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fondation brigitte bardot

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Publié le par Ricard Bruno

Les galgos, souvent appelés “lévriers espagnols”, sont connus pour leur vitesse et leur élégance. Malheureusement, comme les Podencos, ils sont victimes d’une cruauté terrible dans certaines régions d’Espagne, où ils sont élevés pour la chasse et abandonnés ou maltraités après la fin de la saison.

Même si les mentalités évoluent en Espagne (un important travail de sensibilisation dans les zones rurales est réalisé par les associations), si une fédération nationale de protection des chiens utilisés pour la chasse s’est créée (FENPCA) et si les lois sur la cruauté faite aux animaux se sont durcies, ces pauvres chiens connaissent toujours un sort terrible.

Ils ne sortent que pour la chasse (d’octobre à février) et sont traités sans considération, comme des “outils”. Pour augmenter leurs performances, ils sont « entraînés », attachés à des véhicules, contraints de suivre et tenir sur des dizaines de kilomètres. 
A deux ou trois ans, lorsque leur efficacité diminue, les Galgos et Podencos sont alors torturés ou tués.

Les « mauvais chasseurs » peuvent être pendus “haut” ou “court”, les pattes arrière touchant à peine le sol : leur agonie peut alors durer plusieurs jours !

D’autres sont jetés dans des puits, traînés à mort à l’arrière de voitures, piqués à l’eau de javel, brûlés vifs, battus, mutilés au couteau, abandonnés à l’entrée des autoroutes se faisant écraser par les automobilistes. Les chasseurs leur ouvrent le cou pour arracher leurs puces électroniques afin qu’il ne soit pas possible d’identifier les maîtres. 

S’ils survivent, ils sont livrés à eux-mêmes, couverts de tiques sur le corps et le visage, de parasites qui les affaiblissent jusqu’à leur mort.

Les femelles, quant à elles, sont résignées à mettre au monde des petits tout au long de leur vie, avant d’être, elles-aussi, exécutées.

Brigitte Bardot a lancé plusieurs appels au Roi d’Espagne dans le quotidien El Pais pour dénoncer cette “tradition” perverse qui voit “le pire de l’homme ». Mais la pratique inacceptable perdure.

Heureusement, de nombreuses associations s’investissent pour sauver les lévriers espagnols.

Des refuges les prennent en charge (mais sont saturés). D’autres les proposent à l’adoption, notamment en France. Vous aussi pouvez agir : adoptez un Galgo ou un Podenco et offrez-lui le bonheur qu’il mérite tant !

Le samedi 1ᵉʳ juin 2024 se déroulera La Marche des Galgos à Strasbourg. Venez nombreux soutenir le combat contre la maltraitance des Lévriers en Espagne qui aura lieu devant le Parlement Européen.

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Publié le par Ricard Bruno

Bonjour,

Je ne comprends pas du tout comment on peut laisser faire ça, quelle honte..

Bruno Ricard

Le puppy yoga, qui mêle le yoga au câlinage de chiots, fait fureur à Bordeaux. Nous avons assisté à une séance et rencontré des professionnels du secteur, plus ou moins convaincus.

Les participantes d’une séance de puppy yoga à Bordeaux.

Les participantes d’une séance de puppy yoga à Bordeaux.

La position du chien tête en bas n’a jamais aussi bien porté son nom. Depuis plusieurs mois, le « puppy yoga » séduit de plus en plus de Bordelais. L’activité mêle la pratique de ce sport méditatif à celle – qui n’en est pas une à part entière – du câlinage de chiots.

À Bordeaux, où les entreprises de puppy yoga sont de plus en plus nombreuses, Philippe Périn et sa compagne Victoria ont ouvert leur propre business début 2024. Chaque samedi et dimanche, les trois séances quotidiennes à 40 euros par personne affichent complet. Une aubaine pour les gérants, mais aussi pour les éleveurs et les professeurs de yoga avec qui ils travaillent.

Le hic : l’implication de chiots âgés de 8 à 10 semaines pose question. Si Philippe assure avoir à coeur leur bien-être, le syndicat national des professions du chien et du chat (SNPCC) et la fondation Brigitte Bardot (FBB) ne sont pas du même avis. 

Les séances de puppy yoga

Les standards du puppy yoga diffèrent selon les entreprises, étant donné qu’elles ne sont soumises à aucun contrôle. « J’ai assisté à des séances à Paris où les chiots se promenaient pendant que les participants pratiquaient leurs positions, parfois ils faisaient 8 séances par jour », s’indigne Philipe Périn.

Lui a décidé de diviser ses séances en deux, avec une première demi heure de yoga sans les chiots avant de les introduire dans la salle. Les participants les accueillent assis en cercle sur leurs tapis pendant un bon quart d’heure, avant quinze minutes de relaxation où ils sont couchés au sol – et souvent distraits par les animaux.

De quoi donner le sourire aux yogis qui découvrent souvent ce sport par la même occasion, comme l’explique Louise Dupré, professeure partenaire de Puppy Yoga Bordeaux. « Je n’en avais jamais fait et ça m’a donné envie de continuer même sans les chiots », confirme Margot, une participante, à la sortie d’une séance.

Pour Louise Dupré, la pratique du yoga est compatible avec le câlinage de chiots justement grâce à la demi-heure de séance qui ne les inclut pas. « Sinon, ce serait presque dangereux de faire des positions de yoga au-dessus d’eux », soutient-elle. Mais le type de séances pratiqué par Puppy Yoga Bordeaux est rare, et l’activité reste décriée par les défenseurs de la cause animale.

Adoptions impulsives ?

« Tout le monde y gagne, sauf les chiens », s’insurge Anne-Marie Le Roueil, présidente de la SNPCC. Les éleveurs traversent une passe difficile face à la concurrence des particuliers, certes, « mais il faut penser au bien-être du chiot ». 

Même son de cloche à la Fondation Brigitte Bardot, qui s’inquiète que présenter des chiots à des clients qui ne seraient pas dans une démarche d’achat pousse à des adoptions irréfléchies. Mélanie Fourrier, éleveuse en Gironde et partenaire de Puppy Yoga Bordeaux, assure pourtant qu’aucun participant n’a jamais souhaité adopter ses chiots, souvent réservés avant même d’atteindre les 8 semaines d’âge légal pour participer aux séances.

Et Philippe Périn d’ajouter que les éleveurs ne sont « pas rémunérés mais seulement payés une compensation pour leur trajet ». Ils n’y gagneraient donc qu’en visibilité, rien de plus. « Et puis ça permet aux chiots de sociabiliser », précise aussi Mélanie Fourrier, immédiatement contredite par la FBB et le SNPCC. 

« Ils ont besoin d’être familiarisés aux autres espèces, mais là ils sont sollicités pour le seul bien-être de l’humain sans possibilité de se soustraire aux manipulations », tranche Anne-Marie Le Roueil. « Celui qui a inventé ça ne devait pas avoir ses chacras si alignés que ça », termine-t-elle en citant les paroles d’une éleveuse membre du syndicat.

Boire ou ne pas boire, telle est la question

« Ce qui pêche, ce sont les conditions dans lesquelles les animaux sont présentés et détenus pendant la séance », souligne Lorène Jacquet, responsable campagnes et plaidoyer à la FBB. Selon elle, ils sont souvent sous-alimentés et très peu abreuvés, pour éviter qu’ils ne défèquent sur les tapis lors des séances. 

Et actu Bordeaux a pu constater la situation inverse lors d’une séance chez Puppy Yoga Bordeaux. Aucun doute là-dessus, ce dimanche 17 mars, les chiots avaient été abreuvés et nourris : les deux gérants et l’éleveuse ont passé la moitié de leur temps à nettoyer derrière eux pendant la séance, parvenant à couvrir l’odeur de leurs déjections à coups de désinfectant sans déranger les participants, trop affairés à caresser les chiots.

Pas prête de disparaître

Quant à leurs conditions de détention, pendant les demi-heures où ils n’intéragissent pas avec les yogis, les petits chiens étaient installés sur la terrasse de Puppy Yoga Bordeaux. Un accueil en extérieur assez rare dans le milieu pour le souligner. 

Les bébés golden retriever et bouledogue présents ce dimanche 17 mars (mélangés depuis la naissance suite au décès de la mère des bouledogues, assure l’éleveuse) ne devraient participer qu’à quatre matinées de yoga.

Après ça, ils iront dans leurs familles d’adoption et seront remplacés par d’autres chiots venant de différents élevages. Car l’activité n’est pas prête de disparaître. Pas de quoi ravir la FBB, qui continue d’affirmer que « c’est un attrape-couillons (sic)«  et espère que « l’effet de mode » passera aussi vite qu’il est arrivé.

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Publié le par Ricard Bruno

JUSTICE Sans eau, le chien enfermé dans une cage ne pouvait pas bouger

Le maître a été condamné par le tribunal correctionnel de Nîmes à 18 mois de prison et à un mandat d'arrêt. Il est reconnu coupable de maltraitances sur son chien et de menaces et violences sur les policiers.

"Il n'y a aucun doute sur la maltraitance, cet animal a encore aujourd'hui des séquelles. Pourtant les faits datent de 2020", estime la procureur de la République. "Il a un retard de développement et le chien est en grande souffrance", ajoute-t-elle.

 

Le prévenu est absent de cette audience correctionnelle où il a été convoqué, il n'est pas non plus représenté par un avocat. "Il avait pris un chien alors qu'il n'avait pas le droit d'en accueillir. Mais, plus grave, ce chien a subi de mauvais traitements. Par exemple, il ne pouvait pas se retourner dans cette cage de 1,30m sur 1,30 qui était entreposée sur un petit balcon. Il était aussi sans eau ", indique la fondation Brigitte Bardot. 

Si ce dossier est arrivé devant une juridiction pénale, c'est suite à une rixe en mai 2020 dans les rues de Beaucaire. Ce 3 mai 2020, un homme avec son chien "Staff American" classé en catégorie 1, et donc soumis à de nombreuses règles, participe à une rixe dans les rues de la ville. Le lendemain, le chien et le maître sont identifiés et la police va saisir l'animal dont le maître n'a aucun papier valable de propriété. Mais au domicile du propriétaire de l'animal, le trentenaire refuse le contrôle et menace de mort les policiers. Le mis en cause âgé de 32 ans est connu de la justice, et il a déjà 19 mentions au casier judiciaire avec "des extorsions, des violences, des menaces de mort". 

Il a été condamné à 18 mois de prison ferme assortis d'un mandat d'arrêt. Son animal est définitivement saisi et donné à une association. Il lui est interdit d'avoir à nouveau un chien. 

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Publié le par Ricard Bruno

Depuis plusieurs années, la Fondation Brigitte Bardot vient en aide à l'association ACAMA (Association contre l'abandon et la maltraitance animale) à travers une subvention annuelle de 4500 €, destinée à financer l'achat d'aliments et les soins vétérinaires.

Actuellement, l'ACAMA accueille 33 chats, 12 chiens, 17 chevaux, 1 âne, 4 brebis, 8 chèvres, 2 vaches et 5 cochons. Mercredi, Romane, qui est en charge des aides aux associations depuis deux ans et demi, a rendu visite à Nathalie Monier, la présidente de l'ACAMA, et plusieurs bénévoles, et découvert la ferme où sont accueillis ces animaux abandonnés ou confiés par la justice.

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La Fondation Brigitte Bardot dévoile des images tournées dans un élevage intensif de dindes en Bretagne: squelette fragilisé, pattes fracturées… - VIDEO

Publié le par Ricard Bruno

La Fondation Brigitte Bardot a tourné des images inédites, le 22 février dernier, dans un élevage intensif de dindes en Bretagne. "Plus de 30 millions de dindes sont élevées chaque année en France, 97 % en élevage intensif, dans des bâtiments sans lumière naturelle ni accès extérieur. Les dindes ne verront la lumière du jour qu’au moment d’être chargées pour l’abattoir", explique la Fondation dans un communiqué.

Et d'ajouter : "Comme les poulets de chair, les dindes et dindons sont issus de souche à croissance rapide. Cela entraîne un développement excessif de la chair, un squelette fragilisé, des pattes fracturées, des boiteries (...) Comme pour les poulets de chair et poules pondeuses, les dindes ont le bec coupé, elles peuvent être aussi dégriffées pour limiter les blessures qu’elles s’infligent, bâtiment peu éclairé pour réduire l’activité des animaux".

La Fondation précise qu'aujourd'hui "il n’y a pas de norme spécifique, ni européenne ni nationale, pour l’élevage de dindes". C'est pourquoi, dans son communiqué, elle fait trois propositions.

- La Commission européenne à présenter une révision de la réglementation sur l’élevage, en sortant des systèmes cages pour toutes les filières et en fixant des normes pour les espèces non couvertes par la réglementation, comme ici avec les élevages de dindes

- Le ministre de l’Agriculture à porter cette exigence auprès des instances européennes et à accompagner les éleveurs dans une nécessaire transition pour limiter la densité d’élevage, aménager les bâtiments pour répondre aux besoins des animaux et leur donner accès à un parcours extérieur

- Les consommateurs à limiter strictement leur consommation de viande au profit de filières plus respectueuses, filière bio, Label Rouge ou Appellation d’Origine Protégée (AOP).

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CONTRE LE MASSACRE DES CHIENS ERRANTS AU MAROC ET EN TUNISIE !

Publié le par Ricard Bruno

 CONTRE LE MASSACRE DES CHIENS ERRANTS AU MAROC ET EN TUNISIE !

Les tueries de chiens errants au Maroc et en Tunisie sont une urgence absolue !

Depuis des décennies, le sort des chiens errants au Maroc et en Tunisie suscite l'indignation et l'horreur tant au niveau local que mondial. Ces animaux, abandonnés à leur sort dans les rues, sont victimes de traitements barbares, allant de l'abattage brutal à la torture moyenâgeuse. Malgré les efforts de certaines organisations et les directives émanant des autorités, la situation semble peu évoluer, laissant place à un véritable drame animalier.

Au Maroc, l'histoire est marquée par une série de tueries massives, notamment en prévision d'événements internationaux tels que la Coupe du Monde de la FIFA 2030. Les témoignages horrifiants rapportent des actes de violence inimaginables, où les chiens sont fusillés, empoisonnés, voire brûlés vifs. Chaque jour, chaque minute, ces massacres continuent de se produire, et des pauvres chiens meurent dans d’atroces souffrances. C’est un véritable déni des droits et de la dignité animale.

La Tunisie, quant à elle, est confrontée à une situation similaire au motif de vouloir vaincre la rage. Les autorités ont lancé des campagnes d'abattage massif. Ces méthodes sont violentes et barbares. 

Malgré les justifications avancées par certains en faveur de l'abattage, les alternatives existent. La stérilisation, la vaccination et la réintroduction contrôlée des animaux dans leur environnement sont des solutions prouvées et éthiques pour aborder la question des animaux errants.

Des efforts ont été entrepris dans certaines régions pour adopter cette approche plus humaine, mais ces initiatives restent largement insuffisantes face à l'ampleur du problème. Le manque de moyens, tant financiers que législatifs, empêche la mise en œuvre de politiques efficaces. 

Les militants locaux et les organisations caritatives comme la Fondation Brigitte Bardot se retrouvent souvent seuls dans leur combat pour la protection des droits des animaux et de ces chiens. Ils sont confrontés à l'indifférence des autorités et à l'absence d'une législation adéquate.

Mais depuis quelques années, ces associations ne sont plus seules à réagir. De nombreux citoyens ont déjà rejoint le combat en créant des pétitions pour demander l’arrêt de ces méthodes cruelles. De nombreux citoyens comme vous, demandent que les gouvernements marocain et tunisien reconnaissent la gravité de la crise des chiens errants et prennent des mesures humaines et éthiques pour mettre fin aux calvaires de ces animaux. 

Une militante régulière sur MCA a lancé plusieurs pétitions sur le sujet. Elle se bat au quotidien pour faire arrêter ces massacre.

Si vous aussi vous souhaitez vous mobiliser pour cette cause, n’hésitez pas à créer votre pétition juste ICI

Plus il y aura de mobilisations, plus cela fera du bruit ! 

Vous pouvez également signer les nombreuses pétitions sur cette page et les partager autour de vous !

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ESCALOPE DE DINDE, CORDON BLEU… L’ENVERS DU DÉCOR !

Publié le par Ricard Bruno

ESCALOPE DE DINDE, CORDON BLEU… L’ENVERS DU DÉCOR !

La Fondation Brigitte Bardot a tourné des images inédites, jeudi 22 février 2024, dans un élevage intensif de dindes en Bretagne…

Plus de 30 millions de dindes sont élevées chaque année en France, 97 % en élevage intensif, dans des bâtiments sans lumière naturelle ni accès extérieur. Les dindes ne verront la lumière du jour qu’au moment d’être chargées pour l’abattoir !

Comme les poulets de chair, les dindes et dindons sont issus de souche à croissance rapide. Cela entraîne un développement excessif de la chair, un squelette fragilisé, des pattes fracturées, des boiteries

Ces animaux sont des mutants qu’on mutile pour les faire survivre dans un environnement hostile, inadapté. Plutôt qu’offrir de l’espace à ces oiseaux, leur permettre de se percher ou de gratter le sol, ils sont enfermés dans des bâtiments où l’air chargé d’ammoniac entraîne des difficultés respiratoires, le sol constitué d’une litière sale et humide provoque des brûlures…

Comme pour les poulets de chair et poules pondeuses, les dindes ont le bec coupé, elles peuvent être aussi dégriffées pour limiter les blessures qu’elles s’infligent, bâtiment peu éclairé pour réduire l’activité des animaux.

Il n’y a pas de norme spécifique, ni européenne ni nationale, pour l’élevage de dindes.

C’est pourquoi la Fondation Brigitte Bardot appelle :

  • la Commission européenne à présenter une révision de la réglementation sur l’élevage, en sortant des systèmes cages pour toutes les filières et en fixant des normes pour les espèces non couvertes par la réglementation, comme ici avec les élevages de dindes ;
  • le ministre de l’Agriculture à porter cette exigence auprès des instances européennes et à accompagner les éleveurs dans une nécessaire transition pour limiter la densité d’élevage, aménager les bâtiments pour répondre aux besoins des animaux et leur donner accès à un parcours extérieur ;
  • les consommateurs à limiter strictement leur consommation de viande au profit de filières plus respectueuses, filière bio, Label Rouge ou Appellation d’Origine Protégée (AOP).
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LA FBB ET L’ASSOCIATION ÉCUREUIL ROUX CRÉENT UN JARDIN DE RÉPIT AU REFUGE DE BAZOCHES

Publié le par Ricard Bruno

LA FBB ET L’ASSOCIATION ÉCUREUIL ROUX CRÉENT UN JARDIN DE RÉPIT AU REFUGE DE BAZOCHES

La Fondation Brigitte Bardot qui, depuis près de 40 ans, agit en faveur des animaux, en France et dans le monde entier, et l’association L’écureuil roux, dédiée à la préservation de cette espèce, annoncent un partenariat afin de promouvoir la sauvegarde des écureuils roux tout en offrant à cette espèce protégée un espace sécurisé. 

Le Jardin de répit du Refuge de Bazoches-sur-Guyonne (ancienne propriété de Brigitte Bardot dans les Yvelines) comprendra des mangeoires spécialement conçues pour nourrir les écureuils roux en hiver, favorisant ainsi la préservation de ces animaux en déclin et créant un équilibre harmonieux entre l’homme et la nature.

Fabriquées par des bénévoles de l’association l’Écureuil Roux, dont l’expertise assurera que l’aménagement respecte leurs besoins spécifiques, elles seront disposées sur le site du Refuge qui les approvisionnera en hiver.

Grâce à l’implication du Maire de Bazoches, des panneaux de signalisation « Traversée d’écureuils », financés par la Fondation, seront installés à proximité des bois, sur les routes communales, afin d’éviter les collisions.

Ce partenarait entre les deux organismes de protection animale et la commune contribuera ainsi à sensibiliser le public à l’importance de préserver l’habitat naturel des animaux sauvages. 

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Bien-être animal : une préoccupation croissante

Publié le par Ricard Bruno

Bien-être animal : une préoccupation croissante

La protection animale en France est un sujet qui suscite de plus en plus d'attention et de préoccupation. Avec une population de plus en plus consciente des droits des animaux et des enjeux liés à leur bien-être, les associations de protection animale se multiplient et agissent pour défendre les droits et la dignité des animaux.

En France, la protection animale est encadrée par la loi, qui reconnaît aux animaux le statut d'êtres sensibles. Cela signifie qu'ils ne peuvent pas être considérés uniquement comme des objets de propriété, mais qu'ils ont des besoins spécifiques et des droits qui doivent être respectés. Cela implique notamment de garantir leur bien-être, de les protéger de la cruauté et de la maltraitance, et de veiller à ce qu'ils bénéficient de conditions de vie dignes.

Les associations de protection animale jouent un rôle essentiel dans la défense des droits des animaux en France. Elles mènent des actions de sensibilisation du public, de sauvetage et de soins aux animaux en détresse, de lobbying auprès des autorités pour renforcer la législation en faveur des animaux, et de lutte contre la maltraitance animale sous toutes ses formes.

La Fondation Brigitte Bardot, fondée par l'actrice éponyme, est engagée dans la défense de toutes les formes de vie animale. la fondation intervient notamment dans les domaines de la protection de la faune sauvage, la lutte contre la maltraitance des animaux de compagnie, la sensibilisation du grand public aux enjeux écologiques et la promotion de l'adoption responsable.

 

La SPA, créée en 1845, est l'une des plus anciennes associations de protection animale en France. Elle œuvre pour la protection, le sauvetage et la défense des animaux en détresse, en proposant notamment des refuges pour leur accueil et leur prise en charge. La SPA mène également des campagnes de sensibilisation sur la maltraitance animale et plaide pour une législation plus protectrice envers les animaux.

La Fondation 30 Millions d'Amis, quant à elle, est connue pour sa lutte contre l'abandon des animaux de compagnie et son engagement en faveur de leur bien-être. Cette fondation soutient financièrement de nombreuses initiatives en faveur des animaux, comme la stérilisation des chats errants ou la lutte contre la maltraitance animale.

L214 Ethique et Animaux est une association militante qui dénonce les pratiques éthiquement condamnables dans l'élevage intensif et l'industrie agroalimentaire. En réalisant des enquêtes sur le terrain et en diffusant des vidéos chocs, L214 sensibilise le public sur les conditions de vie des animaux d'élevage et milite pour l'abolition de certaines pratiques cruelles, comme le gavage des oies pour la production de foie gras.

N'oublions pas toutes ces petites associations et bénévoles qui œuvrent pour venir en aide à tout ces animaux maltraités.

Parmi les enjeux majeurs de la protection animale en France, on peut citer la lutte contre l'abandon des animaux de compagnie, le commerce illégal d'animaux sauvages, la production intensive de viande et de produits d'origine animale, les expériences sur les animaux en laboratoire, ou encore les pratiques cruelles comme la chasse à courre ou les combats de coqs.

Pour faire évoluer les mentalités et les pratiques en matière de protection animale en France, il est essentiel que chacun prenne conscience de sa responsabilité envers les animaux et s'engage à agir en faveur de leur bien-être. Que ce soit en adoptant un animal plutôt qu'en l'achetant, en soutenant financièrement une association de protection animale, en signalant les cas de maltraitance ou en choisissant des produits respectueux des animaux, chacun peut contribuer à préserver la biodiversité et à promouvoir le respect de toutes les formes de vie sur notre planète.

Bruno Ricard 

 

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