Harcourt Chanson française Coffret....Brigitte Bardot en chanson....
Ed Harcourt (Interprète) (Vinyle album). 3 volumes Paru le 8 octobre 2021
Prix : 29,99 euros
Brigitte Bardot, tout ou presque sur celle que Dieu créa, photographie, cinéma, fondation, action de protection animale, exposition, combat, etc.
Ed Harcourt (Interprète) (Vinyle album). 3 volumes Paru le 8 octobre 2021
Prix : 29,99 euros
Brigitte Bardot, défenseure des animaux, a publié un communiqué sur Twitter après la mort d'une ourse tuée par un chasseur en Ariège le 20 novembre.
Le parquet de Foix annonçait aujourd'hui l'ouverture d'une information judiciaire contre X pour "destruction d'une espèce protégée". L'information judiciaire est aussi ouverte pour "chasse illégale dans une réserve". Le chasseur n'aurait pas dû se trouver à cet endroit. Une pétition pour interdire les battues dans les zones à ours, lancée la plateforme Mesopinions.com a recueilli près de 50 000 signatures.
Source de l'article : Cliquez ICI
Il sera interdit de présenter des animaux sauvages au public d’ici à deux ans prévoit la proposition de loi contre la maltraitance animale qui a été adoptée jeudi 18 novembre par le Sénat. Commentant ce vote, la majorité LREM-Agir vante une nouvelle « étape historique du combat pour la cause animale », à l’unisson des associations de protection. Et vous ?
La majorité en avait fait un cheval de bataille, au diapason des préoccupations de la société : le Parlement a adopté définitivement jeudi 18 novembre, via un ultime vote du Sénat quasi unanime, une proposition de loi contre la maltraitance animale.
Ce dernier vote a été acquis par 332 voix pour, une contre (celle de Nathalie Goulet, Union centriste) et dix abstentions.
Au menu figurent l’interdiction progressive des animaux sauvages dans les cirques et delphinariums, la fin de la vente de chiots et chatons en animalerie, et des peines durcies pour sévices ou abandon.
Il s’agit de conforter le lien entre les animaux et les hommes
, dans la lignée des législations sur les animaux depuis 1850.
La majorité LREM-Agir vante une nouvelle étape historique du combat pour la cause animale
, à l’unisson des associations de protection.
La SPA a salué une avancée majeure
avec de nouvelles mesures pour mettre fin à l’instrumentalisation de l’animal en tant qu’objet
. La France n’est plus le cancre de la protection animale en Europe
, s’est félicitée la Fondation Brigitte Bardot.
Le Parti animaliste applaudit aussi, espérant que la loi ne soit que le début de mesures visant à une véritable prise en considération des intérêts de tous les animaux
.
La condition animale n’est ni une lubie d’urbains en mal de nature ni une mode passagère mais un sujet auquel un nombre croissant de Français sont sensibles
et » irréversiblement politique », avait encore clamé mardi le co-auteur de la proposition de loi Loïc Dombreval (LREM), vétérinaire de profession, lors de sa dernière adoption à l’Assemblée.
Ce très large consensus dans les deux chambres a été obtenu moyennant la mise à l’écart de plusieurs sujets de fâcherie.
La proposition de loi ne s’attaque pas à la maltraitance animale dans son ensemble
, fustigent les députés Olivier Falorni (Libertés et territoires) et Bastien Lachaud (LFI), selon qui la chasse en particulier aura été particulièrement cajolée
pendant ce quinquennat.
Beaucoup reste à faire
, notamment contre l’élevage industriel, ce qui nécessite un changement de modèle agricole
, a plaidé le sénateur écolo Daniel Salmon.
Viendra inéluctablement le jour où nous saurons débattre de questions délicates, comme certaines pratiques de chasse, comme la corrida, comme certaines pratiques d’élevage
, veut croire M. Dombreval.
Principale pomme de discorde initiale, le devenir du millier d’animaux sauvages dans les 120 cirques itinérants actuels a fait l’objet d’un compromis. Il sera interdit de les présenter au public d’ici à deux ans, et de les détenir d’ici à sept ans.
Comment on va faire pour nourrir nos animaux pendant sept ans et en même temps engager une reconversion, c’est impossible
, rétorque William Kerwich, président du syndicat des capacitaires des animaux de cirque et de spectacle.
Il s’agit d’une loi arbitraire car il n’y a pas de maltraitance animale dans nos cirques
, affirme-t-il, en promettant une mobilisation
de la profession lundi.
La détention de cétacés dans les delphinariums – 21 dauphins et 4 orques en France – sera quant à elle exclue dans un délai de cinq ans.
Le gouvernement sera au rendez-vous afin d’aider cette transition
, en vue de la reconversion des personnels et pour des solutions d’accueil pour les animaux, a promis la secrétaire d’État à la Biodiversité Bérangère Abba.
La présidente de la commission des Affaires économiques au Sénat, Sophie Primas, s’est fait l’écho de la colère des professionnels envers un texte élaboré sans et parfois contre
eux. Un texte parfois dogmatique pour être médiatique
, a-t-elle taclé.
L'éleveur Patrick Dufour, près de Dieppe (Seine-Maritime), a décidé de transformer son exploitation en pension pour bovins maltraités ou en fin de vie. LP/ Frédéric Durand
En août, deux faits divers ont défrayé la chronique animalière. Dans la Loire, Étienne un taurillon s’est échappé d’un abattoir avant d’être anesthésié par les sapeurs-pompiers, ce qui a rendu sa viande inconsommable pendant trois semaines. Une mobilisation populaire, menée par l’élue stéphanoise Véronique Falzone, a alors permis de le sauver. Racheté pour 1000 euros grâce à une cagnotte participative, le jeune bovin a été rapidement transporté dans la « pension » de Patrick Dufour, près de Dieppe, en Seine-Maritime.
Quelques semaines plus tard, Sahara, un petit veau, était trouvé errant à la frontière Suisse. Il avait réussi son évasion d’un abattoir clandestin. Là encore, la petite femelle a rejoint, après un biberonnage, Étienne en Normandie. Les deux bêtes occupent aujourd’hui le même enclos en toute sécurité et à l’abri de toute agression. Ces sauvetages, les deux bovins les doivent à la Fondation Brigitte Bardot et aux pensions fondées en 2009 pour sauver des animaux maltraités afin qu’ils vivent jusqu’au bout, tranquillement.
B+B=BB, Béate et Benoît s'amusent à mettre en scène les années Bardot. Un piano, un saxo, une guitare, un ukulélé et quelques coquillages et crustacés. Cécile Beaudoux et Tristan Garnier, en duo de choc amoureux et drôle, vous invitent avec délectation à revisiter le mythe BB.
Rdv au 12 rue de l'Echiquier, 75010 Paris le dimanche 21 novembre et Lundi 22 novembre 2021 à
Brigitte Bardot ressemble plus à la cigale qu’à la fourmi dans les fables de Jean de la Fontaine. Lorsque la star a souhaité créer sa fondation, elle n’avait plus aucune économie. “J’ai commencé très modestement en 1986 à ‘La Madrague’, avec un avocat tropézien et une amie”, s’est-elle souvenue lors d’une interview avec la journaliste Caroline Pigozzi de Paris Match sur laquelle la reporter est revenue dans son livre intitulé Pourquoi eux : ils ont fait notre époque, à paraître aux éditions Plon, le 18 novembre prochain.
Pour obtenir le statut de fondation, Brigitte Bardot devait payer 3 millions de francs. “Or, j’étais incapable de réunir une telle somme, avait confié la mère de Nicolas-Jacques Charrier, peu attachée à l’argent, ayant dilapidé la majorité de mes gains de star, je n’avais plus aucun revenu.” L’ex-actrice, qui aurait pu interpréter une James Bond girl, s’est alors démenée pour récolter des sous : “Je me suis installée pendant deux mois sur le marché de Saint-Tropez pour vendre mes souvenirs, des bracelets, des colliers, rapportés du Brésil, du Mexique, des photos que je dédicaçais, mes jupons, mes chapeaux…” Brigitte Bardot s’est aussi séparée d’objets de grande valeur, “dans la foulée, j’ai mis aux enchères à Paris, tout ce que je possédais de valeur : les bijoux précieux que m’avait offerts mon mari Gunther Sachs, ma robe de mariage avec Vadim, de l’argenterie, des meubles et même ma guitare”.
C’est lors de cette vente que celle qui a été condamnée pour injures raciales a prononcé cette phrase : “J’ai donné ma jeunesse et ma beauté aux hommes, maintenant je donne ma sagesse et mon expérience aux animaux.” La Fondation Brigitte Bardot a ainsi pu voir le jour. Une fondation à laquelle la star internationale a tout cédé de sa maison de campagne de Bazoches, en passant par La Madrague dont elle n’a gardé que l’usufruit, ou encore les droits d’auteur de ses livres.