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action protection animale

Le 01 04 2020 "Faut-il arrêter de manger les animaux ?" à 20h30 sur LCP (n°13)

Publié le par Ricard Bruno

Le 01 04 2020 "Faut-il arrêter de manger les animaux ?" à 20h30 sur LCP (n°13)
Faut-il arrêter de manger les animaux ? 77
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  • Société de Benoît Bringer
  • Durée : 60mn
  • Pays de production : France
Résumé
Pour nourrir une population toujours plus nombreuse, le monde s'est lancé dans une course à la productivité frénétique qui engendre une cruauté souvent ignorée à l'encontre des animaux, mais aussi des problèmes sanitaires et environnementaux majeurs. Partout sur la planète, l'élevage industriel fait des ravages. Si la prise de conscience est là, existe-t-il des alternatives ? Benoît Bringer, journaliste d'investigation, est parti à la rencontre de celles et ceux qui inventent d'autres modes de production, plus respectueux de la nature et des animaux. Il met bout à bout les initiatives concrètes qui fonctionnent déjà et pourraient figurer le mode de consommation de demain.
 
Si vous avez manqué le début
Face aux excès de l'élevage industriel, des initiatives voient le jour, plus respectueuses de la nature et des animaux ; un nouveau modèle peut-il s'imposer ?

Les animateurs et invités de Faut-il arrêter de manger les animaux ?

 

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LE COVID-19 ENGENDRE ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE ANIMALE DANS LES TRANSPORTS ANIMAUX D'ÉLEVAGE

Publié le par Ricard Bruno

LE COVID-19 ENGENDRE ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE ANIMALE DANS LES TRANSPORTS ANIMAUX D'ÉLEVAGE
La Fondation Brigitte Bardot s'associe à 37 ONG de protection animale pour demander à l’Union Européenne de suspendre les transport d'animaux d'élevage de plus de 8 heures et interdire les transports vers les pays tiers.
 

ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE POUR LES ANIMAUX D'ÉLEVAGE

LE COVID-19 ENGENDRE ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE ANIMALE DANS LES TRANSPORTS ANIMAUX D'ÉLEVAGE

Alors que plusieurs pays d’Europe sont en confinement général pour enrayer l’épidémie de Covid-19, le transport d’animaux vivants au sein de l’Union Européenne et vers des pays tiers se poursuit, provoquant une grave souffrance animale.

À cause des très longs retards signalés aux frontières, de multiples situations mettant à mal santé et bien-être des animaux transportés ont été signalées :

  • des véhicules de transport d’animaux refusés d’entrer en Croatie ;
  • des files d’attente de 40 km à la frontière entre la Lituanie et la Pologne ;
  • des files d’attente de 65 km à la frontière entre l’Allemagne et la Pologne (côté allemand), avec des temps d’attente jusqu’à  18h ;
  • des files d’attente entre la Bulgarie et la Turquie, où des transporteurs ont déclaré mettre 3h pour avancer de 300 mètres.

Malgré les contrôles accrus aux frontières, le transport d’animaux vivants au sein de l’Union Européenne et avec des pays tiers se poursuit, provoquant une grave souffrance animale. Et se profile le risque que certains pays ferment complètement leurs frontières, sans avoir songé aux besoins vitaux des animaux d’élevage qui seraient refoulés (eau, nourriture, aire de repos…). Les trajets déjà éprouvants deviennent encore plus longs et sources de douleur et d’angoisse pour les animaux.

8 ONG DEMANDENT À L'EUROPE DE RÉAGIR

LE COVID-19 ENGENDRE ENCORE PLUS DE SOUFFRANCE ANIMALE DANS LES TRANSPORTS ANIMAUX D'ÉLEVAGE
En pleine crise sanitaire, la situation en Europe ne pouvant plus garantir le respect du droit européen en ce qui concerne le transport d'animaux d'élevage, "nous demandons que seuls les transports d’animaux d’une durée de moins de 8h soient autorisés sur le territoire français et européen", ainsi que "la suspension immédiate et complète des exportations d’animaux vers les pays tiers."

Dans une lettre envoyée le 19 mars 2020 à la Commission et au Conseil de l’Europe, la FBB et plus de 35 ONG de protection animale s’associent à Welfarm et  CIWF France pour que les transports d’animaux d’élevage s’adaptent aux contraintes provoquées par l’épidémie de Covid-19

 

Alors que les Pays-Bas ont pris des mesures de restriction pour éviter ces situations de grande souffrance animale, la France tarde à suspendre les transports de plus de 8h.

C’est pourquoi la décision doit venir de la Commission européenne, qui pour l’heure encourage la poursuite du transport d’animaux d’élevage sans prendre en compte les conséquences désastreuses observées actuellement sur le bien-être et la santé de ces animaux.

 

Source cliquez ICI

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Toulouse : Prison ferme pour l’homme qui a abattu ses chiens sur son balcon

Publié le par Ricard Bruno

JUSTICE Le jeune homme à la gâchette facile a été écroué à la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse

 

Une prison (illustration)

Une prison (illustration)

Prison ferme pour un double « canicide ». De source judiciaire, l’homme de 22 ans qui a tué dimanche matin deux de ses chiens qui se battaient sur son balcon, a été condamné à dix-huit mois de prison, dont six fermes, par le tribunal correctionnel de Toulouse.

Ses tirs, qui ont éclaté dans le silence étrange du confinement, ont fait souffler un vent de panique, avenue Jean-Rieux, dans le quartier Guilheméry. Sur un coup de sang, et alors que ses american staff devenaient incontrôlables, le maître s’est saisi d’un fusil à pompe et a abattu les chiens. L’un d’entre eux est mort sur le coup, l’autre des suites de ses blessures.

La condamnation a été prononcée pour « cruauté envers les animaux » mais aussi « détention illégale d’arme de catégorie B », l’homme étant déjà connu pour possession d’armes prohibées. Il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Seysses, près de Toulouse.

Source de l'article : Cliquez ICI

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LA FBB PREND EN CHARGE UNE VINGTAINE DE CHIENS, MOUTONS, CHÈVRES ET BOVINS DANS LA MANCHE

Publié le par Ricard Bruno

LA FBB PREND EN CHARGE UNE VINGTAINE DE CHIENS, MOUTONS, CHÈVRES ET BOVINS DANS LA MANCHE
Même pendant le confinement, la Fondation Brigitte Bardot continue d'assurer des sauvetages d'animaux, une de ses missions prioritaires. Le 24 mars 2020, nous sommes intervenus dans la Manche, pour prendre en charge une vingtaine d'animaux suite au décès de leur propriétaire. Ils ont tous rejoint l'Arche de BB !

Les services vétérinaires de la DDPP nous ayant alertés, la Fondation a organisé la prise en charge des animaux d’une personne décédée dans la Manche. 

Nos équipes ont respecté les consignes de sécurité afin de pouvoir récupérer les animaux sans prendre de risque sanitaire.

L’Arche de BB a donc accueilli hier, en fin de soirée, 2 femelles Berger Allemand, ainsi que 6 bovins, 7 moutons, 4 chèvres et 2 chevreaux. 

Les deux chiennes étaient couvertes de boue. Elles se portent bien et sont adorables !

LA FBB PREND EN CHARGE UNE VINGTAINE DE CHIENS, MOUTONS, CHÈVRES ET BOVINS DANS LA MANCHE
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MALTRAITANCE ANIMALE : UN CHAT ET UN FURET CONFISQUÉS À LEUR MAÎTRE

Publié le par Ricard Bruno

MALTRAITANCE ANIMALE : UN CHAT ET UN FURET CONFISQUÉS À LEUR MAÎTRE

Ce mardi, la police et trois associations ont perquisitionné un appartement.

A l'origine de l'action de sauvetage des animaux, plusieurs plaintes de voisinage sur des odeurs situées au quatrième étage d'un appartement de Noidans-lès-Vesoul. Trois associations se sont emparées du problème, connaissant bien le propriétaire des animaux, qui a déjà été inquiété pour des faits similaires. A leur arrivée dans le T2, la police, le maire de Noidans, Jean-Pierre Wadoux et les présidentes des trois associations, ont découvert deux animaux dispersés au milieu des immondices disséminés partout au sol. Une chatte de quelques années et un furet ont été récupérés. Ni l'un, ni l'autre n'est en règle et en l'absence de leur indélicat propriétaire qui serait parti en Belgique, dès le début du confinement et sans se préoccuper de la façon dont allaient se nourrir les animaux, les associations les ont transporté dans des refuges afin de leur apporter les soins nécessaires. La Fondation Brigitte Bardot, le refuge de Grimlock à Bains-lès-Bains et l'association Au bonheur des Aristochats d'Andelarre devraient déposer plainte pour maltraitance animale. Hélène Vivier, représentante de la Fondation Barbot pour le département est navrée. Elle regrette : "En 2016, alors qu'il habitait au quartier du Montmarin avec sa mère, nous leurs avions retiré 11 chiens et 16 chats qui cohabitaient dans des conditions d'hygiène déplorables dans un appartement minuscule. " L'histoire semble se répéter.

MALTRAITANCE ANIMALE : UN CHAT ET UN FURET CONFISQUÉS À LEUR MAÎTREMALTRAITANCE ANIMALE : UN CHAT ET UN FURET CONFISQUÉS À LEUR MAÎTRE
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CONFINEMENT : LA CHASSE EST (ENFIN) INTERDITE !

Publié le par Ricard Bruno

CONFINEMENT : LA CHASSE EST (ENFIN) INTERDITE !
eu après le confinement du pays, une dérogation avait été obtenue par le lobby de la chasse pour que les chasseurs puissent poursuivre leur "gestion" de la nature. Désormais, plus aucune chasse n'est autorisée par le gouvernement. Un répit pour la faune sauvage de notre pays !
 

UNE DÉROGATION POUR TUER DES ANIMAUX SAUVAGES

C’est un cinglant désaveu pour Willy Schraen, le président de la Fédération Nationale des Chasseurs, qui annonçait juste après la mise en place du confinement général des mesures dérogatoires pour les chasseurs, obtenues auprès du ministère de l’Intérieur et en accord avec le ministère de la Transition écologique ! 

Toute chasse collective comme la chasse à courre étant de fait interdite pour respecter la consigne de distanciation sociale, Willy Schraen invitait les chasseurs à poursuivre leurs activités individuelles, à peine le confinement général mis en place et malgré l’urgence de la crise sanitaire.

Devant le tollé suscité par cette dérogation exceptionnelle accordée par l’État à une minorité, le gouvernement a très vite rétropédalé et annoncé 48H plus tard que toute forme de chasse serait désormais proscrite en France à compter du 19 mars.

 

UN LOBBY TRÈS ÉCOUTÉ À L'ÉLYSÉE

 

CONFINEMENT : LA CHASSE EST (ENFIN) INTERDITE !

Au moment où le Président de la République a annoncé la mise en quarantaine du pays, la plupart des activités cynégétiques s’étaient arrêtées avec la fin de la saison officielle, le 1er mars. 

Seule la chasse à courre restait active, ainsi que la chasse au sanglier dans quelques départements, en vertu d’un arrêté du 29 janvier 2020 prolongeant ces chasses jusqu’au 31 mars.

Pendant deux jours, grâce au lobby de la chasse très écouté par l’État, un chasseur pouvait bénéficier d’une autorisation de déplacement dérogatoire pour pratiquer son « loisir ».  

Ainsi, n’importe quel individu muni d’un permis de chasse et d’une attestation pouvait sortir dans la nature, armé, et tirer sur des animaux sauvages. Un contresens total avec les mesures de quarantaine imposées aux Français !

 

CHASSE INTERDITE : UN RÉPIT POUR LA FAUNE !

Cette menace étant proscrite, la faune sauvage commence à revivre et reprend ses droits sur son environnement. Plus généralement, les animaux sauvages profitent du confinement. En ville, on entend à nouveau les oiseaux chanter ! L’ornithologue Maxime Zucca a d’ores et déjà observé l’arrivée de nouveaux oiseaux en région parisienne.

L’air est plus pur, grâce à la baisse de la pollution due aux gaz d’échappement, et le bruit infernal de la circulation automobile a disparu. La pollution sonore aurait baissé de 80% en Île-de-France !

La période est également propice à la reproduction. Les animaux n’auront plus à craindre les humains pendant quelques temps…

L’épidémie de Covid-19 qui frappe le monde entier donne à réfléchir sur notre société et peut éventuellement changer notre regard sur les animaux. Nous espérons que la place accordée aux animaux sauvages dans nos campagnes et nos villes sera reconsidérée à l’issue de cette crise sans précédent.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Des cochons par millions… et du miel sans abeilles

Publié le par Ricard Bruno

Des cochons par millions… et du miel sans abeilles

... bienvenue dans l’Horreur Alimentaire !!

 Très chers amis,

 Que voyez-vous sur la photo ci-dessous :

  • Un hôtel de luxe dans la montagne ?
  • Une HLM dans la verdure ?
  • Un lycée construit en pleine forêt ?

 

Eh bien, vous êtes très loin du compte.
C’est l’élevage de porc de Guangxi Yangxiang Co Ltd en Chine.
De loin, ça a presque l’air un peu bucolique là-bas dans les montagnes du Yaji.
De près, c’est tout simplement L’HORREUR ALIMENTAIRE.
Les deux premiers bâtiments de 7 étages accueillent déjà des milliers de truies.
Quatre autres bâtiments, dont l’un fera 13 étages, accueilleront bientôt de nouveaux cochons.
Cette “usine à cochons” abritera à terme 30 000 truies... et produira jusqu'à 840 000 porcelets par an !!
En Chine, c’est la première “ferme” de cette dimension, mais elles vont éclore un peu partout pour nourrir la population.
Je suis sûr que ces usines produiront même des cochons “bio”, selon les normes locales.
Et demain peut-être, les petits porcelets finiront dans nos supermarchés…  Même si depuis le début de l’année, c’est tout l’inverse qui se produit.
Avec l’épidémie de peste porcine africaine (PPA) - non transmissible à l’homme - la Chine doit abattre des millions de porc et même importer des cochons.
Mais dès que l’agriculture chinoise aura surmonté cette crise sanitaire, on peut imaginer que des porte-containers entiers, chargés de cochons élevés dans ces usines... se déverseront dans le port du Havre ou à Rotterdam.
Et ça a déjà commencé avec des tas d'autres produits.  Si vous avez acheté du miel récemment, vous avez probablement touché du doigt, sans le savoir, “l’horreur alimentaire”.
Même si vous avez acheté du “miel de montagne” ou du "miel bio".  Avec le jeu subtil des étiquetages, plus personne ne connaît aujourd’hui la véritable origine des aliments que l’on achète.

“Origine UE et Non UE” : cette escroquerie est légale et généralisée

Quand vous voyez un miel bio origine “Origine UE et non UE”, cela veut dire qu’il y a peut-être 10% de miel européen bas-de-gamme dans le pot, et le reste vient probablement de Chine. 

Et encore, quand on parle de “miel chinois”, tous les industriels savent que c’est un affreux abus de langage.

“ Là-bas, chez nos fournisseurs, je n’ai jamais vu de ruches ! Juste des laboratoires qui fabriquaient des sucres liquides. En réalité, c’est un assemblage de sirop de glucose et de différents sucres, de colorants, arômes, pollens et diverses substances mystérieuses dont seuls les Chinois connaissent le secret !”

 Celui qui révèle ce scandale, c’est Christophe Brusset.

Cet homme est un “repenti” de la mondialisation alimentaire.
Il a été “trader” dans l’agro-alimentaire pendant 25 ans.
Il a monté les pires escroqueries… acheté les produits les plus infâmes... trouvé les astuces les plus ignobles pour tromper le consommateur…… avant de tout arrêter, écoeuré par ce qu’il a fait et vu pendant toutes ces années.
Vous vous demandez peut-être comment il est possible qu’en France, du miel vendu en supermarché puisse être du “faux miel”, fabriqué sans la moindre abeille.... dans une usine chinoise ?
C’est très simple.
Je vais vous expliquer.

Les industriels ont une imagination sans limite : ils envoient du mauvais miel chinois au Brésil, et il revient comme “Miel d’Amazonie”

Par exemple, pour réussir à importer du “faux miel” chinois aux Etats-Unis, voici la technique employée par un gros fournisseur allemand :

« Il exporte massivement du miel chinois dans des pays comme l’Argentine, le Vietnam ou l’Inde. Là-bas, il change les étiquettes, et le réexporte tel quel avec un faux certificat d’origine”.

On a la même chose dans les rayons des supermarché en France.
Si vous voyez “Miel d’Amérique latine”, méfiance.
Ces pays exportent leur vrai miel vers les Etats-Unis, pas en Europe : il y a beaucoup de chance pour que ce soit du miel chinois ré-étiqueté, et expédié depuis le Mexique.
Hélas, il n’y a pas que le miel qui est “traficoté”.
Il vous arrive peut-être de craquer pour une bonne tartine à la confiture de fraises.
Si vous la faites vous-même, très bien : elle sera sûrement moins gorgée de sucre, et puis les fraises seront… des fraises.
Mais si vous achetez un pot de confiture dans un supermarché, c’est une autre histoire.
Il y beaucoup de chances qu’au lieu de manger de la fraise, de la framboise, ou des cerises, vous mangiez du… sureau.

Même la confiture de fraise est truquée

Oui, c’est un des concentrés de fruits les plus vendus au monde : et bizarrement, personne n’en a jamais entendu parler.
Mais pourquoi diable mettraient-ils du sureau dans notre confiture de fraises ?

« La réponse est simple : le jus de sureau est le moins cher des jus de fruits rouges. Il est très coloré, son goût pas très marqué, il se mélange donc très bien, très discrètement avec les autres fruits rouges. Il est très fréquent que du jus de sureau remplace tout ou partie de fruits plus chers (comme les fraises, les framboises, les cerises ou les groseilles) dans les coulis, confitures et autres préparations aux fruits».

> >  Même chose avec les délicieuses glaces à la vanille. Sur la liste des ingrédients, vous verrez sûrement “gousses de vanilles épuisées”.
Et personne ne se demande jamais ce que c’est. Eh bien, je vais vous le dire.
Ce n’est rien d’autre qu’un déchet.
C’est ce qui reste de la vanille, après l’extraction chimique des arômes (à l’hexane, une substance cancérigène).

“C’est une poudre noire sans saveur, comme du marc de café, qui ne sert que de « marqueur visuel », c’est-à-dire faire croire qu’on a mis de la vraie bonne vanille pour donner le goût”.

Je ne vais pas lister ici toutes les techniques perfides de l’industrie alimentaire : vous les retrouverez dans le dernier livre de Christophe Brusset : Et maintenant on mange quoi ?
Si je vous dis ça, c’est parce qu’il faut prendre conscience (je suis sûr que c’est déjà votre cas à vous) - qu’on est arrivé dans l’ère de l’horreur alimentaire.
Il me semble qu’il est de notre devoir à chacun d’informer le maximum de personnes de ce qu’il y a dans nos assiettes .

Bon appétit !

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Brigitte Bardot : «Vos animaux ne sont pas responsables du virus, cessez de les abandonner !»

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot est en colère face à la recrudescence d'abandons d'animaux domestiques depuis l'entrée dans la vague dure de l'épidémie du coronavirus. Bernard D’Ormale

Brigitte Bardot est en colère face à la recrudescence d'abandons d'animaux domestiques depuis l'entrée dans la vague dure de l'épidémie du coronavirus. Bernard D’Ormale

B.B. est en colère face aux abandons d’animaux qui se multiplient en pleine épidémie de coronavirus. Elle nous confie en exclusivité son désespoir face à « cet autre drame ».

Elle décroche rarement son téléphone. Elle se dit fatiguée et n'aime plus s'exprimer, à part quelques tweets vengeurs ici et là, consacrant ses forces à sa petite ferme enchantée à Saint-Tropez, à quelques kilomètres de la Madrague, où elle vit recluse avec son mari et sa véritable arche de Noé. « Ici, on ne croise personne, je ne risque pas d'attraper le virus », lâche-t-elle. Mais aujourd'hui, Brigitte Bardot est en colère face à la recrudescence d'abandons d'animaux domestiques depuis l'entrée dans la vague dure de l'épidémie du coronavirus. Les refuges ont fermé, les bénévoles sont confinés chez eux, les dons cessent. Plusieurs responsables de dispensaires animaliers ont rapporté avoir reçu énormément d'appels depuis le week-end dernier et l'entrée dans le confinement, de gens voulant se séparer de leurs bêtes de compagnie, soit qu'ils quittaient la ville dans l'urgence, ou par peur de contamination. L'actrice appelle au calme.

Source de l'article : Le Parisien

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Comment consulter son vétérinaire en période de confinement ?

Publié le par Ricard Bruno

Comment consulter son vétérinaire en période de confinement ?
Votre animal nécessite une visite chez le vétérinaire ? Vous devez lui acheter une alimentation particulière ? Cela reste possible en période de confinement, à condition de respecter certaines règles !
 

VÉTÉRINAIRES : DES CONSIGNES PARTICULIÈRES ADAPTÉES AU CONFINEMENT

Si vous avez un animal domestique, vous vous posez certainement la question : que faire si il tombe malade ? Puis-je encore acheter des aliments adaptés à la pathologie de mon chien ou de mon chat chez mon vétérinaire, alors que le confinement est instauré partout en France ?

Christophe Marie, Porte-Parole de la Fondation Brigitte Bardot, a contacté le Docteur Jean-Yves Gauchot, Président de la Fédération des Syndicats Vétérinaires de France, pour vous communiquer les diverses consignes passées auprès de la profession..

 

CONSULTATION DE SANTÉ ET VENTE D'ALIMENTATION ANIMALE AUTORISÉES

L’Ordre National des Vétérinaires a publié un communique à ce sujet. Globalement, il est rappelé que les cabinets vétérinaires ne sont pas soumis à l’obligation de fermeture et que la profession a pour mission d’assurer la continuité du service auprès des animaux « nécessitant des soins qui ne peuvent être différés sans mettre en danger leur santé ». 

De même, la « vente d’aliments pour animaux » relève des activités vétérinaires et ne peut pas être différée. Il n’y a donc pas de restriction sur la vente d’alimentation animale, les mesures étant ainsi identiques à celles prévues pour l’alimentation humaine.

 

LA STÉRILISATION DES CHATS ERRANTS EST-ELLE MAINTENUE ?

Le confinement limitant à l’extrême les sorties, se pose effectivement le cas des stérilisations et castrations de chats errants. Selon le communique de l’Ordre des Vétérinaires, celles-ci « peuvent être différés sans mettre en danger leur santé ». Il est donné à chaque vétérinaire une libre appréciation de la nécessité de cette mission de protection animale, indispensable en ce proche début de printemps.

Hors domaine vétérinaire, une question se pose aussi concernant le nourrissage des chats errants. Celui-ci est-il possible en période de confinement ? Les actes assurant les besoins vitaux des animaux (sorties, santé…) étant toujours autorisés à partir du moment où l’on est muni de l’attestation de déplacement dérogatoire (pdf), la Fondation Brigitte bardot s’est rapproché du ministère de l’Agriculture pour avoir une réponse claire. Pour en savoir plus, lisez notre article à ce sujet !

 

RENDEZ-VOUS CHEZ LE VÉTÉRINAIRE : LES CONSIGNES À RESPECTER

Vous devez impérativement prendre rendez-vous par téléphone avant de vous déplacer chez votre vétérinaire. 

Le communiqué de l’Ordre des Vétérinaires stipule ainsi auprès des vétérinaires : « Il est impératif de n’accepter de prendre en charge un animal, une demande de prescription, une délivrance de médicaments vétérinaires, une demande de cession d’aliments pour animaux, que sur rendez-vous après appel téléphonique préalable. » 

Cela va permettre à votre vétérinaire de réguler le flux des personnes présentes, afin de vous protéger, de protéger les autres et de se protéger lui ou elle-même. La profession vétérinaire n’est en effet pas inscrite sur la liste des professions pouvant disposer de masques de protection. 

Une fois sur place, continuez à adopter les gestes barrières pour éviter toute contamination au coronavirus : se laver soigneusement les mains avant et après la visite, se tenir à une distance d’un mètre, tousser dans son coude…  

L’Ordre des Vétérinaires a invité les vétérinaires à appliquer et mettre en oeuvre les consignes de sécurité pour l’accès aux établissements recevant du public, en gardant à l’esprit l’impérieuse nécessité de restreindre au maximum les déplacements et les interventions jugées non indispensables. Ces règles de biosécurité s’appliquent également aux visites vétérinaires à domicile.

En conclusion, nous tenons à féliciter et remercier ces professionnels qui, pendant une crise sanitaire sans précédent dans notre histoire récente, restent au service de la santé animale !

Source : Fondation Brigitte Bardot : Cliquez ICI

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