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Brigitte Bardot : “Je ne suis pas prête à mourir !"

Publié le par Ricard Bruno

Alors que Brigitte Bardot soufflera ses 86 bougies en septembre et que ses jours sont comptés, elle a déjà tout prévu pour son enterrement…

Serait-ce la période terriblement anxiogène que nous traversons depuis quelques mois qui donne à Brigitte Bardot des idées noires ? Il est vrai que l'effrayante pandémie qui s'est abattue sur le monde a des conséquences redoutables sur nos vies. Mais les deux mois de confinement ont été aussi, pour beaucoup, l'occasion de faire le point, de réfléchir au sens à donner à son existence…

Pour l'icône des années 1960, plus que jamais consciente de la fragilité des êtres et des choses, ce bilan a pris une tournure pour le moins tragique car, désormais, c'est à sa mort qu'elle se prépare ! C'est en effet avec des mots d'une puissance inouïe que BB a raconté, lors d'une longue interview accordée à Point de Vue, de quelle manière elle envisageait son passage dans l'au-delà. En guise de dernière demeure, elle se contentera d'une tombe modeste, loin des caveaux grandiloquents où reposent souvent les personnalités et les grands de ce monde. Celle qui, après avoir fait ses adieux au cinéma, a donné toute son énergie à la défense des animaux ne veut pas être portée au pinacle avec des statues à son effigie et encore moins un « mausolée à la Elvis  », qui renverraient à son statut d'actrice mythique. « Enterrer, ce n'est pas embétonner, s'emporte-t-elle.

Les mots ont un sens… Je souhaite un retour à la terre, à l'essentiel. Il n'y a rien de plus beau. » Pour cette tombe qu'elle veut épurée et sans fioritures, elle a déjà donné ses instructions. Et l'entreprise de pompes funèbres qui va s'atteler à la tâche devra les respecter à la lettre. Pour retrouver tout là-haut ces compagnons à quatre pattes qui l'ont rendue si heureuse, elle souhaite reposer en paix de la plus simple des manières, tout comme eux, réclamant sur sa pierre tombale une épitaphe des plus sommaires : « Mon nom, ma date de naissance, ma date de mort. Une petite croix en bois. Rien d'autre. Comme je l'ai fait pour mes chiens, mes chats, mes chevaux, mes moutons, que je rejoindrai. » L'ex-baronne Sachs von Opel – titre porté pendant ses trois ans de mariage avec Gunter Sachs – n'a jamais eu peur de choquer. Mais de là à envisager aussi froidement, depuis la Madrague, alors que les cigales chantent, son trépas avec autant de lucidité, voilà qui glace le sang !

Brigitte la frondeuse ose tout simplement briser, avec ce franc-parler qu'on lui connaît, le plus tenace de tous les tabous : la mort… À la fin des années 1950, la jeune actrice à la sensualité renversante, passée de la dure école de la danse classique au statut de sex-symbol, découvre les affres de la célébrité. Ses rôles jugés provocants choquent. Les femmes l'insultent dans la rue, les hommes la harcèlent… Elle doit très vite trouver un refuge pour se protéger. Ce sera une maison de pêcheur, les pieds dans la Méditerranée, dans un petit village varois qui fera bientôt parler de lui : Saint-Tropez ! La Madrague, son sanctuaire, elle ne l'a jamais quitté. « À partir de 1956, en un film (Et Dieu… créa la femme, de Roger Vadim), je suis devenue la fille la plus photographiée au monde. J'aimais cela au début, cela m'amusait, mais je ne me rendais pas bien compte de ce qu'il se passait. Et peu à peu, je ne me suis plus du tout sentie en sécurité face aux hommes. J'étais scrutée pour tout, poursuivie pour rien… »

Aujourd'hui, ce « tourbillon insensé » lui semble loin. À l'abri derrière les murs de son antre, elle mène à la Madrague une vie paisible en compagnie de ses chiens et de ses chats. Un petit paradis où elle souhaite être ensevelie, dans un coin tranquille du jardin luxuriant qui entoure la propriété. « J'aime le lieu de mon repos éternel, je l'ai choisi avec conscience, écrivait-elle déjà, il y a près de trois ans, dans son livre Larmes de combat (éd. Plon). Les formalités ont été effectuées, un endroit précis a été accepté par les autorités. » La star aurait pu choisir d'être inhumée dans le caveau familial du cimetière marin de Saint-Tropez, mais elle ne souhaite pas que la foule des badauds en fasse un lieu de visite, avec toutes les nuisances que cela pourrait entraîner… « Je préfère reposer là que dans le cimetière de Saint-Tropez, où une foule de connards risquerait d'abîmer la tombe de mes parents et de mes grands-parents, confiait-elle au Monde il n'y a pas si longtemps. Je veux qu'on leur foute la paix ! »

Néanmoins, bien consciente que ses admirateurs et admiratrices souhaiteront se recueillir sur sa tombe, elle a pensé à tout. Pour cela, ses fans devront s'acquitter d'un droit d'entrée pour visiter la Madrague qui deviendra, après sa disparition, un musée géré par sa fondation en faveur des animaux ! Alors, face à ces dernières volontés rédigées en plein cœur de l'été, on est tout de même en droit de s'inquiéter… Brigitte souffrirait-elle en secret d'un mal qui ne lui laisserait que peu de temps à vivre ? Pas du tout !

Fort heureusement, notre BB nationale se porte comme un charme. Mais à son âge, alors que ses jours sont désormais comptés, elle n'a eu d'autre choix que de tout prévoir pour son enterrement… Et c'est simplement l'urgence du temps qui passe qui lui a fait prendre ses dispositions, elle qui soufflera ses 86 bougies le 28 septembre prochain. « Je vous rassure, je ne suis pas prête à mourir », conclut-elle avec un large sourire. Nous voilà soulagés, très chère Brigitte !

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De Paris à Saint-Tropez, Brigitte Bardot photographiée chez elle

Publié le par Ricard Bruno

De Paris à Saint-Tropez, Brigitte Bardot photographiée chez elle
« Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés... » fredonnait Brigitte Bardot dans sa chanson La Madrague. Si elle s'est rarement laissée photographier dans cette villa mythique de Saint-Tropez – souvent assiégée par les paparazzis, Brigitte Bardot a plusieurs fois dévoilé l'appartement parisien qu'elle partageait avec le réalisateur Roger Vadim.
L'appartement de Brigitte Bardot à Paris.Brigitte Bardot en train de danser dans son appartement parisien, 1954.

L'appartement de Brigitte Bardot à Paris.Brigitte Bardot en train de danser dans son appartement parisien, 1954.

Brigitte Bardot et Roger Vadim chez eux à Paris, 1952.

Brigitte Bardot et Roger Vadim chez eux à Paris, 1952.

Brigitte Bardot pose dans son appartement parisien, 1952.

Brigitte Bardot pose dans son appartement parisien, 1952.

Brigitte Bardot,18 ans, dans la chambre de l'appartement qu'elle partage alors avec Roger Vadim.

Brigitte Bardot,18 ans, dans la chambre de l'appartement qu'elle partage alors avec Roger Vadim.

Brigitte Bardot et le scupteur Miroslav Brozek assis sur le ponton de La Madrague à Saint-Tropez.

Brigitte Bardot et le scupteur Miroslav Brozek assis sur le ponton de La Madrague à Saint-Tropez.

Brigitte Bardot amarre son bateau devant sa propriété de La Madrague, à Saint Tropez.

Brigitte Bardot amarre son bateau devant sa propriété de La Madrague, à Saint Tropez.

À Paris, Brigitte Bardot prend la pose dans le salon de son appartement, 1962.

À Paris, Brigitte Bardot prend la pose dans le salon de son appartement, 1962.

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AOÛT “Le Mépris” de Godard : histoire d'un tournage cauchemardesque

Publié le par Ricard Bruno

 

Après François Truffaut, Claude Chabrol et Jacques Demy, c’est au tour de l’enfant terrible de la Nouvelle Vague Jean-Luc Godard de faire son entrée sur Netflix. Quatre de ses plus grands films seront disponibles sur la plateforme de streaming à partir du 1er septembre prochain – dont “Le Mépris” (1963) un drame sentimental avec Brigitte Bardot et Michel Piccoli. Retour sur le tournage tourmenté du film culte.

Michel Piccoli et Brigitte Bardot, "Le Mépris" (1963) de Jean-Luc Godard

Michel Piccoli et Brigitte Bardot, "Le Mépris" (1963) de Jean-Luc Godard

Après avoir connu le succès avec À bout de souffle (1960) ou encore Une femme est une femme (1961), le pionnier de la Nouvelle Vague Jean-Luc Godard souhaite réaliser son rêve de “grand film hollywoodien”. Adapté du roman éponyme d’Alberto Moravia, Le Mépris (1963) se tournera finalement dans les studios romains de la Cinecittà. Pour ce récit d’un film qui se fait et d’un couple qui se défait, Jean-Luc Godard fait appel à Michel Piccoli – qui montre tout son génie dans le rôle d’un scénariste en crise obligé de travailler sur un film pour recouvrir ses dettes – et Brigitte Bardot dans le rôle d’une épouse qui s’éloigne irrémédiablement. 

 

La rencontre entre l'icône populaire Brigitte Bardot et le cinéaste Jean-Luc Godard annonce le chef-d’œuvre à venir. Dès les premiers jours de tournage, le film prend une tournure spéciale. Les paparazzi italiens – c'est d'ailleurs au film La Dolce Vita (1960) de Federico Fellini, tourné au même endroit quelques années plus tôt, que l'on doit cette expression – se ruent sur le plateau, grimpent sur les murs ou les balcons qui entourent la Cinecittà pour voler quelques instantanés de Brigitte Bardot, femme la plus photographiée de l’époque. Lorsque l’équipe du film se déplace sur l’île de Capri, au large de Naples, pour une semaine de tournage dans la superbe villa Malaparte, les journalistes suivent le mouvement et se cachent dans les falaises qui bordent ce cadre unique et presque irréel – où seront tournées les images les plus cultes du film. 

 

Jean-Luc Godard, qui n’a jamais caché son admiration pour les stars de renommée mondiale (il tournera plus tard avec Alain Delon, Mick Jagger ou encore Johnny Halliday) entretient une relation cordiale avec Brigitte Bardot. Bien qu’il la trouve physiquement peu attirante, il voit en elle une bonne actrice dont il admire le côté amateur. Lors d’une célèbre interview télévisée, le réalisateur explique que les deux seuls problèmes qu’il ait eu avec Brigitte Bardot sont sa jupe, qu’il jugeait trop courte et son imposante coiffure que le réalisateur réussi à raccourcir avec un tour de passe-passe original : “je lui ai proposé qu’à chaque mètre que j’arriverai à traverser en marchant sur les mains, elle retire un centimètre de sa coiffure”.

Jean-Luc Godard, Michel Piccoli et Brigitte Bardot sur le tournage du film "Le Mépris" (1963) © Jean-Louis Swiners

Jean-Luc Godard, Michel Piccoli et Brigitte Bardot sur le tournage du film "Le Mépris" (1963) © Jean-Louis Swiners

Le cinéaste présente une première version au directeur de la Mostra de Venise, qui accepte Le Mépris en compétition. Mais l’argument ne convainc pas les producteurs, qui refusent de sortir le film. Ils jugent que Brigitte Bardot n’est pas assez mise en valeur, alors même que son cachet représente près de la moitié du budget de production. Raoul Coutard, directeur de la photographie raconte : “Ça a été un drame parce que Jean-Luc a été obligé de retourner un certain nombre de plans pour que les américains finissent de payer le dernier versement. On avait envoyé le film à Sam Levine [le producteur] et ensuite il a dit : non, non, ça ne va pas, je veux voir les fesses de Bardot !” 

 

Jean-Luc Godard répond par la provocation et envoie un montage complètement hasardeux à ses producteurs – qu’il surnomme “Mussolini Ponti” et “King Kong Levine”. Ces derniers envoient alors un représentant à Paris, giflé en pleine rue par le réalisateur. Après un procès et de nombreuses complications, le cinéaste se résout à tourner trois scènes supplémentaires, dont une seule apparaîtra au montage. 

 

Tu les trouves jolies mes fesses [...] et mes seins, tu les aimes ? Brigitte Bardot nue sur un lit détaillant son corps à Michel Piccoli est depuis devenue l’une des séquences les plus cultes du septième art. Pourtant gêné par les producteurs présents derrière la caméra – exigeant de voir chaque bout d’essai avant que le plan suivant ne soit tourné – Jean-Luc Godard répond à la contrainte commerciale avec un hymne au corps féminin, qu’il décrit comme “une scène d’amour total, complet, aussi physique que platonique”.

Bande-annonce – "Le Mépris" (1963) de Jean-Luc Godard

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Brigitte Bardot et Edith Piaf document court maisTotalement inédit !

Publié le par Ricard Bruno

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Brigitte Bardot...le must !

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot...le must !
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Abattage de 1430 renards en Seine-Maritime : Brigitte Bardot accuse le préfet « d'excès de zèle et de pouvoir mal placé »

Publié le par Ricard Bruno

Nouvel épisode dans le feuilleton qui oppose le préfet de la Seine-Maritime aux défenseurs des animaux. Cette fois, Brigitte Bardot monte au créneau pour sauver de l'abattage 1430 renards. Et la présidente de la fondation éponyme ne mâche pas ses mots.

En lançant fin mai une consultation publique sur un projet d’arrêté visant à abattre 1 430 renards, d’ici le 31 décembre 2020, en Seine-Maritime, le préfet n'avait sans doute pas imaginé les suites données à cette affaire.

À quelques jours de l'examen par le tribunal administratif de Rouen, le 2 septembre 2020, de deux nouvelles requêtes en référé contre cet arrêté préfectoral et d'un rassemblement annoncé sur Facebook à Rouen ce même jour, Brigitte Bardot a pris sa plume pour défendre les goupils.

« Acharnement personnel »

Une plume trempée dans l’acide pour questionner Pierre-André Durand sur « l’acharnement personnel » qui pousserait le représentant de l’État « à vouloir les tuer ».

Abattage de 1430 renards en Seine-Maritime : Brigitte Bardot accuse le préfet « d'excès de zèle et de pouvoir mal placé »

Dans ce courrier, l'ancienne actrice, s'interroge également sur la finalité de la consultation publique lancée en mai et juin derniers :

« Sur les 3 300 avis de cette consultation, 2 468 étaient contre votre projet d’arrêté (près de 75% des votants), écrit-elle. Vous avez décidé de passer outre, pourtant les renards ne représentent aucun danger pour l’homme, au contraire, ils sont des alliés précieux pour les agriculteurs en prélevant de nombreux rongeurs. »

Source de l'article : Cliquez ICI

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Lettre de Brigitte Bardot à Macron...

Publié le par Ricard Bruno

Lettre de Brigitte Bardot à Macron...
Lettre de Brigitte Bardot à Macron...
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Brigitte Bardot en couverture du magazine Hongrois NŐK LAPJA d'août 2020

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot en couverture du magazine Hongrois NŐK LAPJA d'août 2020
A szőke nő 50 árnyalata és hangolódás az iskolára a Nők Lapja e heti számában

Iskolakezdés, bizonytalanság

Szeptember elsején, megjelenésünk után nem egészen egy héttel megkezdődik az új tanév. A tévéreklámok szerint a gyerekek már alig várják, hogy újra suliba mehessenek, és még az is lehet, hogy ez így van, hiszen találkozhatnak a barátokkal, sőt talán még annak is örülnek, hogy ismét beülhetnek a padba, élőben láthatják a tanárokat, a tanítónőket. A gyerekek ilyenek, mindig örülnek a változásnak, és az elmúlt fél év után ez valóban újdonság lesz.
De mi lesz a szülőkkel? Azokkal a felnőttekkel, akik mérlegelnek, és akik folyamatosan figyelik a híreket? Akik esetleg szintén újrakezdik a hagyományos munkarendet, kiszabadulva a home office fogságából, vagy éppen kizárva a home office biztonságából. És ott vannak azok az anyukák, akik újra találkozhatnak a kollégákkal – a barátságosakkal és az undokokkal –, a főnökökkel – a megértőkkel vagy a kötekedőkkel –, akiknek ismét hajnalban kell kelniük, hogy elindítsák a napot, a magukét meg a családét. Kezdhetnek újra sminkelni, blúzt vasalni, frizurát készíteni, uzsonnát csomagolni. És ez még nem minden. Mert ők azok, akik, mint már írtam, nyomon követik a híreket, és olykor elbizonytalanodnak. Hiszen a számok nem olyan megnyugtatóak, hogy felejthető lenne a tavaszi óvatosság, mert korántsem jutottunk túl a veszélyeken. Ugyanakkor a bezártság sem tartható a végtelenségig. Ez a folyamatos bizonytalanság komoly hatással lehet mindannyiunk életére. E heti lapszámunkban sok más érdekes írás mellett ezekkel a kérdésekkel is foglalkozunk. Az iskolakezdéssel, a gyerekek felkészítésével, és a bizonytalanság romboló hatásával. Valamint azzal, hogyan lehet kezelni az emberpróbáló helyzeteket.
Nekem csak egy tanácsom van. Mi, felnőttek, állítólag felelősséggel tudjuk élni az életünket, képesek vagyunk felmérni a lehetőségeket, az okokat és a következményeket, legyünk hát valóban körültekintőek és felelősségteljesek. Vegyük fel azt az utált maszkot, akkor is, ha éppen nem ellenőriznek, nem büntetik a hiányát, vagy ha azt látjuk, hogy mások nem teszik fel, sőt talán meg is mosolyognak minket, mert szabálykövetők vagyunk. Ne törődjünk velük! Ha biztosak vagyunk magunkban, tudjuk kezelni a bizonytalanságot is. Tegyük meg! Magunkért és a többiekért…

Lazarovits Szilvia, vezetőszerkesztő

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La Mostra de Venise en 17 images vintage !

Publié le par Ricard Bruno

"La Mostra de Venise, c'était comme passer un examen final", a déclaré le réalisateur Federico Fellini après que son travail ait été accepté par l'estimée compétition. Issu d'une exposition d'art récurrente de la fin du XIXe siècle, le festival, qui s'est tenu pour la première fois en 1932, est le plus ancien du genre. Traditionnellement organisé sur l'île vénitienne du Lido, l'événement voit les nouvelles productions rivaliser pour obtenir la plus haute distinction, le Lion d'or, reconnu mondialement comme une marque de prestige cinématographique.

Le Festival du film de Venise, qui fait partie des "trois grands" aux côtés du Festival de Cannes et du Festival international du film de Berlin, a toutes les qualités d'un festival puisqu'il rassemble aussi bien les meilleures vedettes, les meilleurs auteurs, tout en se distinguant par la promotion de films d'art et d'essais italiens aux côtés de superproductions mondiales dans l'une des plus belles villes du monde.  

L'histoire de l'événement est parsemée de moments culturels importants, notamment la consécration de Marlon Brando en tant que grand acteur avec la projection de On the Waterfront (1954) et la sortie posthume de Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick (1999). Plus récemment, le prix Queer Lion pour les films représentant les thèmes LGBTQ+ a été lancé en 2007, et en 2012, l'organisation a commencé à diffuser en ligne les films présentés pour le grand public. Cette année  sa 77e édition se déroulera du 2 au 12 septembre 2020.

Avant la soirée d'ouverture, voici les 17 plus belles images vintage mettant en scène des personnalités telles qu'Elizabeth Taylor, Diana Ross, Jane Fonda ou encore Sophia Loren.

Brigitte Bardot salue, accompagnée de son ami guitariste, Sacha Distel. Elle a assisté à l'ouverture de son film, "En Cas de Malheur", à la 19e Mostra de Venise

Brigitte Bardot salue, accompagnée de son ami guitariste, Sacha Distel. Elle a assisté à l'ouverture de son film, "En Cas de Malheur", à la 19e Mostra de Venise

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