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france dimanche n°3184 du 07 au 13 09 2007

Publié le par Ricard Bruno

france dimanche n°3184 du 07 au 13 09 2007
 
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EXPERIMENTION ANIMALE

Publié le par Ricard Bruno


Expérimentation animale : le Parlement Européen s’oppose à l’utilisation de primates à des fins scientifiques !


La Fondation Brigitte Bardot, représentante française et membre d’Eurogroup For Animals (association européenne de défense des animaux) se réjouit de la décision du Parlement Européen en matière d’expérimentation sur les primates.

Son travail de sensibilisation des 78 eurodéputés français trouve enfin une issue favorable, et permet de relancer le débat sur l’utilisation de cobayes animaux dans l’industrie chimique. Au total, ce sont 418 députés européens qui ont choisi de condamner ces pratiques souvent inutiles, mais toujours cruelles. 

10 000 primates sacrifiés par an : un chiffre en augmentation !

de la Vu le rapport de forces très déséquilibré qui existe dans une telle situation et compte tenu de la position vulnérable de la victime (sans parler du fait que le temps, c'est de l'argent, ce qui nécessite donc la soumission forcée de la victime), il semble assez évident que pour obtenir le contrôle de la victime, on doit utiliser la force élix est le singe que l'on voit dans le récent documentaire de la BBC2 intitulé "Des singes, des rats et moi" ('Monkeys, Rats and Me'), diffusé le 27 novembre 2006, qui présentait le côté aseptisé, "acceptable", de la vivisection que les vivisecteurs veulent montrer au public.

 
Félix était montré attaché à une chaise de contention, en train d'être conditionné par des techniciens de l'université d'Oxford pour s'habituer à sa future vie de torture. Pour la caméra, le "conditionnement" de Félix se déroulait "à son propre rythme" : les techniciens ne l'ont pas forcé à se mettre sur la chaise de contention ni à sortir de sa cage s'il ne voulait pas. Ceux qui ont pu voir la dure réalité de la vie dans ce laboratoire (alors qu'ils y travaillaient "sous couverture") et qui ont relaté leur histoire et ont montré des preuves au public pourront affirmer qu'il s'agissait d'une vision faussée de ce qui se passe réellement dans les laboratoires, un exemple frappant de non-objectivité des média.
 
Vu le rapport de forces très déséquilibré qui existe dans une telle situation et compte tenu de la position vulnérable de la victime (sans parler du fait que le temps, c'est de l'argent, ce qui nécessite donc la soumission forcée de la victime), il semble assez évident que pour obtenir le contrôle de la victime, on doit utiliser la force et l'autorité. C'est ainsi que se fait le conditionnement de l'animal. Cela se traduit par l'exercice de la force et par des privations. Cela ne peut en aucun cas être un acte de coopération, mais toujours un acte de contrôle. N'oublions pas qu'aucun singe, aucun chien ou chat ni aucun autre animal, nous y compris, ne se porterait volontaire pour être mutilé, massacré ou empoisonné. C'est contraire à l'instinct de survie qui consiste à éviter la douleur et la souffrance, et bien sûr, la mort. Pour pouvoir exercer son contrôle, l'oppresseur doit donc avoir une victime soumise, le pouvoir d'un vivisecteur ou d'un technicien repose sur la peur qu'il ou elle peut exercer sur son sujet. La réalité de la vie de Félix est qu'il ne bénéficiera d’aucune douceur, d’aucun respect ni dignité de la part de ses tortionnaires. On lui apprendra à avoir peur.
 
 
Il ne s'agit pas de déclarations fantaisistes de militants anti-vivisection, mais de faits bien documentés. En effet, ce sont des faits que nous avons exposés dans un article publié sur le site Internet de SPEAK, qui reproduisait la candidature (qui nous a été fournie par une personne du Ministère de l'Intérieur) d'un vivisecteur de l'université d'Oxford qui cherchait à pratiquer la vivisection sur des primates.
 
Parmi les documents qui nous ont été fournis, il y avait des papiers qui prouvaient que la méthode habituellement utilisée pour soumettre les singes (afin de faciliter les expériences) consiste à les affamer. On peut dire que cela n'est pas très "humain" et ne laisse pas l'animal accepter son conditionnement "à son propre rythme". Il s'agit du recours à la brutalité, à laquelle Félix a sans aucun doute été soumis et qu'il devra continuer à endurer jusqu'à sa mort.
 
Au moment où le documentaire de la BBC2 a été tourné, Félix devait subir une opération du cerveau. Nous pensons que si cela n'a pas déjà eu lieu, l'opération de chirurgie invasive qui consiste à poser des implants dans son crâne va avoir lieu d'un jour à l'autre. Au cours des 2 prochaines années, Félix va être confiné dans une petite cage, complètement isolé, et devra subir une longue succession de tests. Cela ne veut pas dire qu'il sera attaché sur une chaise de contention pour s'amuser. Cela veut dire qu'il sera torturé.
 
Actuellement, nous ne savons pas combien de temps Félix va vivre. Il se peut que sa vie ressemble à l’existence pitoyable des "Oxford 2", c'est-à-dire des 2 macaques dont on a trituré le cerveau lors d'opérations chirurgicales et qui ont enduré 15 ans de maltraitance et d'emprisonnement dans les laboratoires de l'université d'Oxford. En revanche, une chose est certaine : si nous n'agissons pas maintenant, Félix ne reverra jamais le monde extérieur ni aucun de ses congénères. Félix va vivre, va être maltraité et finalement mourir sans jamais avoir connu la liberté, qui est cependant son droit fondamental.
 
Souvenez-vous de George, rendu aveugle et méprisé par un vivisecteur d'Oxford. Le même vivisecteur qui a fait l'objet d'une enquête de police pour cruauté envers un macaque nommé Jez. Souvenez-vous aussi de Bjee, une autre victime des expérimentateurs de l'université d'Oxford. Il est vital qu'on n'oublie pas Félix. C'est sa seule chance de survivre aux sévices infligés par ses tortionnaires. Il est impératif que nous nous battions pour Félix et pour son droit à la vie ! Pour son droit de vivre sans souffrance... Félix n'est pas un matricule. C'est un individu, tout comme tous les autres animaux enfermés et maltraités dans l'université d'Oxford.
 
Nous savons qu'il est trop tard pour les "Oxford 2", mais il n'est pas trop tard pour Félix. Il ne faut pas que l'université d'Oxford puisse nous tromper en disant qu'ils l'ont tué, comme ils l'ont fait pour les "Oxford 2". Nous savons qu'ils veulent maintenir Félix en vie afin de l'exploiter aussi longtemps que possible, mais nous devons tout de même agir immédiatement si nous voulons avoir une petite chance de lui sauver la vie. Une vie qui n'a pas à être passée emprisonné dans les laboratoires de recherche fortifiés de l'université d'Oxford, où il va souffrir et mourir isolé. Sa vie lui appartient, à lui et non à Tipu Aziz, ni à l'université d'Oxford.
 
Les "Oxford 2", George, Jez et Bjee ont souffert et sont morts entre les mains de leurs tortionnaires. Mais Félix, lui, est vivant et il est maltraité et va continuer à être maltraité au cours des 2 prochaines années au moins. Aidez-nous à lutter pour Félix. Toute personne préoccupée par le sort de Félix doit nous rejoindre dans notre "Combat pour Félix". Envoyons un signal fort et clair à l'université d'Oxford pour qu'ils comprennent qu'ils auront du fil à retordre s'ils pensent qu'ils peuvent maltraiter Félix pendant plusieurs années avant de le tuer !
 
 
SPEAK a un message pour l'université d'Oxford :
 
"Nous savons que vous avez l'intention de faire des expériences sur Félix pendant au moins 2 ans, probablement plus. Si, pour une raison ou pour une autre, vous pensez que votre intérêt est de tuer Félix prématurément, réfléchissez à deux fois. Ou si Félix venait à mourir mystérieusement, alors nous vous invitons à réfléchir sérieusement à cette éventualité. Le public britannique verra cet acte d'un mauvais oeil et si vous choisissiez de le faire, SPEAK se souviendra toujours de cet assassinat."
 
"Il faut un courage rare pour se libérer de l'endoctrinement institutionnel d'un système qui pousse les gens à croire qu'il n'existe aucune autre manière vala
 Chaque année au sein de l’Union Européenne, plus de 10 000 primates (dont près d’un tiers en France) sont sacrifiés en laboratoires. Ces espèces, souvent protégées (chimpanzés, macaques, bonobos, babouins…), sont le support d’expérimentations pour des médicaments, des cosmétiques, des pesticides, des produits ménagers, etc.
 
Pourtant, l’effet de certains produits diffère parfois chez l’animal et chez l’être humain. Et en dépit des traitements répétés, les expériences menées sur les primates ne peuvent pas atteindre la précision d’une étude sur l’homme. Rappelons que les primates partagent 90% de leur ADN avec les humains et sont doués de capacités intellectuelles et d’une conscience : ils ressentent donc le stress, la souffrance, la frustration, l’enfermement et l’approche de la mort…
 
Contactée par téléphone, Brigitte Bardot se dit « heureuse de ce premier pas et de ce signe fort du Parlement ». Elle demande néanmoins à la France de « poursuivre ses efforts car il est moralement inacceptable de provoquer la mort dans des souffrances indicibles lorsqu’on est censé la combattre ».
 
 Des méthodes alternatives fiables et sûres
 
La technologie et les techniques modernes offrent à présent des méthodes de remplacement qui s’avèrent plus efficaces et fiables que les expériences sur les primates. C’est le cas par exemple de l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMF), du microdosage, de la modélisation informatique ou de la culture de tissus et de cellules in vitro. On peut citer notamment le « Kit EpiSkin » mis au point par le centre de bio-ingéniérie de L’Oréal qui permet, à partir d’échantillons de peau humaine reconstruite sur du collagène, de « remplacer complètement les tests »* en matière d’irritation cutanée.
 
 Une mobilisation internationale… parce qu’ils le valent bien !
 
Contactée par Eurogroup sur cette thématique, la Fondation Brigitte Bardot s’est mobilisée en France et est intervenue à plusieurs reprises auprès des 78 eurodéputés français. La révision de la directive 86/609/CE offrait l’opportunité de donner une nouvelle orientation à la recherche. Par ailleurs, l’utilisation de primates à des fins expérimentales encourage fortement le trafic international d’espèces protégées.
 
La Fondation Brigitte Bardot souhaite donc que la priorité soit donnée à la recherche scientifique, notamment au développement des méthodes de substitution, et ce afin que cesse progressivement le recours aux cobayes.
 
* Homologation de l’ECVAM, le Centre Européen pour la Validation des Méthodes Alternatives, juillet 2007
 
EXPERIMENTION ANIMALE Samedi 04 août 2007 : Journée Internationale de solidarité avec Félix contre l'expérimentation animale !
 
A l'occasion de la Journée Internationale de solidarité avec Félix (voir son histoire ci-dessous) qui, à travers lui, permet de dénoncer mondialement la cruauté et l'écoeurante pratique de la vivisection, la FBB tient à s'associer à ce mouvement et à relayer le message à l'echelle de la France.
 
Brigitte Bardot est donc intervenue auprès du Premier ministre anglais, Sir Gordon Brown, pour lui signifier son soutien à cette journée de solidarité pour Félix, mais aussi lui demander d'entendre la voix de la souffrance de ces millions d'animaux sacrifiés (à savoir plus de 10 millions chaque année) d'intervenir en dénonçant l'horreur de la vivisection et d'agir dans ce sens pour mettre un terme à l'expérimentation animale fortement contestée par de nombreux scientifiques et actuellement l'objet de discussion au Parlement Européen.
 
En effet, 300 députés européens (dont 44 députés anglais) ont d'ores et déjà signé une déclaration écrite du Parlement européen visant à " remplacer l'utilisation de tous les primates par d'autres solutions dans les expériences scientifiques ".
 
Lire la lettre de Brigitte Bardot au 1er Ministre Anglais >>
 
 La journée de solidarité
 
Pour plus d'informations sur cette journée de solidarité avec Felix, rendez-vous sur les sites de: International Campaigns et/ou SPEAK
organisateur du mouvement.
 
 
Texte de la Déclaration écrite Déclaration écrite sur l’utilisation de primates dans les expériences scientifiques
 
Le Parlement européen, vu l’article 116 de son règlement,
 
A. considérant que plus de 80% des personnes ayant répondu en 2006 à la consultation publique de la Commission sur les animaux utilisés à des fins expérimentales estimaient inadmissible l’utilisation de primates à des fins expérimentales,
 
B. considérant que les laboratoires de l’UE utilisent chaque année plus de 10 000 primates à des fins expérimentales,
 
C. considérant que l’ADN de la plupart des espèces de primates est à 90% semblable à celui de l’être humain et qu’il est reconnu que les espèces de primates peuvent ressentir une grande souffrance en captivité,
 
D. considérant que 26% des espèces de primates sont menacées de disparition et que des laboratoires continuent à utiliser des primates capturés à l’état sauvage ; qu’en outre, il peut s’avérer difficile de protéger les primates de menaces telles que la consommation humaine si les institutions scientifiques occidentales donnent l’impression de disposer librement de ces espèces,
 
E. considérant que la technologie et les techniques modernes offrent à présent des méthodes de remplacement qui s’avèrent plus efficaces et fiables que les expériences sur les primates, telles que l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), le microdosage, la modélisation informatique ou la culture de tissus et de cellules,
 
F. considérant qu’en dépit des similitudes génétiques, d’importantes différences subsistent entre les humains et les autres primates et que les expériences menées sur des primates ne peuvent pas atteindre la précision d’une étude sur l’homme,
 
1. invite instamment la Commission, le Conseil et le Parlement européen à profiter de la révision de la directive 86/609/CE pour :
 
a) mettre fin, en priorité et de toute urgence, à l’utilisation des grands singes et des singes capturés à l’état sauvage à des fins expérimentales ;
b) établir un calendrier en vue de remplacer l’utilisation de tous les primates par d’autres solutions dans les expériences scientifiques ;
 
2. charge son Président de transmettre la présente déclaration, accompagnée du nom des signataires, au Conseil, à la Commission et aux États membres.
 
 
Pour la première fois, un établissement qui pratique la vivisection nous a fourni le nom, des photos et des vidéos de l'animal non humain qu'ils ont l'intention de maltraiter pendant plusieurs années. Ils nous ont aussi indiqué quelle forme allaient prendre ces mauvais traitements.
 
Félix est le nom que le vivisecteur Tipu Aziz a donné au macaque qu'il a pour projet de maltraiter et de torturer au cours des prochaines années. L'ironie de ce baptême ne nous échappe pas. Tipu Aziz avoue n'avoir aucun sentiment pour les animaux, mais il a quand même choisi un nom pour cet animal qui va devenir son esclave. Aziz a reconnu ouvertement que si cela ne tenait qu'à lui, il tuerait des animaux pour pouvoir tester des cosmétiques. Il pense également qu'on devrait faire des expériences sur les Grands Singes.
 
Depuis maintenant 3 ans, SPEAK lutte contre le projet de construction d'un nouveau laboratoire avec des animaux à l'université d'Oxford. Jusqu'à présent, nous avons pour ainsi dire combattu un concept, des briques et du ciment. Avec Félix, c'est un être vivant qui entre au cœur de ce combat. Car, en fait, nous ne nous battons pas contre un bâtiment, mais contre l'utilisation qui va être faite de ce lieu, et contre l'emprisonnement, dans le bâtiment actuellement en construction, rue South Parks, des animaux non humains qui vont y être maltraités et, à terme, tués. Des animaux comme Félix, qui vont être tués par milliers dans ce nouveau centre de recherche.
 
Félix est le singe que l'on voit dans le récent documentaire de la BBC2 intitulé "Des singes, des rats et moi" ('Monkeys, Rats and Me'), diffusé le 27 novembre 2006, qui présentait le côté aseptisé, "acceptable", de la vivisection que les vivisecteurs veulent montrer au public.
 
Félix était montré attaché à une chaise de contention, en train d'être conditionné par des techniciens de l'université d'Oxford pour s'habituer à sa future vie de torture. Pour la caméra, le "conditionnement" de Félix se déroulait "à son propre rythme" : les techniciens ne l'ont pas forcé à se mettre sur la chaise de contention ni à sortir de sa cage s'il ne voulait pas. Ceux qui ont pu voir la dure réalité de la vie dans ce laboratoire (alors qu'ils y travaillaient "sous couverture") et qui ont relaté leur histoire et ont montré des preuves au public pourront affirmer qu'il s'agissait d'une vision faussée de ce qui se passe réellement dans les laboratoires, un exemple frappant de non-objectivité des média.
 
Vu le rapport de forces très déséquilibré qui existe dans une telle situation et compte tenu de la position vulnérable de la victime (sans parler du fait que le temps, c'est de l'argent, ce qui nécessite donc la soumission forcée de la victime), il semble assez évident que pour obtenir le contrôle de la victime, on doit utiliser la force et l'autorité. C'est ainsi que se fait le conditionnement de l'animal. Cela se traduit par l'exercice de la force et par des privations. Cela ne peut en aucun cas être un acte de coopération, mais toujours un acte de contrôle. N'oublions pas qu'aucun singe, aucun chien ou chat ni aucun autre animal, nous y compris, ne se porterait volontaire pour être mutilé, massacré ou empoisonné. C'est contraire à l'instinct de survie qui consiste à éviter la douleur et la souffrance, et bien sûr, la mort. Pour pouvoir exercer son contrôle, l'oppresseur doit donc avoir une victime soumise, le pouvoir d'un vivisecteur ou d'un technicien repose sur la peur qu'il ou elle peut exercer sur son sujet. La réalité de la vie de Félix est qu'il ne bénéficiera d’aucune douceur, d’aucun respect ni dignité de la part de ses tortionnaires. On lui apprendra à avoir peur.
 
 
Il ne s'agit pas de déclarations fantaisistes de militants anti-vivisection, mais de faits bien documentés. En effet, ce sont des faits que nous avons exposés dans un article publié sur le site Internet de SPEAK, qui reproduisait la candidature (qui nous a été fournie par une personne du Ministère de l'Intérieur) d'un vivisecteur de l'université d'Oxford qui cherchait à pratiquer la vivisection sur des primates.
 
Parmi les documents qui nous ont été fournis, il y avait des papiers qui prouvaient que la méthode habituellement utilisée pour soumettre les singes (afin de faciliter les expériences) consiste à les affamer. On peut dire que cela n'est pas très "humain" et ne laisse pas l'animal accepter son conditionnement "à son propre rythme". Il s'agit du recours à la brutalité, à laquelle Félix a sans aucun doute été soumis et qu'il devra continuer à endurer jusqu'à sa mort.
 
Au moment où le documentaire de la BBC2 a été tourné, Félix devait subir une opération du cerveau. Nous pensons que si cela n'a pas déjà eu lieu, l'opération de chirurgie invasive qui consiste à poser des implants dans son crâne va avoir lieu d'un jour à l'autre. Au cours des 2 prochaines années, Félix va être confiné dans une petite cage, complètement isolé, et devra subir une longue succession de tests. Cela ne veut pas dire qu'il sera attaché sur une chaise de contention pour s'amuser. Cela veut dire qu'il sera torturé.
 
Actuellement, nous ne savons pas combien de temps Félix va vivre. Il se peut que sa vie ressemble à l’existence pitoyable des "Oxford 2", c'est-à-dire des 2 macaques dont on a trituré le cerveau lors d'opérations chirurgicales et qui ont enduré 15 ans de maltraitance et d'emprisonnement dans les laboratoires de l'université d'Oxford. En revanche, une chose est certaine : si nous n'agissons pas maintenant, Félix ne reverra jamais le monde extérieur ni aucun de ses congénères. Félix va vivre, va être maltraité et finalement mourir sans jamais avoir connu la liberté, qui est cependant son droit fondamental.
 
Souvenez-vous de George, rendu aveugle et méprisé par un vivisecteur d'Oxford. Le même vivisecteur qui a fait l'objet d'une enquête de police pour cruauté envers un macaque nommé Jez. Souvenez-vous aussi de Bjee, une autre victime des expérimentateurs de l'université d'Oxford. Il est vital qu'on n'oublie pas Félix. C'est sa seule chance de survivre aux sévices infligés par ses tortionnaires. Il est impératif que nous nous battions pour Félix et pour son droit à la vie ! Pour son droit de vivre sans souffrance... Félix n'est pas un matricule. C'est un individu, tout comme tous les autres animaux enfermés et maltraités dans l'université d'Oxford.
 
Nous savons qu'il est trop tard pour les "Oxford 2", mais il n'est pas trop tard pour Félix. Il ne faut pas que l'université d'Oxford puisse nous tromper en disant qu'ils l'ont tué, comme ils l'ont fait pour les "Oxford 2". Nous savons qu'ils veulent maintenir Félix en vie afin de l'exploiter aussi longtemps que possible, mais nous devons tout de même agir immédiatement si nous voulons avoir une petite chance de lui sauver la vie. Une vie qui n'a pas à être passée emprisonné dans les laboratoires de recherche fortifiés de l'université d'Oxford, où il va souffrir et mourir isolé. Sa vie lui appartient, à lui et non à Tipu Aziz, ni à l'université d'Oxford.
 
Les "Oxford 2", George, Jez et Bjee ont souffert et sont morts entre les mains de leurs tortionnaires. Mais Félix, lui, est vivant et il est maltraité et va continuer à être maltraité au cours des 2 prochaines années au moins. Aidez-nous à lutter pour Félix. Toute personne préoccupée par le sort de Félix doit nous rejoindre dans notre "Combat pour Félix". Envoyons un signal fort et clair à l'université d'Oxford pour qu'ils comprennent qu'ils auront du fil à retordre s'ils pensent qu'ils peuvent maltraiter Félix pendant plusieurs années avant de le tuer !
 
 
SPEAK a un message pour l'université d'Oxford :
 
"Nous savons que vous avez l'intention de faire des expériences sur Félix pendant au moins 2 ans, probablement plus. Si, pour une raison ou pour une autre, vous pensez que votre intérêt est de tuer Félix prématurément, réfléchissez à deux fois. Ou si Félix venait à mourir mystérieusement, alors nous vous invitons à réfléchir sérieusement à cette éventualité. Le public britannique verra cet acte d'un mauvais oeil et si vous choisissiez de le faire, SPEAK se souviendra toujours de cet assassinat."
 
"Il faut un courage rare pour se libérer de l'endoctrinement institutionnel d'un système qui pousse les gens à croire qu'il n'existe aucune autre manière valable d'acquérir des connaissances scientifiques que de s'accrocher à une mauvaise science qui sévit depuis plus de 100 ans."
 
Source : Fondation Brigitte Bardot : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40133ble d'acquérir des connaissances scientifiques que de s'accrocher à une mauvaise science qui sévit depuis plus de 100 ans."
 Chaque année au sein de l’Union Européenne, plus de 10 000 primates (dont près d’un tiers en France) sont sacrifiés en laboratoires. Ces espèces, souvent protégées (chimpanzés, macaques, bonobos, babouins…), sont le support d’expérimentations pour des médicaments, des cosmétiques, des pesticides, des produits ménagers, etc.
 
Pourtant, l’effet de certains produits diffère parfois chez l’animal et chez l’être humain. Et en dépit des traitements répétés, les expériences menées sur les primates ne peuvent pas atteindre la précision d’une étude sur l’homme. Rappelons que les primates partagent 90% de leur ADN avec les humains et sont doués de capacités intellectuelles et d’une conscience : ils ressentent donc le stress, la souffrance, la frustration, l’enfermement et l’approche de la mort…
 
Contactée par téléphone, Brigitte Bardot se dit « heureuse de ce premier pas et de ce signe fort du Parlement ». Elle demande néanmoins à la France de « poursuivre ses efforts car il est moralement inacceptable de provoquer la mort dans des souffrances indicibles lorsqu’on est censé la combattre ».
 
 Des méthodes alternatives fiables et sûres
 
La technologie et les techniques modernes offrent à présent des méthodes de remplacement qui s’avèrent plus efficaces et fiables que les expériences sur les primates. C’est le cas par exemple de l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMF), du microdosage, de la modélisation informatique ou de la culture de tissus et de cellules in vitro. On peut citer notamment le « Kit EpiSkin » mis au point par le centre de bio-ingéniérie de L’Oréal qui permet, à partir d’échantillons de peau humaine reconstruite sur du collagène, de « remplacer complètement les tests »* en matière d’irritation cutanée.
 
 Une mobilisation internationale… parce qu’ils le valent bien !
 
Contactée par Eurogroup sur cette thématique, la Fondation Brigitte Bardot s’est mobilisée en France et est intervenue à plusieurs reprises auprès des 78 eurodéputés français. La révision de la directive 86/609/CE offrait l’opportunité de donner une nouvelle orientation à la recherche. Par ailleurs, l’utilisation de primates à des fins expérimentales encourage fortement le trafic international d’espèces protégées.
 
La Fondation Brigitte Bardot souhaite donc que la priorité soit donnée à la recherche scientifique, notamment au développement des méthodes de substitution, et ce afin que cesse progressivement le recours aux cobayes.
 
* Homologation de l’ECVAM, le Centre Européen pour la Validation des Méthodes Alternatives, juillet 2007
 
EXPERIMENTION ANIMALE Samedi 04 août 2007 : Journée Internationale de solidarité avec Félix contre l'expérimentation animale !
 
A l'occasion de la Journée Internationale de solidarité avec Félix (voir son histoire ci-dessous) qui, à travers lui, permet de dénoncer mondialement la cruauté et l'écoeurante pratique de la vivisection, la FBB tient à s'associer à ce mouvement et à relayer le message à l'echelle de la France.
 
Brigitte Bardot est donc intervenue auprès du Premier ministre anglais, Sir Gordon Brown, pour lui signifier son soutien à cette journée de solidarité pour Félix, mais aussi lui demander d'entendre la voix de la souffrance de ces millions d'animaux sacrifiés (à savoir plus de 10 millions chaque année) d'intervenir en dénonçant l'horreur de la vivisection et d'agir dans ce sens pour mettre un terme à l'expérimentation animale fortement contestée par de nombreux scientifiques et actuellement l'objet de discussion au Parlement Européen.
 
En effet, 300 députés européens (dont 44 députés anglais) ont d'ores et déjà signé une déclaration écrite du Parlement européen visant à " remplacer l'utilisation de tous les primates par d'autres solutions dans les expériences scientifiques ".
 
Lire la lettre de Brigitte Bardot au 1er Ministre Anglais >>
 
 La journée de solidarité
 
Pour plus d'informations sur cette journée de solidarité avec Felix, rendez-vous sur les sites de: International Campaigns et/ou SPEAK
organisateur du mouvement.
 
 
Texte de la Déclaration écrite Déclaration écrite sur l’utilisation de primates dans les expériences scientifiques
 
Le Parlement européen, vu l’article 116 de son règlement,
 
A. considérant que plus de 80% des personnes ayant répondu en 2006 à la consultation publique de la Commission sur les animaux utilisés à des fins expérimentales estimaient inadmissible l’utilisation de primates à des fins expérimentales,
 
B. considérant que les laboratoires de l’UE utilisent chaque année plus de 10 000 primates à des fins expérimentales,
 
C. considérant que l’ADN de la plupart des espèces de primates est à 90% semblable à celui de l’être humain et qu’il est reconnu que les espèces de primates peuvent ressentir une grande souffrance en captivité,
 
D. considérant que 26% des espèces de primates sont menacées de disparition et que des laboratoires continuent à utiliser des primates capturés à l’état sauvage ; qu’en outre, il peut s’avérer difficile de protéger les primates de menaces telles que la consommation humaine si les institutions scientifiques occidentales donnent l’impression de disposer librement de ces espèces,
 
E. considérant que la technologie et les techniques modernes offrent à présent des méthodes de remplacement qui s’avèrent plus efficaces et fiables que les expériences sur les primates, telles que l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), le microdosage, la modélisation informatique ou la culture de tissus et de cellules,
 
F. considérant qu’en dépit des similitudes génétiques, d’importantes différences subsistent entre les humains et les autres primates et que les expériences menées sur des primates ne peuvent pas atteindre la précision d’une étude sur l’homme,
 
1. invite instamment la Commission, le Conseil et le Parlement européen à profiter de la révision de la directive 86/609/CE pour :
 
a) mettre fin, en priorité et de toute urgence, à l’utilisation des grands singes et des singes capturés à l’état sauvage à des fins expérimentales ;
b) établir un calendrier en vue de remplacer l’utilisation de tous les primates par d’autres solutions dans les expériences scientifiques ;
 
2. charge son Président de transmettre la présente déclaration, accompagnée du nom des signataires, au Conseil, à la Commission et aux États membres.
 
 
Pour la première fois, un établissement qui pratique la vivisection nous a fourni le nom, des photos et des vidéos de l'animal non humain qu'ils ont l'intention de maltraiter pendant plusieurs années. Ils nous ont aussi indiqué quelle forme allaient prendre ces mauvais traitements.
 
Félix est le nom que le vivisecteur Tipu Aziz a donné au macaque qu'il a pour projet de maltraiter et de torturer au cours des prochaines années. L'ironie de ce baptême ne nous échappe pas. Tipu Aziz avoue n'avoir aucun sentiment pour les animaux, mais il a quand même choisi un nom pour cet animal qui va devenir son esclave. Aziz a reconnu ouvertement que si cela ne tenait qu'à lui, il tuerait des animaux pour pouvoir tester des cosmétiques. Il pense également qu'on devrait faire des expériences sur les Grands Singes.
 
Depuis maintenant 3 ans, SPEAK lutte contre le projet de construction d'un nouveau laboratoire avec des animaux à l'université d'Oxford. Jusqu'à présent, nous avons pour ainsi dire combattu un concept, des briques et du ciment. Avec Félix, c'est un être vivant qui entre au cœur de ce combat. Car, en fait, nous ne nous battons pas contre un bâtiment, mais contre l'utilisation qui va être faite de ce lieu, et contre l'emprisonnement, dans le bâtiment actuellement en construction, rue South Parks, des animaux non humains qui vont y être maltraités et, à terme, tués. Des animaux comme Félix, qui vont être tués par milliers dans ce nouveau centre de recherche.
 
Félix est le singe que l'on voit dans le récent documentaire de la BBC2 intitulé "Des singes, des rats et moi" ('Monkeys, Rats and Me'), diffusé le 27 novembre 2006, qui présentait le côté aseptisé, "acceptable", de la vivisection que les vivisecteurs veulent montrer au public.
 
Félix était montré attaché à une chaise de contention, en train d'être conditionné par des techniciens de l'université d'Oxford pour s'habituer à sa future vie de torture. Pour la caméra, le "conditionnement" de Félix se déroulait "à son propre rythme" : les techniciens ne l'ont pas forcé à se mettre sur la chaise de contention ni à sortir de sa cage s'il ne voulait pas. Ceux qui ont pu voir la dure réalité de la vie dans ce laboratoire (alors qu'ils y travaillaient "sous couverture") et qui ont relaté leur histoire et ont montré des preuves au public pourront affirmer qu'il s'agissait d'une vision faussée de ce qui se passe réellement dans les laboratoires, un exemple frappant de non-objectivité des média.
 
Vu le rapport de forces très déséquilibré qui existe dans une telle situation et compte tenu de la position vulnérable de la victime (sans parler du fait que le temps, c'est de l'argent, ce qui nécessite donc la soumission forcée de la victime), il semble assez évident que pour obtenir le contrôle de la victime, on doit utiliser la force et l'autorité. C'est ainsi que se fait le conditionnement de l'animal. Cela se traduit par l'exercice de la force et par des privations. Cela ne peut en aucun cas être un acte de coopération, mais toujours un acte de contrôle. N'oublions pas qu'aucun singe, aucun chien ou chat ni aucun autre animal, nous y compris, ne se porterait volontaire pour être mutilé, massacré ou empoisonné. C'est contraire à l'instinct de survie qui consiste à éviter la douleur et la souffrance, et bien sûr, la mort. Pour pouvoir exercer son contrôle, l'oppresseur doit donc avoir une victime soumise, le pouvoir d'un vivisecteur ou d'un technicien repose sur la peur qu'il ou elle peut exercer sur son sujet. La réalité de la vie de Félix est qu'il ne bénéficiera d’aucune douceur, d’aucun respect ni dignité de la part de ses tortionnaires. On lui apprendra à avoir peur.
 
 
Il ne s'agit pas de déclarations fantaisistes de militants anti-vivisection, mais de faits bien documentés. En effet, ce sont des faits que nous avons exposés dans un article publié sur le site Internet de SPEAK, qui reproduisait la candidature (qui nous a été fournie par une personne du Ministère de l'Intérieur) d'un vivisecteur de l'université d'Oxford qui cherchait à pratiquer la vivisection sur des primates.
 
Parmi les documents qui nous ont été fournis, il y avait des papiers qui prouvaient que la méthode habituellement utilisée pour soumettre les singes (afin de faciliter les expériences) consiste à les affamer. On peut dire que cela n'est pas très "humain" et ne laisse pas l'animal accepter son conditionnement "à son propre rythme". Il s'agit du recours à la brutalité, à laquelle Félix a sans aucun doute été soumis et qu'il devra continuer à endurer jusqu'à sa mort.
 
Au moment où le documentaire de la BBC2 a été tourné, Félix devait subir une opération du cerveau. Nous pensons que si cela n'a pas déjà eu lieu, l'opération de chirurgie invasive qui consiste à poser des implants dans son crâne va avoir lieu d'un jour à l'autre. Au cours des 2 prochaines années, Félix va être confiné dans une petite cage, complètement isolé, et devra subir une longue succession de tests. Cela ne veut pas dire qu'il sera attaché sur une chaise de contention pour s'amuser. Cela veut dire qu'il sera torturé.
 
Actuellement, nous ne savons pas combien de temps Félix va vivre. Il se peut que sa vie ressemble à l’existence pitoyable des "Oxford 2", c'est-à-dire des 2 macaques dont on a trituré le cerveau lors d'opérations chirurgicales et qui ont enduré 15 ans de maltraitance et d'emprisonnement dans les laboratoires de l'université d'Oxford. En revanche, une chose est certaine : si nous n'agissons pas maintenant, Félix ne reverra jamais le monde extérieur ni aucun de ses congénères. Félix va vivre, va être maltraité et finalement mourir sans jamais avoir connu la liberté, qui est cependant son droit fondamental.
 
Souvenez-vous de George, rendu aveugle et méprisé par un vivisecteur d'Oxford. Le même vivisecteur qui a fait l'objet d'une enquête de police pour cruauté envers un macaque nommé Jez. Souvenez-vous aussi de Bjee, une autre victime des expérimentateurs de l'université d'Oxford. Il est vital qu'on n'oublie pas Félix. C'est sa seule chance de survivre aux sévices infligés par ses tortionnaires. Il est impératif que nous nous battions pour Félix et pour son droit à la vie ! Pour son droit de vivre sans souffrance... Félix n'est pas un matricule. C'est un individu, tout comme tous les autres animaux enfermés et maltraités dans l'université d'Oxford.
 
Nous savons qu'il est trop tard pour les "Oxford 2", mais il n'est pas trop tard pour Félix. Il ne faut pas que l'université d'Oxford puisse nous tromper en disant qu'ils l'ont tué, comme ils l'ont fait pour les "Oxford 2". Nous savons qu'ils veulent maintenir Félix en vie afin de l'exploiter aussi longtemps que possible, mais nous devons tout de même agir immédiatement si nous voulons avoir une petite chance de lui sauver la vie. Une vie qui n'a pas à être passée emprisonné dans les laboratoires de recherche fortifiés de l'université d'Oxford, où il va souffrir et mourir isolé. Sa vie lui appartient, à lui et non à Tipu Aziz, ni à l'université d'Oxford.
 
Les "Oxford 2", George, Jez et Bjee ont souffert et sont morts entre les mains de leurs tortionnaires. Mais Félix, lui, est vivant et il est maltraité et va continuer à être maltraité au cours des 2 prochaines années au moins. Aidez-nous à lutter pour Félix. Toute personne préoccupée par le sort de Félix doit nous rejoindre dans notre "Combat pour Félix". Envoyons un signal fort et clair à l'université d'Oxford pour qu'ils comprennent qu'ils auront du fil à retordre s'ils pensent qu'ils peuvent maltraiter Félix pendant plusieurs années avant de le tuer !
 
 
SPEAK a un message pour l'université d'Oxford :
 
"Nous savons que vous avez l'intention de faire des expériences sur Félix pendant au moins 2 ans, probablement plus. Si, pour une raison ou pour une autre, vous pensez que votre intérêt est de tuer Félix prématurément, réfléchissez à deux fois. Ou si Félix venait à mourir mystérieusement, alors nous vous invitons à réfléchir sérieusement à cette éventualité. Le public britannique verra cet acte d'un mauvais oeil et si vous choisissiez de le faire, SPEAK se souviendra toujours de cet assassinat."
 
"Il faut un courage rare pour se libérer de l'endoctrinement institutionnel d'un système qui pousse les gens à croire qu'il n'existe aucune autre manière valable d'acquérir des connaissances scientifiques que de s'accrocher à une mauvaise science qui sévit depuis plus de 100 ans."
 
Source : Fondation Brigitte Bardot : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40133
 Chaque année au sein de l’Union Européenne, plus de 10 000 primates (dont près d’un tiers en France) sont sacrifiés en laboratoires. Ces espèces, souvent protégées (chimpanzés, macaques, bonobos, babouins…), sont le support d’expérimentations pour des médicaments, des cosmétiques, des pesticides, des produits ménagers, etc.
 
Pourtant, l’effet de certains produits diffère parfois chez l’animal et chez l’être humain. Et en dépit des traitements répétés, les expériences menées sur les primates ne peuvent pas atteindre la précision d’une étude sur l’homme. Rappelons que les primates partagent 90% de leur ADN avec les humains et sont doués de capacités intellectuelles et d’une conscience : ils ressentent donc le stress, la souffrance, la frustration, l’enfermement et l’approche de la mort…
 
Contactée par téléphone, Brigitte Bardot se dit « heureuse de ce premier pas et de ce signe fort du Parlement ». Elle demande néanmoins à la France de « poursuivre ses efforts car il est moralement inacceptable de provoquer la mort dans des souffrances indicibles lorsqu’on est censé la combattre ».
 
 Des méthodes alternatives fiables et sûres
 
La technologie et les techniques modernes offrent à présent des méthodes de remplacement qui s’avèrent plus efficaces et fiables que les expériences sur les primates. C’est le cas par exemple de l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMF), du microdosage, de la modélisation informatique ou de la culture de tissus et de cellules in vitro. On peut citer notamment le « Kit EpiSkin » mis au point par le centre de bio-ingéniérie de L’Oréal qui permet, à partir d’échantillons de peau humaine reconstruite sur du collagène, de « remplacer complètement les tests »* en matière d’irritation cutanée.
 
 Une mobilisation internationale… parce qu’ils le valent bien !
 
Contactée par Eurogroup sur cette thématique, la Fondation Brigitte Bardot s’est mobilisée en France et est intervenue à plusieurs reprises auprès des 78 eurodéputés français. La révision de la directive 86/609/CE offrait l’opportunité de donner une nouvelle orientation à la recherche. Par ailleurs, l’utilisation de primates à des fins expérimentales encourage fortement le trafic international d’espèces protégées.
 
La Fondation Brigitte Bardot souhaite donc que la priorité soit donnée à la recherche scientifique, notamment au développement des méthodes de substitution, et ce afin que cesse progressivement le recours aux cobayes.
 
* Homologation de l’ECVAM, le Centre Européen pour la Validation des Méthodes Alternatives, juillet 2007
 
EXPERIMENTION ANIMALE Samedi 04 août 2007 : Journée Internationale de solidarité avec Félix contre l'expérimentation animale !
 
A l'occasion de la Journée Internationale de solidarité avec Félix (voir son histoire ci-dessous) qui, à travers lui, permet de dénoncer mondialement la cruauté et l'écoeurante pratique de la vivisection, la FBB tient à s'associer à ce mouvement et à relayer le message à l'echelle de la France.
 
Brigitte Bardot est donc intervenue auprès du Premier ministre anglais, Sir Gordon Brown, pour lui signifier son soutien à cette journée de solidarité pour Félix, mais aussi lui demander d'entendre la voix de la souffrance de ces millions d'animaux sacrifiés (à savoir plus de 10 millions chaque année) d'intervenir en dénonçant l'horreur de la vivisection et d'agir dans ce sens pour mettre un terme à l'expérimentation animale fortement contestée par de nombreux scientifiques et actuellement l'objet de discussion au Parlement Européen.
 
En effet, 300 députés européens (dont 44 députés anglais) ont d'ores et déjà signé une déclaration écrite du Parlement européen visant à " remplacer l'utilisation de tous les primates par d'autres solutions dans les expériences scientifiques ".
 
Lire la lettre de Brigitte Bardot au 1er Ministre Anglais >>
 
 La journée de solidarité
 
Pour plus d'informations sur cette journée de solidarité avec Felix, rendez-vous sur les sites de: International Campaigns et/ou SPEAK
organisateur du mouvement.
 
 
Texte de la Déclaration écrite Déclaration écrite sur l’utilisation de primates dans les expériences scientifiques
 
Le Parlement européen, vu l’article 116 de son règlement,
 
A. considérant que plus de 80% des personnes ayant répondu en 2006 à la consultation publique de la Commission sur les animaux utilisés à des fins expérimentales estimaient inadmissible l’utilisation de primates à des fins expérimentales,
 
B. considérant que les laboratoires de l’UE utilisent chaque année plus de 10 000 primates à des fins expérimentales,
 
C. considérant que l’ADN de la plupart des espèces de primates est à 90% semblable à celui de l’être humain et qu’il est reconnu que les espèces de primates peuvent ressentir une grande souffrance en captivité,
 
D. considérant que 26% des espèces de primates sont menacées de disparition et que des laboratoires continuent à utiliser des primates capturés à l’état sauvage ; qu’en outre, il peut s’avérer difficile de protéger les primates de menaces telles que la consommation humaine si les institutions scientifiques occidentales donnent l’impression de disposer librement de ces espèces,
 
E. considérant que la technologie et les techniques modernes offrent à présent des méthodes de remplacement qui s’avèrent plus efficaces et fiables que les expériences sur les primates, telles que l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), le microdosage, la modélisation informatique ou la culture de tissus et de cellules,
 
F. considérant qu’en dépit des similitudes génétiques, d’importantes différences subsistent entre les humains et les autres primates et que les expériences menées sur des primates ne peuvent pas atteindre la précision d’une étude sur l’homme,
 
1. invite instamment la Commission, le Conseil et le Parlement européen à profiter de la révision de la directive 86/609/CE pour :
 
a) mettre fin, en priorité et de toute urgence, à l’utilisation des grands singes et des singes capturés à l’état sauvage à des fins expérimentales ;
b) établir un calendrier en vue de remplacer l’utilisation de tous les primates par d’autres solutions dans les expériences scientifiques ;
 
2. charge son Président de transmettre la présente déclaration, accompagnée du nom des signataires, au Conseil, à la Commission et aux États membres.
 
 
Pour la première fois, un établissement qui pratique la vivisection nous a fourni le nom, des photos et des vidéos de l'animal non humain qu'ils ont l'intention de maltraiter pendant plusieurs années. Ils nous ont aussi indiqué quelle forme allaient prendre ces mauvais traitements.
 
Félix est le nom que le vivisecteur Tipu Aziz a donné au macaque qu'il a pour projet de maltraiter et de torturer au cours des prochaines années. L'ironie de ce baptême ne nous échappe pas. Tipu Aziz avoue n'avoir aucun sentiment pour les animaux, mais il a quand même choisi un nom pour cet animal qui va devenir son esclave. Aziz a reconnu ouvertement que si cela ne tenait qu'à lui, il tuerait des animaux pour pouvoir tester des cosmétiques. Il pense également qu'on devrait faire des expériences sur les Grands Singes.
 
Depuis maintenant 3 ans, SPEAK lutte contre le projet de construction d'un nouveau laboratoire avec des animaux à l'université d'Oxford. Jusqu'à présent, nous avons pour ainsi dire combattu un concept, des briques et du ciment. Avec Félix, c'est un être vivant qui entre au cœur de ce combat. Car, en fait, nous ne nous battons pas contre un bâtiment, mais contre l'utilisation qui va être faite de ce lieu, et contre l'emprisonnement, dans le bâtiment actuellement en construction, rue South Parks, des animaux non humains qui vont y être maltraités et, à terme, tués. Des animaux comme Félix, qui vont être tués par milliers dans ce nouveau centre de recherche.
 
Félix est le singe que l'on voit dans le récent documentaire de la BBC2 intitulé "Des singes, des rats et moi" ('Monkeys, Rats and Me'), diffusé le 27 novembre 2006, qui présentait le côté aseptisé, "acceptable", de la vivisection que les vivisecteurs veulent montrer au public.
 
Félix était montré attaché à une chaise de contention, en train d'être conditionné par des techniciens de l'université d'Oxford pour s'habituer à sa future vie de torture. Pour la caméra, le "conditionnement" de Félix se déroulait "à son propre rythme" : les techniciens ne l'ont pas forcé à se mettre sur la chaise de contention ni à sortir de sa cage s'il ne voulait pas. Ceux qui ont pu voir la dure réalité de la vie dans ce laboratoire (alors qu'ils y travaillaient "sous couverture") et qui ont relaté leur histoire et ont montré des preuves au public pourront affirmer qu'il s'agissait d'une vision faussée de ce qui se passe réellement dans les laboratoires, un exemple frappant de non-objectivité des média.
 
Vu le rapport de forces très déséquilibré qui existe dans une telle situation et compte tenu de la position vulnérable de la victime (sans parler du fait que le temps, c'est de l'argent, ce qui nécessite donc la soumission forcée de la victime), il semble assez évident que pour obtenir le contrôle de la victime, on doit utiliser la force et l'autorité. C'est ainsi que se fait le conditionnement de l'animal. Cela se traduit par l'exercice de la force et par des privations. Cela ne peut en aucun cas être un acte de coopération, mais toujours un acte de contrôle. N'oublions pas qu'aucun singe, aucun chien ou chat ni aucun autre animal, nous y compris, ne se porterait volontaire pour être mutilé, massacré ou empoisonné. C'est contraire à l'instinct de survie qui consiste à éviter la douleur et la souffrance, et bien sûr, la mort. Pour pouvoir exercer son contrôle, l'oppresseur doit donc avoir une victime soumise, le pouvoir d'un vivisecteur ou d'un technicien repose sur la peur qu'il ou elle peut exercer sur son sujet. La réalité de la vie de Félix est qu'il ne bénéficiera d’aucune douceur, d’aucun respect ni dignité de la part de ses tortionnaires. On lui apprendra à avoir peur.
 
 
Il ne s'agit pas de déclarations fantaisistes de militants anti-vivisection, mais de faits bien documentés. En effet, ce sont des faits que nous avons exposés dans un article publié sur le site Internet de SPEAK, qui reproduisait la candidature (qui nous a été fournie par une personne du Ministère de l'Intérieur) d'un vivisecteur de l'université d'Oxford qui cherchait à pratiquer la vivisection sur des primates.
 
Parmi les documents qui nous ont été fournis, il y avait des papiers qui prouvaient que la méthode habituellement utilisée pour soumettre les singes (afin de faciliter les expériences) consiste à les affamer. On peut dire que cela n'est pas très "humain" et ne laisse pas l'animal accepter son conditionnement "à son propre rythme". Il s'agit du recours à la brutalité, à laquelle Félix a sans aucun doute été soumis et qu'il devra continuer à endurer jusqu'à sa mort.
 
Au moment où le documentaire de la BBC2 a été tourné, Félix devait subir une opération du cerveau. Nous pensons que si cela n'a pas déjà eu lieu, l'opération de chirurgie invasive qui consiste à poser des implants dans son crâne va avoir lieu d'un jour à l'autre. Au cours des 2 prochaines années, Félix va être confiné dans une petite cage, complètement isolé, et devra subir une longue succession de tests. Cela ne veut pas dire qu'il sera attaché sur une chaise de contention pour s'amuser. Cela veut dire qu'il sera torturé.
 
Actuellement, nous ne savons pas combien de temps Félix va vivre. Il se peut que sa vie ressemble à l’existence pitoyable des "Oxford 2", c'est-à-dire des 2 macaques dont on a trituré le cerveau lors d'opérations chirurgicales et qui ont enduré 15 ans de maltraitance et d'emprisonnement dans les laboratoires de l'université d'Oxford. En revanche, une chose est certaine : si nous n'agissons pas maintenant, Félix ne reverra jamais le monde extérieur ni aucun de ses congénères. Félix va vivre, va être maltraité et finalement mourir sans jamais avoir connu la liberté, qui est cependant son droit fondamental.
 
Souvenez-vous de George, rendu aveugle et méprisé par un vivisecteur d'Oxford. Le même vivisecteur qui a fait l'objet d'une enquête de police pour cruauté envers un macaque nommé Jez. Souvenez-vous aussi de Bjee, une autre victime des expérimentateurs de l'université d'Oxford. Il est vital qu'on n'oublie pas Félix. C'est sa seule chance de survivre aux sévices infligés par ses tortionnaires. Il est impératif que nous nous battions pour Félix et pour son droit à la vie ! Pour son droit de vivre sans souffrance... Félix n'est pas un matricule. C'est un individu, tout comme tous les autres animaux enfermés et maltraités dans l'université d'Oxford.
 
Nous savons qu'il est trop tard pour les "Oxford 2", mais il n'est pas trop tard pour Félix. Il ne faut pas que l'université d'Oxford puisse nous tromper en disant qu'ils l'ont tué, comme ils l'ont fait pour les "Oxford 2". Nous savons qu'ils veulent maintenir Félix en vie afin de l'exploiter aussi longtemps que possible, mais nous devons tout de même agir immédiatement si nous voulons avoir une petite chance de lui sauver la vie. Une vie qui n'a pas à être passée emprisonné dans les laboratoires de recherche fortifiés de l'université d'Oxford, où il va souffrir et mourir isolé. Sa vie lui appartient, à lui et non à Tipu Aziz, ni à l'université d'Oxford.
 
Les "Oxford 2", George, Jez et Bjee ont souffert et sont morts entre les mains de leurs tortionnaires. Mais Félix, lui, est vivant et il est maltraité et va continuer à être maltraité au cours des 2 prochaines années au moins. Aidez-nous à lutter pour Félix. Toute personne préoccupée par le sort de Félix doit nous rejoindre dans notre "Combat pour Félix". Envoyons un signal fort et clair à l'université d'Oxford pour qu'ils comprennent qu'ils auront du fil à retordre s'ils pensent qu'ils peuvent maltraiter Félix pendant plusieurs années avant de le tuer !
 
 
SPEAK a un message pour l'université d'Oxford :
 
"Nous savons que vous avez l'intention de faire des expériences sur Félix pendant au moins 2 ans, probablement plus. Si, pour une raison ou pour une autre, vous pensez que votre intérêt est de tuer Félix prématurément, réfléchissez à deux fois. Ou si Félix venait à mourir mystérieusement, alors nous vous invitons à réfléchir sérieusement à cette éventualité. Le public britannique verra cet acte d'un mauvais oeil et si vous choisissiez de le faire, SPEAK se souviendra toujours de cet assassinat."
 
"Il faut un courage rare pour se libérer de l'endoctrinement institutionnel d'un système qui pousse les gens à croire qu'il n'existe aucune autre manière valable d'acquérir des connaissances scientifiques que de s'accrocher à une mauvaise science qui sévit depuis plus de 100 ans."
 
Source : Fondation Brigitte Bardot : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40133
 
Source : Fondation Brigitte Bardot : http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40133
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Et dieu créa la femme le 11 09 2007 sur Fance 3

Publié le par Ricard Bruno

Et dieu créa la femme le 11 09 2007 à 14h40 sur Fance 3 

Date de sortie : 28 Novembre 1956   

Résumé du film :
M. Carradine, propriétaire d'une boite de nuit sur la Côte d'Azur, jette son dévolu sur une jeune orpheline, Juliette, mais celle-ci rêve d'être possédée par un jeune entrepreneur de travaux, Antoine. Elle doit retourner à l'orphelinat à moins qu'elle ne trouve un mari sur l'heure. C'est le frère cadet d'Antoine, Michel, qui se dévoue espérant dompter la dépravation de Juliette. Au bout de quelques semaines de mariage, elle finit par céder à son désir d'Antoine, brouillant les deux frères. Carradine attendait cette heure, mais c'est Michel qui arrivera le premier pour reconquérir sa femme, après avoir vaincu son frère et tenté de tuer sa femme.
Générique technique
Réalisateur Roger Vadim 
Scénario Roger Vadim 
Scénario Raoul Levy 
Dialoguiste Roger Vadim 
Société de production Iéna Productions 
Société de production Cocinor - Comptoir Cinématographique du Nord 
Société de production UCIL - Union Cinématographique Lyonnaise 
Directeur de production Claude Ganz 
Directeur de la photographie Armand Thirard 
Ingénieur du son Pierre Calvet 
Compositeur de la musique Paul Misraki 
Décorateur Jean André 
Maquilleur Hagop Arakelian 
Monteur Victoria Mercanton
 
Acteurs et actrices :
Brigitte Bardot (Juliette Hardy)
Curd Jürgens (Eric Carradine)
Jean-Louis Trintignant (Michel)
Christian Marquand (Antoine)
Georges Poujouly (Christian)
Jean Tissier (Vigier-Lefranc)
Paul Faivre (Morin)
Jane Marken (Mme Morin)
Marie Glory (Mme Tardieu)
Isabelle Corey (Lucienne)
Jacques Ciron (le secrétaire d'Eric)
Léopoldo Frances (le danseur)
Philippe Grenier (Perri)
Guy Henry (un bagarreur)
Jean Lefebvre (l'homme qui veut danser)
Raoul Levy (un joueur)
Jany Mourey (la déléguée de l'évéché)
André Toscano (René)
Roger Vadim (un ami d'Antoine)
Claude Véga (Roger)
Jacqueline Ventura (Mme Vigier-Lefranc)
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FAUNE SAUVAGE

Publié le par Ricard Bruno

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Transfert en Afrique du Sud d'un hippopotame

Publié le par Ricard Bruno

Transfert en Afrique du Sud par avion d'un hippopotame saisi dans un cirque !
hippopotame.jpgUn hippopotame au zoo de Saint-Martin-la-Plaine , le 29 août 2007

Un hippopotame de 11 ans saisi dans un cirque, va être transféré par avion vers une réserve d'Afrique du Sud, a indiqué le parc animalier de Saint-Martin-la-Plaine (Loire), qu'il a quitté mercredi matin après y avoir passé trois mois.

 

"Le rapatriement d'un tel animal sur le continent africain constitue une première pour nous", a indiqué un responsable de la Fondation Brigitte Bardot, qui finance l'essentiel de l'opération.

A l'initiative de la Fondation assistance aux animaux, Tonga, un mâle âgé de onze ans et qui pèse presque deux tonnes, avait été saisi dans le cirque Luigi Zavatta, au terme d'une décision rendue en février dernier par le Tribunal de grande instance d'Annecy.

Il faisait partie des sept derniers hippopotames détenus par des cirques en France, selon l'association Brigitte Bardot.

Le tribunal avait également ordonné la saisie dans cette même ménagerie ambulante, de cinq lions, un tigre et cinq serpents.

Comme c'est le cas de nombreux cirques, selon les deux fondations, ce dernier ne disposait pas du certificat de capacité nécessaire pour la possession de ce type d'animaux, délivré par les services vétérinaires.

"L'absence de soins appropriés, notamment au niveau dentaire, a provoqué le perçage de la lèvre supérieur de l'hippopotame par une de ses canines", souligne Pierre Thivillon, le propriétaire du Parc animalier de la Loire qui l'héberge depuis mai.

L'animal est entré, non sans se faire prier, dans une caisse en acier qui a été hissée à l'aide d'une grue à bord d'un camion à destination de l'aéroport d'Amsterdam (Pays-Bas), d'où il sera convoyé jeudi par avion cargo jusqu'à Johannesburg (Afrique du Sud).

"Tonga sera enfin relâché au sein du sanctuaire sud-africain de la faune sauvage +Sanwild+, où il bénéficiera de soins", a précisé Christophe Marie, représentant de la Fondation Brigitte Bardot.

Sanwild est une réserve de 21 hectares située à 400 km au nord de Johannesburg.

Source : http://www.edicom.ch/fr/news/insolite/1192_4219434.html

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Sienna Miller enfile les jeans Pepe

Publié le par Ricard Bruno

Sienna-Miller.jpg
Sienna Miller enfile les jeans Pepe
(bum) L’actrice Sienna Miller participe à la nouvelle campagne publicitaire de Pepe Jeans.

Sienna Miller sera le nouveau visage et porte-parole pour la société Pepe Jeans. Un contrat de deux ans lie l’actrice au fabricant de denims.

La première campagne publicitaire est inspirée du film Et Dieu... créa la femme, qui a propulsé Brigitte Bardot à titre de vedette mondiale.

Il s’agit d’un excellent coup pour Pepe Jeans puisque Sienna Miller est reconnue comme étant une faiseuse de tendances.

Dernièrement, Miller a fait la manchette avec sa vie amoureuse puisque des rumeurs circulent que la starlette fréquente sa covedette, Sean Bean.

Source : http://www.copines.ca/nouvelles/commentaires/17208__sienna-miller-enfile-les-jeans-pepe.html

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Les anti-corridas sortent l’épée

Publié le par Ricard Bruno

Tradition . Alors que la saison tauromachique se poursuit, les opposants à la corrida multiplient les initiatives médiatiques, avec le soutien de personnalités.

C’est un débat qui n’a pas de sens. Et qui, pourtant, revient régulièrement, en toile de fond de la temporada. Cette année, l’acharnement des anti-corridas est monté d’un cran. Élections capitales aidant, les associations abolitionnistes ont redoublé d’efforts pour imposer à l’opinion publique leur point de vue (pas pour imposer mais pour ouvrir les yeux au grand public!). Des personnalités comme Renaud, Surya Bonaly ou Jean-Claude Van Damme ont pris leur plume pour implorer le président de la République d’arrêter ce qu’ils considèrent comme un massacre, un spectacle de torture anachronique dans une société moderne.

Les trois principaux mouvements - CRAC, FLAC et SPA - ont uni leurs bataillons pour financer un spot publicitaire que le Bureau de vérification de la publicité a rejeté en raison de ces images violentes (vous appelez cela des images violentes, c'est vraiment se foutre des gens!). D’immenses panneaux ont longé la route des ferias, des avions laissant flotter leurs revendications ont survolé les grandes arènes, de maigres cortèges d’opposants ont scandé leur révulsion. Seule démonstration de force de cette croisade : les quelque 200 000 signatures d’une pétition paraphée, elle aussi, par certains « peoples » (et alors cela vous dérange tant que cela  que des peoples rejoignent  le rang des amis des animaux!)

Si les militants de la cause animale mènent un combat honorable, ils ne peuvent prétendre détenir la vérité. Et surtout pas traiter les aficionados d’assassins, de sans-coeur (pour moi ce sont bien des assassins et des sans coeur!). Les Brigitte Bardot et consorts reprochent à certains politiques de cautionner une tradition barbare. Il est vrai, le gouvernement compte de nombreux adeptes de la corrida : François Fillon, Michèle Alliot-Marie, ou encore Roselyne Bachelot, qui vient de se montrer sur les gradins dacquois. Et d’interpeller en mars dernier jusqu’aux députés européens. Pourquoi ne pas accuser ces mêmes responsables de manquer de respect aux droits humains et sociaux ? (chacun fait et s'engage dans la cause qui lui tiens à coeur, vous ne faites que critiquer, bougez un peu vos fesses au lieu de les faire reluire sur votre chaise de bureau!)

De son côté, Nicolas Sarkozy, que l’on ne peut pas classer parmi les anti, a promis d’aborder le sujet lors du Grenelle de l’environnement, en passe de devenir une auberge espagnole. C’est d’ailleurs chez nos voisins ibériques, inventeurs de la corrida, que les opposants à la tauromachie ont marqué le plus de points ces dernières années. En 2004, la municipalité de Barcelone s’est ainsi proclamée « ville antitaurine ». Et les seules arènes encore en activité de la capitale catalane vont accueillir dès l’an prochain un marché aux puces.

En France, au contraire, d’anciennes villes de tradition taurine ont repris le flambeau comme Fréjus (Var), Carcassonne (Aude) ou Fenouillet (Haute-Garonne), dans la banlieue toulousaine. La corrida suscitera toujours les passions. Mais, à défaut de se comprendre, pro et anti auraient tout intérêt à se respecter.(je en porte pas du tout dans mon coeur ceux qui massacre pour le plaisir sadique d'une poignée de ramolis du bulbe)

BRUNO RICARD  (en ROUGE, mes commentaires)

Url del'article (si on peut appeler cela un article de presse)
http://www.humanite.fr/2007-08-21_Societe_Les-anti-corridas-sortent-l-epee

Publié dans le web en parle

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Prison ferme requise pour quatre hommes accusés de cruauté envers des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Le parquet de Meaux a requis jeudi des peines allant de 8 mois à un an ferme à l'encontre de quatre hommes accusés d'avoir maltraité à mort deux chiens à la suite d'une banal différend entre voisins en nomvembre à Mouroux (Seine-et-Marne), a-t-on appris vendredi auprès du tribunal.

Le substitut du procureur a requis des peines de deux ans de prison dont un an avec sursis à l'encontre de trois des accusés, et une peine plus légère de deux ans dont seize mois avec sursis à l'encontre du quatrième, qui avait reconnu les faits. Il a en outre requis un mandat de dépôt. Tous comparaissaient pour sévices graves ou actes de cruauté envers un animal.

Le jugement a été mis en délibéré au 29 août.

Dans la nuit du 13 au 14 novembre, les quatre hommes, âgés de 23 à 26 ans, avaient passablement bu pour fêter la naissance du fils de l'un d'eux, chez un autre à Mouroux. A l'issue de la beuverie, ils avaient décidé d'en finir avec les deux chiens des voisins, deux gros Saint-Bernard baptisés Raoul et Voxan, accusés de trop aboyer et d'avoir fait leurs besoins dans la cour commune des deux familles.

Ils avaient attaché les deux chiens au pare-choc d'une voiture, et les avaient traînés sur quelque 5 km à plus de 100 Km/h. Puis l'un des hommes avaient pris une batte de base-ball pour achever les bêtes. Voxan, découvert agonisant par un promeneur, avait dû être euthanasié par un vétérinaire.

Cinq associations de défense des animaux, dont la Société protectrice des animaux (SPA) et la Fondation Brigitte Bardot, se sont constituées parties civiles, et ont demandé des dizaines de milliers d'euros de dommages et intérêts.

Source : http://www.france24.com/france24Public/fr/administration/article-afp.html?id=070817103122.anr705my&cat=france

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La guerre des corridas reprend en France

Publié le par Ricard Bruno

Mister Renard dans l’arène aux taureaux. Pour la troisième fois, le clip anticorrida sur lequel Renaud disait tout le mal de cette «barbarie» a été refusé par le Bureau de vérification de la publicité. Depuis, il cartonne sur le site DailyMotion*. En pleine saison des férias, cette «censure» a relancé le débat sur la pratique de la tauromachie en France.

BB contre Roselyne

Cette semaine, le chanteur énervé, Surya Bonaly et Jean-Claude Van Damme ont écrit à Nicolas Sarkozy pour se plaindre de ce boycott. Brigitte Bardot a chargé Roselyne Bachelot, qui a finalement renoncé à se rendre dans les arènes de Bayonne. Et la porno star Zara Whites a distribué des tracts contre cette ministre de la Santé, de la jeunesse et des sports amatrice «de tortures et de mort». Le président a fini par promettre de traiter du problème lors du prochain Grenelle de l’environnement en septembre.

Et revoilà donc la France coupée en deux. Avec un Code pénal qui interdit les sévices sur les animaux, sauf «lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être évoquée». Une exception «d’un autre âge», juge Muriel Marlan-Militello. La députée UMP veut la supprimer et a déposé un projet de loi en ce sens.

Chaque année, dans le Sud-Ouest et le Sud-Est, quelque 1500 taureaux sont ainsi légalement tués dans les corridas. «Dans les faits, estime Patricia Zaradny, présidente du Comité radicalement anticorrida (CRAC), c’est quatre ou cinq fois plus. Tout ça pour quelque 5000 aficionados, une mafia taurine qui se sucre à coups de subventions et fait tourner des arènes vides, alors que 80% des Français, selon les sondages, désapprouvent.» Elle dénonce aussi les cas d’affaiblissement de l’animal. Et notamment l’afeitado, technique qui consiste à scier les cornes de la bête à vif.

«Intégristes animaliers»

Du côté des procorridas, on dit avoir beaucoup de peine à dialoguer avec ces «intégristes animaliers». En 2004, Simon Casas, le directeur des Arènes de Nîmes, a vu sa maison attaquée à coups de cocktails Molotov. D’autres ont reçu des lettres piégées contenant des lames de rasoir. «J’aimerais que les détracteurs de la corrida cessent de nous insulter et de mentir, s’empourpre Simon Casas. Cette année, nous aurons 2 millions de spectateurs dans les arènes du sud de la France. La corrida ne s’est jamais aussi bien portée. A Nîmes, cette industrie est la première de la ville. Elle finance les férias. Nous ne torturons personne et notre profession est la plus surveillée du monde. Sans corrida, la race des taureaux de combat disparaîtra. Ces animaux ne savent rien faire d’autre.»

Ethiquement, le philosophe Francis Wolff, auteur d’un essai sur le sujet, ne voit pas de problème: «Pendant le combat, le taureau produit des hormones de plaisir et d’excitation. Elles anesthésient sa douleur. Le spectateur non initié rejette ce qu’il ignore car il croit que la souffrance domine. Mais ce n’est pas le cas.»

André Viard, ancien matador aujourd’hui éditeur du magazine Terres taurines, va plus loin: «Le courant animaliste veut faire de l’animal l’égal de l’homme. A cette aune, manger une huître ne sera pas plus acceptable que de tuer un taureau. Dans une arène, l’espérance de vie d’un profane est de quinze secondes. Il n’y a que 1500 personnes au monde qui peuvent espérer ressortir vivantes d’un combat avec un taureau. Le matador offre son corps. Il y a quelque chose de païen pour le peuple du Sud à vouloir danser avec la mort avant de partir faire la fête. C’est profond d’humanité. Il n’y a aucune honte à avoir, aucune raison de le priver de cet amour ancestral.» 

Source : http://www.24heures.ch/pages/home/24_heures/l_actu/monde/monde_detail/(contenu)/120528

Publié dans le web en parle

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