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action protection animale

le dernier couple de pie-grièche en France est mort

Publié le par Ricard Bruno

Le dernier couple de pie-grièche à poitrine rose qui vivait en France, plus exactement dans le bassin de Thau, vers Villeveyrac, s'est éteint. Il n'avait pas pu se reproduire.

Pie-grièche à poitrine rose (©D.R.)

Pie-grièche à poitrine rose (©D.R.)

Le dernier couple de pie-grièche à poitrine rose présent en France vivait dans l’Hérault, à l’Ouest de Montpellier,dans le bassin de Thau.Vivait donc, car il vient de disparaître. Du coup, l’espèce est en grand danger en Europe, selon la Ligue de protection des oiseaux, la LPO de l’Hérault.

Au début du XXe siècle, la pie-grièche à poitrine rose était considérée comme une espère commune, présente en grand nombre dans le nord-ouest et le sud-est du pays. Cent ans plus tard, un seul couple était répertorié dans l’Hérault, début juillet. Ils n’ont malheureusement pas réussi à se reproduire. Le couple est mort.

Une disparition programmée qui a échappé au grand plan régional de sauvegarde lancé il y a onze ans et au plan national d’action mis en oeuvre depuis 2013.

La faute à l’agriculture intensive ? 

Selon la LPO. Parmi elles, la première est sans aucune doute ladiminution des insectes par l’usage systématique de pesticides et plus globalement, l’intensification de l’agriculture, à la fois en France mais aussi dans sa zone d’hivernage, en Afrique. 

Autres explications : les changements climatiques, le braconnage, la modification des sols dans ses zones d’habitat, ou bien la très longue migration et les risques qu’elle entraîne (près de 10.000 kilomètres deux fois par an). Se trouvant en bordure d’aire de répartition, il est d’ailleurs logique que la France et l’Espagne soient aujourd’hui les plus impactés. 

La pie-grièche à poitrine rose fait aujourd’hui partie des espèces migratrices « qui ont besoin d’une coopération mondiale, ou qui pourraient en bénéficier de manière significative« , selon un classement européen. C’est la raison pour laquelle la LPO réclame qu’un programme de sauvetagesoit lancé à l’échelle internationale. 

Les autres espèces de la pie-grièche ne sont pas menacées.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Brigitte Bardot Je demande à Edouard Philippe la suppression du ministère de l'Ecologie

Publié le par Ricard Bruno

Merci à BDO pour cette information

Merci à BDO pour cette information

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Savoie les autorités abattent 4 chèvres naines errantes par précaution le propriétaire dégoûté

Publié le par Ricard Bruno

Les cinq biquettes erraient dans la montagne depuis des mois.

Les cinq biquettes erraient dans la montagne depuis des mois.

La préfecture de Savoie a ordonné, ce mardi 6 août 2019, l'abattage de quatre chèvres naines qui s'étaient échappées d'un enclos à Val-d'Isère et qui erraient dans la montagne. Une "précaution" pour éviter une éventuelle contamination des bouquetins. Le propriétaire est choqué et "dégoûté".

es quatre chèvres de cet habitant de Val-d'Isère s'étaient échappées et erraient dans la montagne près du parc de la Vanoise, en Savoie. Elles ont finalement été abattues. Les autorités craignaient que les animaux propagent la brucellose, une maladie qui touche notamment les bouquetins.

"J'ai entendu les coups de fusils et j'ai tout de suite compris". Ce mardi 6 août 2019, il est à peine 6h30 du matin lorsque les coups de feu retentissent dans la montagne. Stéphane sait que ses chèvres viennent de subir le sort qu'il tentait de leur éviter depuis des mois.

Il se précipite à l'extérieur, grimpe sur la montagne et constate la mort de ses "biquettes". Les hommes de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), aidés de lieutenants de louveterie et d'un agent du Parc national de la Vanoise viennent d'abattre, malgré l'opposition de la Ville de Val-dIsère, les chèvres naines qui empoisonnent depuis des mois ses relations avec le parc.

 

Elles venaient manger sur les genoux


Cela fait plus d'un an que les quatre chèvres naines se sont échappées de l'enclos que Stéphane leur avait construit près de chez lui à Val-d'Isère. Roméo et Juliette, c'est le nom des deux premières biquettes que lui et son épouse se sont vus offrir en cadeau de mariage, ont vite donné naissance à trois petits.

De véritables "animaux domestiques" que ces cinq "biquettes" qui "venaient manger sur les genoux" raconte Stéphane, mais qui ont vite eu des velléités d'indépendance. "L'été dernier, elles se sont échappées" explique leur propriétaire. 

Les chèvres naines "venaient manger sur les genoux"

Les chèvres naines "venaient manger sur les genoux"

Les animaux semblent goûter à la liberté et deviennent vite inapprochables au fil des mois. Stéphane et son épouse en prennent leur parti et décident de les laisser gambader dans la montagne puisque "elles avaient l'air heureuses".

Problème, les animaux franchissent régulièrement les limites de la réserve naturelle nationale de la Bailletaz gérée par le Parc de la Vanoise. A l'occasion d'un décompte des bouquetins du secteur en janvier dernier, le Parc découvre leur existence. Il contacte une première fois le propriétaire qui profite de la neige pour récupérer l'une des "biquettes", les autres en profitant pour fuir à nouveau. En mars, le maire de Val-d'Isère le met en demeure d'aller chercher les quatre autres.

 

Risque de transmission de la brucellose


Les relations avec le Parc de la Vanoise s'enveniment. La préfecture est saisie, et le 8 juillet dernier, un arrêté préfectoral est pris réclamant "l'abattage de ces caprins". Ce que redoutent les autorités, c'est "le risque de transmission de maladies telles que la brucellose aux animaux sauvages et notamment les bouquetins".

Les chèvres naines n'ont effectivement pas été vaccinées, Stéphane en convient, mais selon lui d'autres solutions que l'abattage auraient pu être trouvées. Il affirme avoir proposé par exemple d'aider les agents du parc à capturer les animaux l'hiver suivant quand ils sont moins agiles à cause de la neige.

Le "risque sanitaire" et le principe de précaution ont donc primé au grand dam de Stéphane qui se dit "profondément choqué" et "dégoûté". Il attend à présent la facture promise par le Parc pour l'abattage ainsi que les analyses qui ont été pratiquées sur les cadavres. On saura alors si les animaux étaient ou pas atteints par la brucellose et s'ils risquaient de la transmettre aux bouquetins.

La chèvre naine récupérée en février dernier est la seule survivante mais elle ne reverra plus les pâturages de Val-d'Isère. Son propriétaire a préféré la placer en pension à Bourg-Saint-Maurice.

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Lorient Une campagne contre les animaux dans les cirques s’affiche à Lorient

Publié le par Ricard Bruno

« C’est Brigitte Bardot elle-même qui a suggéré ce visuel », informe Bruno Jacquelin, responsable communication de la fondation. | FONDATION BRIGITTE BARDOT

« C’est Brigitte Bardot elle-même qui a suggéré ce visuel », informe Bruno Jacquelin, responsable communication de la fondation. | FONDATION BRIGITTE BARDOT

La Fondation Brigitte Bardot a procédé à l’installation de 20 affiches de sa nouvelle campagne de publicité. « On appelle à l’éveil des consciences », commente le responsable communication de la fondation.

« On n’appelle pas au boycott mais à l’éveil des consciences. Le cirque peut être très beau sans animaux. Leur sort n’est pas très enviable », commente Bruno Jacquelin, responsable de la communication de la Fondation Brigitte Bardot, alors que cette dernière vient de procéder à l’installation de 20 affiches à Lorient, dans le cadre d’une campagne de publicité nationale contre l’exploitation des animaux dans les cirques. Pourquoi Lorient ? « Les villes côtières, lieux de villégiature et de tourisme pendant l’été, sont souvent visées par les Circassiens », répond Bruno Jacquelin.

Dans toute la France, 1800 affiches de ce type ont été collées. « C’est Brigitte Bardot elle-même qui a suggéré ce visuel : un éléphant, ridiculisé comme il l’est souvent dans les cirques. Contrairement à ce que l’on peut penser, Brigitte connaît tous les dossiers et est très impliquée dans le quotidien de la fondation » , raconte le responsable de la communication.

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Souffrance animale les dérives du tourisme

Publié le par Ricard Bruno

Balade à dos d'éléphant, nage avec les dauphins... Derrière les photos de vacances : la dure réalité de la souffrance animale sur fond de tourisme.

Souffrance animale  les dérives du tourisme

« Pourquoi je ne monterai plus à dos d’éléphant », titre Pauline sur son blog, Graine de voyageuse, dans un article publié le 22 mars 2016. Lors d’un séjour en Thaïlande, elle se laisse tenter par la balade à dos d’éléphant.

L’expérience vire au cauchemar : « La vision des éléphants était très loin de celle que j’avais en tête », se rappelle Pauline. Privés de toute liberté, les pachydermes enchaînés et chargés d’imposantes nacelles en bois, se balancent de manière compulsive. « C’était limite un parking à éléphants », déplore la jeune femme. « À l’époque, je n’étais pas sensibilisée », regrette-t-elle.
 

Selfies avec des tortues

Charmeurs de serpents et singes danseurs stars de spectacles. Éléphants, dromadaires, ânes ou chevaux comme moyens de transport. Tortues et tigres, camarades de selfie. Ou encore cochons et lions, compagnons de balades. Dans l’ombre de ces activités touristiques se cache le spectre de la souffrance animale.

À LIRE AUSSI >>> Retrouvez notre hors-série Bien-être animal, ces vérités que l’on vous cache

« On ne peut pas contraindre un animal sans le faire souffrir », affirme Baptiste Mulot, responsable vétérinaire du ZooParc de Beauval (Loir-et-Cher). Privations alimentaires, sévices physiques, restrictions de liberté, les animaux sauvages destinés au tourisme endurent souvent des pratiques de dressage cruelles.

Pour être soumis à la volonté de l’homme, l’éléphant d’Asie subit un rituel millénaire violent. Le cornac (maître et guide de l’éléphant) entreprend de « faire sortir l’esprit de la forêt de l’éléphant », explique le vétérinaire.
 

Le géant capitule

En pratique, les jeunes pachydermes sont enfermés dans des box en bois étroits, immobilisés, ils sont notamment attachés par la trompe. Des témoignages et vidéos font état de châtiments corporels. Épuisé, le géant capitule et se laisse monter. Il devient alors « éléphant des villes ».

Plus radical, des anesthésiques sont administrés aux grands félins pour permettre aux touristes de les caresser en toute sécurité. « Cela a des conséquences à plein de niveaux », explique Baptiste Mulot. Une pratique qui endommage les organes comme le foie, les reins ou le cerveau et peut « aller jusqu’à la mort de l’animal », conclut le vétérinaire.

Comment savoir si un animal est en bonne santé ?

Outre la condition physique (maigreur, blessures), la « stéréotypie » est un signe de mauvaise santé de l’animal. Il s’agit d’un « comportement répétitif lié à un stress », explique le vétérinaire Baptiste Mulot. Par exemple : « le lion qui dessine un huit dans son enclos ou l’éléphant qui se balance d’une patte sur l’autre », précise-t-il 

Des animaux sauvages dont « la provenance n’est pas toujours connue », déplore Anissa Putois, membre de PETA France, association de défense des animaux. Ressource commerciale gratuite, ils sont régulièrement capturés dans leur milieu naturel. Parfois même arrachés aux soins de leur mère. Car plus ils sont jeunes, plus ils sont faciles à dresser.

Selon Baptiste Mulot, séparer le bébé de sa mère a deux conséquences. L’une physiologique : « L’animal sevré trop tôt ne finit pas correctement sa croissance. » L’autre psychologique : « Il n’aura pas fini son éducation et n’aura pas les codes pour devenir un adulte et se comporter vis-à-vis de son espèce ou d’autres espèces. »
 

« Livrés aux chasseurs de trophées »

Et que deviennent-ils, lorsque, trop vieux, ils ne peuvent plus remplir leur tâche ? En Afrique par exemple, certains dromadaires « sont achetés à des éleveurs, puis, quand ils ne peuvent plus porter de touristes, ils sont revendus pour la consommation », s’indigne Anissa Putois.

Les jeunes lions qui accompagnent les balades des touristes dans les fermes à félins d’Afrique – notamment d’Afrique du Sud – « sont livrés aux chasseurs de trophées » une fois adulte, selon les mots de Blandine Champagneur, chef de projet pour Guidisto, portail en ligne sur le volontariat.

Ce site internet répertorie des missions de volontariat dans le monde et alerte sur les « sanctuaires » ou « refuges » d’animaux sauvages malades ou victimes de pratiques cruelles.

Sur la base du rapport Taken for a ride réalisé par l’ONG World Animal Protection en 2017, Guidisto fait une liste des sanctuaires à éléphants vertueux et dans lesquels il est possible de faire du bénévolat. Elle est mise à jour sur la base de témoignages de voyageurs. Ils ont pour projet de proposer d’autres missions en Amérique du Sud, qui permettront d’aider les refuges locaux à soigner les animaux sauvages.

À LIRE AUSSI >>> En voyage, quelles sont les cartes bancaires les moins chères ?
 

La prise de conscience du grand public

Comment éviter de participer à cette souffrance animale ? Privilégier les acteurs du tourisme responsable et ne pas hésiter à questionner les organisateurs de voyage. « Les tour-opérateurs sont de plus en plus sensibles à la question du bien-être animal », affirme Guillaume Cromer, président d’Acteurs du tourisme durable.

« Il y a une prise de conscience par le grand public et des certifications dans le développement durable ont vu le jour », poursuit-il. Depuis quelques années, des organismes indépendants tels que Agir pour le tourisme responsable et Travelife, évaluent les bonnes pratiques.
 

Aller à la rencontre des animaux autrement

Il existe des alternatives pour partager un moment privilégié avec un animal sauvage, dans le respect de son environnement et loin de la surexploitation commerciale. Magali Germond est professeure de yoga. Elle intervient dans des séjours à thème qui proposent de nager avec les dauphins : « Hors de question de les toucher, de crier, de sauter. Il faut y aller tout en douceur, avec calme et sérénité », raconte-t-elle. 

À l’origine de ce programme Sea Dolphin, Frédéric Chotard, spécialiste de la nage avec des mammifères marin. Il a fait du respect de l’animal et de son environnement l’élément central de ces séjours en Mer rouge.

Sur sa goélette, il accompagne de petits groupes de touristes pour aller à la rencontre des dauphins à long bec. Mais sur place, « ce sont les dauphins qui décident, il n’y a pas d’intrusion », assure Magali Germond.

Pauline du blog Graine de voyageuse, vit aujourd’hui à Kuala Lumpur. Elle conseille partir sur les traces des éléphants dans les forêts de Malaisie : « Vivre l’excitation de la recherche d’un éléphant, sans être sûr de le voir, mais qui est dans son environnement naturel ». Une expérience inoubliable, dans le plus grand respect de l’animal.

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Vaucluse Deux malinois et leurs sept chiots, enfermés par 40°C, sauvés grâce à la mobilisation des réseaux sociaux

Publié le par Ricard Bruno

MALTRAITANCE ANIMALE Deux malinois et leurs sept chiots ont été sauvés grâce aux réseaux sociaux après être restés enfermés dix jours seuls sur une terrasse en plein soleil dans le Vaucluse

Un malinois. Photo d'illustration.

Un malinois. Photo d'illustration.

Dix jours en plein soleil à 40 degrés sur une terrasse de 6m2. C’est le calvaire qu’ont vécu deux malinois et leurs sept chiots pendant près de 10 jours à Orange, dans le Vaucluse. Comme l’explique France 3, les voisins, alertés par l’odeur et les aboiements des chiens, ont prévenu la police et des associations de protection animale.

« Une mauvaise volonté de la part de certaines personnes. »

L’association Les amis de Sam, une association aixoise, a alerté le procureur d’Orange pour faire enlever les chiens, mais face à son inaction, Sylvie Roche, la présidente, a décidé de se tourner vers les réseaux sociaux. Une importante mobilisation a eu lieu devant la maison des propriétaires.

Les chiens ont été retrouvés dans un piteux état, la mère ne pouvait plus allaiter ses chiots qui ont dû se résoudre à manger leurs excréments. L’association a déposé plainte pour cruauté animale, et Sylvie Roche dénonce le comportement du procureur : « Comment est-ce possible que dans certaines villes, policiers et procureurs, appliquent les articles de loi, tandis que d’autres ne les appliquent pas ? On ne me fera pas croire qu’il n’y a pas une mauvaise volonté de la part de certaines personnes. »

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Drôme Elle perd sa chatte sur une aire d’autoroute et la retrouve un mois plus tard grâce à PetAlert

Publié le par Ricard Bruno

C’est grâce à un réseau de recherche d’animaux perdus qu’Isabelle a pu retrouver sa chatte, perdue lors de son déménagement un mois auparavant

Un chat se protège du soleil à l'ombre d'un arbre (illustration)

Un chat se protège du soleil à l'ombre d'un arbre (illustration)

Un mois après l’avoir perdue, Isabelle n’avait plus aucun espoir de revoir sa chatte. Pourtant, le miracle a eu lieu grâce à la magie d’Internet. Interrogée par nos confrères du Dauphiné Libéré, la maîtresse de Chanel, son matou, a expliqué qu’elle l’avait perdu lors de son déménagement  pour la Corse. Alors qu’il s’arrête sur une aire d’autoroute de l’A7, le couple en profite pour sortir ses animaux et leur faire prendre l’air.

Seulement voilà, au moment de reprendre la route, impossible de mettre la main sur Chanel, qui est passée sous un grillage et s’est enfuie. Scrutant les horizons, et attendant au maximum sur l’aire de repos, Isabelle et son mari sont dans l’obligation de repartir, ayant un bateau à prendre à Marseille.

Des retrouvailles un mois plus tard

Finalement, Isabelle raconte cette histoire à sa belle-fille, qui décide alors de prendre les choses en main. Cette dernière fait appel à PetAlert, un service dédié à la recherche des animaux de compagnie perdus. Un mois après la disparition de sa chatte, Isabelle reçoit une photo de Chanel de la part de l’organisation. Son félin était toujours dans les environs de Portes-lès-Valence, là où elle l’avait perdu, et s’était réfugié dans le garage d’une jeune fille.

Ni une, ni deux, Isabelle réserve un billet de bateau et prend sa voiture afin d’aller chercher son chat. Les retrouvailles se sont très bien passées, et Chanel réside désormais paisiblement sur l’Île de Beauté.

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Les esprits s'échauffent entre militants de la cause animale et gens du cirque Royal à Gassin

Publié le par Ricard Bruno

Les militants ont pris place sur le bas-côté de la route départementale, récoltant de la part des automobilistes soutiens... et invectives. La cause animale et ses «extrêmes» divisent toujours autant.

Les militants ont pris place sur le bas-côté de la route départementale, récoltant de la part des automobilistes soutiens... et invectives. La cause animale et ses «extrêmes» divisent toujours autant.

À l’appel de l’association VESEA, une trentaine de militants de la cause animale ont manifesté dimanche 11 août en fin d’après-midi aux abords du cirque Royal à Gassin, encadrés par une escouade de gendarmes.

Il est 17h, dimanche, sur le parking d’Azur park et du cirque Royal au rond-point de la Foux à Gassin. Au milieu de la prairie, les gendarmes de Saint-Tropez sont là, aux côtés du directeur du cirque et d’un représentant des renseignements généraux.

Plus loin, une troupe de forains et celle du cirque, les uns et les autres bien décidés à ne laisser rentrer sur ce terrain privé aucun militant de la cause animale.

À cette heure, point de manifestants répondant à l’appel de l’association VESEA pour s’opposer à la présence d’animaux sauvages dans les cirques. Mais une demi-heure plus tard, un groupe s’avance sur le bas-côté de la RD 98, pancartes à l’appui. Les gens du cirque s’avancent en courant, ferment la grille.

 

Les esprits sont chauffés à blanc mais l’arrivée d’une quinzaine de gendarmes du PSIG (peloton de surveillance et d’intervention) et des unités du golfe de Saint-Tropez fait redescendre la pression.

Les militants (une trentaine au total) sont cantonnés de l’autre côté de la route. Le rassemblement a finalement été autorisé par la préfecture, à condition qu’il reste pacifique et statique, n’entrave ni l’entrée du cirque, ni la sécurité du trafic.

Aucune confrontation n’a eu lieu avec les employés du cirque, ce qui n’empêche pas son directeur William Kerwich de dénoncer des pratiques anormales: une pétition en ligne abreuvée de menaces et d’insultes contre laquelle il a porté plainte, après les tags subis l’an dernier sur les affiches et les camions.

Dur à avaler pour un cirque qui fait figure de référence dans le traitement qu’il réserve à ses animaux.

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La fondation Brigitte Bardot sauve des moutons dans les cités nord de Marseille

Publié le par Ricard Bruno

Ceux là au moins ne seront pas sacrifiés...

La fondation Brigitte Bardot sauve des moutons dans les cités nord de Marseille
La fondation Brigitte Bardot sauve des moutons dans les cités nord de Marseille
La fondation Brigitte Bardot sauve des moutons dans les cités nord de Marseille
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