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Brigitte Bardot, la vérité de BB...dimanche 18 octobre...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot, la vérité de BB...dimanche 18 octobre à 22h45 sur France 2

Synopsis

Brigitte Bardot, la vérité de BB Avec ses tenues minimalistes, sa nature insoumise et ses moues boudeuses, Brigitte Bardot, incarnation de la beauté absolue, a radicalement bouleversé l'image de la femme dans les années 1960. Sa retraite artistique anticipée et volontaire, à seulement 38 ans, pour défendre les bébés phoques, a marqué les esprits. Mais aujourd'hui l'icône est controversée, et sa réputation écornée par ses prises de position, qui divisent. Celle qui s'apprête à fêter ses 80 ans et qui a longtemps incarné la liberté vit désormais à l'abri des regards dans sa propriété de La Madrague, à Saint-Tropez, loin du monde des paillettes qu'elle a contribué à créer. Portrait d'une femme qui n'a cessé d'entretenir avec son image un rapport d'amour et de haine.

Publié dans Brigitte Bardot

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Publié le par Ricard Bruno

La décla­ra­tion a fait l'effet d'un raz de marée: en 1973, B.B. annonce qu'elle arrête le cinéma, une déci­sion sur laquelle elle n'est jamais reve­nue.

« Mais qu’est ce que je fous là ? » Dans sa loge, Brigitte Bardot n’y croit plus. Sa copine, feu la réali­sa­trice Nina Compa­neez, avait insisté, lui avait promis : le tour­nage de L’his­toire très bonne et très joyeuse de Coli­not trousse chemise serait court, à l’in­verse de son titre, une semaine tout au plus. Pour­tant, elle s’es­time dépla­cée dans ce conte liber­tin située au XVe siècle, se désin­té­resse complè­te­ment de ce nanar érotico-histo­rique porté par un certain Fran­cis Huster devant lequel elle doit jouer nue.Nue ? Et puis quoi, encore !

Il y a ce miroir, toujours ce maudit miroir, qui ne cesse de lui renvoyer ses trente-neuf ans en pleine figure. Un visage et un corps toujours magni­fiques, ceux d’une Brigitte Bardot qui avait juré ses grands dieux de ne jamais se voir vieillir à l’écran, assé­nant depuis ses débuts qu’elle se reti­re­rait à trente-cinq ans de son plein gré. Elle a menti, elle le sait.

Nous sommes au prin­temps 1973, les ques­tions se bous­culent. Qu’a-t-elle fait de ces quatre dernières années ? Moultes fêtes gran­dioses large­ment arro­sées partout autour du monde, certes. Du cinéma, bien sûr. Quelques bides tel Don Juan 73, où elle a retrouvé Roger Vadim. Des petits succès aussi, mais rien de bien marquant. Sa seule présence n’est plus syno­nyme d’en­trées. Le Mépris et Godard sont bien loin. Elle a enre­gis­tré quelques chan­sons aussi, des rengaines pas terribles aux paroles à la graisse d’oie. Rien à voir avec la jolie LaMadrague et le déjà culte Bonnie and Clyde que lui ont trous­sés Jean-Max Rivière et Serge Gains­bourg. Tandis que les tech­ni­ciens l’at­tendent sur le plateau, Brigitte Bardot, face à la glace, se trouve inutile, quasi­ment bonne pour la casse. « Mai 68 était passé par là, analyse le patron de TV5 Monde Yves Bigot, auteur du récent Brigitte Bardot, la femme la plus belle et la plus scan­da­leuse au monde (éditions Points). Bardot avait trans­formé son époque, elle avait déclen­ché à sa manière la révo­lu­tion des mœurs en l’in­car­nant. Mais, pour la première fois de son exis­tence, ce qu’elle avait engen­dré lui échap­pait complè­te­ment. » Pour la géné­ra­tion de 68, B.B. n’est en effet plus qu’un aimable souve­nir. Coquin et émou­vant, certes, mais balayé par d’autres icônes en couleurs et ciné­ma­scope venues d’outre-Atlan­tique : Faye Duna­way et Jane Fonda, par exemple, guer­rières en cuis­sardes alliant sex-appeal impa­rable, grâce intem­po­relle et combats poli­tiques d’avant-garde.

Dans son dégui­se­ment moyen­âgeux de paco­tille porté pour le film de Compa­neez tourné au fin fond du Péri­gord, Brigitte se sent alors comme une relique de l’An­cien Régime : autant Jeanne d’Arc que Marie-Antoi­nette, rési­gnée à être sacri­fiée par une foule à la fois ingrate et dési­reuse de faire le plus rapi­de­ment possible du passé table rase. Elle ne s’ima­gine plus en Marianne dépoi­traillé, ce symbole à la fois de pouvoir, de liberté et d’au­to­rité, auquel elle a prêté ses traits, cette statue répu­bli­caine prenant la pous­sière dans toutes les mairies de France.

Bardot sait qu’elle ne peut blâmer personne, sinon elle-même. Quelques années aupa­ra­vant, elle a dit non aux premiers rôles de Barba­rella et de L’af­faire Thomas Crown, refusé de figu­rer au casting du James Bond Au service secret de sa Majesté. Elle a préféré le cinéma franco-français à cet Holly­wood qui ne la fasci­nait pas une seconde. Elle vomit l’Amé­rique, elle abhorre son mode de vie, son obses­sion mala­dive pour le fric et pour le busi­ness. « Son rejet des USA date des années cinquante, précise Yves Bigot. Elle faisait alors partie, aux côtés de Montand, Signo­ret ou encore d’Ara­gon, d’un comité de défense des époux Julius et Ethel Rosen­berg, accu­sés d’es­pion­nage pour l’URSS par le gouver­ne­ment améri­cain. Lorsqu’Ei­sen­ho­wer a refusé de les gracier et qu’ils furent exécu­tés, elle a déchiré en repré­sailles le contrat holly­woo­dien de sept ans que lui offrait le studio Warner. » Quand elle apprit en sus que le tout-puis­sant patron du FBI J. Edgar Hoover avait ouvert un dossier à son nom suite au succès inter­na­tio­nal du « trop amoral » Et Dieu… créa la femme, la coupe fut pleine. L’Amé­rique, ce pays qui tue des inno­cents, qui surveille les mœurs des étran­gers et de ses propres citoyens, très peu pour elle. Bardot n’y travaillera jamais, se privant ainsi d’une véri­table carrière inter­na­tio­nale.

Reste les amours. Le bilan n’est pas terrible non plus. Depuis qu’elle a décidé, en janvier 1968, de quit­ter préci­pi­tam­ment son amant Serge Gains­bourg pour rejoindre son mari du moment, le milliar­daire alle­mand Gunter Sachs, deman­dant même au premier de ne pas sortir le single Je t’ai­me… moi non plus, histoire de sauver son mariage, B.B. a le cœur brisé. « Pour la première fois de sa vie, elle s’est soumise à la volonté d’un homme, alors que jusque-là elle avait toujours tout trans­gressé, remarque Yves Bigot. A partir de cet épisode, elle a perdu sa dyna­mique, son désir, sa joie. Elle s’est lais­sée aller, à l’image d’une auto­mo­bile qui avance sans carbu­rant, juste sur son élan. »

Après son divorce avec Gunter Sachs, Bardot multi­plie les amants de passage, les rencontres fugaces. Avec non pas des gars de la trempe de Sami Frey, Roger Vadim, Jacques Char­rier ou Serge Gains­bourg, mais plutôt des demi-sels, des seconds couteaux, des gigo­los, des pique-assiet­tes… Pas très satis­fai­sant, tout ça.

Le cinéma et la noto­riété, elle s’en moque complè­te­ment, dans le fond. Enchaî­ner ces dernières années, des films sans cohé­rence ni plan de carrière lui a tout au plus permis de gagner très bien sa vie. Gamine, elle se rêvait plutôt danseuse. Sa mère l’obli­geait, pour forger sa silhouette, à marcher droit avec une cruche sur la tête dans leur grand appar­te­ment bour­geois de l’ave­nue de la Bour­don­nais à Paris. Une ambi­tion contra­riée. Bardot sait, en outre, qu’elle n’est pas Cathe­rine Deneuve, qui lui a souf­flé le rôle de La sirène du Missis­sipi de Truf­faut, ni Jeanne Moreau qu’elle a croisé en 1965 dans le char­mant Viva Maria !Pour ces deux actrices, la comé­die n’est pas seule­ment un jeu, mais une raison de vivre.

Brigitte, elle, ne s’amuse plus. Malgré tout, il lui faut tour­ner ce Coli­not trousse-chemise, son quarante-septième film. Bardot le fait sans forcer son talent, récite nue ses répliques face à Fran­cis Huster, sourit à tout le monde et s’en va, enfin seule. Pas tout a fait. Par hasard, comme elle le raconte dans son livre Initiales B.B. en 1996, elle croise le soir même Nicole Joli­vet, une connais­sance qui offi­cie pour le quoti­dien France-Soir. La conver­sa­tion s’ins­taure en présence de son impré­sa­rio Olga Hors­tig-Primuz, sa femme de confiance qu’elle surnomme depuis ses débuts « Mama Olga ». Devant cette dernière, éber­luée, Brigitte crache spon­ta­né­ment sa Valda face à la jour­na­liste : « J’ar­rête le cinéma, ce film est le dernier, j’en ai marre ! »

Un fois publique, la nouvelle a l’ef­fet d’un raz-de-marée, et Bardot avouera un peu plus tard : « Je me sentis allé­gée d’un poids terri­ble… » Soit le poids d’une vie de bête traquée, traî­née sur des tour­nages où elle a l’im­pres­sion de passer plus de temps à patien­ter dans sa loge, quand elle ne fait pas poireau­ter une équipe avant de daigner se montrer.

Tout ça, c’est fini. Pour faire place à quoi ? Enfant, Bardot racon­tait déjà qu’elle rêvait de possé­der « une ferme où l’on ne tue pas les animaux ». Au final, ce n’était pas un délire de petite fille trop gâtée ni un caprice de star désœu­vrée. Dès le mois de novembre 1973, elle fait publique­ment le serment de mettre sa fortune et sa noto­riété au service de la cause animale. Elle devient porte-parole de la SPA, vole au secours des bébés phoques sur la banquise, créé sa propre fonda­tion, sensi­bi­lise le grand public aux des méthodes d’abat­tage des animaux. Bardot s’éga­rera aussi, de condam­na­tions à la haine raciale en fréquen­ta­tions contro­ver­sées. Mais elle a tenu sa parole : elle n’est plus jamais réap­pa­rue sur le grand écran. Aujourd’­hui, ce n’est plus que dans son miroir, chez elle entou­rée de ses chiens et de ses amis, qu’elle se voit vieillir.

Source : Cliquez ICI : http://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/brigitte_bardot_l_indomptee_351372

Publié dans Brigitte Bardot

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Brigitte Bardot....le 28 septembre c'est son anniversaire !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot....le 28 septembre c'est son anniversaire !

~Mes amis Bonjour

Le 28 septembre prochain Brigitte Bardot fêtera son anniversaire, elle a commencé depuis plusieurs jours à recevoir énormément de marque de sympathie, de très nombreux courriers, beaucoup de fleurs etc.

Vous écrivez à Brigitte Bardot joignez à votre envoie un don pour sa fondation, cette fondation est l’œuvre de sa vie…

Mille mercis

Bruno Ricard

Brigitte Bardot

"Résidence la Madrague"

83990 Saint-Tropez

Merci à Bernard d'Ormale pour ces visuels qu'ils m'a envoyé...(2014)
Merci à Bernard d'Ormale pour ces visuels qu'ils m'a envoyé...(2014)
Merci à Bernard d'Ormale pour ces visuels qu'ils m'a envoyé...(2014)
Merci à Bernard d'Ormale pour ces visuels qu'ils m'a envoyé...(2014)

Merci à Bernard d'Ormale pour ces visuels qu'ils m'a envoyé...(2014)

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La vérité sur Pink Floyd et Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot, ici photographiée en 1970. C'est peu de temps auparavant que l'actrice française aurait croisé la route du groupe Pink Floyd et de son guitariste, David Gilmour. Brigitte Bardot, ici photographiée en 1970. C'est peu de temps auparavant que l'actrice française aurait croisé la route du groupe Pink Floyd et de son guitariste, David Gilmour.

David Gilmour, le leadeur du mythique Pink Floyd, sort ce vendredi son quatrième album solo, très inspiré. Il nous a reçu cet été, sur son bateau-studio, près de Londres. L'occasion d'évoquer...

Source : Le Parisien du 18 09 2015

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Brigitte Bardot évoqué dans "Carré VIP - Et Saint-Tropez créa la Ponche"...

Publié le par Ricard Bruno

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Comment Wendy Bouchard est devenue l'amie intime de Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Wendy Bouchard Bardot

Wendy Bouchard et Brigitte Bardot à La Garrigue en 2014Paris Match

25 ans, Wendy Bouchard profite de son stage à Var-matin pour tenter d'approcher une femme qu'elle admire: Brigitte Bardot. Aujourd'hui présentatrice de "Zone interdite" sur M6, elle revient sur l'incroyable amitié tissée avec BB dans les colonnes de Paris Match. Tout commence à la rédaction de Var-matin, en juillet 2005. Wendy Bouchard fait son premier stage à l'agence de Saint-Tropez. L'apprentie journaliste sait qu'à quelques pas de là, à La Madrague, vit la légendaire BB. Elle décide de tout mettre en oeuvre pour la contacter. "En fouillant dans les archives du journal, je trouve un numéro de fax avec la mention "Brigitte Bardot". Je le recopie et je réfléchis toute la nuit à la tournure de ma lettre. Je lui fais part de mon admiration et lui demande d'avoir confiance en ma sincérité de jeune journaliste", raconte l'actuelle présentatrice de "Zone Interdite". Surprise, Wendy Bouchard reçoit un appel en masqué de BB le lendemain. Elle improvise une interview en vitesse, répond aux questions sur son métier et sa vie personnelle avec entrain. Mais elle se heurte au refus de ses supérieurs lorsqu'elle leur offre le "scoop" sur un plateau. Les autres journaux n'en veulent pas non plus. Deux mois plus tard, l'apprentie journaliste est invitée à l'anniversaire de Brigitte à l'improviste. Elle se retrouve alors en quasi- tête-à-tête avec l'actrice. C'est le début d'une "relation unique", une amitié intime qui liera les deux femmes jusqu'à aujourd'hui. "En septembre dernier, je suis retournée chez elle pour fêter ses 80 ans. Dix ans après notre rencontre, je reste surprise par sa fraîcheur."

Source : Nice matin

 

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Brigitte Bardot dans la revue "Nous deux" d'août 2015

Publié le par Ricard Bruno

Nous deux n°3555 du 16 au 24 08 2015

Nous deux n°3555 du 16 au 24 08 2015

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Brigitte Bardot dans le Parisien de ce jour...Un film, une plage

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot dans le Parisien de ce jour...Un film, une plage

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«Et Dieu créa la femme» : « Sur le tournage, Brigitte provoquait des attroupements »

Publié le par Ricard Bruno

Christian Marquand et Brigitte Bardot sur la plage de Pampelonne à Ramatuelle dans une scène du film de Roger Vadim.

Christian Marquand et Brigitte Bardot sur la plage de Pampelonne à Ramatuelle dans une scène du film de Roger Vadim.
 

Quand Brigitte Bardot attaque le tournage d'« Et Dieu créa la femme » de son mari Roger Vadim, Saint-Tropez n'a déjà plus de secrets pour elle. Elle y venait adolescente, en vacances l'été avec...

Source le Parisien du 17 08 2015

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