – m’a demandé de vous poser cette question : « Peux-tu demander à la dame si elle parle la langue des chiens et si elle les comprend quand ils aboient ? ».
BB : Alors petite Apolline (c’est un joli prénom), oui je comprends le langage des chiens et toi aussi tu peux le comprendre. Ils aboient de façons différentes s’ils sont joyeux ou en colère, et ils font aussi des petits jappements de joie ou des gémissements de douleurs.

Votre dernier livre, Larmes de combat, date de 2018… Les éditions Grasset ont réédité vos mémoires, Initiales B.B., en 2020… Bernard Swysen et Christian Paty vous ont dernièrement consacré une bande dessinée… Y-a-t-il un autre livre en cours ?
BB : Un nouveau livre que je n’ai pas écrit vient de sortir, Vérité BB, de Pascal Louvrier.

L’avez-vous lu ?
BB : Non. Je ne lis pas les livres qui me sont consacrés. Je connais ma vie mieux que ceux qui l’écrivent ; toutes ces biographies sont d’ailleurs un puit sans fond.

 « Celui qui sauve une vie sauve l’humanité entière », c’est une citation de Primo Levi. Je vous demanderais de compléter celle-ci : Celui qui sauve un animal…
BB : Malraux a écrit : « Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie », je poursuis en ajoutant « qu’elle soit animale ou humaine ». La vie est sacrée. Celui qui sauve un animal sauve le sacré. Dieu est clair à ce propos : « Tu ne tueras point »…

Cet article sera illustré par une photo que je vous laisse choisir : soit un portrait de vous actrice, soit un portrait de vous aujourd’hui, éventuellement celui d’un animal de votre choix, ou bien une photo de ma chienne : elle s’appelle Java, le plus beau teckel du monde,  évidemment ! c’est ma chienne, dont voici quelques images…
BB : Honneur à Java, et je laisse à son papa Jérôme le soin de choisir la photo.

Merci de votre temps et de votre gentillesse…
BB : Je suis très émue d’avoir répondu à ces questions intelligentes et profondes, ça change des conneries habituelles.

Ultime question. Si vous aviez le dernier mot, Brigitte Bardot ?
BB : Merci Jérôme, merci Java, je vous aime et je vous embrasse. Ce sera mon dernier mot !

Propos recueillis par Jérôme ENEZ-VRIAD le 13 juillet 2021
© Juillet 2021 – J.E.-V. & Bretagne Actuelle

Initiales B.B. Autobiographie de Brigitte Bardot aux éditions Grasset, 640 pages – 24,90€

Fondation Brigitte Bardot – Reconnue d’utilité publique (Tous les dons sont déductibles à 66% des impôts sur le revenu), 28, rue Vineuse – 75116 Paris

Site Fondation Brigitte Bardot 

Site FBB Junior 

Twitter FBB 

Twitter FBB Junior 

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Nouveautés dans mes collections sur Brigitte BARDOT

Publié le par Ricard Bruno

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Dives-sur-Mer. Une journée de sensibilisation à la cause animale

Publié le par Ricard Bruno

Dives-sur-Mer. Une journée de sensibilisation à la cause animale

Cette année, l’association SOS Chats et Chiens fête son 10e anniversaire. Dimanche, elle organisera, sous la halle, son rendez-vous annuel consacré à la protection animale et aux artistes.

 

« Nous nous sommes battus pour pouvoir proposer cette édition, prévue en avril, afin de ne pas l’annuler deux ans de suite pour raison sanitaire, explique Jean-Claude Choubrac, le président de l’association. Nous serons installés sous les halles historiques mais aussi sur le parvis. Les stands y seront répartis, avec un espace central extérieur pour des démonstrations (éducation, secourisme). »

De nombreuses associations tiendront un stand dont la fondation Brigitte Bardot, L214 et la SPA de Cabourg. Cette année, « nous avons l’honneur de recevoir Sea Shepherd », indique Jean-Claude Choubrac.

 

Le visiteur pourra également rencontrer des professionnels du bien-être animal (ostéopathe, maréchal-ferrant, toiletteur, spécialiste de l’alimentation, hydrothérapeute, éducateur canin). Autre volet de la manifestation, de nombreux artistes exposeront leurs œuvres consacrées aux animaux.

Dimanche 29 août, de 10 h à 18 h, halles et centre-ville. Entrée gratuite

 

Source de l'article : Cliquez ICI

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Yvelines. Les derniers renards de La Celle-Saint-Cloud graciés par la justice

Publié le par Ricard Bruno

La justice a décidé de suspendre l’arrêté du préfet des Yvelines qui prévoyait l’abattage d’une famille de renards à La Celle-Saint-Cloud.

Le tribunal administratif de Versailles (Yvelines) a suspendu l’arrêté qui prévoyait l’abattage de renards, à La Celle-Saint-Cloud.

Le tribunal administratif de Versailles (Yvelines) a suspendu l’arrêté qui prévoyait l’abattage de renards, à La Celle-Saint-Cloud.

Le tribunal administratif de Versailles vient de suspendre l’arrêté du préfet des Yvelines qui demandait l’abattage d’une famille de renards à La Celle-Saint-Cloud. Ce jeudi 26 août, la justice a ordonné que la campagne de capture soit immédiatement stoppée, donnant ainsi raison à l’association pour la protection des animaux sauvages. L’Aspas était à l’origine de la procédure.

 

Ces derniers mois, ce sujet a fait couler beaucoup d’encre.

Courant mai, une habitante avait découvert qu’une famille de renards avait élu domicile dans sa propriété. Les semaines suivantes, des habitants du quartier s’étaient plaints de la mort de chats ou de poules. L’abattage avait été annoncé puis validé par arrêté du préfet des Yvelines, le 9 août dernier. Sept goupils devaient être capturés puis tués, notamment pour des raisons sanitaires ; risque de gale sarcoptique ou encore échinococcose alvéolaire.

Tout cela avait entraîné de nombreuses protestations dans les rangs des défenseurs de la cause animale. Une pétition, toujours en ligne, avait été lancée. À ce jour, elle flirte avec les 38 000 signataires.

« Irréversible »

Entre-temps, le Conseil d’État avait annulé le classement du renard dans la liste des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts dans le département des Yvelines. Et puis, Brigitte Bardot était sorti du bois, le mercredi 18 août, indignée que dans l’Oise, un arrêté ait été publié prévoyant l’abattage de 3 000 renards d’ici le mois de mars 2022.

C’est dans ce contexte que l’Aspas, dont le siège social est situé à Strasbourg (dép. 67 – Bas-Rhin), s’est présentée au tribunal administratif de Versailles.

Face au juge des référés, l’association a fait valoir l’urgence de la situation. Urgence logique puisque tout nouvel acte serait irréversible.

« Le risque sanitaire n’est pas établi »

Dans sa plaidoirie, le porte-parole de l’association a soutenu qu’il n’était pas démontré « que la présence du renard entraînerait une pression excessive sur la petite faune sauvage […] Le risque sanitaire invoqué n’est pas établi. La gale sarcoptique est peur répandue et ne représente aucune gravité pour l’homme. L’échinococcose alvéolaire est très rare, surtout présente dans l’Est de la France et le Massif central et ne se transmet pas par contact direct avec le renard mais par l’intermédiaire des végétaux contaminés par leurs excréments. »

« Pas de dommage important »

Dans sa décision, le tribunal a estimé que « la disparition de deux chats domestiques ainsi que de poules, en nombre indéterminé, ne caractérisait pas un dommage important. »

Du point de vue sanitaire, le juge a conclu que les deux maladies visées étaient très peu fréquentes dans les Yvelines. Et que la destruction des renards « ne constituait pas un moyen efficace pour éviter leur propagation. »

Sur son site, L’Aspas a immédiatement crié victoire. « Elle celle de tout un collectif de citoyens, d’associations, de personnalités qui se sont massivement mobilisés ces dernières semaines pour sauver ces renards. »

Contactée, la préfecture des Yvelines nous a indiqué qu’elle n’interjetterait pas appel de cette décision.

Selon l’association, il resterait trois renards en vie sur les sept qui avaient élu domicile à La Celle-Saint-Cloud.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Thouars. Blessé, le cheval Espoir a pu rejoindre une clinique en Belgique

Publié le par Ricard Bruno

Thouars. Blessé, le cheval Espoir a pu rejoindre une clinique en Belgique

La semaine dernière, l’association Arche et Relais a lancé un appel à l’aide : un de ses chevaux était blessé, et elle n’avait plus les finances pour payer son opération. Grâce aux soutiens de donateurs et de la fondation Brigitte Bardot, Espoir a été opéré dans une clinique spécialisée en Belgique.

Source et article complet : Cliquez ICI

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Quand Laurent Voulzy reprend "La Madrague" de Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

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Yvelines. Le préfet autorise l’abattage de sept renards et provoque la colère des défenseurs des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Yvelines. Le préfet autorise l’abattage de sept renards et provoque la colère des défenseurs des animaux

Sept renards sont soupçonnés d’avoir tué des chats à La Celle-Saint-Cloud (Yvelines). Après des plaintes de riverains, le préfet a pris un arrêté le 9 août dernier autorisant l’abattage des animaux, rapporte Le Parisien. Pour expliquer ce choix, la préfecture a également indiqué à nos confrères que les bêtes « peuvent participer à la transmission de la gale sarcoptique et de l’échinococcose alvéolaire ». Deux ont déjà été capturées et sont mortes.

 

Une pétition et un référé au tribunal

En juin dernier, la mairie avait annoncé sur son site Internet l’arrivée de deux piégeurs. La pétition « Non à l’abattage des renards du bois de Beauregard à La Celle Saint-Cloud » avait alors été lancée sur le site Change.org pour sauver et déplacer cette famille de renards. Selon le quotidien francilien, elle a ensuite été partagée par des associations de défense des animaux comme One Voice, La Fondation Brigitte Bardot et 30 Millions d’amis. Ce mardi 24 août, elle rassemble près de 38 000 signatures.

 

Par ailleurs, l’Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas) a annoncé sur sa page officielle Facebook avoir déposé un référé au tribunal administratif de Versailles avec l’espoir de faire annuler l’arrêté préfectoral, complète Le Parisien.

 

Source de l'article : Cliquez ICI

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Gers : Brigitte Bardot s'oppose au retour des toros à Seissan

Publié le par Ricard Bruno

Gers : Brigitte Bardot s'oppose au retour des toros à Seissan
Gers : Brigitte Bardot s'oppose au retour des toros à Seissan

Alors qu'un rendez-vous taurin est prévu dimanche 5 septembre à Seissan, Brigitte Bardot a adressé une lettre au maire de la commune gersoise. En sa qualité de présidente d'une fondation dédiée à la protection des animaux, elle s'offusque de la tenue de ce rassemblement. La municipalité ne souhaite pas donner suite à "ces provocations".

Les arènes du Soleil d’or de Seissan donnent rendez-vous aux toros et aux aficionados le 5 septembre prochain après une année plutôt calme. Cependant, ce retour des fêtes taurines ne fait pas l’unanimité, notamment du côté des associations de protection animale.

"Je reçois aujourd’hui de nouveaux témoignages concernant l’organisation d’une corrida avec mise à mort de jeunes taureaux après qu’ils ont subi les sévices habituels infligés lors de ces jeux cruels", indique la Fondation Brigitte Bardot dans une lettre signée de son illustre présidente et destinée au maire de Seissan. "Monsieur le maire, les arènes où la torture d’un animal est montrée en spectacle se vident, et c’est tant mieux ! Aujourd’hui vous prenez le parti de la barbarie et le contresens de l’histoire… J’espère que vous démentirez de nouveau mes propos pour ne pas transformer les arènes de Seissan en abattoir."

 

Une tradition "bien ancrée"

En réalité, il s’agit d’un encuentro, et non d’une novillada formelle, avec deux novillos mis à mort sur les cinq présents. Trois d’entre eux ne seront pas mis à mort, précise-t-on du côté de l'organisation.

Le maire de Seissan, François Rivière, ne souhaite pas entrer dans la polémique et ne répond pas directement aux accusations portées par l’association. Mais il souhaite tout de même "défendre les traditions de la région".

"Depuis dix ans, on a toujours fait des spectacles taurins à Seissan", balaye le maire. D’après lui, la levée de boucliers des associations ne repose sur rien de concret. "On est en république, et de surcroît dans une région de tradition taurine, ce n’est pas interdit", affirme-t-il.

Les associations, quant à elles, mettent en avant un évènement qui "ne s’inscrit nullement dans la tradition du village". Ce à quoi François Rivière répond qu’à Seissan, "la tradition taurine est bien ancrée".

Les arènes du Soleil d’or pourraient être le théâtre d’une certaine tension le 5 septembre. Et les associations de défense des animaux d'espérer que le maire fasse machine arrière. Affaire à suivre... 

Source de l'article : Cliquez ICI

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LA CORRIDA N'EST PAS UNE CULTURE, MAIS UN MASSACRE !

Publié le par Ricard Bruno

LA CORRIDA N'EST PAS UNE CULTURE, MAIS UN MASSACRE !
Après la torture de l'animal dans l'arène, la boucherie se poursuit en dehors... Ça n'est pas offert en spectacle car l'animal mort ne souffre plus, donc pas d'intérêt ni de plaisir pour les aficionados.
 
Source : Fondation Brigitte Bardot
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