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Dans l’Eure, la Fondation Brigitte-Bardot mise sur l’adoption des animaux en ligne

Publié le par Ricard Bruno

Pour éviter un afflux trop important dans les refuges, les responsables en appellent à l’entraide

Pour éviter un afflux trop important dans les refuges, les responsables en appellent à l’entraide

Le refuge de la Mare-Auzou de Saint-Aubin-le-Guichard n'ouvrira pas au public, c'est donc en ligne (dans un premier temps) qu'il faudra chercher son bonheur.

« Nous ne voulons pas risquer qu’un animal soit adopté pour permettre au maître d’aller se promener ! » La Fondation Brigitte-Bardot est plus vigilante encore en cette période de crise.

L’association qui recueille les animaux maltraités ou abandonnés dans son refuge de la Mare-Auzou à Saint-Aubin-le-Guichard (près de Bernay, dans l’Eure) ne compte pas assouplir son protocole d’adoption, mis en place pour s’assurer que les animaux adoptés continuent une vie dans des conditions optimales.

Pas de portes ouvertes

« Il est hors de question que nos petits protégés, qui ont connu l’abandon ou la maltraitance, y soient de nouveau confrontés », argumente Bruno Jacquelin, responsable communication. « Habituellement, nous diligentons une enquête à l’aide d’un formulaire. Il y a même une visite après adoption. Nous étudions la possibilité d’adapter ce dispositif. »

L’accent est mis sur le bien-être animal, pas question donc d’accélérer les procédures pour désengorger les refuges déjà saturés.

Malgré la pression, la fondation n’organise pas de portes ouvertes ni à la Mare-Auzou ni ailleurs. « Rester ouvert au public nécessiterait du personnel en plus pour l’accueillir, nous ne le souhaitons pas pour notre cas », indique-t-elle.

C’est donc en ligne qu’il faudra chercher son bonheur. Justement, le site fondationbrigittebardot.fr met à disposition un pavé adoption qui propose toutes les catégories. Mâles, femelles, âges… Au compteur : 302 chiens et 391 chats qui attendent un foyer. Toutes les photos sont disponibles, reste à prendre rendez-vous, pour les candidats qui ont craqué pour un compagnon à quatre pattes.

"Les préparations et distributions des repas des animaux sont faites par alternance en fonction de la zone géographique où ils se situent. Les équipes ne se croisent pas, leurs outils de travail et de sécurité (talkies-walkies) sont désinfectés chaque jour et remis individuellement par un responsable Covid nommé dans chaque refuge. Les horaires des équipes de nettoyage ont été aussi modifiés afin d’éviter tout croisement. Les repas des animaux (avec beaucoup de régimes spécifiques pour nos petits protégés) sont préparés dans la cuisine par des salariés qui se relaient. "

Appel à l’entraide

Y a-t-il une hausse des abandons ? Pour l’heure, difficile de quantifier. « Nous avons déjà dû prendre en charge des animaux de personnes malades, hospitalisées ou malheureusement décédées et aussi ceux de personnes incarcérées », relate Bruno Jacquelin.

Pour éviter un afflux trop important, les responsables en appellent à l’entraide « entre famille, voisins, amis et collègues pour trouver des solutions de garde, provisoires ou pérennes. »

La fondation redoute surtout les abandons liés à une crainte de contamination. « Nous ne cessons de diffuser le message : les animaux ne peuvent pas contaminer les humains. »

 

Source de l'article : Cliquez ICI

Le nombre d'insectes a chuté de 25% depuis 1990

Publié le par Ricard Bruno

Le nombre d'insectes a chuté de 25% depuis 1990

Il est dramatique de constater la disparition silencieuse de ces insectes et pourtant si utile à nos cultures...
Les insectes ne sont pas toujours beaux, ils paraissent nuisibles, car certains peuvent piquer, transmettre des maladies, ou ravager des cultures. Pourtant, sans les insectes, notre monde s’écroulerait.
​​​​Une baisse de 25% des insectes a été constatée au cours des 30 dernières années, avec des déclins accélérés en Europe...vous allez me dire quelle est la cause de ce déclin ?, oh là, il ne faut pas sortir de Saint-Cyr pour savoir d’où vient le mal, ça vient en très grande partie des pesticides et insecticides que des firmes tels que MONSANTOS vendent à travers le monde !

Bruno Ricard

 

Une nouvelle étude montre que la population d'insectes a grandement baissé depuis 30 ans. La situation est particulièrement inquiétante en Europe.

Dans une étude publiée dans le journal Science, des scientifiques révèlent que la situation des insectes à travers le monde est particulièrement préoccupante. Une baisse de 25% a été constatée au cours des 30 dernières années, avec des déclins accélérés en Europe qui ont choqué les chercheurs. "C'est extrêmement grave, sur 30 ans, cela signifie un quart d'insectes en moins, a déclaré le Dr Roel Van Klink, auteur principal de l'étude. Et parce que c'est une moyenne, cela veut dire il y a des endroits où c'est bien pire que ça. L'Europe semble empirer maintenant - c'est frappant et choquant. Mais pourquoi, nous ne le savons pas. En Amérique du Nord, les baisses s'aplatissent, mais à un niveau faible." Ainsi, parmi les endroits étudiés, les réserves naturelles de l'ouest de l'Allemagne ont perdu environ 75% de leurs insectes sur 27 ans.

Les données sont en revanches plus rares en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie. "Mais nous savons de nos résultats que l'expansion des villes est mauvaise pour les insectes parce que chaque endroit était un habitat plus naturel - ce n'est pas sorcier, a indiqué Roel van Klink. Cela se produit à un rythme rapide en Asie de l'Est et en Afrique. En Amérique du Sud, il y a la destruction de l'Amazonie. Il ne fait aucun doute que c'est mauvais pour les insectes et tous les autres animaux là-bas. Mais nous n'avons tout simplement pas les données."

Autre aspect révélé dans l'étude, les insectes vivant dans les réserves naturelles se portent légèrement mieux que ceux vivant en dehors des zones protégées. Mais la différence n'est pas énorme. "Nous avons trouvé cela très frappant et un peu choquant - cela signifie que quelque chose ne va pas là-bas", continue le spécialiste. En revanche, signe d'espoir, les insectes d'eau douce ont augmenté de 11% chaque décennie, suite à des mesures de nettoyage des rivières et des lacs pollués. Mais ce groupe ne représente qu'environ 10% des espèces d'insectes, et il ne pollinise pas les cultures.

Les insectes subissent la destruction rapide de leur habitat, les pesticides, la pollution lumineuse et les changements climatiques. Ils sont pourtant essentiels aux écosystèmes, dont l'homme dépend également. Ils pollinisent notamment les plantes, servent de nourriture à d'autres animaux et recyclent les déchets de la nature. De ce fait, les scientifiques mettent en garde contre les "conséquences catastrophiques pour la survie de l'humanité si les pertes d'insectes n'étaient pas arrêtées". Le Dr Roel Van Klink conclut néanmoins sur une note d'espoir, affirmant que "nous avons certainement beaucoup de raisons de nous inquiéter, mais je ne pense pas qu'il soit trop tard. L'augmentation des espèces d'eau douce nous donne au moins l'espoir que si nous mettons en place la bonne législation, nous pourrons inverser ces tendances".

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Des scientifiques capturent de rares images d'une baleine allaitant son bébé

Publié le par Ricard Bruno

Que la nature est belle quand on lui fout la paix, images rares d'une mère baleine bleue allaitant son petit, ce sont des moments d'exception...très belle vidéo incroyable...à voir en cliquant sur le lien de l'article

Bruno Ricard 

Grâce à des caméras fixées sur des baleineaux, des scientifiques ont obtenu des images rares. Celles d'une mère s'occupant de son petit.

Des scientifiques de l'université de Hawaï ont réussi en février dernier à capturer des images particulièrement attendrissantes et rares de baleines à bosse. Ils ont posé des ventouses équipées d'une caméra, d'enregistreurs, de capteurs de pression et accéléromètres sur le dos de sept baleineaux. Ils ont également survolé la zone avec un drone afin de filmer du ciel une mère et son petit.

Grâce à ce matériel non-invasif, vous pouvez observer un baleineau en train de téter sa mère comme si vous y étiez. Surtout, ces images et autres données récupérées permettent aux chercheurs de voir comment les mères interagissent et se comportent avec leur petit. L'accéléromètre fournit des données sur les mouvements et les respirations des mammifères marqués. Quant aux vidéos aériennes prises par le drone, elles ont permis de mesurer la taille des bébés, et d'établir leur état de santé.

Dans un communiqué, le directeur du Marine Mammal Research Program, Lars Bejder, a déclaré que grâce à ce matériel, "nous pouvons réellement voir ce que ces baleines voient, rencontrent et vivent. Ce sont des images assez uniques et rares que nous obtenons, ce qui nous permet de quantifier ces épisodes d'allaitement, qui sont si importants". Avant d'ajouter : "Combiner ces ensembles de données sur l'alimentation et les aires de reproduction va vraiment nous apprendre quelque chose sur l'importance de ces différents habitats pour ces animaux".

Les baleines à bosse sont connues pour leurs grandes migrations dans différentes zones du monde. Chaque année, elles sont nombreuses à arriver dans les eaux chaudes de Hawaï, entre décembre et avril.

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En Inde, une nouvelle espèce de serpent nommée d'après un personnage de Harry Potter

Publié le par Ricard Bruno

 L'image du serpent est présente dans toutes les mythologies, toutes les religions, sur tous les continents et a toutes les époques. Il inquiète et fascine en tant qu'animal et se transforme même souvent en créature fantastique et symbolique (hydre, femme-serpent, dragon). J'ai eu l'occasion à plusieurs reprises d'en côtoyer notamment au Kenya, à certains endroits il y en avait pas mal, surtout les serpents dit "Spaghettis", également au parc de Thoiry où j'ai effectués plusieurs stages animaliers pour parfaire mes connaissances sur le monde animal et bien sûr le monde fabuleux des serpents...
Bruno Ricard

 

Dans le nord-est de l'Inde, des chercheurs ont découvert une nouvelle espèce de crotale qu'ils ont nommée en référence à Salazar Serpentard.

Dans le nord-est de l'Inde, des chercheurs ont découvert une nouvelle espèce de crotale qu'ils ont nommée en référence à Salazar Serpentard.

Dans l'Arunachal Pradesh en Inde, des scientifiques ont identifié une nouvelle espèce de crotale. Caractérisé par sa peau d'un vert clair intense, le serpent a été nommé Trimeresurus salazar en référence à Salazar Serpentard, célèbre personnage de la saga Harry Potter

La saga Harry Potter n'en finit plus d'inspirer à travers le monde. Même les scientifiques qui explorent les coins les plus reculés de la planète. Dans les forêts de l'Inde, une équipe vient de documenter une nouvelle espèce et de la baptiser en s'inspirant de la célèbre série de J. K. Rowling.

Après le crabe Harryplax severus, l'araignée Eriovixia gryffindori ou encore la guêpe parasitoïde Lusius malfoyi, c'est un serpent venimeux qui vient de rejoindre la liste déjà bien remplie des organismes nommés d'après des personnages de Harry Potter. Plus précisément, un crotale. Son nom : Trimeresurus salazar. Une référence logique à Salazar Serpentard, co-fondateur de Poudlard et de la maison du même nom.

Cette nouvelle espèce a été découverte durant une expédition menée entre juin et août 2019 dans l'état de l'Arunachal Pradesh au nord-est de l'Inde. Cette région appartient au point chaud de biodiversité de l'Himalaya et abrite une grande variété d'espèces végétales et animales. Y compris des reptiles et des amphibiens.

"Cet endroit est un paradis pour les herpétologues", a confirmé à The Indian Express, Harshal S Bhosale, spécialiste de la Natural History Society qui a participé à l'expédition. Pourtant, les espèces qui s'y trouvent restent largement méconnues. "Peu de gens ont étudié les reptiles et les amphibiens en Inde. Les ouvrages de référence dont nous disposons [...] ont été publiés dans les années 1930", a-t-il précisé.

Des particularités morphologiques

C'est au sein de la réserve de tigres de Pakke que les scientifiques sont tombés de nuit sur plusieurs spécimens de la nouvelle espèce. Deux d'entre eux sont apparus enroulés sur des arbustes le long de la route et un troisième a été aperçu avant de disparaître dans la végétation. Tous présentaient une peau d'un vert clair brillant semblable à d'autres espèces connues, Trimeresurus septentrionalis et T. albolabris.

Le genre Trimeresurus regroupe des serpents venimeux - des crotales - qui évoluent à travers l'Asie du sud-est. A ce jour, près d'une cinquantaine d'espèces sont répertoriées dont une quinzaine en Inde. En observant les spécimens découverts de plus près, les spécialistes ont toutefois constaté des caractéristiques morphologiques inconnues chez les Trimeresurus déjà documentés.

La nouvelle espèce de crotale se distingue notamment par la présence d'une fine bande orange à rouge au niveau de la tête.

La nouvelle espèce de crotale se distingue notamment par la présence d'une fine bande orange à rouge au niveau de la tête.

Ils ont notamment observé la présence d'une bande orange à rouge s'étendant du bord de l’œil à la partie postérieure de la tête. Les analyses moléculaires menées en laboratoire ont fini par confirmer leurs soupçons : les spécimens découverts constituent bien une espèce distincte des autres, selon leur étude publiée dans la revue Zoosystematics and Evolution.

Ce crotale est "morphologiquement différent des autres espèces - il a de fines lignes rouges autour de ses lèvres, plus de dents et une structure hémi-pénienne complètement différente", a résumé Harshal S Bhosale.

Hommage à J. K. Rowling

Cette nouvelle espèce documentée, restait à proposer un nom pour la désigner. L'équipe a décidé de laisser parler ses souvenirs de jeunesse. "Nous sommes apparemment tous de grands fans [de Harry Potter]", a expliqué à The Indian Express, le Dr. Zeeshan A Mirza associé au National Centre for Biological Sciences de Bangalore.

"J. K. Rowling a joué un rôle important durant mon enfance, comme peut-être pour tous ceux qui ont lu ses livres. Alors quelle meilleure façon de lui rendre hommage et de la remercier que de nommer une espèce d'après l'un de ses personnages ?", a-t-il poursuivi. Dans un premier temps, l'équipe avait pensé à opter pour Nagini, le serpent de Lord Voldemort.

Et puis, Zeeshan A Mirza et ses collègues ont décidé "de garder [cette option] au cas où ils découvriraient une nouvelle espèce de cobra puisque Nagini est un cobra". Ils ont alors pensé à Salazar Serpentard, sorcier possédant la rare faculté de parler Fourchelang, le langage des serpents. C'est ainsi que Trimeresurus salazar est né, bien que son nom reste à valider officiellement.

Un mâle juvénile de la nouvelle espèce photographié en 2008 dans la réserve de tigres de Pakke.  © Aamod Zambre and Chintan Seth/Eaglenest Biodiversity Project

Un mâle juvénile de la nouvelle espèce photographié en 2008 dans la réserve de tigres de Pakke. © Aamod Zambre and Chintan Seth/Eaglenest Biodiversity Project

Un habitat menacé

Cette nouvelle espèce de serpent est la seconde récemment identifiée dans l'Arunachal Pradesh et probablement pas la dernière, les scientifiques ayant indiqué avoir documenté d'autres spécimens candidats. Des découvertes qui reflètent selon eux, "la faible documentation de la biodiversité présente dans le nord-est de l'Inde".

Si ces nouvelles recherches réjouissent les spécialistes, ils ont exprimé des inquiétudes quant aux menaces qui pèsent sur les forêts de cet état indien et notamment sur la réserve de tigres de Pakke. Malgré les milliers d'espèces végétales et animales qu'elle abrite, cette dernière est au cœur de divers projets dont la construction d'une route de 49 kilomètres qui menace de la traverser.

"De futures études menées à travers le nord-est de l'Inde aideront à documenter la biodiversité qui est sous la menace de plusieurs activités de développement dont l'extension de route, l'agriculture et des projets hydro-électriques", concluent les chercheurs dans leur rapport.

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Le pôle Nord pourrait bientôt être dépourvu de glace en été

Publié le par Ricard Bruno

L'état catastrophique de notre planète n'est du qu'au fait de l’agissement totalement hallucinant de l'être dit "Humain", beaucoup semblent penser que ça va aller, mais pas du tout, bien au contraire chaque minute qui passe ce sont des espaces naturels qui sont "bouffés" par  les hommes, laissant du coup les espaces vitaux se réduire comme "peau de chagrin" pour les animaux... L'homme se croit supérieur, pas du tout ce n'est qu'un abruti finit...
Bruno Ricard 

Le pôle Nord pourrait bientôt être dépourvu de glace en été

Selon une nouvelle étude, il pourrait bientôt ne plus y avoir de banquise en été au pôle Nord. En cause, le réchauffement climatique.

Cela fait des années que la fonte des glaces préoccupe les scientifiques. Depuis 1979, la glace arctique estivale a perdu 40% de sa superficie et jusqu'à 70% de son volume. En 2019, elle a même atteint son deuxième plus bas niveau jamais enregistré, à cause du réchauffement climatique. Et selon une nouvelle étude, la situation n'est pas prête de s'arranger, comme l'expliquent des chercheurs dans le journal Geophysical Research Letters. Surpris par leurs propres résultats, ils affirment qu'il est très probable qu'il n'y ait plus de banquise en été en Arctique avant 2050. Et cela même si les émissions de carbone sont réduites rapidement à l'échelle mondiale.

Les chercheurs ont analysé plus de 40 modèles climatiques, des plus optimistes (où le réchauffement climatique est maintenu en dessous de 2°C), aux plus sombres. "De manière alarmante, les modèles montrent à plusieurs reprises le potentiel d'étés sans glace dans l'océan Arctique avant 2050, peu importe les mesures prises pour atténuer les effets du changement climatique. C'était inattendu et extrêmement préoccupant", a déclaré dans un communiqué Ed Blockley, un des auteurs de l'étude

 

Les scientifiques indiquent également que si les émissions de carbone sont basses, ce phénomène de fonte de la banquise en été ne serait qu'occasionnel. En revanche, en cas de fortes émissions de carbone, cela pourrait arriver tous les ans. Il pourrait même y avoir des hivers sans glace. "Ce n'est pas quelque chose que nous avions vu auparavant dans nos projections, a déclaré Ed Blockley. Le scientifique précise que la glace de mer joue un rôle crucial, elle qui soutient les écosystèmes arctiques, sert de lieu de vie et de chasse à de nombreuses espèces comme les ours polaires, "tout en maintenant l'extrême nord de la planète au frais. Un épisode sans glace en hiver serait catastrophique."

La fonte de la banquise arctique pourrait aussi avoir des conséquences à long terme sur le réchauffement climatique et les espèces animales. Sa disparition permettrait aux hommes d'exploiter la zone, avec une augmentation des touristes et du transport maritime, sans oublier l'extraction de pétrole et de gaz.

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L'ours Cachou serait mort après s'être battu avec un autre mâle

Publié le par Ricard Bruno

Photo prétexte d'ours brun

Photo prétexte d'ours brun

Il y a quelques jours, le corps sans vie de Cachou, un ours mâle, était découvert dans les Pyrénées espagnoles. Après une autopsie, on en sait un peu plus sur les causes du décès de cet animal au patrimoine génétique exceptionnel.

Le 9 avril dernier, Cachou, un ours mâle de 5 ans, était découvert mort sur un versant escarpé des Pyrénées espagnoles. Son GPS montrait qu'il était immobile depuis plusieurs jours. Pour les associations de protection des animaux, cette disparition est une très mauvaise nouvelle, Cachou étant un ours très important pour la survie de son espèce.

"Cachou avait une importance particulière, il était l’unique descendant de l’ours Balou, lâché à Arbas (Haute-Garonne) en 2006. Il portait un patrimoine génétique différent du reste de la population et constituait un espoir pour l’avenir de l’espèce dans les Pyrénées, ont ainsi déclaré les associations Pays de l'ours-Adet et Ferus. Sa disparition sans descendance (connue) renvoie à la grande fragilité de la population pyrénéenne d’ours, notamment du fait d’une diversité génétique insuffisante."

Une autopsie a donc été effectuée à Barcelone afin de déterminer les causes du décès. Selon les premières hypothèses, rapportées par le Conseil général du Val d’Aran sur son compte Twitter, Cachou aurait été victime d'un autre mâle. Le crâne de l'ours présentait des présente des plaies perforantes à la tête, faites avant sa mort. Des blessures qui, selon le Conseil général du Val d'Aran, n'ont pu être causées que par un autre ours. Cachou serait ensuite tombé de 40 mètres, ce qui aurait entraîné sa mort. Des analyses complémentaires vont être réalisées afin de rechercher d'éventuelles autres causes (infectieuses, contagieuses etc.) ayant pu entraîner la mort de l'animal.

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Les grands animaux marins comme les baleines et les requins pourraient disparaître d'ici 100 ans

Publié le par Ricard Bruno

Une baleine à bosse

Une baleine à bosse

Selon une nouvelle étude, les grands animaux marins sont en danger d'extinction à cause du réchauffement climatique et de l'activité humaine.

Selon une nouvelle étude publiée dans le magazine Science Advances, des scientifiques de l'université de Swansea affirment que la mégafaune marine est particulièrement en danger. En cause, le réchauffement climatique et l'activité humaine. La mégafaune marine regroupe les grands animaux marins dépassant les 45 kg, comme les requins, les baleines, les ours polaires, les tortues de mer et les manchots empereurs.

Ces grands animaux jouent un rôle clé dans les écosystèmes. Ils consomment de grandes quantités de biomasse, ils transportent des nutriments à travers les habitats et relient les écosystèmes océaniques lors de longues migrations. Leur disparition entraînerait une grosse perte de diversité fonctionnelle. "Si nous perdons des espèces, nous perdons des fonctions écologiques uniques, a ainsi déclaré le Dr John Griffin, co-auteur de l'étude. Il s'agit d'un avertissement selon lequel nous devons agir maintenant pour réduire les pressions humaines croissantes sur la mégafaune marine, y compris le changement climatique, tout en favorisant le rétablissement des populations."

 

D'après l'étude, si les tendances se maintiennent, 18% de ces grands animaux marins pourraient s'éteindre au cours des 100 prochaines années. Mais les scientifiques ont également envisagé un deuxième scénario. Si toutes les espèces actuellement en danger d’extinction disparaissent, cela veut dire que 40 % de la mégafaune serait éteinte d'ici 2120. Les requins seraient les plus touchés. "Nos travaux précédents ont montré que la mégafaune marine avait subi une période d'extinction inhabituellement intense alors que le niveau de la mer oscillait il y a plusieurs millions d'années, a indiqué le Dr Catalina Pimiento, auteure principale de l'étude. Nos nouveaux travaux montrent qu'aujourd'hui, leurs rôles écologiques uniques et variés sont confrontés à une menace encore plus grande avec les pressions humaines."

Les scientifiques ont également créé un nouvel indice, le FUSE (Functionally, Unique, Specialized, Endangered). L'objectif était de mesurer l'importance de chaque espèce dans les systèmes marins, et de quantifier l'impact que leur disparition aurait sur la diversité fonctionnelle. Cela leur a permis de déterminer des priorités de conservation. Parmi les animaux qui ont obtenu un score très élevé, on retrouve la tortue verte, la carpe dorée de Jullien, la loutre de mer, le dugong et le bénitier géant. Ces animaux sont ceux qui auraient le plus de potentiel pour aider à maintenir les fonctions écologiques.

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LES CHEVREAUX MÂLES, « DÉCHETS » DE L’INDUSTRIE LAITIÈRE…

Publié le par Ricard Bruno

LES CHEVREAUX MÂLES, « DÉCHETS » DE L’INDUSTRIE LAITIÈRE…
La Fondation Brigitte Bardot constate depuis quelques jours une multiplication des annonces d’éleveurs de chèvres proposant de vendre ou donner des chevreaux mâle. Tous les moyens sont bons pour se débarrasser de ces animaux nouveau-nés, devenus inutiles en période de confinement ! Focus sur la cruauté de l'industrie laitière...

À PEINE NÉS, LES CHEVREAUX MÂLES SONT RETIRÉS À LEUR MÈRE

Si, dans l’industrie laitière, les petits mâles (veaux, chevreaux) sont retirés de leur mère aussitôt après leur naissance et très vite condamnés à mort (le lait qui leur est naturellement destiné étant commercialisé), la restriction des transports dans le cadre des mesures Covid-19 rend la situation des éleveurs de chèvres critique puisque ces derniers ne savent que faire des chevreaux.

En effet, si en France la consommation de viande de veau couvre en partie la production (malheureux veaux abattus après une courte vie de détresse), il en est tout autrement pour les chevreaux qui ne trouvent pas preneur sur le marché français et sont donc dirigés vers l’export, dans les conditions scandaleuses que nous dénonçons par ailleurs.

C’est pourquoi la Fondation Brigitte Bardot constate, depuis quelques jours, une multiplication des annonces d’éleveurs de chèvres– qui produisent lait et fromages – proposant de vendre ou donner les nouveau-nés. Sites d’annonces en ligne, messages sur les réseaux sociaux, appels aux particuliers, aux boucheries, aux grandes et moyennes surfaces… Tous les moyens sont bons pour se débarrasser de ces chevreaux devenus trop embarrassants !

L’INDUSTRIE DU LAIT EST PARTICULIÈREMENT CRUELLE

Sachant que pour qu’une femelle produise du lait elle doit d’abord donner un petit, des millions de chèvres se retrouvent ainsi enfermées dans des bâtiments où elles sont inséminées à la chaîne

La chèvre donne naissance à son premier chevreau vers l’âge d’un an. Ses petits lui sont rapidement confisqués, souvent quelques heures seulement, après leur naissance afin que la chèvre entre en lactation pendant 9 mois pour produire du lait destiné non plus à son petit, mais aux besoins artificiels de l’homme.

Les chevreaux mâles devenus alors inutiles sont destinés à la production de viande. Ils sont le plus souvent vendus dans des ateliers d’engraissement, puis envoyés à l’abattoir pour être abattus à l’âge de 6 à 8 semaines, transportés encore jusqu’à récemment dans des conditions non conformes à la réglementation : entassés dans des caisses à dindes ou à lapins environ deux fois moins hautes que la taille des chevreaux debout, empêchant ces derniers de se relever, en violation du droit européen sur la protection des animaux.

La chèvre continuera d’avoir des petits et de produire du lait. Après quelques années d’exploitation intensive, elle finira par être « réformée » car moins productive puis transportée, à son tour, dans des conditions particulièrement cruelles à l’abattoir à l’âge de 4 ans en moyenne.

LE COVID-19 MET EN PÉRIL LE COMMERCE DES CHEVREAUX

La majorité des chevreaux mâles sont habituellement vendus pour engraissement au printemps. Le volume de chevreaux abattus pour la période de Pâques représente un tiers des ventes de l’année.

Depuis les mesures de confinement liées au Covid-19, les consommateurs délaissent certains produits. En outre, 70 % de la production est exportée vers des pays comme l’Italie ou le Portugal, dont les frontières sont désormais fermées, réduisant à néant les commandes.

Certains abattoirs, contraints de congeler les animaux invendus, appliquent des prix à la hausse, d’autres ne veulent tout simplement plus acheter les chevreaux qui arrivent par centaines…

LES CHEVREAUX, DES BOUCHES À NOURRIR DEVENUES INUTILES

Les chevreaux, considérés comme des « rebuts » de l’industrie laitière représentent désormais un coût inutile pour les éleveurs. Garder les chevreaux plus longtemps signifie des dépenses en poudre de lait et/ou un gaspillage du lait, désormais destiné à la production de fromage d’où la nécessité de s’en débarrasser au plus vite.

Avec environ un million de têtes, le cheptel caprin français se tient à la quatrième place en Europe après la Grèce, l’Espagne et la Roumanie. Environ 700 000 chevreaux sont abattus chaque année en France dans des conditions cruelles… C’est le prix réel du fromage de chèvre !

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Filmographie Brigitte Bardot : Chère Brigitte

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : Chère Brigitte
Filmographie Brigitte Bardot : Chère Brigitte
Filmographie Brigitte Bardot : Chère BrigitteFilmographie Brigitte Bardot : Chère Brigitte
Filmographie Brigitte Bardot : Chère BrigitteFilmographie Brigitte Bardot : Chère Brigitte

Chère Brigitte (Dear Brigitte) est un film américain réalisé par Henry Koster sorti en 1965.

Synopsis

Robert Leaf, professeur de littérature, habite avec sa famille à bord d'un bateau ancré dans la baie de San Francisco. Il déteste les sciences exactes et adore son fils. Or son jeune fils, Erasmus, se révèle un petit génie du calcul. Erasmus est amoureux de Brigitte Bardot et rêve de la rencontrer....

Fiche technique

Distribution

Acteurs non crédités :

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