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Valenton : les chevaux laissés à l’abandon sauvés par la fondation Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Tous les jours, des habitants venaient nourrir ces chevaux laissés au stade de la Fontaine-Saint-Martin à Valenton. Une procédure pour occupation illicite de terrain avait été lancée par la ville contre les propriétaires.

Tous les jours, des habitants venaient nourrir ces chevaux laissés au stade de la Fontaine-Saint-Martin à Valenton. Une procédure pour occupation illicite de terrain avait été lancée par la ville contre les propriétaires.

Les équidés ont intégré une de ses structures.

Leur sort préoccupait beaucoup certains riverains. Au point qu’ils venaient eux-mêmes les nourrir. Depuis cet été, cinq chevaux étaient parqués sur le stade de la Fontaine-Saint-Martin. Deux poneys erraient sur deux autres terrains à Valenton, laissés à leur sort par un propriétaire privé négligent.

Pour leur venir en aide, certaines âmes charitables ont tapé aux portes de nombreuses associations. En novembre 2017, l’association Stéphane Lamart avait déposé plainte pour acte de cruauté.

Mais en fin de semaine dernière, c’est la Fondation Brigitte Bardot (FBB) qui a annoncé avoir récupéré les chevaux. « Ils sont maintenant à l’abri dans nos structures », a indiqué la FBB.

Depuis 2005, l’association a récupéré 117 équidés lors de saisies judiciaires, soit plus d’un tiers des chevaux qu’elle a en charge.

 

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BRIGITTE BARDOT PLEURE POUR LES ANIMAUX… ET ON N’AIME PAS VOIR PLEURER BB !

Publié le par Ricard Bruno

BRIGITTE BARDOT PLEURE POUR LES ANIMAUX… ET ON N’AIME PAS VOIR PLEURER BB !

Le modèle industriel, dans ce domaine, est à questionner sérieusement.

Alors que le projet de loi sur l’agriculture et l’alimentation est en cours d’examen à l’Assemblée nationale depuis mardi 22 mai, des personnalités comme Sophie Marceau se sont manifestées publiquement pour sensibiliser les consommateurs face aux conditions d’élevage ou d’abattage des animaux, révélées par des vidéos clandestines, diffusées notamment par L214, une association « tournée vers les animaux utilisés dans la production alimentaire (viande, lait, œufs, poisson), et révélant leurs conditions d’élevage, de transport, de pêche et d’abattage »(L214.com).

Accompagnée de l’humoriste Rémi Gaillard, Brigitte Bardot – qui mène un légitime combat autour de la condition animale depuis plusieurs décennies – s’est aussi exprimée dans une courte vidéo, accompagnée « de nouvelles images [qui auraient été] réalisées […] dans l’abattoir municipal d’Alès. Les scènes, insoutenables, ont été tournées par un lanceur d’alerte en février 2018 » (Paris Match).

Les larmes aux yeux, celle que l’on réduit trop souvent à une icône de la libération sexuelle – par ignorance, peut-être, de sa filmographie et sa vie en général –, a ainsi lancé : « Dites-vous que vous mangez la souffrance, la douleur, l’épouvante, la torture. »

Bien entendu, ces sortes de déclarations sont accueillies fraîchement par la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles). Sa présidente, Christiane Lambert, a ainsi parlé, sur Europe 1, de « militantisme radicalisé ». Elle est en cela fidèle au modèle productiviste de la FNSEA, qui a prouvé ses limites si l’on se réfère à la situation dramatique des éleveurs et agriculteurs.

Certes, on trouve des extrémistes parmi les défenseurs de la cause animale, mais il serait malhonnête de nier l’évidence : nous traitons fort mal les espèces que nous consommons. Et cela ne concerne pas exclusivement, comme on voudrait le faire croire parfois, l’abattage rituel halal. Cela dit en dehors des considérations sanitaires, qui sont un autre sujet.

Rappelons que dans l’article R214-65 du Code rural et de la pêche maritime, il est stipulé que « toutes les précautions doivent être prises en vue d’épargner aux animaux toute excitation, douleur ou souffrance évitables pendant les opérations de déchargement, d’acheminement, d’hébergement, d’immobilisation, d’étourdissement, d’abattage ou de mise à mort » (Légifrance).

En oubliant d’emblée les divagations du véganisme – qui rejette tout produit issu de l’exploitation animale, même le miel –, et rappelant que l’homme est un omnivore, des méthodes d’abattage sans cruauté existent pourtant. Cependant, la question de la souffrance animale doit être réglée collégialement et sans cette inflexibilité prônée par les uns ou les autres. Toutefois, le modèle industriel, dans ce domaine, est à questionner sérieusement. Un modèle dont s’écartent des petits éleveurs avec les abattoirs mobiles se déplaçant à la ferme, ce qui est bien moins stressant pour les animaux.

Quoi qu’il en soit, on n’aime pas voir BB pleurer !

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Caïmans à lunettes, douroucoulis, dingos d’Australie... Les étonnantes saisies au péage de La Turbie

Publié le par Ricard Bruno

Les dix caïmans à lunettes saisis en 2013...

Les dix caïmans à lunettes saisis en 2013...

S'il y a souvent des douaniers au péage de La Turbie, c'est parce que c'est une zone cruciale où leurs services procèdent de nombreux contrôles qui peuvent déboucher sur de surprenantes découvertes.

"Pour les trafiquants, l’A8 est une voie de circulation commode entre l’Espagne et l’Italie vers les pays de l’Est. Pour nous, douaniers, c’est une zone sensible", assure Marie-Catherine Kuntz-Pinguet.

Ces dernières années, la chef du pôle orientation des contrôles à la direction régionale des douanes de Nice a en mémoire deux saisies records. Toutes deux enregistrées au péage de la Turbie.

26 AVRIL 2013

Ce 26 avril au soir, un commerçant espagnol, via ses deux chauffeurs slovaques, tente d’acheminer dans une camionnette des animaux sauvages de Madrid jusqu’en République Tchèque.

Le nez fin, les douaniers repèrent le véhicule et découvrent à l’intérieur : deux lionnes dans une même cage, 10 caïmans à lunettes squelettiques, 3 douroucoulis (des petits singes nocturnes), 2 dingos d’Australie, plusieurs tortues protégées par la convention de Washington, deux lémuriens, et un énorme python molure albinos retrouvé mort.

Au terme de l’audience, rien ne lui sera restitué. Pas même la camionnette. Les juges du tribunal correctionnel ont condamné l’homme à 10000€ d’amende, 17500€ d’amende douanière, soit la valeur marchande des animaux. Ainsi qu’un an de prison avec sursis.

26 SEPTEMBRE 2017

Toujours au péage de la Turbie, c’est encore une découverte stupéfiante que vont faire les douaniers en poste ce jour-là. Une vraie ménagerie…Dans des conditions pires qu’effroyables, des milliers d’animaux cohabitent dans les quelques mètres carrés d’une camionnette: 577 perroquets et perruches parmi des milliers de volatiles, 65 perruches néo-zélandaises, 940 tortues juvéniles "grosses comme un jeton de casino", 32 boas constrictor de 15 centimètres de long, une centaine d’iguanes, 33 caméléons.

"Les conditions sanitaires étaient épouvantables. Déjà, les animaux à plumes et à peau ne peuvent cohabiter dans un même espace", rappelle Marie-Catherine Kuntz-Pinguet.

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BRIGITTE BARDOT LE BLOG FÊTE SES 11 ANS !

Publié le par Ricard Bruno

BRIGITTE BARDOT LE BLOG FÊTE SES 11 ANS !

Le Blog Brigitte Bardot, fête aujourd’hui ses 11 ans d’existence,  vous avez pu découvrir mes coups de gueule, mes coups de cœur, et bien sûr et surtout ma passion pour cette femme d’exception et UNIQUE que Dieu a créé un soir ayant eu, une révélation,Brigitte Bardot

Femme avec un très grand F, une femme par excellence qui défend ses convictions « bec et ongle », elle ne lâche RIEN ! Si parfois elle plie, je vous rassure JAMAIS elle ne rompt un peu comme un roseau…

Brigitte son combat  pour les animaux, c’est le combat de sa vie ! car « « Toutes Les Bêtes Sont à Aimer », il faut continuer à faire changer les mentalités vis-à-vis des animaux « Ça Pourrait Changer » beaucoup de choses,  « Je Reviendrai Toujours Vers Toi » Brigitte,  « Je me donne à qui me plait », même si cela ne plait pas à tout le monde « Jamais trois sans quatre » comme on dit…mais « 

« Moi Je Joue » la partition d’une vie consacrée aux animaux…Brigitte joue cette partition à merveille, …Brigitte Bardot n’est pas « La Fille De Paille» que l’on croit, chez elle à «La Madrague »  elle n’est pas « nue au soleil », elle aime certes la tranquillité chez elle entouré de ses compagnons à poils et à plumes,  chaque combat pour l’amélioration de la condition animale est un combat de chaque instant, elle ne vas pas à reculons ni même en « Harley Davidson », elle ne prend pas non plus « les omnibus », elle aurait pu  dire « Tu Veux, Tu Veux Pas »,  « On Déménage ».

Ce n’est pas « un Jour  comme un autre » que de fêter les 11 ans de ce blog, c’est un jour de fête, allez « Je Danse Donc Je Suis »,  «Ay Que Viva La Sangria », avec modération, il faut savoir apprécier à sa juste valeur ce breuvage… «Maria Ninguém » est de mon avis,   elle me dit souvent   « Ne me laisse pas l'aimer," mais si il faut aimer et admirer BB, même « Sidonie » est de mon avis…prend « contact » avec elle, elle te dira la même chose que moi, allez levons nos verres, à celle que le monde entier connait pour son engagement sans faille pour nos amis les animaux, à la votre mes amis !

Bruno Ricard

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Feria d'Alès : "Basta corrida", les anticorridas se font entendre

Publié le par Ricard Bruno

Feria d'Alès : "Basta corrida", les anticorridas se font entendre

Didier Bonnet, le nouveau président de l'association du Crac.

Moins nombreux que par le passé, les anticorridas ont rendu un vibrant hommage à l'Alésien Jean-Pierre Garrigues, en allant saluer sa mère, samedi en marge de la Feria d'Alès.

Cela fait déjà deux heures qu'ils hurlent au mégaphone. “Basta corrida”, “halte à la torture”. La centaine de militants anticorridas (bien moins que pour les grosses manifs de 2013 et 2014), venue à l'appel du Crac Europe est déjà bouillante.

Mais soudain, peu avant 15 heures, avenue Stalingrad, tout s'arrête. Les antis lèvent la tête. Et là, tout là haut, sur un balcon de l'immeuble en briques rouges , on la voit. Une petite dame qui agite timidement les bras. “Elle s'appelle Marguerite, crie Didier Bonnet, le nouveau président du Crac Europe. C'est la maman de Jean-Pierre Garrigues. Elle nous a donné le plus grand défenseur des animaux de tous les temps. Marguerite, nous vous faisons le serment que la voie ouverte par votre fils ne se refermera que le jour de l'abolition !” Des mains, elle salue. Elle paraît très émue. Puis le cortège reprend sa marche.

"Lui, c'était la figure pour la défense des animaux.” 

Jean-Pierre Garrigues. Du boulevard Talabot à la rue Maximin Dhombres, l'ombre du charismatique militant anticorrida décédé en novembre, plane tout au long de la manifestation. “Il avait tout. C'était un stratège, un orateur, un leader d'exception, se rappelle Joëlle Verdier, une amie qui réside en Floride. C'était une figure du militantisme. Il y a eu Martin Luther King contre la ségrégation raciale, Gandhi pour l'indépendance de l'Inde. Lui, c'était la figure pour la défense des animaux.” Paolo, un Italien habitué des manifs alésiennes (il vient tous les ans, à vélo, depuis Turin...) poursuit : “Il avait brandi très haut le flambeau de la lutte. Il sera toujours à nos côtés.”

Après un hommage appuyé devant la médiathèque à Jean-Pierre Garrigues, mais aussi à Jacques Dary, cofondateur du Crac, mort en début d'année, les antis se sont dirigés près des arènes. Là, passée la clinique Bonnefon, alors que la corrida avait débuté, ils ont fait un maximum de bruit.

 

Garrigues, pas Garrigues, le combat des antis continue. “Alès est une ville très agréable, mais il y a une tâche, une tâche sanglante, insiste Sylvie Lorthe. Elle va s'effacer très rapidement. On va l'y aider.”

 

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Frédéric Edelsteinn (Pinder): «Les associations de protection animale ne s’intéressent pas aux animaux»

Publié le par Ricard Bruno

Ben voyons ce monsieur Edelsteinn, nous prend vraiment pour des imbéciles, pour ne pas dire pour des cons ! on va le mettre en cage durant des années et après on verra comment il est, non mais vraiment, il y a des coups de pieds au cul qui se perdent...

La fin des cirques avec animaux est proche...

On ne lâche RIEN !

Oui au cirques....SANS ANIMAUX !

Bruno Ricard 

 

Le propriétaire de Pinder a profité de son passage sur RMC pour s’en prendre aux associations et militants de la protection animale.

Frédéric Edelsteinn (Pinder): «Les associations de protection animale ne s’intéressent pas aux animaux»

Frédéric Edelsteinn, directeur du cirque Pinder était l’invité ce vendredi des Grandes Gueules, émission diffusée sur RMC.

Le propriétaire du cirque placée en liquidation judiciaire la semaine dernière a profité de son passage dans l’émission pour défendre son cirque et s’en prendre aux associations et militants de la protection animale.

«Les associations ne s’intéressent pas aux animaux»

«Toutes ces associations qui se disent être de la protection animale ne sont certainement intéressées par aucun animal. Elles s’intéressent juste au cochon en forme de tirelire dans lequel on met des pièces dedans.» Des attaques directes envers PETA, L214 ou encore la Fondation Brigitte Bardot qui se battent depuis des années pour obtenir auprès des communes des arrêtés pour l’interdiction de l’installation de cirques possédant des animaux.

Des pertes de sponsors

«Tous ces gens sont une minorité qui essayent de se faire valoir et pleurer dans les chaumières. Ils ont des sociétés de lobbying avec lesquels ils envoient des milliers d’emails dans les mairies et à nos sponsors. On a perdu deux de nos sponsors à cause de ces associations car elles font du matraquage. Cela nous empêche d’avoir un gain d’argent qui nous permet de vivre» a-t-il ajouté, évoquant la campagne de boycott adressée à JouéClub lancée par l’association VIDA.

Interrogé sur la présence de tigres dans des cages, le dresseur a décrit des «lois tellement draconiennes qu’on ne peut pas faire n’importe quoi» avant de soutenir que ces animaux sont bien traités.

«Des conditions fantastiques pour les animaux»

«En condition itinérante dans un cirque, vous avez des conditions pour les animaux qui sont fantastiques car vous avez des enclos extérieurs pour les éléphants, les zèbres, les chameaux, les tigres, les lions. Cela permet à un animal d’avoir une vie supérieure à celle d’un animal dans un parc ou un zoo. L’itinérance d’avoir toujours une vision, une odeur différente. Un jour vous êtes sur une place en herbe, un jour sur une place en sable, un jour en centre-ville. Cela ne crée aucune lassitude pour les animaux» a ajouté le directeur du cirque.

«La place de mes animaux n’est certainement pas dans leur milieu naturel, où ils se font shooter pour 15.000 dollars. C’est en Afrique qu’il y a un problème, pas chez nous dans nos cirques. Dans ces associations il y a beaucoup d’extrémistes, et on ne peut pas gérer tout le monde» a-t-il conclu.

Un avenir flou

Etabli en France depuis le début du XXe siècle, le cirque Pinder a été détenu par le comédien Jean Richard avant que la famille Edelstein reprenne le flambeau en 1983.

Si l’établissement a été placé en liquidation judiciaire, Gilbert Edelstein espère «repartir en tournée cet été». Il en appelle à Emmanuel Macron pour obtenir des subventions.

En France, plus de 80 communes ont pris des arrêtés pour interdire les cirques avec animaux.

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«Moi, Amir Khalil : vétérinaire de guerre»

Publié le par Ricard Bruno

auvé, à 4 mois, d'une vente sur Facebook en Jordanie, Yerga est opéré d'une canine fêlée par Frank Goeritz, un chirurgien venu exprès de Berlin. En tirant sous sa paupière, Amir Khalil vérifie l'état de somnolence du fauve.

auvé, à 4 mois, d'une vente sur Facebook en Jordanie, Yerga est opéré d'une canine fêlée par Frank Goeritz, un chirurgien venu exprès de Berlin. En tirant sous sa paupière, Amir Khalil vérifie l'état de somnolence du fauve.

REPORTAGE - Défenseur depuis l'enfance de la cause animale, ce vétérinaire austro-égyptien sauve aujourd'hui, au péril de sa vie, les animaux victimes de la folie des hommes, jusqu'au cœur des pires conflits de la planète.

De nos envoyés spéciaux

Jamais il n'aurait imaginé semblable destin. Fils d'une famille égyptienne copte conservatrice et pieuse, habitant l'oasis d'al-Fayoum, à 100 kilomètres du Caire, Amir Khalil avait sa voie toute tracée: école le matin, football l'après-midi avec les copains, une fois les devoirs terminés, et l'église le dimanche. Puis, comme il l'avait promis à ses parents, il deviendrait moine si Dieu lui envoyait un signe. Dieu ne se signalera pas.

C'est Daktari, une série américaine qu'il a pu suivre à la télévision égyptienne, inspiré de la vie du vétérinaire Antonie Marinus Harthoorn, en Afrique, qui lui indiquera sa voie. Fasciné par les lions, les girafes et les singes qu'il voit tous les jours sur le petit écran familial, il entre à 17 ans à l'école vétérinaire du Caire, dont il sort brillamment diplômé six ans plus tard. Avant son départ pour Edimbourg, où on lui propose une bourse d'études, sa mère lui demande de passer par Vienne pour vérifier si le futur mari de sa sœur est un homme «comme il faut». Il s'y arrête, rassure sa mère et tombe amoureux d'une belle Bulgare. Il n'ira jamais à Edimbourg, et devient, en quelques années à l'université de Vienne, spécialiste de médecine tropicale et de parasitologie. Passeport autrichien en poche, le gamin du Fayoum saisit toutes les occasions de s'occuper des animaux. «Les années passant, explique-t-il, je me suis rendu compte que si Dieu n'avait pas voulu que je sois moine, il avait souhaité que je sois l'apôtre de la cause animale. Hommes et animaux forment un tout et l'humanité n'a de futur qu'avec les uns et avec les autres.»

Tout en menant ses études, Amir Khalil s'engage comme bénévole dans une campagne lancée en Roumanie par l'ONG autrichienne Vier Pfoten (Four Paws) fondée à Vienne en 1988, pour tenter de régler le problème des 300.000 chiens errants de Bucarest. Trois ans plus tard, il transforme cette campagne en un projet à long terme avec l'accord des autorités roumaines et le soutien de Brigitte Bardot.

«Moi, Amir Khalil : vétérinaire de guerre»
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Pas-de-Calais : une récompense de 10 000 euros pour arrêter les tueurs de phoques

Publié le par Ricard Bruno

Depuis janvier, trois phoques ont été abattus dans des circonstances troubles dans le Pas-de-Calais.

Depuis janvier, trois phoques ont été abattus dans des circonstances troubles dans le Pas-de-Calais.

L’association de défense des océans Sea Shepherd offre une récompense à quiconque permettra de faire avancer l’enquête sur la mort de trois phoques, tués entre janvier et fin avril, sur le littoral du Pas-de-Calais.

Wanted : tueurs de phoques. Récompense : 10 000 euros. « On double la mise (NDLR : 5000 auparavant) en espérant que ça motive d’éventuels témoins », explique Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France. Plus connue pour ses interventions spectaculaires contre la pêche illégale partout dans le monde, l’ONG vieille de 41 ans a aussi l’habitude de proposer des « récompenses » en numéraire pour retrouver des braconniers.

« On y a recours quand les enquêtes piétinent, confirme Lamya Essemlali. Récemment, en Asie, une récompense équivalente a permis l’arrestation de braconniers de tortues. Ça surprend encore en France, mais nous voulons agir. Nous ne voulons pas laisser un sentiment d’impunité s’installer chez les tueurs de phoques du Pas-de-Calais, qui est quand même le seul endroit en France où il existe un comité anti-phoques, même si je ne les mets pas directement en cause. »

Impacts de plombs au thorax

Car depuis janvier, trois phoques ont été abattus dans des circonstances troubles. Le premier, retrouvé par un chasseur sur la plage d’Oye-Plage, tué d’une décharge en pleine tête et à bout portant, a scandalisé le département. Toutes les associations ont fait front contre un acte qualifié de barbare. La brigade de gendarmerie de Saint-Omer a été saisie.

Le 29 avril, deux autres cadavres de phoques ont été retrouvés dans un état effroyable sur la plage du Touquet. Ce sont des naturalistes qui ont fait la macabre découverte par marée basse. Selon l’autopsie, le premier petit mammifère, « tuméfié », était atteint de huit impacts de plombs de gros diamètre au niveau du thorax. Il portait également la trace de coups violents au niveau du cou, vraisemblablement infligés alors qu’il agonisait. Le second aurait, lui aussi, été tabassé.

La Fondation Brigitte Bardot veut porter plainte

« Nous n’avions plus eu de mort de cette sorte depuis dix ans, s’inquiète Jacky Karpouzopoulos, président de la coordination mammalogique du Nord (CMNF), très présent auprès des mammifères. « Même si la récompense offerte par Sea Shepherd me surprend, il faut arrêter les imbéciles qui tuent », lance ce passionné qui tient à saluer les chasseurs qui ont dénoncé ces actes mais en appelle d’autres à s’émouvoir.

« Il faut que les pêcheurs du littoral et le parc naturel marin des estuaires picards et de la mer d’Opale (NDLR : chargé depuis 2012 de la protection du littoral) réagissent, plaide-t-il. Pour sensibiliser largement et pour que les morts de nos trois phoques ne soient pas classées sans suite. »

De son côté, la Fondation Brigitte Bardot a décidé de porter plainte. « Les autopsies pratiquées montrent que les phoques ont reçu des coups violents et sont morts dans la souffrance, ils ont de toute évidence été victimes de pêcheurs qui ne supportent pas la concurrence d’espèces qui prélèvent du poisson », s’emporte Christophe Marie, porte-parole de la Fondation. « Brigitte Bardot n’a pas lutté contre le massacre des phoques au Canada pour tolérer de tels actes, d’une grande lâcheté, sur les côtes françaises. Nous demandons à Nicolas Hulot d’accélérer son projet de consultation nationale sur la condition animale, il y a urgence. »

Une enquête compliquée

Une enquête judiciaire a été ouverte par le parquet de Boulogne-sur-Mer. Elle va être confiée au commissariat local. « De tels sévices tombent sous le coup de la loi, soit pour destruction d’espèce protégée, car les phoques font partie de cette catégorie, soit pour actes de cruauté, explique un gradé de la police du Pas-de-Calais. Des phoques sont souvent retrouvés sur le rivage mais ils sont décédés de mort naturelle… »

Les policiers, qui se sont rendus sur la plage du Touquet mais attendent toujours d’être saisis officiellement, privilégient la piste d’un acte commis par des pêcheurs. « Il est très vraisemblable que ce soit des pêcheurs qui ont remonté ces phoques dans leurs filets avec d’autres poissons. Ils les auraient ensuite achevés au fusil, soit pour libérer leurs filets, soit par peur d’être attaqués. Les phoques peuvent être agressifs. J’espère que ce n’est pas par plaisir ! » avance une autre source policière.

Les enquêteurs sont pessimistes quant à la possibilité de remonter jusqu’aux auteurs du forfait. « Il y a rarement de témoins en mer. Et, contrairement à d’autres armes, les balles de fusils de chasse ne disposent pas de signature, ce qui aurait pu permettre de retrouver les propriétaires. Il n’y a pas d’empreinte balistique sur des gerbes de plomb. » À moins que les 10 000 € de récompense délient les langues…

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Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...

Publié le par Ricard Bruno

Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...

Le 12 mai 1967, l'arrivée de Brigitte Bardot suscitait une véritable émeute sur la Croisette. Au bras de son second mari Gunther Sachs, BB tentait de se frayer un chemin vers le Palais des Festivals, encerclée par une foule survoltée.

Et dieu créa… le mythe Bardot. En 1956, la sirène blonde explose sur grand écran dans le film culte signé Roger Vadim - son futur mari. Pourtant, c’est au bras d’un autre homme que, propulsée au rang d’icône, BB foule le tapis rouge du Festival de Cannes dix ans plus tard. Le 12 mai 1967, la simple apparition de l’actrice et de son second mari Gunther Sachs - un homme d’affaire multimillionnaire – suffit à embraser la Croisette. Une montée des marches aux allures hollywoodiennes, digne de l'accueil reçu par l'acteur américain Gary Cooper, autre invité prestigieux des festivités.

Foule survoltée...

Ce soir-là, les festivaliers sont en émoi. Ils attendent fébrilement l’arrivée de leur idole, cette poupée blonde aux yeux cerclés de noir qui fredonnait Moi je joue trois ans plus tôt. La comédienne se dirige vers le Palais des Festivals, acclamée par les festivaliers. Mais se retrouve au cœur d'une cohue sans précédent, entre photographes survoltés et fervents admirateurs. Sans se départir de son éternel sourire, BB tente tant bien que mal de se frayer un chemin, aidée du service de sécurité.

Vêtue d’un tailleur androgyne - privé de son traditionnel nœud papillon, remplacé par un ruban - Brigitte Bardot créé la sensation, comme aucune de ses pairs auparavant. Triste ironie, ce mouvement de foule inédit marque la dernière apparition de l’actrice au Festival. Un épisode qui achèvera de bâtir sa légende.

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Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...
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