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Brigitte Bardot...s'adresse à vous...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot...s'adresse à vous...
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Filmographie Brigitte Bardot : Voulez-vous danser avec moi ?

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : Voulez-vous danser avec moi ?
Filmographie Brigitte Bardot : Voulez-vous danser avec moi ?Filmographie Brigitte Bardot : Voulez-vous danser avec moi ?
Filmographie Brigitte Bardot : Voulez-vous danser avec moi ?Filmographie Brigitte Bardot : Voulez-vous danser avec moi ?Filmographie Brigitte Bardot : Voulez-vous danser avec moi ?

Synopsis

Hervé, dentiste de charme, est le mari de Virginie Decauville-Lachenée, dont le père est industriel. Une scène de ménage crépite. Les portes claquent. Hervé, pour se consoler du départ de Virginie, va se distraire chez Anita, sans savoir qu'il a affaire à une créature pour qui le chantage est un passe-temps. En voulant récupérer des photos compromettantes, Hervé bute sur le cadavre de cette aventurière. Le voici en mauvaise posture. Dès lors, Virginie mène une enquête imprévisible avec une maladresse qui pourtant portera ses fruits et les mènera dans des milieux inattendus. Le film (une histoire de travestis avec Bardot tête d'affiche) en 1959 déplaisait fortement à la centrale catholique du cinéma, qui lui donna la cote à proscrire.

Fiche technique

Distribution

Notes et références

  1.  Dawn Addams remplaça en plein tournage Sylvia Lopez, qu'une leucémie devait emporter trois mois plus tard. C'est également le dernier film d'Henri Vidal, mort huit jours avant la sortie du film.
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Brigitte Bardot Histoire d'une chanson : Noir et Blanc...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot Histoire d'une chanson : Noir et Blanc...

Paroles

Et quand je me suis dégantée
Et quand je me suis dégantée
Vous avez vu mes beaux doigts blancs,
C'était pas du tout dégoûtant.

Et quand je me suis déchaussée
Et quand je me suis déchaussée
Vous avez vu mes beaux pieds blancs,
C'était pas du tout dégoûtant.

Quand je me suis déshabillée
Quand je me suis déshabillée
Vous avez mon corps tout blanc,
C'était pas du tout dégoûtant.

Et lorsque j'ai ouvert mon cœur
Il était noir à l'intérieur
Vous êtes restez comme deux ronds de flan,
À mon Dieu que c'était dégoûtant.

Je ne me dégoterais plus,
Je ne me déchausserais

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Coronavirus : Brigitte Bardot demande au gouvernement des mesures en faveur de la protection animale

Publié le par Ricard Bruno

Image d'illustration...

Image d'illustration...

Dans une lettre ouverte adressée au gouvernement, Brigitte Bardot et Rémy Gaillard, notamment, demandent des mesures en faveur de la protection animale française. 

L’association Ethics For Animals et le Collectif Chats 100 % Stérilisation Obligatoire (regroupant 600 associations de protection animale en France) soutenus par ces personnalités dont Brigitte Bardot, Rémi Gaillard, Henry-Jean Servat, Emmanuelle Rivassoux et Gilles Luka et par de nombreuses associations (One Voice, L214, Anymal, Association Stéphane LAMART, etc...) ont lancé une pétition sur le site www.protectionanimale-covid19.com à l’attention du Ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, qui a recueilli plus de 70 000 signatures en quelques jours.

 

Cette pétition demande la mise en place un justificatif de déplacement lié à l’activité d’une association de protection animale permettant aux associations d'œuvrer en toute quiétude en faveur des animaux en prenant toutes les précautions d'usage à l'égard de nos concitoyens et d’appuyer la demande des associations pour obtenir des vétérinaires qu’ils acceptent comme acte vétérinaire urgent, les stérilisations d’animaux errants ou de refuge comme le prévoit le dernier communiqué de l’ordre des vétérinaires.

Lire aussi : "Les animaux ne propagent pas le coronavirus, ne les abandonnez pas !"

« L’ensemble des protecteurs des animaux est confronté à un problème de taille : pouvoir continuer à nourrir les chats libres dont ils ont la charge et porter secours aux animaux en détresse. Si nous comprenons entièrement les règles du confinement, il nous parait essentiel de ne pas abandonner ces chats qui sont pour la plupart nourris par une personne sur le territoire de leur commune. D’autre part, nous constatons que malgré l’Ordre de Méthode publié par le Ministère de l’Agriculture et le dernier communiqué de l’Ordre des vétérinaires, encore trop peu de vétérinaires acceptent aujourd’hui de procéder aux stérilisations des chats errants. Pourtant, il s’agit là d’une véritable nécessité. Les associations voient arriver l’été avec son lot d’abandons, et refuser de stériliser les chats errants fait craindre une situation dramatique pour les refuges et pour les animaux avec une augmentation de la misère animale.» déclarent Brigitte Bardot, Rémi Gaillard, Henry-Jean Servat, Emmanuelle Rivassoux et Gilles Luka dans la lettre ouverte.

Nourrir les chats libres sans risque une amende

L’association Ethics For Animals et le Collectif Chats 100 % Stérilisation Obligatoire souhaitent aujourd’hui que les protecteurs des animaux puissent nourrir les chats libres au-delà du kilomètre autorisé sans écoper d’amendes comme cela a pu être le cas dans plusieurs départements en France. L’Italie, l’Espagne et la Belgique ont déjà pris des mesures dans ce sens pour leurs associations et refuges. « Malgré les demandes répétées faites au Ministère de l’Agriculture, personne ne sait exactement ce qu’il est d’usage de faire. Aussi, il est regrettable de constater que des personnes puissent écoper d’une amende de 135 € parce qu’elles sortent nourrir les chats libres de leur commune alors même qu’elles respectent les précautions sanitaires : elles sont seules et suffisamment à distance d’autres individus pour ne pas contaminer ou être contaminées par le COVID-19. Une répression d’ailleurs aléatoire selon les agents et les communes, puisque d’autres peuvent très bien nourrir les chats sans écoper d’amende. Ce manque de réponse est problématique, car ces animaux doivent être nourris et ne peuvent compter que sur ces associations. C’est également une urgence sanitaire de ne pas laisser ces chats errants se reproduire et mourir de faim dans nos rues. », explique encore le texte.

Source de l'article : Cliquez ICI

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Filmographie Brigitte Bardot : Babette s'en va-t-en guerre

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : Babette s'en va-t-en guerre
Filmographie Brigitte Bardot : Babette s'en va-t-en guerre
Filmographie Brigitte Bardot : Babette s'en va-t-en guerre
Filmographie Brigitte Bardot : Babette s'en va-t-en guerre
Filmographie Brigitte Bardot : Babette s'en va-t-en guerre
Filmographie Brigitte Bardot : Babette s'en va-t-en guerre

Synopsis

En 1940, Babette, une jeune provinciale française, se retrouve à Londres où le lieutenant Gérard de Crécy la fait engager comme femme de ménage au Quartier Général de la France libre. Le major Fitzpatrick, officier de renseignement britannique, remarque son étrange ressemblance avec Hilda, l'ex-maîtresse du responsable allemand du débarquement en Angleterre, le général von Arenberg. Après un entraînement intensif, elle est parachutée en France avec Gérard afin d'enlever le général. Mais après le parachutage, incapable de retrouver son beau lieutenant, elle prend seule le train pour Paris.
Après diverses péripéties, elle est arrêtée dans un café parisien par "papa Schulz", le chef de la Gestapo, qui l'amène à la Kommandantur, le quartier général des forces d'occupation allemandes à Paris. Ayant lui aussi remarqué l'extraordinaire ressemblance de Babette avec l'ex-maîtresse du général von Arenberg, Schulz arrange une rencontre fortuite de la petite Française avec le général, de façon qu'elle entre dans l'intimité de celui-ci et puisse renseigner la Gestapo sur ses agissements, car Schulz soupçonne Arenberg d'être un traître à la cause nazie. Le général tombe instantanément sous le charme du sosie de son ex et raccompagne Babette dans le septième arrondissement de Paris chez ses prétendus parents (le duc et la duchesse de Crécy-Lozère), qui sont en fait ceux du lieutenant Gérard. La jeune femme y retrouve celui-ci et lui souffle que c'est l'occasion rêvée pour kidnapper Arenberg et l'embarquer à Londres... sauf que des agents de la Gestapo, sur ordre du commandant Schulz, les ont suivis.

Fiche technique

Distribution

Autour ou à propos du film

Il s'agit du premier film français à traiter de la Seconde Guerre mondiale sur le mode de la comédie.
Les extérieurs ont été tournés en partie à Sète.

C'est le seul film dans lequel Brigitte Bardot et Jacques Charrier jouent ensemble et forment un couple à l'écran (si on néglige leur apparition, d'ailleurs non créditée au générique, dans L'Affaire d'une nuit d'Henri Verneuil).

C'est, par ailleurs, le 54e film de Christian-Jaque, un réalisateur qui a notamment à son actif Les Disparus de Saint-Agil, L'Assassinat du père Noël et Fanfan la Tulipe.

Avec Babette s'en va-t-en guerre dit Christian-Jaque, « j'ai voulu, pour la première fois, montrer Brigitte Bardot aux moins de seize ans. Prouver, enfin, que son talent ne résidait pas seulement dans sa ravissante plastique, mais qu'elle était aussi capable de jouer la comédie ».

Critiques

« Il sera loisible à certains de s'insurger contre le ton badin, caricatural, adopté à l'égard de souvenirs restés héroïques et douloureux. Inconsciemment, Babette vient à l'appui de la thèse de Resnais dans Hiroshima mon amour sur l'oubli. Il sera loisible aussi à ceux qui saluent Hiroshima mon amour de faire la fine bouche; mais les ambitions de l'auteur ici sont autres et plus limitées. Babette est à la France Libre ce que la Belle Hélène d'Offenbach est à la Guerre de Troie. On peut donc savoir gré à l'auteur d'avoir su trouver un rythme très enlevé et diriger une équipe d'interprètes dont émergent un étourdissant Francis Blanche et une Brigitte Bardot bonne comédienne. »

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Brigitte Bardot Histoire d'une chanson : Rose d'eau...

Publié le par Ricard Bruno

Paroles
J'ai laissé dans les roseaux
Une rose d'eau
Jamais les rochers de grès
N'auront mes regrets
Baladin, offrez-nous les mots qui nous dénouent
Le vent du Nord qui revient va les emporter
N'ai jamais vu tant de larmes
Dans les étangs
De forêts plus en alarme
Depuis longtemps
Les amours d'hier voient les chagrins d'aujourd'hui
J'ai beau chanté "Revenez", la chanson s'enfuit
J'ai le mal d'avoir perdu
Ce qui m'était dû
Rien ne pourra remplacer
Le moindre baiser
Allez dire par les jardins
"Je ne viendrai point
À la fontaine qui emporte
Les amours mortes"
J'ai laissé dans les roseaux
Une rose d'eau.
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Filmographie Brigitte Bardot : La Femme et le Pantin

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : La Femme et le Pantin
Filmographie Brigitte Bardot : La Femme et le Pantin
Filmographie Brigitte Bardot : La Femme et le Pantin
Filmographie Brigitte Bardot : La Femme et le Pantin
Filmographie Brigitte Bardot : La Femme et le Pantin
Filmographie Brigitte Bardot : La Femme et le Pantin

Synopsis

Stanislas Marchand, autrefois écrivain à succès, a trouvé asile politique en Espagne où, remarié avec Manuela, il vit très modestement à Séville avec sa fille Éva. Cette dernière est fiancée depuis longtemps à Albert, un jeune conducteur d'autocar. Éva, attirée par la danse, aimerait en faire son métier. Lors de la feria de Abril où elle se produit, elle est courtisée par Matteo Diaz, riche manadier et grand séducteur, mais s'en amuse. Dès lors, Matteo est obsédé par le désir de la posséder jusqu'à subir les ultimes humiliations. C'est à un Matteo déchu, enfin défait de sa superbe, qu'Éva se donnera.

Fiche technique

Distribution

Appréciation critique

« Un héros ridicule, une héroïne au caractère finalement assez mal défini, des comparses sans intérêt (l'écrivain exilé est un minable et sa compagne une mégère) : nous n'avons pour nous consoler que le pittoresque andalou et la beauté de B. B.. Julien Duvivier, le réalisateur, et Roger Hubert, le chef opérateur, se sont efforcés de nous dépeindre le grouillement des rues et des places de Séville et l'austère grandeur des paysages qu'arrose le Guadalquivir, sans tomber dans les lieux communs touristiques. On ne peut dire que leur réussite ait été constante, et c'est de tel ou tel « intérieur » dû au talent du décorateur Georges Wakhévitch que je me souviendrai plutôt. Quant à Brigitte Bardot, vierge folle et vierge sage, tout à tour aguichante, pudique et rêveuse, elle traverse le film avec l'assurance des jeunes déesses qui n'ont rien à craindre des humains. »

— Jean de Baroncelli, Le Monde, 19 février 1959

« L'Espagne aidant, La Femme et le Pantin est un film extraordinairement pudique.[...] Cette beauté classique, à la fois morale et physique, faite d'élégance, de spontanéité et d'exigence presque abstraite, Duvivier la rejoint plus directement que Vadim, ne l'envisageant que dans ce qu'elle a de plus épuré. »

— Luc Moullet, Cahiers du cinéma, n°94, avril 1959

Bardot sur Duvivier

  • Brigitte Bardot : « Le père Duvivier, surnommé « Dudu » par l’équipe, n’était pas à proprement parler un rigolo. Coiffé éternellement d’un chapeau il passait son temps à mâchouiller sa langue, ou à remettre son dentier en place. Cela ne retirait rien à son talent, mais je subodorais immédiatement que nos rapports seraient difficiles, sinon impossibles. Il scrutait tout, avec ses petits yeux de souris malicieuse, et peut-être que lui-même pensait de moi la même chose de son côté.
    Nous devions commencer le tournage pendant la fameuse feria de Séville. […] Une foule bigarrée, bruyante et excitée, se désaltère à la sangria tous les trois mètres. Comme le soleil est déjà très chaud et que le sang espagnol n’a rien à lui envier, je vous laisse imaginer l’état dans lequel se trouvent les gens au bout de 24 heures… […] Maguy qui me doublait a été lâchée là-dedans pour que le cameraman puisse repérer le parcours que je ferais au moment du tournage. Les gens ont cru que c’était moi et Maguy a failli mourir étouffée, piétinée, violée. On l’a sortie de ce flot monstrueux, hagarde, les vêtements déchirés, le visage tuméfié ! Je l’avais échappé belle ! Il était impossible de tourner avec moi un plan pareil ! Eh bien Dudu pensait le contraire, pour lui c’était la vérité et il fallait que j’y aille ! Je refusai net ! […] Après une perte de temps considérable, il fut convenu que j’irais au milieu de cette foule délirante, encadrée par une sérieuse escorte d’hommes de l’équipe. […] C’est ainsi que je fus jetée en pâture au milieu de cette foule hurlante. […] J’ai été littéralement soulevée de terre. Ma robe était remontée sous mes bras, quant à ma culotte, des milliers de mains venues de je ne sais où essayaient de me l’enlever, se glissant partout sur mon corps. […] Comment m’a-t-on sortie de là, je ne m’en souviens pas car j’avais à moitié perdu connaissance ! […] Seul Dudu était ravi, il se frottait tranquillement les mains, tout content de lui : « Tu vois, tu n’es pas morte. » […] Le film reprit aux studios de Boulogne dans des décors de Georges Wakhevitch, extraordinairement reconstitués. […] Pendant les répétitions d’une scène où je devais envoyer promener Antonio Vilar, Dudu décida que je lui tirerais la langue ! Moi, tirer la langue et en gros plan par-dessus le marché… Je refusai net !
    — Et pourquoi ?
    — Parce que c’est mal élevé, que mes parents m’ont toujours interdit de tirer la langue, et qu’une langue en gros plan n’a rien d’esthétique.
    Et Dudu se mit à mâchouiller la sienne en attendant que je tire la mienne. […] Fred Surin, le directeur de production pour qui chaque minute valait des milliers de francs, était hors de lui. « Comment, toute cette histoire pour une langue ? » […] Et tout le monde se mit à me tirer la langue pour me montrer que ce n’était pas si terrible que ça ! Et plus je voyais ces langues pendantes, plus je décidais de ne surtout pas leur ressembler et fermais la bouche hermétiquement. J’eus le dessus ! Le tirage de langue fut remplacé par une grimace que j’essayais de faire la moins horrible possible ! À la suite de cet incident les mauvaises langues s’en sont donné à cœur joie ! »

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Brigitte Bardot histoire d'une chanson : Everybody Loves My Baby

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot histoire d'une chanson : Everybody Loves My Baby
Brigitte Bardot histoire d'une chanson : Everybody Loves My BabyBrigitte Bardot histoire d'une chanson : Everybody Loves My Baby
Brigitte Bardot histoire d'une chanson : Everybody Loves My BabyBrigitte Bardot histoire d'une chanson : Everybody Loves My Baby
Paroles
Everybody loves my baby
But my baby don't love nobody but me
Nobody but me
Yes
Everybody wants my baby
But my baby don't want nobody but me
That's plain to see!
I'm his sweet Judy
And he is my loving man!
No time to do his duty
Loves me like no other can!
Everybody loves my baby
But my baby don't love nobody but me
Nobody but me
Everybody wants my baby
But my baby don't want nobody but me
That's plain to see!
Now when my baby kisses me
Upon my rosy cheeks
I just let those kisses be
Don't wash my face for weeks!
Everybody loves my baby
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Filmographie Brigitte Bardot : En cas de malheur

Publié le par Ricard Bruno

Filmographie Brigitte Bardot : En cas de malheur
Filmographie Brigitte Bardot : En cas de malheur
Filmographie Brigitte Bardot : En cas de malheur
Filmographie Brigitte Bardot : En cas de malheur
Filmographie Brigitte Bardot : En cas de malheur
Filmographie Brigitte Bardot : En cas de malheur

Synopsis[modifier | modifier le code]

En 1957 à Paris, la belle, naïve et immorale Yvette Maudet, tapineuse occasionnelle de 22 ans, assomme l'épouse d'un horloger qu'elle tente de dévaliser. Me André Gobillot, avocat quinquagénaire, accepte de la défendre et, séduit par sa sensualité, en tombe amoureux. Grâce à un faux témoignage, il obtient son acquittement. Il entame alors une liaison avec elle, l'installe et l'entretient, ne peut plus se passer d'elle. Mais Yvette aime en cachette un jeune étudiant en médecine, jaloux et possessif, qui vit misérablement et paie ses études en travaillant dans une usine. Gobillot est soupçonné d'avoir payé le faux témoin ; sa carrière est menacée. Son couple - épouse tolérante mais inquiète - est menacé quand il achète un appartement pour Yvette qui attend un enfant de lui et accepte de vivre cachée. Mais elle ne peut se résoudre à renoncer au jeune étudiant.

Fiche technique

Distribution

Critique

François Truffaut l'a qualifié de meilleur film d'Autant-Lara et l'a comparé aux pièces de théâtre de Jean Anouilh , en notant: "Nous en sortons avec un mélange de dégoût et d'admiration, un sentiment de satisfaction qui est réel mais incomplet. C’est 100% français, avec toutes les vertus et les vices que cela implique: une analyse à la fois subtile et étroite, une compétence mêlée de méchanceté, un esprit d’observation sans faille dirigée vers le sordide, et un tour de passe-passe talentueux qui délivre un message libéral à la fin."

Autour du film

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