brigitte bardot
Brigitte Bardot : Vente aux enchères demain 22 11 2023 à Nice Une sélection par : Millon - SAS Millon RIVIERA
Tout sur Brigitte Bardot, c'est l'ambition d'une collection unique en son genre par un couple de passionnés : Stephane Steeman et son épouse Régine Verhelst-Steeman. " Cette collection a commencé en 1983. J’étais comédienne au théâtre Royal des Galeries à Bruxelles où chaque année pour les fêtes mon mari Stéphane Steeman « montait » une revue satirique sur l’actualité belge. Il m’a écrit une parodie sur une chanson de BB que je devais donc imiter et j’ai acheté une photo d’elle que j’ai affichée dans ma loge… j’étais déjà une fan inconditionnelle. Pour me faire plaisir Stephane m’a apporté d’autres photos par la suite, puis des disques, des revues etc… et voilà comment un collectionneur vous transmet sa « maladie ». Il était membre de sa Fondation et il l’a voyait à la Madrague où il a pu compléter la collection et faire dédicacer photos, disques et autres livres. Nous avons également fréquenté énormément de salles de vente aux enchères. Je me souviens affectueusement de la vente aux enchères organisée en faveur de sa Fondation pour laquelle elle avait peint les aquarelles que nous avons obtenues. Les heures que nous avons passées sur des sites de vente - surtout en ce qui concerne les disques - sont incalculables. Il y a eu parfois a des batailles mémorables !!! J’aime énormément Brigitte Bardot et suis attachée à chaque objet de cette collection accumulée avec bonheur mais depuis le décès de mon mari trop de souvenirs y sont associés. C'est pour cette raison que je me sépare de tous ces objets en espérant qu’ils fassent le bonheur d’un autre collectionneur. " Régine Steeman
Brigitte Bardot donne son avis sur le conflit israélo-palestinien…
Ce lundi 6 novembre 2023, Brigitte Bardot a donné son avis sur le conflit israelo-palestinien via son compte X…
Depuis l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, Israël a répliqué en s’attaquant notamment à la bande de Gaza pour y retrouver les otages.
Peu de stars se sont exprimées sur le sujet
De nombreuses victimes sont à déplorer dont 37 Français qui se trouvaient à Gaza.
Depuis que la guerre a éclaté, comme le notait Arthur, le silence des stars est assourdissant. Il faut dire que dès que quelqu’un s’exprime sur le conflit, il était renvoyé sur ses plates-bandes…
« Je suis horrifiée par… »
Comme à son habitude, Brigitte Bardot n’a pas mâché ses mots et a donné son avis : « Je suis horrifiée par ce qui arrive au courageux peuple israélien et aux civils palestiniens. C’est un deuil immense et douloureux qui touche la planète », a-t-elle écrit sur X ce lundi 6 novembre 2023.
« Je voulais simplement conclure avec Brigitte Bardot, cela ne prendra que 15 secondes. Parfois, Brigitte Bardot a suscité la polémique à cause de ses interventions. Mais cette fois, elle a choisi ses mots avec justesse. Ce ne sont que deux phrases, et nous n’avions pas encore abordé le conflit israélo-palestinien aujourd’hui. Et elle a publié un tweet », a affirmé Laurent Ruquier dans son émission 20H sur BFMTV.
Et d’ajouter : « Je pense qu’on ne pouvait pas mieux s’exprimer. C’est un résumé terrible, mais idéal, de la situation ».
Brigitte Bardot. Par Douglas Kirkland et Terry O'Neill. Par Douglas Kirkland et Terry O'Neill
Une photographie est un instant de vie capturé pour l'éternité. Elle peut également éclairer sur une époque. Brigitte Bardot émergea à la fin des années 1950, en pleine "Nouvelle Vague" du cinéma français. Durant les vingt années que dura sa carrière cinématographique, elle fût la cible de mouvements opposés. Critiquée ou célébrée, une certitude demeure : BB fît exploser les idéaux de la beauté féminine, jusqu'alors corsetés. La France avait Brigitte Bardot quand l'Amérique avait Marilyn Monroe et toutes deux aidèrent de nombreuses femmes à s'émanciper dans l'énergie et l'effervescence de la pop culture. A travers ce recueil de très belles photographies de Douglas Kirkland et Terry O'Neill, représentant l'actrice joyeuse, triste, belle, forte ou sauvage se dessine en filigrane une histoire passionnante de l'évolution de la femme au sein de notre société, à une époque déterminante qui raisonne encore fortement avec la nôtre.
Entre Loire et Rhône, on l’appelle « la Brigitte Bardot du coin »
«Ma belle Nathalie, j’ai reçu votre livre, j’ai ouvert la première page pour voir un peu ce qui en retournait et j’ai été prise par votre façon d’écrire et j’ai été jusqu’au bout sans m’arrêter. Superbe livre. On plonge dedans et on le dévore. Quelle vie ! Quel courage ! Quelle sagesse ! Bravo, bravo, bravo. »
Peut-être ai-je besoin de donner ce que je n’ai pas reçu moi-même ?
Ces mots, flatteurs, sont ceux de Brigitte Bardot en personne. Quelques jours seulement après avoir reçu la biographie de et écrite par Nathalie Ollivier, l’ancienne actrice, mannequin, danseuse, chanteuse et inlassable militante des droits des animaux s’est fendue d’une lettre de remerciements qui fait la fierté de celle que « BB » appelle "ma “fille” des animaux".
Voilà près de dix ans que les deux femmes, celle de la Madrague à Saint-Tropez et celle du Roannais, désormais établie en région tararienne après avoir travaillé dans les Monts du Lyonnais et les Montagnes du Matin, entretiennent une relation épistolaire suivie. Elles ne se sont jamais rencontrées, mais elles partagent la même passion pour les animaux.
Nathalie Ollivier Refuge Quatt'pattes de Panissières
Au-delà de leur correspondance, Brigitte Bardot envoie régulièrement des photos dédicacées et des colis d’objets à Nathalie Ollivier en incitant cette dernière à tout revendre pour "mettre du beurre dans les épinards", comme lui écrit celle qui a récemment célébré ses 89 ans. "Je n’ai jamais pu me résoudre à vendre ses photos, mais je propose les objets sur les réseaux sociaux, toujours au profit du refuge", précise la quinquagénaire, qui se raconte dans un livre d’un peu plus de 160 pages, disponible dans plusieurs commerces du territoire comme à la librairie Elizéo rue Anna-Bibert et au Zéphir, place Ambroise-Croizat, à Tarare, ou encore à la F nac de Roanne et par la page Facebook® d’une auteure qui a travaillé avec une journaliste, Ségolène Perret, pour la mise en forme.
UNE DOULOUREUSE NAISSANCE
"J’avais commencé à écrire parce que je pensais qu’il fallait que je fasse partager mon expérience et surtout ma résilience, explique Nathalie Ollivier. Je n’ai pas écrit pour me plaindre, mais bien au contraire pour adresser un message d’optimisme" et faire comprendre qu’"il faut toujours y croire, même dans les moments les plus sombres", comme c’est écrit dans le dernier chapitre du livre.
Car la vie de cette Costelloise de naissance, dont toute la famille est originaire de Roanne, n’a pas été une sinécure. Les blessures d’enfance, les ravages de l’alcool au sein de sa propre famille, la première disparition d’un proche dans un accident de voiture jusqu’à la naissance de ses jumeaux en 1992, Clément, décédé in utérus et, Alban, né grand prématuré à seulement 29 semaines, elle plonge le lecteur dans une existence douloureuse et même parfois dramatique. Celle d’une jeune femme qui, après des études au collège de Balbigny et un Brevet de technicienne agricole décroché après trois années au lycée agricole de Saint-Genis-Laval, se faisait une joie de quitter le nid familial, à tout juste 18 ans.
Son récit parle de cette décennie travaillée dans un laboratoire d’analyses médicales de Chazelles-sur-Lyon comme technicienne de 1986 à 1995, de ces trois fois où elle a "cru mourir", foudroyée, percutée par un train et accidentée en voiture, de la naissance de Gatianne, sa fille qui travaille aujourd’hui à Montbrison, mais aussi d’Alban, atteint d’une infirmité moteur cérébrale et opéré à… 17 reprises entre ses 3 et 8 ans.
La disparition d’Alban a rompu l’équilibre. Professionnel et personnel.
Là encore, Nathalie Ollivier ne cherche nullement à faire "pleurer dans les chaumières", ni à apitoyer ses lecteurs mais simplement à témoigner du parcours d’une femme qui a toujours dû se battre pour avoir ce qu’elle souhaitait.
Comme quand elle a acheté cette ferme inhabitée depuis 60 ans à Panissières et qu’elle l’a retapée pendant deux ans avec son mari, avec l’objectif d’y créer une ferme pédagogique d’animaux de petite taille. Son projet est remonté jusqu’au ministère de l’Agriculture, alors dirigé par Hervé Gaymard. "J’ai d’abord effectué un stage de 64 heures au centre de gestion agréé de Feurs, en 2003, afin de pouvoir m’installer en tant que jeune agricultrice, raconte l’auteure. Je faisais figure d’ovni car mon projet était totalement atypique. À Panissières non plus, mon installation n’était pas vue d’un bon œil : j’étais une femme approchant de la quarantaine, je ne venais pas du milieu agricole, mon mari n’était pas agriculteur, j’allais utiliser quatre hectares de terrain pour ne produire ni viande, ni lait… et en plus, j’étais blonde !"
Les 100 premiers étant partis comme des petits pains, Nathalie Ollivier, surnommée « la Brigitte Bardot du coin », a fait retirer plusieurs exemplaires de son ouvrage.
Elle explique pourquoi elle a ensuite dû créer un élevage de chiens (Yorkshires, chihuahuas, King-Charles, pékinois…) pour se mettre en conformité avec l’administration, comment elle est allée jusqu’à Sauvain, dans les Monts du Forez, pour sauver ses premières vaches, jusque dans les Monts du Lyonnais pour éviter l’abattoir à quelque 219 poules, jusqu’en Roumanie pour 30 ânes…. La suite est plus connue car le Refuge Quatt’pattes a longtemps attiré de nombreux visiteurs jusqu’à Panissières et a été médiatisé.
La brutale disparition d’Alban, en 2018, victime d’un arrêt cardiaque, a rompu cet équilibre. Professionnel et personnel. Nathalie Ollivier a fini par se séparer de tous les animaux qui l’entouraient, placés dans des fermes pédagogiques à Paray-le-Monial, en Saône-et-Loire, et Saint-Denis-de-Cabanne, dans le Roannais. Son couple n’a pas résisté non plus.
Depuis bientôt trois ans, elle travaille à l’Entraide tararienne et assure que cela lui fait "un bien fou". Mais voilà qu’au détour d’un voyage en Tunisie, elle s’est lancée dans une nouvelle mission sauvetage auprès des animaux errants…
Brigitte Bardot: «Je suis choquée par la haine dévastatrice contre le loup»
«Une décision meurtrière, indigne»: l'ancienne icône du cinéma a adressé une lettre acérée à Albert Rösti, conseiller fédéral chargé du Département de l’environnement. Elle dénonce un «plan d’abattage massif» contre les loups
Brigitte Bardot a pris la plume. La star française, engagée dans la protection des animaux à travers sa fondation, a écrit à Albert Rösti pour dénoncer une ordonnance de l’Office fédéral de l’environnement. Celle-ci veut strictement limiter le nombre de loups sur le territoire de la Confédération. Les organisations de la nature estiment que près de 70% de la population de loups pourrait ainsi être supprimée. Chaque minute compte pour les associations, puisque le texte devrait entrer en vigueur en décembre. Brigitte Bardot explique au Temps les raisons de sa colère et appelle la Suisse à revenir sur cette décision.