coup de coeur
Brigitte Bardot regrette d'avoir dit non à cette saga cultissime...
En 1964, Bernard Broderie fait d'une jeune actrice une véritable star en lui offrant le rôle de l'héroïne de sa saga. Initialement, il voulait pourtant le confier à Brigitte Bardot. L'actrice sulfureuse a regretté longtemps d'avoir refusé cette belle opportunité.
En 1964, Michèle Mercier se transforme en Angélique, marquise des anges. Si encore aujourd'hui, à 83 ans, elle reste indissociable de l'héroïne de la saga culte des années 1960, inspirée des romans d'Anne Golon, l'actrice aurait pu ne jamais prêter ses traits à ce personnage. Et pour cause, le scénariste Bernard Broderie l'avait placée au rang de cinquième choix. Initialement, il voulait donner le rôle "à une actrice blonde, jolie et connue", et a donc naturellement proposé à Brigitte Bardot de devenir son Angélique. La star a pourtant refusé le rôle, prétextant ne pas vouloir apparaître dans des films d'époque en costume.
Brigitte Bardot a amèrement regretté d'avoir refusé le rôle d'Angélique, marquise des anges
Dans le live Initiales B.B. : mémoires de Bardot, Brigitte Bardot avoue avoir longtemps regretté d'avoir refusé le rôle d'Angélique : "J'avais refusé de tourner l'adaptation sans même y avoir jeté un coup d'œil !". C'est en effet après être tombée sur la série de livres que l'actrice s'est jetée à corps perdu dans les aventures trépidantes de l'exceptionnelle Angélique. "Je m'en suis mordu les doigts ! Ça m'apprendra à avoir des jugements définitifs et hâtifs", a-t-elle ajouté, avant de constater que "ce défaut l'a poursuivie toute sa vie". Pour autant, elle a autant apprécié les écrits d'Anne Golon que son adaptation cinématographique, "interprétée magistralement par Michèle Mercier".
Michèle Mercier a tout de suite su qu'elle était faite pour le rôle d'Angélique
Michèle Mercier, de son côté, ne s'est pas fait prier pour enfiler le costume d'Angélique, dont la saga est disponible sur Paramount+. Immédiatement après avoir feuilleté les écrits d'Anne Golon, elle a su que ce rôle était fait pour elle. "J'ai su qu'Angélique était moi et que j'étais Angélique", avait confié celle qui clame aujourd'hui "ne pas être Angélique". "Ils m'ont retenue pour ce qu'ils appellent mon côté blond historique, un blond roux d'époque", avait-elle révélé, en 1964, dans un entretien à Jours de France. Tout de suite, celle qui s'est vue octroyée le surnom de la "Brigitte Bardot brune" avait compris que ce rôle allait changer sa carrière.
Tout ce que vous ignorez sur la chanson "La Madrague" de Brigitte Bardot
"Sur la plage abandonnée... Coquillages et crustacés..." Venez flâner chez Brigitte Bardot à Saint-Tropez pour redécouvrir la fameuse Madrague, une villa et surtout une chanson mythique qui sent bon l'été !
Quelques notes et déjà on a les pieds dans l'eau turquoise ! " Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés.." soyez les bienvenus à La Madrague la demeure de Brigitte Bardot dans le Var et dans une des chansons les plus célèbres du répertoire français.
Interprétée par Brigitte Bardot en 1963, "La Madrague" reflète parfaitement l'image de l'actrice babydoll.
Tout commence en 1958, révélée deux ans plus tôt par le film Et Dieu créa la femme, le sex-symbol Brigitte Bardot achète une maison à Saint-Tropez. Cette jolie propriété, baptisée La Madrague devient très vite un repère jet-set parmi les invités récurrents Jean-Max Rivière un auteur qui écrit entre autres pour France Gall et Juliette Gréco.
Écrite par Jean-Max Rivière donc et composée par Gérard Bourgeois, la chanson marque un tournant dans la carrière musicale de Brigitte Bardot.
À noter des reprises de la jeune et moins jeune génération de chanteurs français.
Par Laurent Voulzy, d'abord, en 2006, mais aussi par la candidate de La Nouvelle Star, Camélia Jordana, en 2009.
Notons aussi Loana, en 2010 qui joue sur une certaine ressemblance :
Les paroles de "Sur la plage abandonnée"
Sur la plage abandonnée
Coquillages et crustacés
Qui l'eût cru déplore la perte de l'été
Qui depuis s'en est allé
On a rangé les vacances
Dans des valises en carton
Et c'est triste quand on pense à la saison
Du soleil et des chansons
Pourtant, je sais bien l'année prochaine
Tout refleurira nous reviendrons
Mais en attendant je suis en peine
De quitter la mer et ma maison
Le mistral va s'habituer
À courir sans les voiliers
Et c'est dans ma chevelure ébouriffée
Qu'il va le plus me manquer
Le soleil mon grand copain
Ne me brûlera que de loin
Croyant que nous sommes ensemble un peu fâchés
D'être tous deux séparés
Le train m'emmènera vers l'automne
Retrouver la ville sous la pluie
Mon chagrin ne sera pour personne
Je le garderai comme un ami
Mais aux premiers jours d'été
Tous les ennuis oubliés
Nous reviendrons faire la fête aux crustacés
De la plage ensoleillée
De la plage ensoleillée
De la plage ensoleillée.
... A vous de chanter !
Hôtels de légende. « La Ponche, une maison de village »
À Saint-Tropez, La Ponche porte toujours l’empreinte de Bardot. Enfant du pays, Audrey Brémond dirige cet hôtel culte.
Quelles sont les origines de la Ponche ?
« La Ponche, c’est avant tout le nom provençal d’un quartier de Saint-Tropez, à la pointe de l’ancien port des pêcheurs où ils amarraient ces petits bateaux locaux nommés « pointus ». En 1938, dans l’une de ces maisons de pêcheurs, Marguerite Quindici et Lucien Armando ouvrent un estaminet destiné aux gens du quartier. Ce sont les parents de Simone Duckstein, qui restera propriétaire de La Ponche jusqu’en 2020. Le simple caboulot des débuts prend de l’envergure après-guerre lorsqu’il se transforme en hôtel. Marguerite et Lucien achètent d’abord les deux étages au-dessus du bar, puis la maison de pêcheurs d’à côté, puis d’autres attenantes… Peu à peu, la Ponche réunit une vingtaine de chambres réparties sur sept parcelles. »
Qui lance la célébrité de Saint-Tropez ? Colette ? Françoise Sagan ? Brigitte Bardot ?
« En 1925, déjà célèbre, Colette achète une petite maison, la « Treille muscate » à la baie des Canebiers. Mais en 1938, elle trouve qu’il y a trop de curieux et vend sa propriété à l’acteur Charles Vanel. Le quartier de la Ponche commence à s’animer car après-guerre, par vagues successives, des Parisiens apprécient leurs séjours à Saint-Tropez. Au début des années 50, Françoise Sagan entraîne ses amis vers La Ponche dont elle a fait son quartier général. Saint-Germain-des-Prés prend ses habitudes d’été à l’hôtel qui s’est agrandi au fil des années. Parmi les clients, il y a Boris Vian, qui passe souvent derrière le bar, des photos en témoignent ! Il s’entendait très bien avec la propriétaire, Marguerite. Au sous-sol, une petite scène de bric et de broc rappelle les caves de Saint-Germain. Juliette Gréco, Bernard et Annabel Buffet, Sartre et Beauvoir, comptent parmi les fidèles de cette période qui a duré une dizaine d’années. »
Et Brigitte Bardot créa Saint-Tropez ! Le tournage du film de Vadim rend le petit port célèbre ?
« Bardot n’a pas attendu le tournage d’« Et dieu créa la femme » pour découvrir La Ponche. Elle connaissait Saint-Tropez où elle venait en vacances avec ses parents. Simone Duckstein raconte dans ses souvenirs qu’elle croisait Brigitte Bardot, pas encore célèbre, en famille au petit-déjeuner. »
Quelles personnalités ont eu leurs habitudes à La Ponche ?
« Les noms des chambres donnent des indications. C’est Simone qui a eu l’idée de baptiser ainsi chaque chambre du nom de fidèles clients : Pompidou, Kenzo, Romy Schneider, Michel Galabru, Louis de Funès, Gunter Sachs, Jean-Louis Trintignant, Maurice Ronet, Michèle Morgan, Roland Petit… Et depuis que nous avons repris la direction de l’hôtel, nous avons nommé une chambre Simone Duckstein en hommage à celle qui a veillé si longtemps sur La Ponche. »
+ Hôtels de légende. « Tous les pas mènent au Grand Hôtel »
Quelles anecdotes restent des séjours de ces célébrités ?
« L’une d’elles concerne Michel Galabru. Pendant qu’il séjournait dans sa chambre au premier étage, il a entendu l’échange entre les producteurs du « Gendarme de Saint-Tropez » qui discutaient juste sous sa fenêtre : Il nous faudrait quelqu’un comme Galabru car il n’est pas cher !
Mais à La Ponche, ce sont les murs qui connaissent les histoires… Et Simone ! »
À titre personnel, quel est votre lien à cet hôtel ? Comment le définiriez-vous ?
« Je suis née et j’ai grandi à Saint-Tropez. Donc cet endroit appartient naturellement à ma mémoire. Enfant, puis adolescente, j’ai passé des heures dans ce quartier. Quand le nouveau propriétaire, M. Saltiel pour qui je travaillais déjà, m’a proposé la direction, c’était comme revenir chez moi ! Je vois La Ponche comme une maison de mon village qui a gardé son authenticité. On peut y vivre en mode discret, au rythme du quartier, à la fois à l’abri des curieux et au cœur de Saint-Tropez, à deux pas du port et du marché, goûter le charme du labyrinthe des passages et des escaliers qui relient les différentes parties de l’hôtel aux autres, selon une distribution assez anarchique à laquelle nous tenons. Loin du caractère superficiel de Saint-Tropez mis en avant l’été, La Ponche préserve la simplicité du village de pêcheurs de jadis. »
Quel endroit de La Ponche préférez-vous ?
« La chambre Romy Schneider ! C’est la plus haute de l’hôtel. Sa terrasse exceptionnelle offre une vue à 360° sur la mer, la citadelle et le clocher. De là-haut, on est à l’abri des regards, mais on voit tout. »
FASHION STORY – La jupe vichy de Brigitte Bardot dans “Voulez-vous danser avec moi ?”
En 1959, l'icône de style qu'est Brigitte Bardot révolutionne l'imprimé vichy dans les garde-robes de l'époque, en le portant au cinéma comme à son propre mariage. L'histoire d'un carreau devenu tendance qui présageai déjà l'influence phénoménale qu'a B.B. sur la mode...
Silhouette de rêve, regard espiègle, sensualité suggestive… Brigitte Bardot est par définition le sex-symbol des années 60. Et si elle fait rêver les hommes et encourage les femmes par l'émancipation qu’elle incarne, B.B. n’en est pas moins une icône de style. Si aujourd’hui on observe une tendance enflammée autour des ballerines, de Repetto à Miu Miu, c’est Brigitte Bardot qui les rend célèbres avec son allure de baby doll, en 1963, dans "Le Mépris" de Jean-Luc Godard. S'ensuit le panier en osier à la touche bucolique, sans oublier la marinière ou encore le chapeau de paille. Résolument libérée, B.B. aspire à un style champêtre non moins élégant, et sa garde robe joviale et audacieuse fait d’elle une véritable lanceuse de tendances.
Parmi ses pièces emblématiques, Brigitte Bardot a popularisé les carreaux vichy. Cet imprimé que l’on ne trouvait autrefois que sur nos nappes de pique-nique, ou bien sur la robe à bretelles de la jeune Dorothée du "Magicien d’Oz" de Victor Fleming, est révolutionné en 1959 par la seule et unique B.B. Alors qu’en juin de cette même année, elle dit "oui" à l’acteur Jacques Charrier, Brigitte Bardot apparaît au bras de son mari arborant une robe vichy rose et blanche. Instantanément, son élégance subtilement bourgeoise et sa simplicité champêtre font de ce carreau estival le must-have des garde-robes de l’époque. Alors, en décembre 1959, lorsque sort le film de Michel Boisrond "Voulez-vous danser avec moi ?", Brigitte Bardot est en tête d’affiche et renoue avec son imprimé fétiche, en virevoltant dans une jupe vichy bleue qui marque les annales des tenues mythiques du cinéma français.
Une jupe qui en dit long sur le phénomène de style B.B.
Si l’imprimé à carreaux vichy propulse Brigitte Bardot au rang d’icône de style à la française, le créateur Jacques Esterel y est certainement pour quelque chose. Couturier avant-gardiste qui prend goût à s’amuser dans ses créations, c’est lui qui conçoit la robe de mariée en vichy rose de B.B. Inspiré des filles de la campagne comme du style simple et jovial de l’actrice, il imagine cette robe aussi élégante que bucolique rien que pour elle.
Un moment de mode important qui en entraîne un autre, celui de l’emblématique jupe à carreaux bleus vichy, portée par Brigitte Bardot lorsqu’elle interprète Virginie dans "Voulez-vous danser avec moi ?". Jacques Esterel est encore une fois derrière cette pièce mythique, qu’il réalise avec de nombreux jupons pour un volume sans égal et une taille ajustée pour une silhouette idéale. Sensuelle et naturelle, l’icône B.B. s'approprie immédiatement la jupe vichy, qui continue de nous inspirer encore aujourd’hui !
Brigitte Bardot a popularisé les ballerines dans les années 60. Rose Repetto a créé la mythique ballerine "Cendrillon" juste pour l'actrice.
L'actrice était une grande adepte de la marinière, qu'elle a porté tout au long de sa carrière.
Brigitte Bardot a donné son nom aux robes à épaules découvertes qu'on appelle désormais "col Bardot".
Brigitte Bardot était une grande aficionado des couvre-chefs.
Brigitte Bardot, sublime, lovée dans une longue robe bohème. Un modèle qu'elle appréciait tout particulièrement.
Au même titre que Jane Birkin, Brigitte Bardot était particulièrement fan du panier en osier.
Brigitte Bardot a démocratisé le motif Vichy notamment en se mariant avec Jacques Charrier dans une robe à imprimé Vichy rose.
Brigitte Bardot, sublime dans un micro-short, dévoilant ses gambettes interminables.
Fripouille n'est plus : Brigitte Bardot et son mari partagent leur tristesse et rendent hommage à leur chienne
Brigitte Bardot et son mari Bernard d’Ormale sont en deuil. Le couple a, en effet, annoncé la triste nouvelle du décès de sa chienne Fripouille, emportée par la maladie. Par le biais d’un communiqué relayé sur les réseaux sociaux, l’actrice et son conjoint ont exprimé leur chagrin suite à cette douloureuse perte et a tenu à rendre hommage à la défunte Setter Anglais.
« La vie nous rend orphelins de nos plus belles amours ». La phrase est aussi belle que triste, à la mesure de la perte ressentie par Brigitte Bardot et Bernard d’Ormale après la disparition de Fripouille.
Cette dernière est décédée hier mercredi 14 juin à l’âge de 13 ans après s’être battue contre une maladie s’étant déclarée récemment et ayant eu une progression rapide.
Dans le communiqué publié par le couple, partagé notamment sur Twitter et relayé par Var Matin le jour-même, il est expliqué que la femelle Setter Anglais était atteinte d’un cancer du sang s’étant généralisé en l’espace de 15 jours. On y apprend également qu’il faisait suite à un cancer de la peau diagnostiqué le 30 mai dernier. Tout s’est donc hélas passé très vite pour la regrettée chienne et sa famille endeuillée.
Rendre à Fripouille « l’hommage qu’elle mérite »
Ils ont tenu à rendre à Fripouille « l’hommage qu’elle mérite, car elle a été l’ombre et la lumière de la vie de Bernard particulièrement ».
On imagine la tristesse que Brigitte Bardot doit éprouver en perdant ainsi un membre précieux de sa famille, elle dont l’amour pour les chiens et le monde animal en général n’est plus à présenter.
Brigitte Bardot et sa Fondation dont nous régulièrement l’occasion de relater les sauvetages et de relayer les prises de positions, comme cette lettre où la célébrité dénonçait le trafic de viande de chien en Polynésie française.
Sans oublier la participation de Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, au show « La Touche Animale » présenté par Yoann Latouche sur l’application Brut..
Brigitte en ce 23 juillet je te souhaite une Bonne fête !
Journée spéciale pour toutes les Brigitte du monde...mais une Brigitte me tien particulièrement à cœur...vous l'aurez deviné, Brigitte Bardot...pour qui j'ai une profonde tendresse...et une passion infinie...
Bruno Ricard
Sainte Brigitte naquit en Suède, de famille royale. Sa mère avait été sauvée d’un naufrage en considération de l’enfant qu’elle portait dans son sein. Bien qu’à sa naissance un saint personnage eût reçu de la Sainte Vierge l’assurance que cette enfant ferait entendre sa voix dans tout l’univers, Brigitte fut muette, jusqu’à l’âge de trois ans ; mais, ce temps écoulé, elle parla tout à coup aussi bien qu’une grande personne.
A l’âge de dix ans, elle fut singulièrement touchée d’un sermon sur la Passion du Sauveur. La nuit suivante, elle vit le divin Crucifié tout couvert de plaies et de sang, et L’entendit dire : "Regarde, Ma fille, comme J’ai été traité. – Et qui Vous a traité si cruellement ? dit-elle. – Ce sont ceux qui Me méprisent et sont insensibles à Mon amour pour eux." À partir de cette époque, la seule pensée des mystères de la Passion faisait couler ses larmes.
Une nuit qu’elle était en prière, sa tante, chargée de son éducation après la mort de sa mère, la surprit et voulut la frapper ; mais la verge se rompit entre ses mains. Brigitte, tout enfant, était souvent assaillie par le démon qui prévoyait en elle une grande ennemie ; mais elle trouvait un secours assuré en courant dans sa chambre se jeter aux pieds du crucifix qui lui avait parlé.
Malgré son goût pour la virginité, Brigitte accepta le mariage par obéissance ; elle et le prince, son mari, se préparèrent par un an de prières et de bonnes oeuvres aux obligations de leur état. Dieu donna à ces pieux époux huit enfants. Brigitte fut le modèle des mères par sa sollicitude envers sa famille ; elle éloignait de sa maison tout ce qui n’y aurait pas apporté l’édification et la vertu : "Après la lecture de la Bible, répétait-elle à ses enfants, n’ayez rien de plus cher que la Vie des Saints."
A la mort de son mari, elle s’adonna aux saintes oeuvres avec plus de liberté que jamais, apprenant à ses enfants à laver les pieds des pauvres, à soigner les plaies des malades, à soulager toutes les misères. Mais la grande mission de sa vie, Brigitte l’accomplit pendant ses dernières années, qu’elle passa dans la pénitence et la contemplation de Jésus Crucifié. Ses révélations étonnantes ont fait d’elle la merveille de son siècle.
C’est à Rome, où elle aimait à séjourner près des tombeaux des Saints, que le Sauveur lui fit connaître l’heure de sa mort prochaine ; elle rendit le dernier soupir en prononçant avec amour les dernières paroles de Jésus expirant : "Mon Père, je remets mon âme entre Vos mains."
Brigitte Bardot : Nouveauté CD album. 3 volumes, Paru le 21 juillet 2023...
(CD album). 3 volumesParu le 21 juillet 2023
Brigitte Bardot est la plus iconique de nos artistes françaises. Redécouvrez les 50 titres qui ont fait d'elle une légende.
Brigitte Bardot incarne la sensualité féminine authentique et audacieuse. Danseuse, actrice et chanteuse, elle occupe une place unique dans la mémoire collective. De la ravissante parisienne à la célébrité mondiale, BB, reflète la beauté sauvage et l’insouciance, elle est devenue la muse des plus grands cinéastes et compositeurs.