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Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...

Publié le par Ricard Bruno

Retour sur… la cohue provoquée par Brigitte Bardot à Cannes en 1967...

Le 12 mai 1967, l'arrivée de Brigitte Bardot suscitait une véritable émeute sur la Croisette. Au bras de son second mari Gunther Sachs, BB tentait de se frayer un chemin vers le Palais des Festivals, encerclée par une foule survoltée.

Et dieu créa… le mythe Bardot. En 1956, la sirène blonde explose sur grand écran dans le film culte signé Roger Vadim - son futur mari. Pourtant, c’est au bras d’un autre homme que, propulsée au rang d’icône, BB foule le tapis rouge du Festival de Cannes dix ans plus tard. Le 12 mai 1967, la simple apparition de l’actrice et de son second mari Gunther Sachs - un homme d’affaire multimillionnaire – suffit à embraser la Croisette. Une montée des marches aux allures hollywoodiennes, digne de l'accueil reçu par l'acteur américain Gary Cooper, autre invité prestigieux des festivités.

Foule survoltée...

Ce soir-là, les festivaliers sont en émoi. Ils attendent fébrilement l’arrivée de leur idole, cette poupée blonde aux yeux cerclés de noir qui fredonnait Moi je joue trois ans plus tôt. La comédienne se dirige vers le Palais des Festivals, acclamée par les festivaliers. Mais se retrouve au cœur d'une cohue sans précédent, entre photographes survoltés et fervents admirateurs. Sans se départir de son éternel sourire, BB tente tant bien que mal de se frayer un chemin, aidée du service de sécurité.

Vêtue d’un tailleur androgyne - privé de son traditionnel nœud papillon, remplacé par un ruban - Brigitte Bardot créé la sensation, comme aucune de ses pairs auparavant. Triste ironie, ce mouvement de foule inédit marque la dernière apparition de l’actrice au Festival. Un épisode qui achèvera de bâtir sa légende.

Source de l'article : Cliquez ICI

 

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L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination

Publié le par Ricard Bruno

L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination
L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination
L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination
L’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre veut sauver ses renards menacés d’extermination

Animaux. Les renards vivent dans le parc de l’hôpital psychiatrique Pierre-Janet depuis des dizaines d’années, mais, pour des raisons d’hygiène et de risque de morsure, la direction du groupe hospitalier du Havre doit trouver une solution.

Avec leur museau long, leur fourrure rousse et leur démarche craintive, les renards sont un peu l’attraction qui amène de la vie dans le parc de l’hôpital psychiatrique Pierre-Janet du Havre. « Les patients, comme les personnels soignants, ont pris l’habitude de les observer », souligne Cécile Dubos, infirmière de nuit à l’hôpital psy. « 18 ans que je travaille à Janet et je les ai toujours vus là, ajoute Céline Lebigot, infirmière elle aussi. « Les renards nous ont apprivoisés ».

Mais il y a quelques jours, la direction du groupe hospitalier du Havre (GHH) a lancé des devis pour éliminer, avec des pièges, ces animaux sauvages qui ne le sont plus vraiment tant ils s’approchent des pavillons de Janet. Le risque de morsure a motivé cette décision. Un choix, qui n’est pas encore arrêté par la direction, qui suscite une grande colère chez les soignants qui ont créé un groupe Facebook d’une vingtaine de personnes.

Coexister tout simplement

« Nous ignorons à quel endroit exactement se situe leur habitat mais nous pouvons les observer régulièrement, ayant ainsi pu constater une absence de dangerosité de leur part et en revanche, un contact adapté. Ils n’ont jamais montré le moindre signe d’agressivité, nous n’avons eu aucun précédent de morsure ni même grognement ou saccage et ils restent craintifs face aux hommes. Il n’y a pas eu de velléité de domestication de notre part, seulement de coexister et cela n’a jamais occasionné le moindre problème, bien au contraire, les lieux semblant plus accueillants car vivants. Plus encore pour les patients qui les attendent et se réjouissent de les observer le soir venu, au même titre que les hérissons ou chats avec qui les renards cohabitent », explique Cécile Dubos en introduction de la pétition qui a été lancée pour sauver les renards. En un week-end, cette dernière a déjà enregistré plus de 2 000 signatures.

« Il s’agit pour nous de ne pas laisser faire cette extermination systématique qui n’a aucune raison d’être et ne répondrait qu’à une volonté de « nettoyage » sans fondement. Dans ce but, nous recherchons tout soutien qui permettrait d’éviter ce qui serait un massacre absurde afin de faire entendre nos convictions qui elles, au même titre que les renards, ont toute légitimité à exister », ajoute la jeune femme.

Un précédent à Rouen

Le personnel, mobilisé, a contacté la fondation Brigitte Bardot pour tenter de trouver une solution alternative. « Il serait possible de demander une dérogation afin qu’une association telle que CHENE puisse capturer les animaux et les relâcher ensuite en forêt. Cette disposition a déjà été prise en 2015 dans un établissement scolaire de Rouen », précise Céline Lebigot. Un courrier doit être envoyé cette semaine à la direction du GHH pour soumettre cette proposition.

« Les patients sont tellement habitués à les voir sur les pelouses. Ils en parlent souvent de ces renards. Que pourrons-nous leur dire lorsqu’ils s’interrogeront sur l’absence des animaux ? », s’inquiètent les infirmières. Du côté de la direction du groupe hospitalier, on assure qu’aucune décision irrévocable n’a encore été prise et que toutes les solutions seront étudiées.

Au Havre, les renards font partie du quotidien des promeneurs tardifs ou lève-tôt qui les surprennent alors que ces animaux, sauvages mais opportunistes, profitent de nos poubelles. Un court-métrage leur a même été consacré par le naturaliste Alain Deschandol. Il y a quelques jours, les préfets de Meurthe-et-Moselle et de l’Aube, suivant l’exemple de la Moselle, ont renoncé aux arrêtés autorisant l’élimination des renards, reconnaissant ainsi leur utilité. De son côté, l’ASPAS, association pour la protection des animaux sauvages, interpelle Nicolas Hulot, ministre de l’Écologie pour que le renard soit retiré de la liste des animaux nuisibles.

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Le cirque Pinder placé en liquidation judiciaire

Publié le par Ricard Bruno

Le cirque Pinder placé en liquidation judiciaire

OUI AU CIRQUE !

SANS ANIMAUX !

Bruno Ricard

Selon le quotidien Ouest France, le célèbre cirque Pinder, fondé en 1854, a été placé en liquidation judiciaire le 2 mai dernier. Les spectacles de ce mois-ci ont été annulés et aucun autre n'est programmé pour l'instant. 

La crise, les attentats, la semaine de 4,5 jours pour les écoliers, les critiques à l'encontre des cirques avec animaux : les raisons de la mauvaise santé du célèbre cirque Pinder sont nombreuses.

Sa société d'exploitation Promogil a été placée en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Créteil mercredi 2 mai, et tous les spectacles prévus jusqu'à la fin du mois, à Valence, Grenoble, Saint-Etienne et Clermont-Ferrand, ont été annulés, sans que de nouvelles programmations aient été annoncées. 

Chiffre d'affaires en baisse de plus de 60 %

"C'est moi qui en ai fait la demande", explique Gilbert Edelstein, le propriétaire du cirque Pinder depuis 1983. En mars et avril, ce dernier a vu son chiffre d'affaires dégringolé de plus de 60 %, passant de 7,4 millions d'euros à moins de 6 millions. 

Alors qu'il faut débourser entre 13 et 45 euros pour une place de cirque en 2017, la crise économique est indéniablement responsable de la santé financière de Pinder.

Selon Gilbert Edelstein, les attentats ont aussi ralenti les entrées. "Les gens sont plus frileux" quand il s'agit de se rendre dans des lieux où il y a du monde. Le patron de Pinder, qui compte 120 salariés, évoque également les incidences du passage à la semaine de 4,5 jours pour les maternelles et les primaires. "En trois ans, on est passé de 450 000 spectateurs scolaires par an à 100 000".

Les critiques envers les cirques avec des animaux se font par ailleurs de plus en plus vives et de nombreuses mairies sont défavorables à leur venue en ville.

Un parc d'attractions "Pinderland" en préparation

Selon le patron de Pinder, qui est aussi le président du Syndicat national du cirque, les trois autres grands cirques français, Arlette Gruss, Bouglione et Medrano traversent des difficultés similaires et ont écrit une lettre commune au président Macron dans l'espoir d'obtenir des aides ministérielles. 

 

Gilbert Edelstein, lui, garde bon espoir "de repartir en tournée cet été", assurant que "le cirque Pinder n'est pas mort". Le patron de 80 ans compte réduire l'activité en itinérance, la plus coûteuse, pour se concentrer sur un parc d'attractions, "Pinderland", en préparation à Perthe-en-Gâtinais (Seine-et-Marne). Affaire à suivre, donc.

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Le plus grand refuge pour chats du Var menacé de fermeture, un appel à l'aide lancé

Publié le par Ricard Bruno

Le refuge mène une politique de gestion durable des populations de chats, axée notamment sur la stérilisation, laquelle permet de réduire significativement le nombre de chats errants. 608 stérilisations de chats ont été effectuées ici en 2017.

Le refuge mène une politique de gestion durable des populations de chats, axée notamment sur la stérilisation, laquelle permet de réduire significativement le nombre de chats errants. 608 stérilisations de chats ont été effectuées ici en 2017.

Plus grand refuge du Var, la structure, qui héberge plus de 250 félins abandonnés ou sortis de la rue, connaît d'importantes difficultés financières. Face à l'urgence, un appel à l'aide est lancé

"Nous sommes dans une situation critique et nous risquons de devoir cesser totalement nos actions de sauvetage d'animaux, faute d'argent". Dans un message diffusé sur les réseaux sociaux, Hélène Lion, la présidente de l'Ecole du chat d'Ollioules, et Jocelyne Thomas, directrice du refuge, alertent sur les difficultés que connaît, depuis le début de l'année, la structure qui recueille des centaines d'animaux en détresse chaque année, en les faisant stériliser et en les faisant adopter.

"Hormis un versement de 7000 E en mars pour couvrir quelques urgences, nous subissons l'interruption brutale des subventions mensuelles que nous versait l'association Bourbon (Paris) depuis 1994, et qui représentent près de 60 % de nos besoins de fonctionnement, expliquent les deux responsables. Cette interruption arbitraire n'a été précédée d'aucune information ni justification. Comme si la vie et le devenir de centaines d'animaux n'avaient aucune importance".

Selon nos informations, la décision serait liée à un changement de priorités au sein de l'association qui finançait la structure ollioulaise, Bourdon estimant que les refuges doivent être autonomes pour leur fonctionnement. Un argument que réfutent les responsables varoises : "Un refuge ne peut faire face, seul, à ses besoins. Nous avons certes des recettes qui proviennent des placements de chats (130 E pour un adulte et 170 E pour un chaton) mais elles couvrent à peine les frais engagés avant les adoptions (la stérilisation, la puce électronique, les vaccins, le déparasitage de l'animal)". Sans oublier qu'un chat coûte environ 400 euros par an, entre la nourriture et les soins vétérinaires. Et le refuge, qui gère en permanence plus de 250 félins, a procédé l'an dernier à 555 adoptions.

La situation actuelle est d'autant plus difficile que "nous avons déjà subi, l'an dernier, la fin des contrats aidés, et nous avons désormais deux personnes salariées dont les emplois sont menacés". Mais plus largement, "c'est toute l'activité du refuge qui est en danger. Car il n'est possible de réduire des deux tiers le budget (environ 150 000 euros / an (1)) compte tenu du nombre de chats hébergés, nourris et soignés, sans compter la nécessité de continuer le sauvetage de centaines d'animaux. Autant dire que, sans les versements de l'association Bourdon, le refuge devra fermer. Cette fermeture serait dramatique pour la cause animale que nous défendons".

UN APPEL "AUX BONNES VOLONTÉS"

Dans l'urgence, l'Ecole du chat lance donc "un appel à toutes les bonnes volontés(notamment par le biais des réseaux sociaux), pour pouvoir continuer à exister et à sauver des centaines de chats chaque année » (2). Toutefois, concèdent ses responsables, le refuge « ne pourra pas vivre avec de petits dons, il faudrait pouvoir trouver une solution pérenne…"

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Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...

Publié le par Ricard Bruno

Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...

C'est en 1953 que Brigitte Bardot éblouit pour la première fois le Festival de Cannes de son aura magnétique. Et pour cause, la belle de 19 ans s'exhibe en bikini sur la plage de la Croisette. Dès lors, elle s'y sent comme chez elle. Pablo Picasso, Jeanne Moreau, Roger Vadim, Kirk Douglas... BB se rend au Festival avec ses proches du moment. Retour sur 14 clichés époque Fifties et Sixties qui sentent encore la chaleur Cannoise.

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Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...
Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...
Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...
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Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...
Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...
Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...
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Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...
Le portfolio vintage de Brigitte Bardot au Festival de Cannes...
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Montfort-le-Gesnois La Fondation Bardot critique le spectacle d’ours

Publié le par Ricard Bruno

Frédéric Chesneau vient ce dimanche à Montfort avec son ours Valentin...

Frédéric Chesneau vient ce dimanche à Montfort avec son ours Valentin...

La commune de Montfort-le-Gesnois organise la Fête des vieux métiers ce dimanche.

 

Pour l’occasion, Frédéric Chesneau viendra avec Valentin, son ours noir du Canada. Un spectacle qui fait réagir les associations de protection des animaux.

La Fondation Brigitte-Bardot a interpellé l’association de la Fête des vieux métiers dans un courrier rédigé ce vendredi.

Elle souhaite « faire prendre conscience du caractère indigne et immoral de telles exhibitions dans lesquelles la nature même de l’animal est inhibée ».

La Fondation interpelle également les organisateurs sur la sécurité du public autour de l’exhibition.

 

« Ces animaux, même asservis, restent des animaux sauvages avec des réactions imprévisibles, sensibles au bruit et à l’agitation de la foule… Faudra-t-il qu’un accident mortel se produise pour que les bonnes décisions soient enfin prises. »

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Gard : condamné pour avoir laissé son chien mourir de chaud dans une voiture

Publié le par Ricard Bruno

Le tribunal a sanctionné le propriétaire d'un chien.

Le tribunal a sanctionné le propriétaire d'un chien.

L'animal était mort dans des souffrances terribles dans une voiture garée au Grau du Roi le 13 juin 2017.

Le propriétaire d'un chien était jugé ce mercredi devant le tribunal correctionnel de Nîmes pour avoir laissé son animal dans son véhicule. Le chien est mort à cause de l'extrême chaleur qui régnait dans la voiture lors de cette journée du 13 juin 2017. L'animal est mort dans des souffrances terribles.

A l'audience, la fondation Brigitte Bardot et la SPA se sont constitués parties civiles dans l'affaire. Me Ortega portait la parole de société protectrice des animaux.

 

Le parquet a demandé et obtenu la condamnation du prévenu. Me Laurence Aguilar, l'avocate de la défense, a expliqué que le prévenu avait laissé une gamelle d'eau dans la voiture. Aurélien Blaise a écopé d'une amende de 300 euros pour la mort du chien et d'un mois de prison pour d'autres infractions liées aux documents administratifs.

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Un projet de ferme aux 4 000 bovins rejeté en Saône-et-Loire...

Publié le par Ricard Bruno

Très critiqué par la Confédération paysanne mais aussi des personnalités telles que Brigitte Bardot, le projet de ferme aux 4 000 bovins à Digoin (Saône-et-Loire) a été rejeté par la préfecture.

Le site de la ferme de Daniel Viard, promoteur de la ferme aux 4000 bovins.

Le site de la ferme de Daniel Viard, promoteur de la ferme aux 4000 bovins.

Le projet avait fait grand bruit. Finalement, la ferme aux 4 000 bovins ne pourrait jamais ne voir le jour à Digoin, en Saône-et-Loire. La demande d'autorisation d'exploitation, émise par un agriculteur local, a en effet été rejetée par le préfet de Saône-et-Loire, indiquent nos confrères du Journal de Saône-et-Loire.

L'arrêté préfectoral évoque notamment "l'impact sur les ressources en eau" et les "antécédents très défavorables en matière de maîtrise des nuisances et capacité à respecter les obligations réglementaires".

Le projet, que l'agriculteur voulait installer sur un hameau résidentiel, avait rencontre l'hostilité tout à la fois des riverains et d'associations ou personnalités à envergure nationale. Ainsi, Brigitte Bardot, par le biais de sa Fondation, avait écrit une lettre de protestation au ministre de l'Agriculture Stéphane Travert. Parmi les associations ou partis politiques qui s'étaient opposés au projet, on comptait aussi Attac, Europe Ecologie Les Verts, France nature environnement, Agir pour l'environnement ou encore la Confédération paysanne.

Le projet avait d'abord reçu un avis favorable de la direction régionale de l'environnement de Bourgogne-Franche-Comté. C'est après une enquête publique d'un mois qu'un avis contraire avait finalement été émis, rappelle le journal Le Monde. L'agriculteur qui souhaitait réaliser ce projet dispose désormais de deux mois pour contester la décision devant le tribunal administratif de Dijon.

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Le Touquet : un phoque abattu au fusil sur la plage

Publié le par Ricard Bruno

L'animal aurait pu être abattu volontairement, rapporte La Voix du Nord. 

Mais qui en veut aux phoques de la plage du Touquet ? La Voix du Nord rapporte que dimanche 29 avril, un phoque mort a été trouvé sur la plage de la station balnéaire.

La macabre découverte a été faite par des membres du groupement de défense de l'environnement de l'arrondissement de Montreuil et du Pas-de-Calais. Quelques mètres plus loin, ils ont aussi trouvé un autre veau marin "ouvert sur le dos et à une palmure arrière", précise le quotidien régional.

Pour l'association des défenseurs de l'environnement, ces deux morts d'animaux sont considérées comme suspectes. Les cadavres ont donc été pris en charge par les correspondants locaux de la coordination mammalogique du Nord (CMNF). Des autopsies ont été effectuées sur les deux phoques à l'université de Liège. Elles ont révélé que "le premier phoque a reçu huit plombs de chasse de gros diamètre au niveau du thorax mais surtout des coups violents au niveau du cou. Le second est mort d'asphyxie, probablement pris dans un engin de pêche", raconte La Voix du Nord.

Le groupement de défense de l'environnement de l'arrondissement de Montreuil et du Pas-de-Calais va porter plainte pour destruction d'espèce protégée. Un rapport médico-légal doit être rédigé pour le phoque abattu volontairement, il sera ensuite transmis aux autorités. Le quotidien régional rappelle qu'en janvier dernier, un phoque avait déjà été abattu sur la plage des Salines aux Hemmes d'Oye-Plage à quelques dizaines de kilomètres de là.

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