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Fondation Brigitte Bardot ; Communiqué de presse...

Publié le par Ricard Bruno

Fondation Brigitte Bardot ; Communiqué de presse...
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Brigitte Bardot a eu une statue pour son anniversaire...

Publié le par Ricard Bruno

Une statue située à l’entrée de Saint-Tropez a été offerte à Brigitte Bardot pour ses 83 ans. Il est à noter que cette ancienne actrice avait apporté sa contribution à la renommée mondiale de la station balnéaire jet-set...

Quelques détails sur la statue de Brigitte Bardot

Le directeur de l’office de tourisme de la ville, Claude Maniscalco a fait ressortir que la statue de Brigitte Bardot est « assez imposante ». Celle-ci a une hauteur de 2,5 mètres et un poids de 700 kg. Ce bronze s’inspire d’une aquarelle du maître italien de la bande dessinée Milo Manara.

Le lien entre la star et Saint-Tropez

Grâce à Brigitte Bardot, la station balnéaire est devenue un mythe. Elle s’est installée dans la région en 1958 et réside toujours dans son domaine de La Madrague. Selon Claude Maniscalco, il existe un « lien très fort » entre la star et la commune française. En offrant cette sculpture, c’est un hommage que la ville a voulu lui rendre pour ses 83 ans.

 

Brigitte Bardot a eu une statue pour son anniversaire...
Brigitte Bardot a eu une statue pour son anniversaire...
L’actrice a remercié les Tropéziens pour ce cadeau

Brigitte Bardot a remercié les Tropéziens pour ce geste, et a déclaré qu’elle était honorée de recevoir cette statue. « C’est un grand MERCI, les larmes aux yeux, que je vous adresse à tous », a dit la star de 83 ans dans un petit mot manuscrit.

L’inauguration de la statue

Le bronze est face au musée de la gendarmerie et du cinéma. Le public a eu la possibilité d’assister à l’inauguration grâce à une invitation qu’il fallait télécharger sur le site de la mairie de Saint-Tropez.

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Noël sous le signe des années 60 avec Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Noël sous le signe des années 60 avec Brigitte Bardot...

Merci à Elodie pour cette information...

...

EN IMAGES - Sélection de cadeaux du style de BB.

Avez-vous vu l'Esmeralda de Saint-Tropez? Celle qui dansait le tchatcha en robe rouge et retournait les cœurs comme on retourne des chaussettes. De 1952 à 1973, Brigitte Bardot joua le même rôle, encore et encore. La blonde fragile et prédatrice. Celle qui vous balade en pleine nuit, vous attire dans un atelier, branche la radio et, lorsque vous vous penchez sur elle, détourne le visage: «Je suis trop triste.» «Elle est faite pour perdre les hommes», avertit, par solidarité masculine, une de ses victimes (Et Dieu créa la femme). Mais, au fond, qui l'a écouté? «J'adore me marier», lance joyeusement l'icône.

On la retrouve dans Le Mépris, quelque part entre ciel et béton. Elle bronze sur le toit de la Villa Malaparte. Un livre couvre ses fesses. Son titre? «Frappez sans entrer.» No comment. Brigitte Bardot appartient au soleil et aux bords de mer. Quand on la touche, on se brûle. Est-ce pour se venger d'avoir été quitté que Roger Vadim la fit tourner dans les Alpes en plein hiver (La Bride sur le cou) ?

Pour ses 83 ans, fin septembre, Saint-Tropez a inauguré une sculpture kitschissime: BB anadyomène dans une coquille Saint-Jacques. Nue, évidemment. L'illustre résidente n'est pas allée saluer son double. Dans un Scopitone (Je me donne à qui me plaît), le col et les poignets de son manteau étaient en angora. À La Madrague, désormais, elle occupe son temps sur Twitter à s'indigner contre les chasseurs, les zoos et les cirques. Et regrette, sans doute, le temps du tchatcha.

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Chiens maltraités puis sauvés dans le Rhône : la propriétaire reconnue coupable

Publié le par Ricard Bruno

Chiens maltraités puis sauvés dans le Rhône : la propriétaire reconnue coupable

L’affaire avait choqué et ému les internautes après la diffusion de plusieurs photos de la SPA de Lyon.

En mars dernier, les pompiers et la police avaient découvert 53 chiens dans une maison de Saint-Martin-en-Haut près de Lyon. Ils vivaient dans le noir au milieu des déchets ou dans des cages dans des toilettes. La plupart souffrait de lésions oculaires, de sous-nutrition, d’infections, de tumeurs, d’arthrose ou encore de cécité. Six chiens n’avaient pas survécu à ces conditions de vie indignes.

La propriétaire, qui se faisait passer pour une association qui récupérait les chiens pour les sauver, a été reconnue coupable ce lundi devant le tribunal de grande instance de Lyon.

Ses animaux lui ont officiellement été confisqués. Elle devra également payer plusieurs amendes, notamment à la SPA et à la fondation Brigitte-Bardot dans cette affaire. La quinquagénaire, qui a désormais l’interdiction d’exercer une activité en lien avec les animaux, devra également rembourser les frais de pension de ses chiens auprès de la SPA, soit la somme de 54 000 euros.

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Police : Ils ont tué Tito !

Publié le par Ricard Bruno

Un chien de 11 mois a reçu d'un policier une balle entre les deux yeux. Ça s’est passé dans la cour de l’immeuble où habite son maître. Sans raison apparente.

Ce chien n'a jamais fait de mal ni peur à personne", témoigne un voisin...

Ce chien n'a jamais fait de mal ni peur à personne", témoigne un voisin...

« Ça s’est passé mardi 5 décembre, vers 19h30. »Khedr était chez lui. Un studio en rez-de-chaussée, qui donne sur la cour intérieure du 31 rue Ernest-Renan. Cette cour fermée, toute en longueur, dessert les différents logements situés à cette adresse. Vu qu’un portail sépare cette voie privée de la rue, les enfants de la résidence investissent souvent cet espace pour s’y amuser en toute sécurité. Pour la même raison, Khedr avait l’habitude de laisser son chien Tito s’y dégourdir les pattes.Ce petit corniaud de onze mois, n’avait rien du molosse, « tout le monde l’aimait bien. Les enfants jouaient avec, il était très gentil ». Ce soir-là, son maître l’a entendu aboyer à deux reprises. « Tout de suite après, il y a eu un très grand bruit, je suis vite sorti. » Son chien gît dans une mare de sang, abattu par un policier d’une balle entre les deux yeux.

"Il m'apportait du bonheur"

« Mais pourquoi a-t-il fait ça ? », continue de se demander Kehdr. Ce jeune homme de 25 ans, arrivé d’Égypte en 2009, n’avait déjà pas une vie facile. « Je ne cherche pas les histoires. J’ai beaucoup de problèmes... Je suis malade », explique-t-il en montrant une pyramide de médicaments et sa carte « handicapé ». Pas pour que l’on s’apitoie sur son sort mais simplement pour justifier sa peine. « Il m’apportait du bonheur… » Si lui tente de ravaler son chagrin, dans le quartier les témoignages d’indignation et de colère sont partout.« Ce chien n’a jamais fait de mal ni peur à personne, s’énerve son voisin Bensassi. Pauvre bête… On ne peut même pas lui reprocher d’être sortie dans la rue, c’est le policier qui est rentré chez nous ! »

Le commissariat de Saint-Denis, qui n’a pas souhaité s’exprimer, est revenu vers Khedr pour tenter de justifier cet acte. Les policiers auraient interpellé quelqu’un juste avant. Le policier auteur du coup de feu serait entré pour voir si le gars n’avait rien jeté derrière le portail. Tito serait allé vers lui. Il aurait eu peur. Et a tiré. Des explications qui n’en sont pas pour les habitants qui ont averti la Fondation Brigitte Bardot et comptent déposer plainte. « Il n’avait aucune raison de l’abattre. Il pouvait aussi appeler à l’aide, utiliser sa bombe lacrymo ou même tirer en l’air, renchérit l’un d’entre eux.Tito ne l’a même pas mordu. Sa réaction est totalement incompréhensible. » Une voisine d’ajouter :« On ne peut pas tolérer qu’un policier fasse usage de son arme et tue simplement parce qu’il a peur ! Un policier doit avoir du sang-froid, sinon c’est un danger public. »

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Vaches maltraitées à Saint-Vit : pas d’abattage de masse annoncé, mais une batterie d’examens prévue...

Publié le par Ricard Bruno

Vaches maltraitées à Saint-Vit : pas d’abattage de masse annoncé, mais une batterie d’examens prévue...

Les bovins sains de l’élevage de Saint-Vit dans le Doubs pourront gagner les établissements prévus par la fondation Brigitte Bardot après plusieurs examens, a annoncé la Préfecture ce mercredi 13 décembre, les autres seront abattus.

Ce mercredi 13 décembre, la préfecture du Doubs a rappelé dans un communiqué, le jugement rendu deux jours auparavant par le Tribunal de Grande Instance de Besançon concernant les vaches de Saint-Vit, désormais confiées à la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations du Doubs (DDPP).


Ainsi, les bovins, dont l’état de souffrance psychologique sera manifeste, seront euthanasiés tout comme ceux qui présenteraient un risque d’un point de vue sanitaire. En revanche, les bêtes qui au terme d’une batterie d’examens paraîtront saines seront transportées dans un site choisi pour la DDPP. Là-bas, ils seront surveillés, dépistés et vaccinés.

Un confinement nécessaire

Pour le moment, ce confinement est nécessaire selon les autorités en vigueur, car ces bêtes qui ont "perdu leur qualification sanitaire depuis 2013" constituent un risque.

Au terme de leur isolement, et après qu’elles auront reçu leurs soins, les vaches seront autorisées à : "Gagner les établissements prévus à cet effet par la fondation Brigitte Bardot", explique la préfecture dans son communiqué.

La fondation qui multiplie les appels à la solidarité des agriculteurs pour trouver une ou des pensions provisoires dans le département du Doubs.

Par ailleurs, la préfecture informe que l’abattage de certaines bêtes "sans préjudice des actions pénales engagées à l‘encontre du détenteur des animaux et afin de préserver les droits de la défense" sera autorisé après : "Inspection approfondie."


Vaches maltraitées à Saint-Vit : la fondation Brigitte Bardot lance un appel pour les sauver  :  01 45 05 14 60 

fondation spécialisée dans la protection des animaux lance donc un appel à la "solidarité afin de trouver une ou des pensions provisoires dans le département du Doubs (ou, à défaut dans les départements 39, 01 et 73)". "Les mouvements peuvent intervenir dans la zone de protection liée à la fièvre catarrhale ovine (25, 39, 01, 73, 74), sous réserve de l'état sanitaire des animaux" a conclu la préfecture du Doubs.

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Murray Head ne se résume pas à une chanson...

Publié le par Ricard Bruno

Murray Head : une légende de la chanson samedi soir au Studio de Bretteville-l’Orgueilleuse.

Murray Head : une légende de la chanson samedi soir au Studio de Bretteville-l’Orgueilleuse.

Pour le grand public, Murray Head restera éternellement associé à son mega-tube « Say It Ain’t So, Joe ». C’est un peu réducteur, car le chanteur anglais a composé d’autres très jolies chansons. Faisons mieux connaissance avant son concert de samedi soir à Bretteville-sur-Odon.

Vrai ? Faux ?

« Say It Ain’t So, Joe » est un hommage à son frère

FAUX.  Sorti en 1975, c’est l’un des slows les plus marquants de cette décennie. Ce titre que l’on pourrait traduire par « Dis mois que ce n’est pas vrai, Jo », s’adresse en réalité à Jo Jackson, star américaine du base-ball dans les années 20, compromis dans une affaire de matches truqués. « Say It Ain’t So » est le cri du cœur d’un jeune supporter de l’équipe des White Sox de Chicago, effondré de voir son idole terminer sa carrière dans la honte et la déchéance.

Murray Head parle un français parfait

VRAI.  Né à Londres de parents anglais, Murray Head est un Britannique pur jus. Mais son père (réalisateur) et sa mère (actrice), amoureux de la culture française, l’inscrivent dans un lycée français et passent toutes leurs vacances dans l’Hexagone. Murray Head devient très rapidement bilingue.

Murray Head n’a connu qu’un seul succès

FAUX.  Certes, « Say It Ain’t So, Jo » vient immédiatement à l’esprit lorsqu’on évoque Murray Head. Mais en 1984, il obtient un succès interplanétaire avec « One Night In Banckock », chanson composée par le duo masculin d’Abba : Benny Andersson et Björn Ulvaeus. La chanson se classe dans le haut des charts partout en Europe, mais aussi aux USA, au Canada, en Afrique du Sud, en Australie…

Murray Head est aussi un très bon acteur

VRAI.  Fils de comédienne et de réalisateur, frère d’acteur (dans la série Buffy contre les Vampires, le personnage Rupert Giles n’est autre que son frère cadet, Anthony Stewart Head), Murray Head a toujours entretenu des rapports étroits avec le milieu cinématographique. Ami intime de Patrick Dewaere, il a tourné dans de nombreux films français et côtoyé sur les plateaux de cinéma Brigitte Bardot et Jean Rochefort (À cœur joie, 1967), Annie Girardot et Philippe Noiret (La mandarine, 1972), Fabrice Lucchini et Sandrine Kiberlain (Beaumarchais, l’insolent, 1996), Bernadette Lafont (Les amants du Nil, 2002)… Son nom est également inscrit au générique de nombreuses séries TV.

Murray Head a côtoyé les plus grands musiciens de la planète

VRAI.  Même s’il est resté un peu dans l’ombre des grandes stars du rock anglo-saxon, Murray Head s’est souvent entouré des meilleurs. En 1970, il participe à la comédie musicale « Jesus Christ Superstar » avec Ian Gillian, futur chanteur de Deep Purple. En 1976, il assure la première partie de la tournée d’Elton John, tandis que « Say It Ain’t So Jo » est repris par Roger Daltrey, le chanteur des Who. En 1980, il enregistre un album avec Jeff Beck. En 1993 il cosigne un titre avec Luc Plamandon. « Un Homme, Une Femme », qui cartonne au Canada. Véritable touche-à-tout, Murray Head a également composé de nombreuses musiques de films dont celles de : « Pour 100 briques t’as plus rien » et « A gauche en sortant de l’ascenseur » d‘Édouard Molinaro,

Murray Head en concert au Studio, à Bretteville-l’Orgueilleuse (commune de Thue et Mue), samedi 9 décembre à 20 h 30. Réservations : tél. 06 99 15 75 79 ou lestudio.bretteville@gmail.fr. Facebook : Association Studio culture Bretteville-l’Orgueilleuse.

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Bréhan. Il encourt 8 821 € pour maltraitance sur une renarde

Publié le par Ricard Bruno

 Bréhan, près de Pontivy, une renarde retrouvée amaigrie, stressée, portant des traces de morsures, avec des dents cassées, avait été capturée lors d'une chasse, en mars 2016

Bréhan, près de Pontivy, une renarde retrouvée amaigrie, stressée, portant des traces de morsures, avec des dents cassées, avait été capturée lors d'une chasse, en mars 2016

A Bréhan, près de Pontivy, une renarde retrouvée amaigrie, stressée, portant des traces de morsures, avec des dents cassées, avait été capturée lors d'une chasse, en mars 2016.

« Je sers d'entraînement aux chiens. Venez me tuer pour abréger mes souffrances », indique la lettre anonyme adressée à la Société protectrice des animaux. Courrier qui va permettre de mettre fin aux souffrances d'une renarde, détenue dans un clapier, à Bréhan, près de Pontivy.

L'animal retrouvé amaigri, stressé, portant des traces de morsures, avec des dents cassées, avait été capturé lors d'une chasse, en mars 2016.

Son jeune « propriétaire » de 23 ans décide de la garder « pour exciter » ses neuf chiens de chasse. Les représentants de l'Office national de la chasse vont d'ailleurs retrouver les jacks russels s'acharnant contre les grilles de la porte de l'animal, le jour de leur contrôle, un mois plus tard.

À la barre, accusé de mauvais traitements infligés à un animal, le prévenu soutient « qu'il allait relâcher » la renarde, qu'il nourrissait de croquettes. Elle ne pesait que 3,8 kg (le poids normal varie entre 7 et 14 kg). La présidente s'interroge sur le but d'une telle captivité. Le jeune homme a bien du mal à répondre. « Je ne savais pas que c'était interdit », se justifie-t-il.

Hier, plusieurs fondations de sauvegarde des animaux, dont celle de Brigitte Bardot, ont sollicité 3 821 € de dommages et intérêts. Les efforts entrepris par l'association Volée de piafs contre la maltraitance animale, pour sauver la renarde, ont permis de la rendre à la vie sauvage. Et de réclamer 5 000 € de dommages et intérêts.

 

Le parquet a du mal à croire à l'ignorance du jeune chasseur quant à la législation sur les animaux sauvages. Il requiert deux mois de prison avec sursis, et 250 € d'amende eu égard aux importantes demandes des parties civiles. Le tribunal s'est donné jusqu'au 8 janvier pour rendre sa décision.

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Forêt de Compiègne : une cinquantaine de militants perturbent une chasse à courre

Publié le par Ricard Bruno

Forêt de Compiègne : une cinquantaine de militants perturbent une chasse à courre

DImanche, une chasse à courre menée par l’équipage de la Futaie des Amis a été perturbée par la présence de militants du collectif AVA ("abolissons la vénérie aujourd'hui"). Le résultat d'un affrontement qui monte depuis la mise à mort d'un cerf dans une propriété privée en novembre dernier.

Une cinquantaine de militants du collectif AVA ("abolissons la vénérie aujourd'hui") se sont rendus en forêt de Compiègne dimanche pour assister à une partie de chasse à courre menée par la Futaie des Amis. Une "opération réussie" pour le collectif qui considère avoir permis d'épargner un cerf.

Les militants d'AVA n'ont jamais été aussi nombreux dans une chasse à courre. Et pour cause, ils ont exceptionnellement été rejoint par une dizaine de belges et de britanniques du mouvement "hunt saboteurs".

Alain Drach, maître d'équipage de la Futaie des Amis, a l'intention de déposer plainte auprès de la gendarmerie pour obstruction à un acte de chasse. "Ils n’ont pas le droit d’être là ; ils ne louent pas la forêt. Quand on passe une barrière, on se doute bien qu’on fait quelque chose d’illégal", a-t-il déclaré à nos confrères du Courrier Picard. 

La situation est particulièrement tendue entre les défenseurs des animaux et les chasseurs à courre. Au départ, un incident qui a fait beaucoup de bruit : la mise à mort d'un cerf dans une propriété privé de Lacroix-Saint-Ouen par Alain Drach.

Cerf tué à Lacroix Saint-Ouen : "Je n'ai pas donné mon autorisation", déclare la propriétaire

Cerf tué à Lacroix Saint-Ouen : "Je n'ai pas donné mon autorisation", déclare la propriétaire 
Au terme de cet épisode qui a fait réagir sur les réseaux sociaux, la Société de Vénerie a privé l’équipage de chasse pour une durée d'un mois. Vendredi dernier, plusieurs associations de défense des animaux, dont la Fondation Bardot, L214 ou encore la Fondation 30 Millions d'Amis, ont réclamé l'abolition de la chasse à courre à Nicolas Hulot par le biais d'un courrier. 

"Les voix que nous portons ne peuvent plus être ignorées par nos gouvernants. Aujourd'hui nous ne voulons plus nous taire et nous demandons l'abolition de la chasse à courre !", ont écrit ces associations dans une lettre envoyée au ministre de la Transition écologique et rendue publique par la Fondation Brigitte Bardot.

"De nombreux pays européens (Allemagne, Angleterre, Belgique, Ecosse...) ont déjà banni ce loisir cruel jugeant cette pratique désormais incompatible avec l'évolution de notre société et de nos connaissances vis-à-vis des espèces animales", rappellent les associations.

 

Forêt de Compiègne : une cinquantaine de militants perturbent une chasse à courre

"Qu'attend la France pour rejoindre les pays qui ont eu le courage d'abolir la chasse à courre ?", s'interrogent les signataires. Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot avait indiqué fin novembre souhaiter "conduire bientôt une grande réflexion sur la condition animale avec le ministre de l'Agriculture".

"Certaines pratiques, comme la chasse à courre, prolongent l'agonie et le stress de l'animal. Cela me heurte profondément. Ce n'est pas l'idée que je me fais de la civilisation",
avait-il détaillé dans une interview à l'Obs, estimant que leur activité donne aux chasseurs "plus de devoirs que de droits". 

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