LA FBB SOUTIENT LE ZAMBIA PRIMATE PROJECT
Aujourd’hui, ZPP est enregistrée en tant qu’organisation zambienne de protection des primates sans but lucratif opérant à partir du parc national de Kafue en Zambie. Le travail de ZPP couvre l’ensemble de la Zambie en étroite collaboration avec le ministère des Parcs nationaux et de la Faune. Son programme de sensibilisation permet également de modifier les comportements profondément enracinés au sein de la population à l’égard des primates.
Le braconnage des singes et des babouins est perpétué par une perception, malheureusement courante en Zambie, des primates en tant que « ravageurs ». Une enquête de 2017 a révélé que 63 % des adultes pensent qu’il est légal de garder les primates comme animaux de compagnie, tandis que 46% des adultes croient qu’il est légal de manger de la viande de babouin. Depuis sa création en 2002, le ZPP a réussi à sauver, réhabiliter et remettre à l’état sauvage 780 primates captifs.
Le soutien de la FBB a permis le sauvetage de 10 primates détenus illégalement en Zambie et au relâché d’un groupe de 28 singes vervets. Le centre poursuit ses sauvetages à travers le pays.
Une enseigne de Cap 3000 reversera ce dimanche l'intégralité de sa recette du jour à une association de protection animale
Ce dimanche, une enseigne de spécialités belges reversera l'intégralité de son chiffre d'affaires à une association de protection animale
Une douceur pour faire avancer la protection animale. Dimanche, la boutique La Belle Liégeoise, à Cap 3000 à Saint-Laurent-du-Var, reversera l’intégralité de son chiffre d’affaires de la journée à l’association Action protection animale, qui lutte contre la maltraitance de nos compagnons à quatre pattes.
L’enseigne de Saint-Laurent-du-Var, spécialisée dans les gaufres belges et les glaces artisanales, disposera également une urne pour recueillir les dons de ses clients, tandis que des bénévoles de l’association seront présents toute la journée.
Action protection animale lutte contre toutes les formes de souffrance animale, veille à ce que les lois protégeant les animaux soient respectées, sensibilise l’opinion publique et participe à l’éducation des plus jeunes.
Il s’était filmé en train de dépecer un chat: condamné, sa peine alourdie en appel
La cour d’appel de Metz a condamné jeudi 19 janvier 2023 un homme de 20 ans à deux ans d’emprisonnement, dont huit mois ferme, pour avoir tué un chat et l’avoir dépecé en se filmant avant de diffuser les vidéos sur Snapchat.
Début novembre, le jeune homme avait posté plusieurs vidéos sur le réseau social Snapchat, se montrant en train de dépecer un chat. Dans plusieurs messages, il expliquait avoir tué le chat en lui tirant une balle de plomb dans la tête. En première instance, au tribunal de Sarreguemines (Moselle), le prévenu avait été condamné à 10 mois d’emprisonnement, dont 4 mois ferme, mais le parquet avait fait appel de cette décision.
« La cour d’appel a bien pris conscience des faits commis par le prévenu, la peine est beaucoup plus satisfaisante que celle qui avait été prononcée en première instance», a réagi auprès de l’AFP Me Laure Vayssade, avocate de l’association « Stéphane Lamart pour la défense des droits des animaux ». La SPA, les fondations Brigitte Bardot, 30 millions d’amis et Assistance aux animaux s’étaient également portées partie civile.
Entre 2016 et 2021, le nombre d’atteintes aux animaux domestiques a augmenté de 30 % pour atteindre 12 000 faits constatés en 2021 (mauvais traitements, sévices graves et actes de cruauté notamment), avait annoncé fin octobre le ministère de l’Intérieur. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin en avait profité pour annoncer la création d’une division d’enquêteurs, composée de 15 policiers et gendarmes spécialisés, chargée « spécifiquement de la maltraitance animale ».
La loi de lutte contre la maltraitance animale, promulguée le 30 novembre 2021, a renforcé les sanctions en vigueur : le fait de commettre des « sévices graves » ou un « acte de cruauté » envers un animal peut désormais engendrer des peines allant jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.
COLLIERS DE DRESSAGE : L’INTERDICTION VOTÉE PAR L’ASSEMBLÉE NATIONALE !
De nombreuses d’études scientifiques dénoncent l’usage des colliers coercitifs et recommandent leur interdiction, s’accordant sur le fait que l’efficacité de ces outils n’est pas prouvée et que des méthodes d’éducation plus respectueuses du bien-être animal doivent être privilégiées. Les premières victimes sont les chiens dits « à problèmes » (de nature hyperactive ou hypersensible) sur lesquels l’utilisation de ces outils permet de franchir rapidement le cap dans la maltraitance animale et a des conséquences dramatiques, menant à de nombreux cas d’abandons ou d’euthanasies.
Claude François : cette rencontre décisive avec Brigitte Bardot qui l'a aidé pour sa carrière
Dans Claude François, l'intelligence populaire en chansons, en librairie le mercredi 18 janvier 2023, Olivier Delavault raconte la jeunesse du chanteur, depuis son enfance en Egypte à ses débuts sur la Côte d'Azur, bien avant qu'il ne rencontre le succès. C'est là que son chemin a croisé celui de Brigitte Bardot, déjà auréolée de son statut de star. Une rencontre décisive ! Télé-Loisirs, qui a pu lire l'ouvrage avant sa sortie, vous explique.
C'est un livre que tous les fans du chanteur de Claude François s'offriront sûrement, tant il est complet et fort bien documenté : ce mercredi 18 janvier 2023 sort en librairie Claude François, l'intelligence populaire en chansons d'Olivier Delavault, qui a déjà consacré plusieurs ouvrages au chanteur, tragiquement décédé il y a 45 ans cette année. Dans ce pavé de plus de 600 pages, que Télé-Loisirs a pu lire, l'auteur n'évoque pas la face sombre du chanteur qui n'avait pas que des amis dans le milieu artistique. De Stone qui le trouvait "odieux et imbu de lui-même", à l'ancien régisseur de l'Olympia qui a affirmé qu'il était "une ordure" en passant par Alain Chamfort qui a raconté à quel point il pouvait être "fou furieux" de jalousie, ils sont en effet quelques-uns à avoir été témoins du caractère orageux de Claude François.
Un jeune homme déterminé
Dans son livre, Olivier Delavault s'attarde davantage sur la discographie du chanteur, dressant un panorama très exhaustif de son oeuvre. L'auteur relate également la jeunesse de Cloclo, depuis son enfance en Egypte à son arrivée en France, puis ses débuts dans la musique, contre l'avis de son père qui ne consentira plus jamais à lui adresser la parole, ni à le regarder vraiment en face. Qu'importe, Claude François veut vivre de sa passion pour la musique et il est prêt à tout pour y parvenir. Il réussit tout d'abord à se faire embaucher au sein de l'orchestre du club de Radio Monte Carlo en tant que batteur. Il n'est encore qu'un musicien parmi les autres, caché derrière ses percussions, mais un deuxième engagement dans un autre orchestre à Juan-les-Pins lui donne l'occasion de pousser la chansonnette de temps en temps. Il interprète les chansons de Gilbert Bécaud, Ray Charles ou Charles Aznavour et devient vite la coqueluche du public, en particulier des femmes. Grâce à sa mère, Lucia, il décroche un contrat au sein du grand orchestre de la Société de Bains Monégasques où il commence à rencontrer du beau monde. Il y fait notamment la connaissance de Sacha Distel, avec qui il restera très ami.
Les très bons conseils de Brigitte Bardot
C'est à cette époque que Claude François fait une rencontre qui sera, en partie sans doute, décisive dans sa carrière. Un soir, après sa prestation, Brigitte Bardot en personne vient le féliciter. Et celle qui est déjà une star du cinéma depuis son rôle dans le film Et Dieu... créa la femme, lui prodigue également deux précieux conseils. Après l'avoir vu esquisser quelques succincts pas de danse, BB lui suggère de ne pas se cantonner au chant, mais d'allier la danse à la chanson. Surtout, elle lui conseille fortement de "monter à Paris", consciente que c'est dans la capitale que tout se joue. Ces deux conseils, Claude François les suivra quelques années plus tard, d'abord en quittant le Sud de la France pour s'installer à Paris, puis en créant, pour certaines de ses chansons, des chorégraphies qu'il exécutera entouré de ses célèbres Claudettes avec qui il était impitoyable.
Landes : attaquée par les chasseurs pour diffamation, la fondation Brigitte Bardot relaxée
Le tribunal judiciaire de Mont-de-Marsan a rendu sa décision ce mardi 17 janvier. La fondation Brigitte Bardot est relaxée des charges de diffamation, suite à la plainte déposée par la fédération de chasse des Landes en avril 2021.
Cette décision était très attendue. La fondation Brigitte Bardot est finalement relaxée, a annoncé ce mardi 17 janvier le tribunal judiciaire de Mont-de-Marsan. La fédération de chasse des Landes avait porté plainte pour diffamation, en avril 2021, suite à une campagne d'affichage choc de l'organisation de protection des animaux. Sur ces immenses affiches, on pouvait lire ce message : "Chasseurs, sauvez des vies, restez chez vous." La société d'affichage Clear Chanel, poursuivie également par la fédération des chasseurs, est de la même manière relaxée.
Les chasseurs condamnés à verser des dommages et intérêts
Non seulement la fédération des chasseurs des Landes est déboutée, mais elle devra par ailleurs payer 2000 euros de dommages et intérêts à la fondation Brigitte Bardot, et 2000 euros également à Clear Chanel, pour "abus de constitution de partie civile", juge le tribunal judiciaire de Mont-de-Marsan.
Pour la fédération de chasse, assimiler les chasseurs à des tueurs représentait un amalgame insupportable. "C'est notre rôle d'association militante d'être dans la provocation, c'est notre droit au nom de la liberté d'expression", avait de son côté soutenu l'avocat de l'association de protection des animaux lors du procès, en novembre 2022.
Le parquet n'avait pas fait de réquisitions. Le code pénal prévoit une peine maximum de 12 000 euros d'amende pour diffamation publique.
Maltraitance animale : vers une interdiction des colliers étrangleurs et électriques en France ?
La députée Renaissance Corinne Vignon a présenté une proposition de loi qui a pour ambition d’interdire certains accessoires pour animaux jugés dangereux.
Corinne Vignon, députée Renaissance de Haute-Garonne a présenté une proposition de loi visant à interdire la maltraitance animale sur les animaux de compagnie par l’utilisation de colliers étrangleurs et électriques.
Des séquelles physiques et des traumatismes
Comme le rappelle la Fondation Brigitte Bardot, ces colliers peuvent provoquer des séquelles physiques aux chiens comme des brûlures, des lésions ou même des écrasements de la trachée.
Outre ces séquelles physiques, les animaux peuvent aussi être traumatisés par l’utilisation des colliers étrangleurs et électriques.
En France, la proposition de loi présentée à la commission des affaires économiques a été adoptée à la quasi unanimité. Le texte sera votée à l’Assemblée nationale le 16 janvier prochain.
Sur Twitter, de nombreuses associations se sont félicités de ce vote en évoquant « un travail qui fait progresser la condition animale ».